La Clayette

La Clayette (prononcé [la klɛt] « La Clète »[3],[4]) est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire en région Bourgogne-Franche-Comté.

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La Clayette

Le château de La Clayette et la place des Fossés.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Charolles
Intercommunalité Communauté de communes La Clayette Chauffailles en Brionnais
Maire
Mandat
Christian Lavenir
2020-2026
Code postal 71800
Code commune 71133
Démographie
Gentilé Clayettois[1],[2]
Population
municipale
1 636 hab. (2018 )
Densité 524 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 17′ 26″ nord, 4° 18′ 20″ est
Altitude Min. 336 m
Max. 437 m
Superficie 3,12 km2
Élections
Départementales Canton de Chauffailles
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
La Clayette
Géolocalisation sur la carte : Saône-et-Loire
La Clayette
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La Clayette
Liens
Site web mairie-laclayette.fr

    Géographie

    Localisation

    La Clayette est située dans le Brionnais, entre le Charolais et le Roannais, à proximité du Beaujolais et de la région lyonnaise.

    Depuis 2004, la ville fait partie du Pays Charolais-Brionnais, berceau de la race bovine charolaise. Le territoire est candidat au patrimoine mondial de l'Unesco au titre des paysages culturels[5].

    Communes limitrophes

    Carte de la commune de La Clayette et des proches communes.

    Topographie

    La Clayette est située au pied de la montagne de Dun, dont le point culminant, situé sur la commune de Saint-Racho, est à 708 mètres d'altitude[6].

    Hydrographie

    Grand étang (direction nord-est).

    La Clayette est construite sur les bords d'un grand étang, ou petit lac, de 30 hectares environ, alimenté par le ruisseau de La Genette, affluent du Sornin, qui lui-même se jette dans la Loire. L'étang de La Clayette s'étend d'ouest en est, avec une profondeur maximale de 4 mètres.

    Climatologie

    Le climat de Saône-et-Loire est océanique tempéré à tendance continentale : les précipitations sont régulières tout au long de l'année avec une hausse de celles-ci durant le printemps et l'automne. Durant l'été, les précipitations sont peu fréquentes mais sous forme d'orages parfois violents engendrant d'importants cumuls de pluie. Le climat clayettois est caractérisé par des hivers froids et des étés chauds et secs liés à l'influence méridionale (vent du Midi).

    Le tableau climatique de la station Météo-France de l'aérodrome de Mâcon - Charnay est représentatif du climat de La Clayette.

    Tableau climatologique de La Clayette sur la période 1981-2010
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 0 0,6 3,4 5,9 10,1 13,4 15,5 14,9 11,5 8,3 3,6 1 7,4
    Température moyenne (°C) 2,8 4,1 7,9 10,8 15,1 18,7 21,1 20,6 16,7 12,4 6,8 3,6 11,8
    Température maximale moyenne (°C) 5,5 7,6 12,3 15,7 20,1 23,9 26,6 26,2 21,9 16,5 9,9 6,1 16,1
    Ensoleillement (h) 61,9 91,5 154,9 182 212,9 245,3 267,7 242,4 185,6 116,9 70,3 50,5 1 881,9
    Précipitations (mm) 59 52,5 48,7 74,6 88,1 75,5 70,9 71,7 79,5 85,5 83,8 69,5 859,3
    Source : Météo France

    Voies de communication et transports

    La Clayette est située au carrefour des routes RD 985 et RD 987, à 20 km de Charolles, 25 km de Paray-le-Monial, 40 km de Roanne, 60 km de Mâcon, 90 km de Lyon, 100 km de Moulins.

    La Route Buissonnière entre Fontainebleau et Lyon traverse la commune par la RD 985 (ex-RN 485).

    La gare de La Clayette-Baudemont est située sur la ligne Lyon — Paris. Elle est desservie par les missions TER suivantes :

    • Lyon — Paray-le-Monial ;
    • Lyon — Tours (via Paray-le-Monial, Moulins, Nevers et Bourges) ;
    • Lyon — Nevers (via Paray-le-Monial et Moulins).

