Grisolles (Tarn-et-Garonne)

Grisolles est une commune française située dans le département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Grisolles.

Grisolles

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Montauban
Intercommunalité Communauté de communes Grand Sud Tarn et Garonne
Maire
Mandat
Serge Castella
2020-2026
Code postal 82170
Code commune 82075
Démographie
Gentilé Grisollais
Population
municipale
4 152 hab. (2018 )
Densité 236 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 49′ 44″ nord, 1° 17′ 48″ est
Altitude Min. 94 m
Max. 208 m
Superficie 17,6 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Toulouse
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Verdun-sur-Garonne
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Grisolles
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Grisolles
Géolocalisation sur la carte : France
Grisolles
Géolocalisation sur la carte : France
Grisolles
Liens
Site web https://grisolles.fr/

    Ses habitants sont appelés les Grisollais.

    Géographie

    Localisation

    Commune de l'aire urbaine de Toulouse située dans l'unité urbaine de Toulouse qu'elle intègre en 2020[1], à 30 km au nord de Toulouse et à 20 km au sud de Montauban, dans la vallée de la Garonne en Pays Montalbanais, c'est une commune limitrophe du département de la Haute-Garonne.

    Communes limitrophes

    Grisolles est limitrophe de neuf autres communes dont quatre dans le département de la Haute-Garonne.

    Carte de la commune de Grisolles et de ses proches communes.

    Hydrographie

    La commune est arrosée par la Garonne dans sa partie ouest-sud-ouest et par le canal latéral à la Garonne.

    Géologie et relief

    La commune de Grisolles est établie sur la première terrasse de la Garonne, dans la plaine toulousaine de la Garonne.

    La superficie de la commune est de 1 760 hectares ; son altitude varie de 94 à 208 mètres[3].

    Voies de communication et transports

    L'accès routier à la commune est assuré par la RD 813 (ex-RN 113) et par la RD 820 (ex-RN 20). Un service de bus des Courriers de la Garonne assure la liaison avec Toulouse et Montauban[4].

    La gare de Grisolles est desservie par les trains TER Occitanie qui assurent des missions entre les gares de Brive-la-Gaillarde à Toulouse et de Montauban à Toulouse.

    La commune de Grisolles est traversée par le canal des Deux Mers dans sa partie qui double le cours de la Garonne, canal latéral à la Garonne, dans le prolongement du canal du Midi à partir de Toulouse vers la Gironde.

    La ligne 377 du réseau liO Arc-en-Ciel relie la commune à la gare routière de Toulouse, et la ligne 848 du réseau liO relie la commune à Toulouse et à Montauban.

    Réseau électrique

    D'importantes lignes de transport électrique convergent sur le territoire de la commune et une importante station de transformation est disposée au croisement de la D52 et du chemin de Verdunenc.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 13,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 10,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,7 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 747 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Savenès_man », sur la commune de Savenès, mise en service en 1986[11]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,1 °C et la hauteur de précipitations de 684,4 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 22 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[15] à 14 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Grisolles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[17],[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse, une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes[20] et 1 004 747 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Toulouse est la cinquième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence et Lille (partie française)[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[23],[24].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (48,2 %), zones urbanisées (17,1 %), zones agricoles hétérogènes (14,2 %), forêts (8,9 %), eaux continentales[Note 6] (6,3 %), cultures permanentes (5,1 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Morphologie urbaine

    Grisolles est une ville aux tuiles romaines caractéristiques du style méditerranéen.

    Logement

    En 2009, le nombre total de logements dans la commune était de 1 615, alors qu'il était de 1 268 en 1999[Insee 1].

    Parmi ces logements, 91,3 % étaient des résidences principales, 1,1 % des résidences secondaires et 7,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 75,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 24,0 % des appartements[Insee 2].

    La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 63,6 %, stable par rapport à 1999 (63,0 %). La part de logements HLM loués vides (logements sociaux) était de 4,2 %, stable par rapport à 1999 (4,1 %)[Insee 3].

    Projets d'aménagements

    Ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse[26].

