Georges Paul Leroux

Georges Paul Leroux, né le et mort le , est un peintre français.

Pour les articles homonymes, voir Leroux.

Son frère aîné est le peintre et illustrateur Auguste Leroux (1871-1954), prix de Rome en peinture de 1906.

Biographie

Enfance et apprentissage

Georges Paul Leroux est né à Paris 6e le [1]. Son père, Gustave Ferdinand Leroux, Normand de souche, éditeur d’estampes, s’était établi à Paris, au 43 rue Saint-André-des-Arts. La famille trouve ses racines dans les environs de Coutances (Manche), plus précisément dans le petit village de Trelly[2].

Attachés à leurs racines normandes, Georges et son frère Auguste viennent chaque année à Trelly et dans ses environs peindre et dessiner (Verger normand ; La Vallée de la Bonde)[3], (L'Église de Trelly); (Les Laveuses - Gavray - 1903), portraits de famille, , etc.

Après la Grande Guerre, Georges Leroux réalise une importante huile pour la mairie de Trelly (Aux Soldats du pays de mon père morts pour la France), en hommage aux Trelliais morts au combat.

En 1898, il effectue son service militaire à Chartres au 130e régiment d'infanterie. Durant ses permissions, il visite la ville et dessine fréquemment la cathédrale. Un jour, sur le parvis, il rencontre le peintre Paul Jouve (1878-1973). Ce fut le début d'une très longue et fidèle amitié[4].

De retour à Paris, il s'inscrit à l’École nationale supérieure des arts décoratifs, puis admis à l’École des beaux-arts de Paris, il entre à l'atelier de Léon Bonnat (1833-1922) et étudie la peinture et le dessin[5].

À l’École, il remporte mentions et médailles. Il remporte le second grand prix de Rome de 1904 (Hérode fait présenter à Salomé la tête de Saint Jean-Baptiste), puis le grand prix de Rome de 1906 avec La Famille dans l’Antiquité[6] - (conservé à l’École nationale supérieure des beaux-arts). C'est probablement à cette époque qu'il fait la connaissance d'Émile Aubry (1880-1964), qui devient par la suite son compagnon de guerre au 302e régiment d'infanterie.

Ses œuvres de jeunesse évoquent la vie parisienne : Le Concert rouge (1901), À la Gaîté Montparnasse (1905), Le Chansonnier Legay au cabaret - Les Noctambules (1906), Le Moulin de la Galette (1905), Le Cirque Zanfretta, , etc.). Pour l’Exposition universelle de 1900, il reçoit commande d’une affiche pour le Palais de l’Optique : La Grande Lunette de 1900.

Il part pour Rome où il est pensionnaire à la Villa Médicis[7] de à . Il conserve de ce séjour un profond attachement pour l'Italie. Il y retourne pratiquement chaque année pour y peindre la campagne romaine, la Toscane, l'Ombrie, Florence… Ses voyages le pousseront jusqu'en Sicile.

La Grande Guerre

C’est au 302e d’infanterie que Georges Leroux est mobilisé en 1914. Il servira dans le nord et l’est de la France, ainsi qu'en Belgique. Régiment de réserve de la région de Paris (rattaché au 102ème Régiment d'Infanterie), le 302e R.I. est mobilisé à Chartres du 2 au .

D'août à , il est affecté à la 54e Division d'Infanterie de réserve (3e Armée, Quartier Général à Verdun) avec laquelle il combat, du 20 au , dans la Meuse. Après la retraite de l'Armée française, il participe ensuite, du 6 au , à la bataille de la Marne.

En 1915, il combat dans la Meuse et en Argonne : en février et mars, dans le secteur des Éparges puis, en avril, on le retrouve tout près de là, dans le secteur de la Woëvre où il participe aux combats de Lamorville et Regnéville-sur-Meuse. Le régiment est dissous le .

Il sera ensuite affecté aux sections de camouflage (militaire) sous le commandement de Lucien-Victor Guirand de Scevola.

Au front, malgré les combats, il poursuit son travail d’artiste et ses dessins, gouaches et aquarelles publiées dès 1915 dans L'Illustration révèlent un tout autre aspect tragique et douloureux de son œuvre, à l’opposé des paysages édéniques de l’Italie. Sa participation active et courageuse aux combats lui vaut d'être l'objet de deux citations et de recevoir la Croix de Guerre.