    Les gares de Mâcon-Loché-TGV et Le Creusot–TGV sont respectivement situées à 45 km et 65 km.

    Urbanisme

    Typologie

    La Clayette est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Clayette, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[10] et 2 869 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[11],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[13],[14].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (44,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (44,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (33,5 %), zones urbanisées (31,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (13,1 %), eaux continentales[Note 2] (9,7 %), forêts (9,4 %), zones agricoles hétérogènes (2,6 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[16].

    Espaces verts et fleurissement

    Une aire de loisirs avec parcours de santé se trouve à l'est du lac, rue de la Planchette.

    En 2020, La Clayette obtient le label « Villes et Villages Fleuris » avec « trois fleurs »[17].

    Toponymie

    Le nom de La Clayette apparaît en 1307 dans un acte par lequel Jean de Lespinasse reconnaît tenir en fief du roi de France « le grand étang dit de la claete avec le moulin attenant ».

    L'origine du nom est incertaine mais viendrait vraisemblablement du mot « claie » qui pourrait désigner une grille disposée au niveau du déversoir d'un étang[18], un treillage jeté sur le bourbier pour faciliter le passage à gué, ou encore une barrière pour retenir les eaux d'un moulin[19].

    Histoire

    Le château (XIVe – XIXe siècles).

    En 1307, Jean de Lespinasse édifie près de l'étang une maison forte pour résister aux brigands qui dévastaient le royaume de France[18].

    En 1380, alors que l’invasion anglaise se fait menaçante avec la guerre de Cent Ans et que la France est parcourue par des bandes armées, le roi Charles V encourage les seigneurs à remettre en état leurs forteresses. Ainsi, Philibert de Lespinasse successeur de Jean transforme la maison forte en château cantonné de grosses tours rondes.

    En 1420, Louis de Chantemerle hérite par mariage de la seigneurie. Il occupe plusieurs charges à la cour des Ducs de Bourgogne et est nommé bailli de Mâcon.

    Vue depuis le château sur le bourg et la porte fortifiée du pont-levis.

    Le bourg de La Clayette est créé en 1435 par les Chantemerle ; trois foires s'ajoutent en 1437.[réf. nécessaire]

    Un marché hebdomadaire voit le jour en 1450.

    Le roi Louis XI est de passage au château en 1470 . En guerre contre Charles le Téméraire, dernier Duc de Bourgogne, il se rend avec son armée en Charolais pour occuper certains points de la région et défendre les frontières du royaume.

    En 1524, c'est le roi François Ier qui séjourne une nuit au château en se rendant à Pavie pour guerroyer (une célèbre bataille où il sera fait prisonnier). À la suite de cette visite, le seigneur de La Clayette obtient deux foires supplémentaires.

    En 1632, Alice de Chantemerle, dernière descendante de la famille du même nom, fonde par testament le couvent des Minimes (bâtiment actuel de la mairie).

    En 1722, la seigneurie de La Clayette est acquise par Bernard de Noblet.

    Au cours du XVIIIe siècle, La Clayette devient un centre important du cuir autour du petit étang des tanneries.

    En 1790, les premières assemblées municipales se tiennent dans la chapelle Sainte-Avoye. Jusqu'à la Révolution en 1789, La Clayette dépendait de Varennes-sous-Dun.

    Vue générale de La Clayette dans les années 1910.

    En 1889, la gare de La Clayette-Baudemont ouvre avec la mise en service de la ligne de Chalon-sur-Saône à Pouilly-sous-Charlieu.

    En 1894, l'église de La Clayette est inaugurée par l'archiprêtre Guittet en présence des familles de Noblet et de Rambuteau.

    En 1900, le chemin de fer se développe avec l'ouverture de la ligne de Paray-le-Monial à Givors-Canal (avec correspondance pour Lyon).

    En 1904, l'hôpital de La Clayette est construit en remplacement d'un petit hospice datant de 1879.

    En 1911, la ligne de chemins de fer R.S.L. (Rhône - Saône-et-Loire) dite « du Tacot » est mise en exploitation entre La Clayette et Monsols (Rhône) pour le transport de fret et de voyageurs[20]. La ligne cesse son exploitation en 1935. La voie est déposée en 1939[21].