    Toponymie

    Le village s'appelait à l'origine Ecclesiola, du latin « Petite église »[27]

    Histoire

    Histoire de la commune

    Habité dès la préhistoire, le territoire de Grisolles a dû, au fil des siècles, faire face à de nombreuses invasions. Ainsi, entre le Ve et le VIIIe siècle, il s'est vu occupé successivement par les Francs, les Sarrasins, les Normands et les Hongrois[28]

    Au Moyen Âge, Grisolles faisait partie des possessions de l'abbaye de Saint-Sernin de Toulouse. Le nom du village apparaît pour la première fois en 844 dans un document qui liste les 128 communautés villageoises dépendant de Saint-Sernin[29]. Par traité en 1155, en accord avec le comte Raymond V de Toulouse, l'abbaye décide d'y construire un château fort. Celui-ci fut, sous la Révolution, vendu comme bien national, acheté ensuite par la commune et démoli en 1861, car complètement en ruine, Grisolles n'ayant pas échappé aux guerres de religions des XVIe et XVIIe siècles.

    Lors de la division de la France en départements en 1789, Grisolles devient chef-lieu de canton de la Haute-Garonne. Le par « sénatus consulte », l'empereur Napoléon 1er décida de former le département de Tarn-et-Garonne et y rattacha le canton de Grisolles. À partir de 1856, on assiste à la naissance et au développement de l'industrie du balai de paille de sorgho. La production de paille s'avérant insuffisante, il fallut en importer d'Italie, de Hongrie et du Maroc. Après la guerre, un nouvel essor eut lieu : il ne reste aujourd'hui à Grisolles qu'une toute petite entreprise dans ce secteur.

    Le , le train rapide 122 de la compagnie des chemins de fer du Midi, roulant en direction de Sète, déraille à Grisolles à la suite d'une rupture de rail[30]. Le wagon postal s’encastre dans la pile du pont qui enjambe la voie et le canal suivi des wagons de 3e classe. L'accident de Grisolles fait 10 morts, tous réservistes, surtout au 7e régiment de génie, et 22 blessés.

    Grisolles capitale du balai de Sorgho

    Les balais paysans de sorgho vendus sur les marchés entre Montauban et Toulouse sont mentionnés dès les XVIIe-XVIIIe siècles. En favorisant les échanges de biens et de personnes, l’arrivée le du chemin de fer à Grisolles sera l’initiatrice de la mise en place d’une véritable industrie du balai de sorgho. La forme actuelle du balai, élégante et solide, est attribuée à Pascal-Jacques Peyrebrune régisseur de la poste aux chevaux qui fut obligé d’effectuer une reconversion professionnelle à l’arrivée du chemin de fer. D’une forme cylindrique avec cerclage en osier tressé, il fit passer le balai à sa forme ovale avec un maintien des pailles par cordonnage. Dès 1859 la production de balais passe d’un mode purement artisanal-familial à un mode plus « industriel » avec la création d’ateliers de fabrication. La production locale de sorgho s’avère rapidement insuffisante pour faire face au démarrage rapide de cette nouvelle activité et l’importation du matériau s’avère nécessaire. Au plus fort de l’activité les importations se feront du monde entier, les plus belles pailles provenant d’Italie ou de Hongrie servent au parement des balais de luxe appelés « américain ». - La production de balais de Sorgho à Grisolles a duré un siècle et demi de 1850 à 1998. Suivant les périodes, après 1918, On a compté entre 15 et 20 ateliers avec un total de 400 ouvriers environ produisant jusqu’à 6000 balais par jour. - Grisolles, au plus fort de la production, expédie des balais dans toute la France et jusqu’en Angleterre par Le Havre[31].

    Monsieur Jean-Marc Coulom est le dernier fabricant de balais encore en activité à Grisolles ()[32].

    Étapes de fabrication du balai de sorgho

    • Préparation des pailles. Les pailles de sorgho sont d’abord débarrassées de leur graines, puis elles sont soumises à une exposition de 2-3 jours à des vapeurs de soufre qui en assurent l’asepsie et la conservation. Ce soufrage est responsable de la belle couleur jaune des balais de sorgho. Pour finir les pailles sont triées par taille.
    • Les manches . Les manches des balais sont tournés pour la plupart dans du bois de pin venu des Landes pour assurer leur tenue à la déformation et à la rupture lors des travaux de balayage.
    • La préparation des faisceaux. Les pailles et des tiges plus épaisses de sorgho (culots) qui donnent du corps au balai sont fixées à une extrémité du manche à l’aide d’un fil de fer enroulé. Ce travail est essentiellement fourni par des ouvrières à domicile ou en atelier.
    • La mise en forme. Le faisceau des balais est mis sous sa forme plate caractéristique par un travail de cordonnage pendant lequel de la corde est cousue à l’aiguille à travers la paille.
    • Les finitions. La longueur des pailles est égalisée, du vernis coloré est appliqué à la limite des pailles côté manche et enfin l’étiquette de l’atelier de fabrication est collée avant l’emballage.

