Verdun-sur-Garonne

Verdun-sur-Garonne est une commune française située dans le département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Verdun (homonymie).

Verdun-sur-Garonne

La tour de l'horloge.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Tarn-et-Garonne
Arrondissement Montauban
Intercommunalité Communauté de communes Grand Sud Tarn et Garonne
Maire
Mandat
Stéphane Tuyeres
2020-2026
Code postal 82600
Code commune 82190
Démographie
Gentilé Verdunois
Population
municipale
4 782 hab. (2018 )
Densité 132 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 51′ 14″ nord, 1° 14′ 11″ est
Altitude 110 m
Min. 90 m
Max. 166 m
Superficie 36,26 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Verdun-sur-Garonne
(ville isolée)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Verdun-sur-Garonne
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Verdun-sur-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Verdun-sur-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
Verdun-sur-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
Verdun-sur-Garonne
Liens
Site web verdun-sur-garonne.fr

    Géographie

    Localisation

    Verdun-sur-Garonne est située en Gascogne, ancien pays de Rivière-Verdun, à 40 km au nord-ouest de Toulouse et 26 km au sud-ouest de Montauban.

    Son emplacement stratégique était autrefois très redouté par les marins avec le port de Verdun (le premier entre Toulouse et Agen), avec ses remparts imposants qui donnaient à l'époque directement sur le fleuve.

    Aujourd'hui, la commune est dynamisée par le rapprochement de l'aire d'attraction de Toulouse, qui lui fait connaitre une forte croissante démographique.

    Communes limitrophes

    Carte de la commune de Verdun-sur-Garonne et de ses proches communes.

    Géologie et relief

    Verdun-sur-Garonne se trouve dans une plaine sédimentaire formée de molasses du miocène et de dépôts alluvionnaires fluviaux du Pléistocène et de l'Holocène[2].

    La superficie de la commune est de 3 626 hectares ; son altitude varie de 90 à 166 mètres[3].

    Hydrographie

    La commune est traversée par la Garonne, à sa confluence avec le ruisseau de Nadesse et son affluent le ruisseau Galinas.

     Voies routières

    La commune est traversée par trois routes départementales :

    Les autoroutes les plus proches sont l'A20 qui contribue à relier Paris à Toulouse et l'A62 qui relie Toulouse à Bordeaux.

    Ce maillage routier permet un accès rapide vers la rocade de Montauban et le périphérique de Toulouse.

    Transports ferroviaires

    La gare la plus proche est celle de Dieupentale (4 km), sur la ligne reliant Montauban à Toulouse (ligne voyageurs Bordeaux-Saint-Jean à Sète-Ville), desservie par les TER Occitanie.

    La gare de Montauban est reliée par trains Intercités et TGV.

    Transports aériens

    L'aéroport le plus proche est celui de Toulouse-Blagnac qui est desservi par de nombreuses compagnies internationales.

    Transports en commun

    La commune n'est desservie par aucun réseau de transport en commun. Des ramassages scolaires y sont néanmoins assurés ainsi qu'une navette pour le marché du vendredi matin gérée par la communauté de communes Grand Sud Tarn-et-Garonne.

    Depuis 2018, la ville est desservie par la ligne 849 du réseau de transports de la région Occitanie, liO[4]. Elle relie la commune à la gare de Dieupentale, permettant des correspondances vers Toulouse et Montauban.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[6].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 0,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 709 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Savenès_man », sur la commune de Savenès, mise en service en 1986[11]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[12],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,1 °C et la hauteur de précipitations de 684,4 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 21 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[15] à 14 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Verdun-sur-Garonne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[17],[18],[19]. Elle appartient à l'unité urbaine de Verdun-sur-Garonne, une unité urbaine monocommunale[20] de 4 782 habitants en 2018, constituant une ville isolée[21],[22].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[23],[24].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (86,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (81,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (76,2 %), zones agricoles hétérogènes (10,7 %), zones urbanisées (5,6 %), eaux continentales[Note 6] (3 %), forêts (2,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,2 %)[25].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    La région de Verdun était déjà peuplée au Paléolithique : des sites furent découverts à l'ouest de la commune, sur des terrasses supérieures, au bord des ruisseaux de Nadesse, Dère, Pontarras et Segonde. Au nord et au sud, des sites surplombant la Garonne de 20 mètres, occupés du néolithique à l'époque gallo-romaine, permettaient par leur situation le contrôle du trafic fluvial. Plusieurs racloirs datant de l'âge du bronze furent découverts sur le territoire de la commune.

    Deux fouilles furent entreprises en 1996 sur la place de l'église par monsieur Pons du service régional de l'archéologie, les tessons de poterie en colombins furent datées de l'âge du bronze, de l'âge du fer, de l'époque médiévale et d'époques plus proches de nous[26].