La fin des conflits et le rétablissement de la paix ne feront pas oublier à l'artiste ces terribles années. En effet, après 1918, il se situe comme l'un des évocateurs les plus réalistes et les plus vrais des drames de la guerre et cette production guerrière et héroïque lui vaut une grande notoriété.

l'Institut

En 1924, il devient membre du jury de la Société des artistes français. Il est nommé chevalier de la Légion d'honneur en 1926.

Il est élu membre de l’Institut de France le (fauteuil IV)[8],[9]. Il remplace Jean-Pierre Laurens (1875-1932).

En 1934, il est chargé de représenter l’Académie des beaux-arts au Canada pour le quatrième centenaire de la découverte du Canada par Jacques Cartier. Avant de regagner la France, il fait un cout séjour à New York.

En , il est nommé professeur de dessin d’imitation à l’École polytechnique. La même année, en , Georges Leroux est chargé de représenter l’Académie des beaux-arts aux Antilles, à la suite du président Albert Sarraut pour le troisième centenaire de la prise de possession des îles par Pierre Belain d'Esnambuc.

Il participe à L'Exposition spécialisée de 1937 qui se tient à Paris du au . Il réalise des peintures pour le Pavillon du Bois ainsi que pour celui de l'Art français.

En 1940, l’École polytechnique s’étant repliée sur Lyon, il s’installe dans la banlieue lyonnaise. Il revient à Paris en 1943.

En 1945, Georges Leroux devient président de l’Institut[10]. (Emmanuel Pontremoli souvent absent, est remplacé dans la pratique par Georges Leroux).

Il achète alors une maison à Meudon. Il y restera jusqu'à la fin de ses jours. Il peint les environs de Meudon, beaucoup de natures mortes (Bouquet de roses, Capucines, etc.).

En 1951, il retourne une dernière fois en Italie. Comme le note Nicolas Untersteller dans l'oraison funèbre du peintre : « en 1951, la nostalgie de l'Italie l'emporte et il repart encore pour Rome ; le fruit de son travail décore le salon de l'ambassade d'Italie à Paris[11] ».

Son frère, Auguste, meurt le . Georges collabore à la rétrospective Auguste Leroux organisée au Grand Palais du 21 mai au 12 juin 1955[12].

En 1956, il reçoit des mains de l’Ambassadeur d’Italie à Paris, les insignes de Commandeur de l’Ordre "Al Merito Della Republica".

Georges Leroux s'éteint à Paris 14e le . Ses funérailles ont lieu en l'église Saint-Germain-des-Prés à Paris et son oraison funèbre est prononcée par Nicolas Untersteller, président de l'Institut. Il repose dans la partie haute du cimetière de Jouy-en-Josas[13]. Sa sépulture est ornée de son portrait en médaillon en bronze par le sculpteur Louis Prost[14].

Georges Cheyssial succède à Georges Leroux à l’Institut de France et prononce lors de son discours d’investiture, un hommage à l’artiste disparu[15].

Vie familiale

Il se marie avec Gabrielle Mathilde Planquais dite « Gilson », à Meudon, le . Ils n'auront pas d'enfants.

Œuvres

Peintures

  • 1904 - Salon des artistes français : Les études classiques de la Peinture - triptyque - (3e Médaille)
  • 1904 - Second Grand Prix de Rome : Hérode fait présenter à Salomé la tête de Saint Jean-Baptiste[16] - Musée des beaux-arts de Tours
  • 1905 - Salon des artistes français : La gaité Montparnasse
  • 1906 - Grand Prix de Rome : La famille dans l’Antiquité - conservé à l’école nationale supérieure des beaux-arts
  • 1909 - Salon des artistes français. Envoi de Rome : Les Baigneurs du Tibre - conservé au Musée Départemental de Beauvais[17] ;
  • 1910 - Salon des artistes français. Envoi de Rome : La Villa Borghése à Rome - triptyque[18] (acquis par M. Lazare Weiller - Sénateur)
  • 1911 - Salon des artistes français. Dernier envoi de Rome : La promenade du Pincio à Rome[19] - triptyque - Seconde Médaille H.C
  • 1912 - Diner dans une villa romaine[20] ; - Villa Médicis - Tableau acquis par un américain (Los-Angeles)[21]
  • 1913 - Salon des artistes français - Tivoli[22] ; - Le Bois sacré, campagne romaine[23] ; - sont acquis par l'État. "Prix Meurand" de l'Institut.
  • 1914 - Salon des artistes français. Le grand bassin au jardin du Luxembourg[24] ; - triptyque, (4 m × 1,3 m) acquis par l’État. Actuellement exposé au palais du Luxembourg (sénat), dans la salle de réunion de la Commission des Affaires Culturelles ;

Il est mobilisé au 302e d’infanterie.