    En 1919, les forges de La Clayette sont créées (pièces en fonte et alliages divers).

    En 1928, la société Potain est créée (grues à tour et appareils de levage).

    Entre 1940-1942, La Clayette fait partie de la Zone Libre où s’exerce l’autorité du gouvernement de Vichy.

    La Clayette en février 1942, quelques mois avant l'invasion allemande de la zone libre.

    Entre 1942-1945, Rebecca Hakim, enfant juive née en 1935 et vivant à Lyon, se réfugie à La Clayette chez Clotilde Gaillard et sa mère Marie-Aimée à la demande d'Alfred-Jacques Fonlupt, maire de La Clayette[22].

    En 1946, le château est partiellement classé au titre des monuments historiques.

    En 1957, la maison Bouhy est créée rue Centrale. L'entreprise s'installe en 1969 sur la zone industrielle, ce qui marque l'envol de la distillerie (liqueurs et jus de fruits).

    En 1960, la maison Dufoux est créée par Bernard Dufoux, chef pâtissier-chocolatier qui installe sa boutique et son laboratoire dans la rue Centrale[23].

    En 2002, le château est partiellement inscrit au titre des monuments historiques.

    En 2007, l'Institut Yad Vashem de Jérusalem décerne le titre de Juste parmi les Nations à Marie-Aimée et Clotilde Gaillard. Les cérémonies de reconnaissance ont lieu le à la Mairie de La Clayette[24].

    Fin 2007, le site de production de la société belge Sunnyland (anciennement Bouhy, Boisset, McCain) est fermé.

    En 2010, le site de production de la société américaine Manitowoc (anciennement Potain) est fermé.

    Le cheval et La Clayette

    Au Moyen Âge, l'élevage des chevaux a précédé, dans le pays clayettois, l'élevage bovin. Le commerce des chevaux se déroule en particulier lors de la foire de la Toussaint, autorisée par François Ier en 1534.

    Le cheval blanc qui figure sur le blason de la ville ferait référence au cheval blanc d'Henri IV[25]. Le cheval qu'il montait lors de la bataille d'Ivry le aurait été acheté à la foire de La Clayette et proviendrait d'un élevage situé à La Pouge, hameau de Saint-Symphorien-des-Bois[26]. Ce fait n'est pas prouvé mais il est cité dans nombre de documents d'information touristique[27].

    En 1876, les premières courses hippiques sont organisées par la société hippique de Saône-et-Loire[28].

    Dans la première moitié du XXe siècle sont également organisés des raids hippiques[29], annoncés ainsi : « Epreuves hippiques de la Clayette : au début de juillet, une société locale organise à La Clayette des épreuves hippiques. Entre autres, un raid attelé de 40 kilomètres sur route permet d'y apprécier l'endurance et la qualité des chevaux charolais ».

    Le a lieu un concours hippique national. Ce concours de saut d'obstacles comprend des épreuves pour amateurs et professionnels.

    En 2002, la municipalité fait l'acquisition de la statue en bronze dite du « Cheval cabré » qui devient rapidement l'un des emblèmes de la ville[30].

    En 2018, le concours hippique du parc du château se met en sommeil par manque de bénévoles pour en assurer sa pérennité[31].

    En décembre 2020, la municipalité procède à l'enlèvement de la statue du « Cheval cabré » à la suite d'une décision du tribunal administratif de Dijon, la sculpture de Christian Maas se révélant être un plagiat de « La Fontaine aux chevaux » par Frédéric Jager[32]. La municipalité, qui l'ignorait au moment de l'achat, s'est dit regretter d'avoir dû procéder au retrait de cet « emblème de la commune »[33].

    Politique et administration

    Administration

    Depuis 2015, La Clayette appartient au nouveau canton de Chauffailles. Elle constituait jusque-là le chef-lieu d'un canton aujourd'hui supprimé.