    Plusieurs peuples se succédèrent et se cumulèrent à Verdun[26] :

    Pastoureaux lors du massacre de 500 juifs de la ville en 1320.

    En 1279, Eustache de Beaumarchais, sénéchal de Toulouse, fonde la bastide de Verdun pour le compte du roi de France.

    En 1320, 500 juifs sont massacrés dans la ville lors de la Croisade des pastoureaux[27].

    La judicature de Verdun, créée sous Saint-Louis était limitrophe des possessions anglaises avant comme après le traité de Brétigny. Durant la guerre de Cent Ans le village eut à souffrir des incursions anglaises qui y semèrent la ruine et la désolation.

    Verdun avait obtenu, en 1342, la faveur de relever son enceinte détruite en vertu d'un article du traité de Paris[28].

    Verdun était le siège de la Jugerie de Verdun qui fut, en 1469, réunie à la Jugerie de Rivière dont le siège était à Montréjeau (Haute-Garonne), au pied des Pyrénées pour devenir la Jugerie de Rivière-Verdun. Terre d'Élections pour les États Généraux, la Jugerie, formée de nombreuses enclaves entre la Gascogne et le Languedoc, s'étirait de la frontière espagnole jusqu'au sud de Montauban.

    Comme toutes les provinces de la France de l'Ancien Régime, la Jugerie de Rivière-Verdun disparaît en 1790 à la création des départements.

    Toponymie

    Le nom Verdun est d'origine celtique : Verodunum est issu de *dunon, forteresse et *ver(o), augmentatif ou superlatif ; l'ensemble peut s'interpréter comme « très puissante forteresse ». De nombreux noms témoignent de l'installation d'une population celte dans la zone garonnaise, aux limites d'une l'Aquitania proto-basque, future Novempopulanie.

    On retrouve aussi des noms liés à la présence de voies romaines dont l'une reliait Montauriol à Auch[26] comme Peyremil pour une borne milliaire.

    Héraldique

    Son blasonnement est : De gueules aux trois fleurs de lys d'or accompagnées en abîme d'une croisette cléchée, vidée et pommetée de douze pièces du même (croix occitane), et en pointe de deux tours d'argent maçonnées de sable.

    Politique et administration

    Administration municipale

    Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 3 500 habitants et 4 999 habitants au dernier recensement, le nombre de membres du conseil municipal est de vingt sept[29],[30].

    Composition du conseil municipal 2020-2026
    Liste Tendance Effectif Statut
    Stéphane TUYERES DVG 21 Majorité
    Jean-Marc RASPIDE SE 6 Opposition

    Liste des maires

    L'hôtel de ville.

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune fait partie de la deuxième circonscription de Tarn-et-Garonne de la communauté de communes Grand Sud Tarn-et-Garonne et du canton de Verdun-sur-Garonne. Avant le elle faisait partie de la communauté de communes Garonne et Gascogne.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

    En 2018, la commune comptait 4 782 habitants[Note 7], en augmentation de 5,4 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +3,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    4 3153 9324 2254 1604 2344 2134 0944 0944 140
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    4 1103 9723 9003 6773 6313 4523 3443 2763 101
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 2392 2132 1811 9642 0261 9301 9702 0032 161
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    2 2642 3702 3532 5102 8723 0673 8023 9104 017
    2013 2018 - - - - - - -
    4 5374 782-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[35] 1975[35] 1982[35] 1990[35] 1999[35] 2006[36] 2009[37] 2013[38]
    Rang de la commune dans le département 7 10 11 9 10 8 8 8
    Nombre de communes du département 195 195 195 195 195 195 195 195

    (Note : en 1901, lors de la création de la commune de Savenès, Verdun-sur-Garonne perd 681 habitants.)

    Lieux et monuments

    La ville de Verdun-sur-Garonne possède un cœur historique avec quelques monuments :

    Église de l'Assomption-et-de-Saint-Michel de Verdun-sur-Garonne

    Église de l'Assomption-et-de-Saint-Michel de Verdun-sur-Garonne. Sa construction a débutée en 1216, elle est actuellement dédiée à saint Michel et à l'Assomption, l'église a été classée monument historique au [39]. De nombreux objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[39].

    L'orgue de tribune datant de 1767. Le buffet et la partie instrumentale sont classés Monuments Historiques. Construit par le facteur d'orgue toulousain Jean-François L'Épine en 1767 dans un buffet du XVIIe siècle agrandi. Repris par Frédéric Junck pour le récit expressif, plus jeux du grand orgue en 1849. Restauré par Alain Leclère 1985, réparé par Patrice Bellet 2000.
    Les peintures du plafond de l'église par Jean-Baptiste Chevalt.
    Les anciens fonts baptismaux en plomb du XIIIe sont classés au titre mobilier par les Monuments historique[40].
    Une huile sur toile du XVIIIe : La Vierge du rosaire représentant une Vierge à l'Enfant entre saint Dominique et sainte Catherine de Sienne ; deux anges et des séraphins[41].
    • Église Notre-Dame de Notre-Dame-de-la-Croix.
    • Un château aujourd'hui privé y est présent et est surnommé « le château de la reine Margot », ceci en référence à la légende[réf. souhaitée] qui dit que la reine Margot était envoyée dans ce château lorsqu'elle était punie par le roi. En réalité, ce bâtiment est beaucoup plus récent.
    • La halle, face à l'hôtel de ville.