  • vers 1918 - Le général Dubail décore de la croix de guerre le drapeau du 42e d’infanterie le - 1,47 m × 0,99 m - actuellement au Musée de la Légion d'honneur à Paris. (Hist : Coll. Georges Wildenstein, don au musée en 1926).
  • 1919 - Salon des artistes français. Les Vainqueurs[25] - Acquis par les Établissements Gaumont, puis placé au musée du Luxembourg[26] ;
  • 1920 - Vue de Fiesole (1,02 × 0,76 m) - Collection du Musée national d'Art moderne - Centre Georges-Pompidou ; Achat de l'État en 1926 ;
  • 1920 - Au bord du cratère du Vésuve[27],[28] ; (1,00 × 0,85 m) - Musée des beaux-arts de Brest - don de Mme Pierre Massenet[29], 1974 ; Exp : 1933, Madrid ;
  • 1920 - Salon des artistes français. Le Dernier Communiqué, (Prix Henner), triptyque de m de long, est acquis par la ville de Paris et exposé au Petit Palais ;
  • 1921 - Salon des artistes français. L’Enfer[30], est acquise par M. Lovelace. Elle est actuellement à l’Imperial War Museum, à Londres[31].
  • 1921 - Salon des artistes français. Paysage de guerre et Calme du matin ;
  • 1921 - Décoration du salon de vente de Raymond Mallien, fourreur à Bruxelles, 40 place du Grand Sablon. Un grand panneau et 4 dessus de porte ; ces panneaux existent toujours. Ils représentent des animaux à fourrure ; On peut les voir car, depuis , les locaux sont occupés par la maison Ladurée
  • 1922 : Salon des Artistes français. Paysage Provençal : Roquemartine [32] ;
  • 1922 - Le jardin du Luxembourg, grand panneau décoratif pour le fumoir du Paquebot Paris (paquebot) de la Compagnie générale transatlantique. (détruit par un incendie en 1939);
  • 1923 - Salon des artistes français. Le pays de l’Angelico (Fiesole)[33] ;
  • 1924 - Salon des artistes français. Le Dernier Communiqué, repris et développé sur 20 m de long. (Localisation inconnue ?)[34];.
  • 1925 - Décoration : La Danse à travers les âges, Frise de 17 m pour le Dancing des Noctambules, 9, Rue Champollion à Paris ;
  • 1926 - Salon des artistes français. Sur les comédies de Molière;
  • 1926 - La place de Fiesole est acquis par l'état et placé au Musée du Luxembourg;
  • 1927 - Salon des artistes français. Paysage Florentin (acquis par un américain - Wisconsin) ;
  • 1928 - Salon des artistes français. La Vendange en toscane[35] ;
  • 1929 - Salon des artistes français. Le Lac du Bourget et le Revard - triptyque ; Tableau acquis par Antonin Brocard. (Demeuré dans la famille Brocard, il est évoqué par son fils dans son ouvrage "Antonin Brocard", p. 319. Ouvrage consacré à la vie de son père)[36].
  • 1930 - Salon des Artistes Français. À la Science Française - triptyque (14 m de long) - Commande de la Ville de Paris pour la Bibliothèque de l'École nationale supérieure de chimie de Paris, rue Pierre Curie[37].
  • 1931 - Salon des artistes français. Retour de vendange en Toscane - (San Gimignano) 1,96 m × 1,30 m[38] - Don de l’artiste en 1956 à l’ambassade d'Italie à Paris. Hôtel de Boisgelin, rue de Varenne. (Chancellerie, coursive du premier étage)[39].
  • 1931 - Décoration de la Salle du Conseil de l’Hôtel de la Compagnie des messageries maritimes, 12, Boulevard de la Madeleine à Paris - Un grand panneau et 4 dessus de portes ;
  • 1932 - La Grande allée de Saint-Cloud en automne - Musée des beaux-arts de Dijon -[40] ;
  • 1932 - Vue générale de la ville d'Auch[41]. - Grand panneau pour la Salle à manger du Paquebot Jean Laborde, des Messageries maritimes[42]. ;
  • 1932 - Vues du Roussillon - Dix panneaux pour la Salle à manger du paquebot Maréchal Joffre, des Messageries maritimes ;