    Chronologie des faits historiques

    • 844 : première citation du nom.
    • 1808  : de retour d'Espagne l'empereur Napoléon Ier s'arrêta à Grisolles.
    • 1814 1er février : libéré de sa captivité à Fontainebleau, le pape Pie VII fit escale à Grisolles et coucha chez M. Maubisson, 1 rue Adrien Hebrard.
    • 1854  : arrivée du chemin de fer à Grisolles.
    • 1859 Pascal-Jacques Peyrebrune lance le balai de sorgho de grisolles dans sa forme esthétique actuelle.
    • 1891  : le président de la République, Sadi Carnot s'arrêta en gare de Grisolles.
    • 1903 : Jean Dargassies arrive 11e du premier Tour de France.
    • 1904 : Jean Dargassies arrive 4e du deuxième Tour de France.
    • 1908  : accident ferroviaire.
    • 1944  : déportation de 14 Grisollais.
    • 1959 : le général de Gaulle, président de la République s'arrêta à Grisolles.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 était de 3 500 habitants et de 4 999 habitants au dernier recensement ; le nombre de membres du conseil municipal est de vingt sept[33],[34].

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune fait partie de la deuxième circonscription de Tarn-et-Garonne de la communauté de communes du Terroir Grisolles Villebrumier et du canton de Verdun-sur-Garonne (avant le redécoupage départemental de 2014, Grisolles était le chef-lieu de l'ex-canton de Grisolles).

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1929 1959 Joseph Marceillac Rad. Conseiller général du canton de Grisolles (1945 → 1961)
    mars 1959 1975 Jean Lacaze Rad. puis MRG Pharmacien
    Sénateur de Tarn-et-Garonne (1952 → 1975)
    Conseiller général du canton de Grisolles (1961 → 1973)
    1975 mars 1983 Georges Rouziès DVG  
    mars 1983 juin 1995 Maurice Mondoulet SE  
    juin 1995 mars 2008 Jean-Pierre Lacourt PS  
    mars 2008 juin 2020 Patrick Marty PS Ingénieur
    Conseiller général du canton de Grisolles (2011 → 2015)
    3e vice-président de la CC Grand Sud Tarn-et-Garonne (2017 → 2020 )
    juin 2020 En cours Serge Castella DVC  
    Les données manquantes sont à compléter.


    Jumelages

    Au , Grisolles n'est jumelée avec aucune commune[35].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

    En 2018, la commune comptait 4 152 habitants[Note 7], en augmentation de 7,56 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +3,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 7001 9662 0301 9762 0912 1222 0172 0192 051
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 1302 1162 0202 0072 0462 0232 1322 0372 127
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 0502 0281 9361 7781 7821 7431 8091 6471 781
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 8832 1262 3492 6192 7722 9173 1573 7794 056
    2018 - - - - - - - -
    4 152--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[40] 1975[40] 1982[40] 1990[40] 1999[40] 2006[41] 2009[42] 2013[43]
    Rang de la commune dans le département 11 11 10 10 11 13 12 9
    Nombre de communes du département 195 195 195 195 195 195 195 195

    Économie

    • Viticulture : la commune fait partie du Fronton (AOC).
    • Agriculture générale basée sur la culture de céréales (maïs, blé, tournesol...), spécialité de production de semences de céréales (groupe Syngenta). Développement de cultures sous serres. maraîchage limité.
    • La création de zones résidentielles liées à la proximité de l'agglomération toulousaine puisque étant dans son aire urbaine prend une importance grandissante dans l'économie de Grisolles.
    • Transport : une importante entreprise de transport est basée sur le ban de la commune.
    • La commune dispose des principaux commerces de proximité.

    Enseignement

    Grisolles fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée sur la commune par l'école maternelle (le Pré-Vert), l'école primaire (le Grand-Cèdre) jusqu'au collège Jean-Lacaze[44].

    Manifestations culturelles et festivités

    • Le festival annuel de Jazz, week-end doux[45].
    • Fête locale le week-end précédent la fête nationale.
    • Marché fermier le dimanche matin et marché de plein vent le mercredi matin[46].