    Depuis 2017, La Clayette appartient à la Communauté de communes La Clayette Chauffailles en Brionnais dont elle est la deuxième commune la plus peuplée après Chauffailles. Elle compte 5 délégués au conseil communautaire composé de 47 membres.

    Tendances politiques et résultats

    Résultats de l'élection présidentielle française à La Clayette au second tour :

    En 2017 : Emmanuel Macron a obtenu 65,14 % des suffrages exprimés et Marine Le Pen 34,86 %[34]. En 2012 : François Hollande a obtenu 40,25 % des suffrages exprimés et Nicolas Sarkozy 59,75 %[35]. En 2007 : Nicolas Sarkozy a obtenu 62.86 % des suffrages exprimés et Ségolène Royal 32.64 %[35]. En 2002 : Jacques Chirac a obtenu 82,49 % des suffrages exprimés et Jean-Marie Le Pen 17,51 %[36].

    Liste des maires

    Liste des maires de La Clayette depuis 1971
    MaireMandatCommentaires
    DébutFin
    Jean Garmier19711983Directeur commercial chez Potain[37].
    André Luminet19831989Salarié Potain[38].
    André Chassort19891995Médecin. Chevalier de l'ordre national du Mérite[39].
    Henry Brun19952001Métallier. Ancien président du Conseil de l'artisanat de la FFB[40].
    Hugues Godard20012014Commerçant[41].
    Daniel Laroche20142020Agent technique[42].
    Christian Lavenir2020en coursAgent de la fonction publique. Chef du Centre d'Incendie et de Secours de La Clayette[43].

    Jumelages

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[45].

    En 2018, la commune comptait 1 636 habitants[Note 3], en diminution de 6,03 % par rapport à 2013 (Saône-et-Loire : −0,73 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0141 0891 0521 0681 0911 3001 2961 3291 738
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7801 6711 9651 7481 6851 7441 8061 7421 674
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 6881 6471 8621 8481 8832 0022 0572 0801 806
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    2 1732 5302 8452 6692 3072 0691 9421 9191 897
    2013 2018 - - - - - - -
    1 7411 636-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La Clayette forme avec les communes de Varennes-sous-Dun et Baudemont une unité urbaine de plus de 2 500 habitants[48].

    Structure de la population par tranches d'âge

    De 2011 à 2016, la population de la commune a diminué de 8,3 %, passant de 1 829 habitants à 1 677. L'évolution est marquée par la diminution des toutes les classes d'âge à l'exception de celle de 60 à 74 ans :

    Population par grandes tranches d'âge, en 2011 et 2016[49]
    tranches d'âge2016 %2011 %
    Ensemble1 6771001 829100
    De 0 à 14 ans18110,820311,1
    de 15 à 29 ans21813,024313,3
    de 30 à 44 ans20712,325614,0
    de 45 à 59 ans28216,832617,8
    de 60 à 74 ans42525,340422,1
    75 ans et +36421,739821,8

    Enseignement

    • École maternelle du « Vieux Moulin », impasse du Vieux Moulin.
    • École primaire « Lamartine », rue Lamartine.
    • Collège « Les Bruyères », rue de la Planchette.
    • Maison familiale rurale, allée Faustin Potain.

    Équipements

    Bibliothèque et école maternelle.
    • Le cinéma « L'Odyssée », anciennement connu sous le nom « Le Foyer », fonctionne grâce à une équipe de bénévoles[50].
    • La Salle des Fêtes construite en 1886 se compose d'une salle de spectacle de 230 places avec gradins rétractables, d'une cuisine et d'un bar[51].
    • L'espace Sainte-Avoye est un espace culturel aménagé dans une ancienne chapelle[52].
    • La bibliothèque « Quartier Livres » de La Clayette est membre du réseau intercommunal de bibliothèques[53].
    • L'aire de loisirs « Docteur André-Chassort » avec parcours de santé et mini-golf[54].
    • Camping communal « Les Bruyères » sur 3 hectares avec emplacements aménagés pour tentes, caravanes et camping-cars, chalets équipés et bungalows toilés[55].
    • Piscine intercommunale, bassins d'extérieur.
    • Déchetterie intercommunale[56].
    • Stades, gymnase, hippodrome, boulodrome, terrains de tennis, skatepark[57]...