  • 1932 - Salon des artistes français. Les Soldats de 1918 : Les artilleurs, les fantassins, les cavaliers, les aviateurs ;
  • 1932 - Salon des artistes français. Les Comédies de Molière - panneau pour le Normandie (paquebot) de la Compagnie générale transatlantique ;
  • 1932 - Attelage dans la campagne romaine - musée des beaux-arts de Troyes ;
  • 1933 - Salon des artistes français. L'Air, l'Eau, le Feu - triptyque sur 14 mètres de long - pour la Bibliothèque de l'École nationale supérieure de chimie de Paris, rue Pierre Curie[43].
  • 1934 - Tristan dans la foret[44]. - Grand panneau pour le fumoir du Paquebot Paul Doumer, des Messageries maritimes ;
  • 1934 - Vue d' Alger - Grand panneau pour le Paquebot Ville d' Alger, de la Compagnie générale transatlantique ;
  • 1935 - Salon des artistes français. Rassemblement sous le bombardement[45] ;
  • 1936 - Salon des artistes français. Athlètes à l'entrainement - conservé au Musée Départemental de Beauvais ; le hêtre pourpre.
  • 1937 - pour l'Exposition internationale qui se tient à Paris (Exposition spécialisée de 1937), il réalise 9 panneaux (m × 0,80 m) : Les régions forestières de France pour le Pavillon du Bois (Eaux et Forets).Il obtient un Grand Prix. En outre, il peint 5 grands panneaux : Les métiers d' Art ( m × m) pour le Pavillon de l'UCAF (Union corporative de l'art français) ;
  • 1938 - Salon des artistes français. Fin de la vie cachée[46] - Il se hâte vers le Jourdain - d'après "La Vie de Jésus" de François Mauriac. Tableau acquis en 2009 par le Musée Départemental de Beauvais;
  • 1939 - Salon des artistes français. Aux Eparges, soldats enterrant leurs camarades au clair de lune. .[47] (183 cm × 262 cm) - musée national du château de Versailles[48]. Dernière peinture d'Histoire à entrer dans les collections du musée[49].
  • 1941 - Portrait du sculpteur Louis Prost - 80 cm × 65 cm - Musée des Beaux-Arts de Lyon[50],[51] ;
  • 1944 - L'Annonciation - (1,72 m × 1,23 m) - conservé au Musée Rolin à Autun[52].
  • 1944 - Salon des artistes français. Exposition de 2 grands panneaux (6 m × 3 m) : Les Fables de La Fontaine pour la décoration du réfectoire du lycée de jeunes filles de Lyon, place Edgar-Quinet. Prix Bonnat ;
  • 1945 - Portrait du peintre animalier Paul Jouve, dédicacé : "À mon ami Jouve, Affectueusement"[53] ; - tableau conservé par l'Institut de France[54].
  • 1946 - Commande de l'État pour la décoration du réfectoire du lycée de jeunes filles de Lyon (lycée Édouard-Herriot, 6 place Edgar-Quinet) - huit panneaux : Les Fables de La Fontaine ;
  • 1947 - Salon des artistes français. Autoportrait - conservé au Musée Alphonse-Georges-Poulain à Vernon (Eure) - Natures mortes ;
  • 1950 - Apollon et Daphné - 1,23 m × 1,95 m - conservé au Musée Départemental de Beauvais ; don de Mme Pierre Massenet, 1976 ;
  • 1950 - Dans la grande Galerie du Louvre[55]. Huile sur toile, 89 cm × 151 cm. Musée du Louvre, Paris[56], don de Mme Pierre Massenet, 1974 ;
  • 1952 - Salon des artistes français. Matinée de printemps, Villa Borghése à Rome - 2,04 m × 1,24 m - Don de l’artiste en 1956 à l’Ambassade d'Italie à Paris. Hôtel de Boisgelin, rue de Varenne (Bureau Losavio)[57].
  • 1953 - Salon des artistes français. La charité ou Saint Martin donnant la moitié de son manteau - Musée des beaux-arts de Tours, don de Mme Pierre Massenet, 1976 ;
  • 1955 - Salon des artistes français. Portrait de ma petite nièce Martine et de son bébé ;
  • 1956 - Salon des artistes français. Les Roses ;