    À l'extérieur du cœur historique, d'autres lieux sont à découvrir :

    • En 1815, plantation de 63 platanes sur la Grande allée de platanes, site historique classé.
    • L'ancien pont suspendu sur la Garonne, construit en 1931 mais aujourd'hui détruit, remplacé par un édifice (Porte de Gascogne) plus moderne et plus adapté à la circulation actuelle.
    • De nombreux pigeonniers[42].
    • La Garonne axe vital et fondateur de la commune, aujourd'hui délaissée ; ses principales crues : le 24 juin 1875 - 7,30 m, le - 6,30 m.

    Vie locale

    Le stade et les remparts.

    Enseignement

    Verdun-sur-Garonne fait partie de l'académie de Toulouse.

    L'éducation est assurée sur la commune de Verdun-sur-Garonne par l'école élémentaire des Dareysses, l'école maternelle Jules Verne et le nouveau groupe scolaire La Fontaine.

    En 2015, le conseil départemental annonce l'ouverture d'un collège. Il est ouvert depuis septembre 2020.

    Culture

    • Fête d'Art d'Art est un festival des arts de la rue présenté à Verdun-sur-Garonne par l'association Happy Culture.
    • Quelques compagnies de théâtre de rue qui se sont produites dans ce festival : Carnage Productions, Utopium Théâtre, Compagnie Albemuth, 12 balles dans la peau, Ex-Nihilo, Cie Thé à la rue.
    • Les Intégrales d'Automne,festival de musique, début octobre, porté par l'association Ni Une Ni Deux. Concerts à Verdun sur Garonne, au hameau Notre Dame de La Croix et à Labastide Saint Pierre. On a pu les entendre dans le festival: La Main Harmonique, L'orchestre de chambre de Toulouse, Ensemble Baroque de Toulouse, Madamicella, Carré de Flûtes, Méliades, Ensemble Suonatori...

    Marché

    Le marché a lieu tous les vendredis matins sur la place de l'Éperon et ses alentours.

    Cultes

    Le culte protestant se célèbre a l'église évangélique.[43]

    Sports

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Bouroullec I. (2013), Carte géologique harmonisée du département du Tarn-et-Garonne., BRGM/RP-61974-FR, , 38 p. (lire en ligne).
    3. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
    4. « Lignes régulières dans le Tarn-et-Garonne », sur liO : Service Public Occitanie Transports (consulté le ).
    5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    7. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    11. « Station Météo-France Savenès_man - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    12. « Orthodromie entre Verdun-sur-Garonne et Savenès », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station Météo-France Savenès_man - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    14. « Orthodromie entre Verdun-sur-Garonne et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
    15. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Unité urbaine 2020 de Verdun-sur-Garonne », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    21. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    22. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulouse », sur insee.fr (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    26. Groupe histoire de Verdun-sur-Garonne, Verdun-sur-Garonne au fil de son histoire : Des origines à la fin du XVIIIe siècle, Montauban, CDDP du Tarn-et-Garonne, , 212 p. (ISBN 2-86565-310-2, présentation en ligne)
    27. Voir sur lepoint.fr.
    28. Désastres causés par la guerre de Cent Ans au pays de Verdun-sur-Garonne à la fin du XIVe siècle par Firmin Galabert.
    29. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    30. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Municipales/elecresult__MN2014 (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    36. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    37. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    38. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    39. Notice no PA00095903, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. Palissy PM82000239
    41. Notice no PM82000248, base Palissy, ministère français de la Culture.
    42. « Pigeonniers », sur garonne-gascogne.com (consulté le ).
    43. « Église Évangélique »
    44. « index - verdunecolederugby », sur verdunecolederugby.wifeo.com (consulté le ).
    45. « ECOLE de FOOTBALL GARONNE GASCOGNE : site officiel du club de foot de BOURRET - footeo », sur ECOLE de FOOTBALL GARONNE GASCOGNE (consulté le ).
    46. « Ultimate Savate Boxe Française Verdun sur Garonne - Accueil », sur www.verdun-boxe-francaise.fr (consulté le ).
    47. « Les Volants Verdunois - Club de Badminton de Verdun Sur Garonne (82) », sur volantsverdunois.sportsregions.fr (consulté le ).
    48. « Dojo Ametsuchi - », sur dojo-ametsuchi.eklablog.com (consulté le ).

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

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