    Établissement sanitaire

    L'établissement est à l'origine un hospice dont la création est autorisée par le Maréchal Mac Mahon le [58] et le fonctionnement confié à trois religieuses de la congrégation de Saint-Charles.

    La construction de l'hôpital date de 1904.

    En 1907, une salle d'opération est construite, puis un service de maternité en 1924. Les services de chirurgie et de maternité cessent respectivement leur activité en 1952 et 1972. La congrégation de Saint-Charles est remplacée en 1956 par l'association des infirmiers et garde-malades de Saint-Camille, puis par des religieuses espagnoles de 1958 à 1976, année où un nouveau pavillon pour maison de retraite est construit.

    De 2013 à 2015, un nouveau bâtiment est construit pour accueillir un EHPAD, et les anciens bâtiments sont rénovés pour le service de médecine. Après les travaux de rénovation et de construction, l'hôpital de La Clayette prend le nom d'hôpital du Pays dunois[59].

    Depuis le , l'hôpital fait partie du Groupement hospitalier de territoire Bourgogne méridionale.

    Sports

    Quelques associations sportives à La Clayette : Groupement de retraite sportive (GRS)[60], football, lutte, natation estivale, basketball, tennis, etc.

    Associations

    Ci-dessous la liste de quelques associations locales :[61]

    • A.S.A Dunoise : organisation de rallyes automobiles.
    • Association Sainte-Avoye : restauration et animation de la chapelle Sainte-Avoye.
    • Association Cinéma L'Odyssée.
    • Batterie-Fanfare : apprentissage d'instruments de fanfare et de solfège.
    • Centre du Goût : promotion, développement, enseignement des fonctions du goût et leurs applications dans les domaines culturels et gastronomiques.
    • Chantemerle : groupe historique, spectacles.
    • Comité de jumelage : échanges culturels et scolaires, jumelage tri-partie avec Göllheim (Allemagne) et Marano Equo (Italie).
    • Croix Rouge Française : aides aux familles, visites mensuelles hôpitaux et maisons de retraites, dépôt de vêtements, formation aux gestes de 1er secours.
    • Pêcheurs du Sornin.
    • U.L.M. Club : vols ULM, baptêmes ULM, école de pilotage.

    Festivités

    • Festival Saint Rock : festival de musique, tous les ans en juillet[62].
    • Fête de la Saint Roch : fête foraine sur le parking de la salle des fêtes, tous les ans au mois d'août.
    • Courses hippiques à l'hippodrome de Montgelly, route de Charolles, le 4ème dimanche de juillet et le de chaque année.
    • Les Jeudis en Fête : spectacles gratuits sur la place Rambuteau, saison estivale (repli à la salle des fêtes en cas de pluie).

    Économie

    Nombre de postes salariés dans la commune, par secteur d'activité au  :[63]

    Total  % 1 à 9 salarié(s) 10 à 19 salariés 20 à 49 salariés 50 à 99 salariés
    Ensemble654100,021511724587
    Industrie365,4160200
    Construction274,127000
    Commerce, transports, services divers30345,613672950
    Administration publique, enseignement, santé, action sociale29844,9364513987

    La diminution de l'emploi salarié à la fin des années 2000 est due, en particulier, à la fermeture des usines Manitowoc (anciennement Potain) et Sunnyland.

    La société Potain

    Grues de chantier Potain (2009).
    Cabine de grue Potain.