Dessins

Illustrations

Georges Leroux a notamment illustré :

  • 1904 : Aux Victimes de la guerre russo-japonaise, Paris, Éditions d'Art Édouard Pelletan (Imprimerie nationale), Texte écrit par un collectif d’artistes ; préface par Anatole France avec 1 composition par Georges Leroux : Ultima Ratio ;
  • 1911 – Jeanne. H. Chabal, Au souffle du Khamsin, éditions P. E. Pelletan ;
  • 1925 – Albert du Bois, Le secret de la Villa des trois cyprès (deux fascicules brochés), collection « La Petite illustration » ;
  • 1927 – Anatole France, Le Puits de Sainte Claire , Œuvres Complètes Illustrées d’Anatole France, éditions Calmann Lévy, tome X ;
  • 1930 – Alfred de Vigny, Stello, Alphone Lemerre éditeur ;
  • 1930 – J.-H. Rosny aîné, Helgvor du fleuve bleu, Cent Centraux Bibliophiles ; gravure par Raoul Serres ; Tirage limité à 130 exemplaires, tous nominatifs ;
  • 1932 – Gaston Chérau, L’Enfant du pays ; Éd. L'Illustration, revue La Petite Illustration (quatre fascicules brochés) ; no 561, ; no 562, ; no 563,  ; no 564,  ;
  • 1933 – G.A Birmingham, L’Avoué disparu (3 fascicules brochés), collection « La Petite illustration » ;
  • 1934 – Marcelle Tinayre, Château en Limousin (3 fascicules brochés), collection « La Petite illustration » ;
  • 1935 – Poèmes du Docteur Bidon, Les Chants du poilu ;
  • 1935 – Gabriel Hanotaux, Voyage au Canada : La mission Jacques Cartier. (préface de Gabriel Hanotaux, 18 dessins et portraits de M. Georges Leroux, de l'Académie des Beaux-Arts), Éditions de l'Atlantique ;
  • 1937 – Rudyard Kipling, Sur le mur de la ville, Librairie Delagrave ;
  • 1950 - Jean Racine, Théâtre complet, volumes I, II, et III, La Belle Édition, Paris ;

Affiches

  • 1900 - Le Palais de l’Optique : la Grande Lunette de 1900 - Exposition universelle de 1900[61]; Paris, Imprimerie Charles Verneau ;
  • 1903 - Georges Leroux participe au fameux concours d'affiches lancé par la famille Violet pour la marque d'apéritif Byrrh. 112 artistes concourent.Il remporte le 6e prix, (66 Lauréats ex æquo). Son projet peint sur toile est exposé encore aujourd'hui dans le hall d'exposition des établissements Cusenier à Thuir[62].Une carte postale de l'affiche est imprimée en 1908 ;
  • 1904 - Affiche pour la première de La fille de Roland d'Henri Rabaud à l'Opéra-Comique; Paris, Choudens, 1904 ;
  • 1904 - Affiche politique : "La République Française" ; - 1870 - L’Œuvre de la Troisième République - 1904 ; Ce qu’elle a fait - Librairie Ch. DELAGRAVE - Paris, Imprimerie Belleville
  • 1920 - Projet d'affiche pour armes et sports[63] - Collection du Musée national d'Art moderne - Centre Georges-Pompidou- don de Mme Pierre Massenet, 1975 ;
  • 1920 - Madame Sans-Gêne - Projet d'affiche - Collection du Musée national d'Art moderne - Centre Georges-Pompidou - don de Mme Pierre Massenet, 1975 ;
  •  ? - Projet d'affiche : Hippodrome, boulevard de Clichy - Collection du Musée Tavet-Delacour à Pontoise - don de Mme Pierre Massenet, 1973 ;