    Santé

    La commune possède un centre communal d'action sociale, une maison de retraite, un laboratoire d'analyse médicale, des infirmiers, des médecins généralistes, des sages-femmes, une pharmacie, des vétérinaires[47]...

    Sports

    Clubs de tennis, de football, d'aviron, d'escrime, de judo, de cyclotourisme, de pétanque, basket-ball ...

    Culture

    Atelier de danse, arts plastiques, aéromodélisme...

    Street-Art

    Exemple de street art sur le poste de transformation P20 Canal-Grisolles. " Les Abeilles sauvages "

    Cultes

    Messe dominicale tous les samedis à 18 h 30.

    Écologie et recyclage

    La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre du SIEEOM Grisolles-Verdun[48].

    Culture locale et patrimoine

    Monuments et lieux remarquables

    La commune possède deux inscriptions à l'inventaire des monuments historiques [50] :

    Par ailleurs, l'église contient une table console et un dais de procession, classés eux aussi à l'inventaire des monuments historiques[52].

    • Commémorations :

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Son blasonnement est : D'azur à une bande d'argent.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • chanoine Hugues Bayle, Monographie de Grisolles : Suivie d'une notice sur Pompignan, Paris, Livre d'histoire-Lorisse, coll. « Monographies des villes et villages de France » (no 2196), , 157 p. (ISBN 978-2-843-73576-9, ISSN 0993-7129, OCLC 469271455)
    • Christian-Pierre BEDEL, Grisolles Bessens Canals Campas Dieupentale Fabas Labastide-St-Pierre Monbéqui Nohie Orgueil Pompignan, al canton 2009 , 294p, (ISBN 978-2-9523468-1-8)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    1. LOG T1M - Évolution du nombre de logements par catégorie.
    2. LOG T2 - Catégories et types de logements.
    3. LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.

    Références

    1. « Unité urbaine de Toulouse - liste des communes », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    4. La compagnie des Courriers de la Garonne est une agence de Véolia Transports Midi-Pyrénées, basée à Grisolles, Parking CES
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Savenès_man - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Grisolles et Savenès », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Savenès_man - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Grisolles et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 de Toulouse », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulouse », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. http://www.ville-grisolles82.fr/fr/projet-de-ligne-a-grande-vitesse/le-bureau.html
    27. chanoine Hugues Bayle, Monographie de Grisolles : Suivie d'une notice sur Pompignan, Paris, Livre d'histoire-Lorisse, coll. « Monographies des villes et villages de France » (no 2196), , 157 p. (ISBN 978-2-843-73576-9, ISSN 0993-7129, OCLC 469271455).
    28. Christian-Pierre Bedel, Grisolles : Bessens, Canals, Campsas, Dieupentale, Fabas, Labastide-St-Pierre Monbéqui, Nohic, Orgueil, Pompignan, al canton, , p. 36 p. (ISBN 978-2-9523468-1-8).
    29. "Bayle"
    30. "La dépêche du Midi", https://www.ladepeche.fr/article/2008/11/06/488093-grisolles-100-ans-apres-la-catastrophe-ferroviaire.html
    31. L’industrie du balai à Grisolles de M. Olivier, publication par l’Association des amis du musée Calbet , juin 1998.
    32. « À propos - Le véritable balais de Grisolles », sur Le véritable balais de Grisolles (consulté le ).
    33. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    34. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
    35. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    40. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    41. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    42. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    43. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    44. http://www.ville-grisolles82.fr/fr/enfance-et-jeunesse/les-ecoles.html
    45. week-end doux
    46. http://www.ville-grisolles82.fr/fr/economie-locale/marches.html
    47. http://www.ville-grisolles82.fr/fr/sante-et-affaires-sociales/sante.html
    48. http://www.sgv82.fr/
    49. « Mauvers les Bordes - CATeZH », sur CATeZH (consulté le ).
    50. « Grisolles », base Mérimée, ministère français de la Culture.
    51. « Eglise Saint-Martin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    52. « Grisolles », base Palissy, ministère français de la Culture.
    53. « Musée Jean de Comère », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
    54. Th. Calbet instituteur de la 3e republique dondateur du musée, M. Olivier 1998, pub. des amis du musée calbet
    • Portail de Tarn-et-Garonne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.