    La société Potain est fondée en 1928 par Faustin Potain[64]. Il s'agit alors d'un petit atelier de fabrication de matériel de construction. En 1929, Faustin Potain dépose le brevet de « l'indécrochable », un lien d'échafaudage en chaîne, avant de lancer un « monte-charge mécanique » en 1930. En 1931, la société s'installe avenue de Noblet, puis lance sa première grue en 1932. Une gamme de grues est commercialisée en 1936 sous la marque « Record »[65]. Pendant la Seconde Guerre mondiale, Potain sous-traite pour Schneider et Cie au Creusot[66]. Après la Libération, Jean Noly est missionné pour perfectionner la gamme des grues « Record »[67]. De 1950 à 1960, diverses inventions permettent de mettre au point la grue à tour (une tour verticale et une flèche horizontale). La croissance de l'entreprise est rapide, elle devient leader mondial et célèbre la 10 000e grue en 1961[68]. À la mort de Faustin Potain en 1968, l'entreprise poursuit son développement avec Jean Noly et Maria Potain. En 1973, un centre de formation pour grutiers ouvre à Baudemont ainsi qu'un foyer-hôtel pour les recevoir à La Clayette. En 1974, le siège social est transféré à Ecully à proximité de la métropole lyonnaise. Au début des années 1980, jusqu'à 800 personnes travaillent sur le site de La Clayette (usine, bureaux d'études, services administratifs[69]. En 1987, le groupe Legris devient propriétaire en détenant 57 % des parts de Potain[70]. Les grues Potain maintiennent leur place de leader avec 17,4 % du marché mondial en 1997[71]. En 2001, la société est rachetée par l'américain Manitowoc Cranes, un des principaux fabricants mondiaux de grues de chantier. En 2008, il existe 450 emplois dans l'usine et les bureaux de La Clayette mais la diminution du chiffre d'affaires conduit vers des plans sociaux successifs[72]. En 2010, le site de production de La Clayette est fermé[73]. Il est proposé aux 116 salariés restant de rejoindre l'usine de Saint-Nizier-sous-Charlieu[74]. Le centre de formation de La Clayette-Baudemont, qui pouvait accueillir de 1 500 à 2 000 stagiaires par an, ferme en 2013[75]. En juin 2017, un mémorial est inauguré devant l'Office de Tourisme « en souvenir de l'aventure industrielle majeure qu'a connu La Clayette »[76].

    La distillerie et l'usine d'embouteillage

    La maison Bouhy est créée en 1957 par Henri Bouhy. Située initialement rue Centrale, l'entreprise s'installe en 1969 sur la zone industrielle, ce qui marque l'envol de la distillerie (liqueurs et jus de fruits). En 1981, entre 120 à 150 personnes y sont employées selon la saison[77]. L'entreprise est vendue en 1988 au premier groupe bourguignon de vins et spiritueux Jean-Claude Boisset, devenant l'un des quatre premiers producteurs de jus de fruit français[78], activité dont il se désengage quatre ans plus tard en revendant au canadien McCain[79]. Le rachat par le groupe belge Sunnyland se fait progressivement au cours des années 90. Il détient la totalité du site au printemps 1999, produisant et commercialisant des boissons rafraîchissantes, dont les jus de fruit Goa (pour le marché français) et le thé glacé Colorado (pour les marchés belge et français). La chaîne de fabrication s'exécute grâce à deux lignes d'embouteillage pour les bouteilles de 50 cl et celles d'un 1 à 1,5 litre, avec une capacité de production annuelle de 97 millions de litres en 1999[80]. Face à une concurrence croissante et à l'explosion du prix de la tonne de concentré d'orange, Sunnyland s'éteint progressivement par plans sociaux successifs, le site fermant en décembre 2007[81].

    Les forges

    Les forges de La Clayette sont créées en 1919 par Georges Thuillier sur un terrain de la commune de Baudemont[82]. En 1939, le développement d'un atelier d'usinage permet à l'entreprise de livrer des pièces à l'armée ainsi qu'à l'industrie automobile[83]. En 2016, l'entreprise Setforge emploie de 150 à 200 personnes et consacre 80 % de son activité au secteur automobile et aéronautique[84].

    Les cycles Fonlupt

    L'usine de cycles Fonlupt est créée à La Clayette en 1920 par Alfred-Jacques Fonlupt. Après la Seconde Guerre mondiale, la société se lance dans les cyclomoteurs puis dans les voiturettes pour manèges d'enfants. Dans les années 50, elle compte une cinquantaine de salariés et produit 40 000 pièces par an[85]. L'usine est vendue en 1985 et l'activité de La Clayette transférée en 1987 à Paray-le-Monial[86].