Œuvres décoratives

Expositions

  • 1913 - Exposition de 70 paysages d’Italie et de Sicile à la galerie Devambez au 43, boulevard Maleherbes, du 8 au - Catalogue Préfacé par Henry Bérenger[68].
  • 1915 - figure à l'Exposition internationale Panama-Pacific de San Francisco ;
  • 1919 - Exposition de 67 dessins et peintures de guerre à la galerie Georges Petit ;
  • 1924 - Exposition des Artistes Français du Groupe de l'Érable au Québec. Georges Leroux Expose 12 de ses œuvres en compagnie d' autres Artistes Français ; : Charles Hoffbauer, Émile Aubry, Paul Sieffert, George Desvallières, Auguste Leroux, Paul Albert Laurens, Henri Dabadie, André Devambez, Louis Jourdan et al.[69];.
  • 1924 - Exposition de Dessins aquarelles et peintures à la Galerie Adolphe Le Goupy ; Catalogue préfacé par Louis Hautecœur[70].
  • 1928 - Exposition Georges Leroux, Panneaux décoratifs, paysages : Italie, Provence, Savoie, Jardins Français à la Galerie Charpentier à Paris du 10 au [71]. Catalogue avec une préface de Paul Arbelet ;
  • 1932 - Exposition Georges Leroux du 7 au à la Galerie Charpentier, Paris. Catalogue préfacé par Henri Focillon ;
  • 1933 - Exposición de arte francés contemporáneo, du au , Madrid, Museo Nacional de Arte Moderno ;
  • 1935 - Exposition de 18 Dessins à Québec (salle du Palais Montcalm), puis à Montréal. Voir article de M. Gérard Morisset[72];
  • 1949 - Exposition Paysages et Fleurs à Lyon, inaugurée par Pierre Massenet, préfet du Rhône (département) ;
  • 1956 - Exposition de paysages de Provence à la galerie Muratore à Nice (Alpes-Maritimes) du 4 au  ;
  • 1967 - Exposition rétrospective de son œuvre à la Société des artistes français pour le dixième anniversaire de sa mort ;
  • 1995 - 302e Régiment d'Infanterie : Un Régiment Percheron et Beauceron par Georges Leroux (1877-1957) - -  ; Musée du Château Saint-Jean à Nogent-le-Rotrou. Importante rétrospective de ses œuvres de guerre[73]
  • 2014 - Exposition à Rome, à la Galleria d'Arte Moderna di Roma, Via Francesco Crispi 24, d’une grande peinture de Georges Leroux : La promenade du Pincio, restaurée pour l’exposition [74](en couverture du catalogue de l’exposition)[75]
  • 2018 - Exposition au musée des beaux-arts de Chartres : le 302e RI, dessins par Georges Leroux (Exposition dans le cadre d'ART'mistice) du au [76].

Collections publiques

  • Le Musée départemental de l'Oise (Beauvais), possède environ 15 œuvres de Georges Leroux[77]. (La plupart sont des peintures provenant du don fait en 1974 par Madame Massenet, nièce du peintre, aux musées français.)
  • Le Musée Alphonse-Georges-Poulain à Vernon (Eure), possède environ 19 œuvres de Georges Leroux. (ce sont des œuvres provenant du don fait en 1974 par Madame Massenet, nièce du peintre, entrées au Musée de Vernon en 1980).
  • Le Musée des beaux-arts de Chartres possède dans ses collections de très nombreux dessins effectués par Georges Leroux sur le front pendant la Première Guerre mondiale (notamment 120 portraits de soldats de son régiment : le 302e R.I.)[78], ainsi que des photos et documents.
  • Le Musée des beaux-arts de Montréal possède dans ses collections, 10 dessins de Georges Leroux, réalisés lors de son séjour au Canada. (Mission pour le quatrième centenaire de la découverte du Canada par Jacques Cartier. Montréal - 1934)[79]. don de Mme Pierre Massenet, nièce de l'artiste en 1975.
  • Le Musée national d'Art moderne - Centre Georges-Pompidou - possède dans ses collections 19 dessins, 2 projets d’affiches et 1 huile de Georges Leroux[80] ; Don de Mme Pierre Massenet, nièce de l'artiste en 1975.
  • Le Musée Tavet-Delacour à Pontoise - possède de nombreuses œuvres sur papier ainsi que des carnets de dessins de Georges Leroux, donnés par sa nièce, Mme Pierre Massenet en 1973.
  • Le Musée des beaux-arts de Brest présente plusieurs de ses œuvres [29]:
    • Villa (Médicis) de la fenêtre, Rome, 1909, huile sur toile, 50,5 × 80 cm[81],
    • Les jardins de Tivoli, huile sur toile, 59 × 81 cm[82],
    • Villa Adriana, triptyque sur toile, centre 55 × 150 cm - gauche 55 × 33 cm - droite 55 × 33 cm[83],[84],[85],
    • Calme du matin (Jardin du Luxembourg), huile sur toile, 113 × 162 cm[86],
    • Atelier de peinture avec modèle, huile sur toile, 55 × 73 cm[87].