    Commerces

    Les principales rues commerçantes sont la rue Centrale, la rue du Commerce, la rue du Château. Un marché extérieur a lieu chaque mardi matin dans le centre-ville[87].

    La zone commerciale de La Croix Bouthier est située sur le territoire de la commune voisine de Varennes-sous-Dun.

    Culture locale et patrimoine

    Le château de La Clayette

    Château vu de la rive du lac.

    Environné d'eau, le château de La Clayette occupe une plate-forme de plan rectangulaire irrégulier. Au centre du bâtiment nord s'élève une tour carrée, à laquelle est adossée une tourelle d'escalier. Le bâtiment sud est flanqué d'une tour ronde à laquelle s'appuie une tourelle d'escalier circulaire. À l'est, une chaussée qui longe les façades, relie le château à une porte fortifiée, formée d'une tour carrée percée d'une porte charretière.

    Avec ses douves reliées à un étang de 30 ha, et son parc, il bénéficie de multiples protections au titre des monuments historiques[88].

    Le château est une propriété privée et appartient à la famille de Noblet depuis 1722.

    Depuis 2019, il est possible d'en visiter les extérieurs et les dépendances, en visite guidée avec l'Office de Tourisme du Sud Brionnais (parc, cour d'honneur, écuries, orangerie, cuisines médiévales et tour de Paray)[89].

    La chapelle Sainte-Avoye

    Chapelle Sainte-Avoye.

    La chapelle Sainte-Avoye (ou Sainte-Avoie), de style gothique flamboyant, architecture rare dans le Brionnais, fut construite au XVe siècle, à l'initiative de Louis de Chantemerle[90].

    En 1790, les premières assemblées municipales se sont tenues dans la chapelle sous la présidence de Jean-Claude Delamétherie, premier maire de La Clayette[91]. Le dernier office religieux s'y est tenu en 1959, dix ans après son inscription au titre des Monuments historiques (1949)[92].

    La chapelle est aujourd'hui un espace culturel aménagé pour des expositions d'art contemporain, des concerts, des spectacles et des conférences[93].

    L'église Notre-Dame de l'Assomption

    Église Notre-Dame.

    L'église Notre-Dame de l'Assomption a été édifiée dans un style néogothique sur l'emplacement de l'ancienne église du couvent des Minimes d'après des plans dressés par l'architecte Pinchard[94]. La pose de la première pierre a lieu le 3 août 1891.

    La cérémonie de bénédiction est effectuée le 19 juin 1894 en présence de plus de 40 prêtres, du curé Guittet, archiprêtre de la ville, et des familles de Noblet et de Rambuteau[95].

    Les trois tympans sculptés qui ornent la façade principale ont été réalisés en 1924. Ces tympans représentent des épisodes de la vie de la Sainte Vierge. Certains vitraux furent réalisés par le maître verrier Lucien Bégule, peintre verrier et archéologue lyonnais[96].

    La place des Fossés

    La fontaine de la place des Fossés est inaugurée en 2014[97].

    Héraldique

    Blason
    De gueules au cheval sellé et cabré d'argent; au chef d'azur chargé du château du lieu entouré d'arbres le tout d'argent terrassé du même[98].
    Devise
    Voir La Clayette est une fête
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.
    Alias
    Alias du blason de Clayette (La)
    Coupé d'azur à un cheval passant et contourné d'argent, et de gueules à une barrière palissadée d'or sur une terrasse isolée et cousue d'azur.

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Bibliographie

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    • Franck Nadel, La Clayette, hier et aujourd'hui, Imprimerie Clayettoise, , 225 p.
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    • Michel Bouillot, Quelques ferrures à La Clayette, revue « Images de Saône-et-Loire » n° 96 (), pp. 20-21.
    • Roger Michaudon, La Clayette et le Brionnais, Mémoire en Images, Éditions Alan Sutton, , 128 p.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

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    104. https://www.chocolatsdufoux.com/presentation/dufoux-chocolatier/
    105. https://www.lejsl.com/pays-charolais/2011/09/12/bernard-dufoux-chevalier-de-la-legion-d-honneur
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