Bibliographie

Liens externes

Notes et références

  1. Archives numérisées de l'état civil de Paris, acte de naissance no 6/1850/1877, avec mention marginale du mariage et du décès (consulté le 29 mai 2012)
  2. Trelly et Saint-Louet-sur-Sienne depuis 1060 jusqu'à nos jours par L. Adam, curé de Trelly, Paris, A. Breger Frères - 1898 - p. 164 et 165
  3. Fonds de peinture de la ville d'Equeurdreville-Hainneville
  4. En 1946, Georges Leroux fera de son ami un portrait, conservé à l'Institut de France.
  5. Voir son Cincinnatus sur le site Cat'zArts de l'École des beaux-arts de Paris
  6. Voir notice et photographie : sur le site Cat'zArts de l'École des beaux-arts de Paris
  7. (fr) « Résidents de la Villa Médicis à Rome », sur www.villamedici.it
  8. Voir : Photographies de Georges Leroux en membre de l'Institut sur le site RMN
  9. Voir :Photographie de Georges Leroux en membre de l'Institut sur le site RMN
  10. Voir : année 1945, sur le site de l'Institut de France
  11. Funérailles de M. Georges Leroux en l'église Saint-Germain-des-Prés- Discours de M. Nicolas Untersteller, p. 6 Paris, 1957, Institut de France, Firmin-Didot;
  12. Société des artistes français – Exposition rétrospective, quelques œuvres du peintre Auguste Leroux [Texte imprimé] : Salon 1955, du 21 mai au 12 juin. Catalogue. Grand Palais des Champs-Élysées. [J. M. Auguste Leroux, avant-propos de Claude Grange.]
  13. Photo de son tombeau et du médaillon sur le site du cimetière de Jouy-en-Josas
  14. Bas-relief de Louis Prost sur la base Mérimée du Ministère de la Culture ]
  15. Académie des beaux-arts (France), notice sur la vie et les travaux de Georges Leroux (1877-1957) / par M. Georges Cheyssial, Paris : Typ. de Firmin-Didot, 1958, 8 p..
  16. Exposition : Saint-Denis, Musée d'Art et d'Histoire, Salomé dans les collections françaises, 1989, no 54 - (reproduit dans le catalogue de l'exposition)
  17. Tome II "Les Collections du XXe siècle du musée départemental de Beauvais ; Historique : Cf. supra. Inv 81.2. Bibliographie : Gazette des beaux-arts, no 1358, mars 1982 (Chronique des arts, p. 81)
  18. reproduit dans L'Illustration du 30 avril 1910 - no 3505
  19. Voir notice et reproduction : Notice de La Promenade du Pincio à Rome sur le site RMN
  20. Voir notice et reproduction : Notice de "Le Dîner dans une villa romaine" (Villa Médicis) sur le site RMN
  21. Tableau reproduit en pleine page dans la revue Les Arts no 126 - juin 1912
  22. Voir notice et reproduction : Notice de Paysage italien, Tivoli sur le site RMN
  23. Voir notice et reproduction : Notice de "Le Bois sacré, campagne roumaine" sur le site RMN
  24. Voir notice et reproduction : Notice de " Le grand bassin au jardin du Luxembourg" sur le site RMN
  25. Voir notice et reproduction : Notice de " Les Vainqueurs" sur le site RMN
  26. reproduit dans L'Illustration du 24 mai 1919 - no 3977
  27. Voir notice et reproduction : Notice de " Au bord du cratère du Vésuve" sur le site RMN
  28. Notice de la base Joconde
  29. Renaissance du Musée de Brest, acquisitions récentes : [exposition], Musée du Louvre, Aile de Flore, Département des Peintures, 25 octobre 1974-27 janvier 1975, Paris, , 80 p.
  30. reproduit dans l'ouvrage de Béatrice Fontanel et Loïc Le Gall (Album - 10 mars 2006) : Le Aragon ; p. 25, (ISBN 2740419651) et (ISBN 978-2740419656)
  31. Voir reproduction et commentaire : la couleur des larmes les peintres dans la grande guerre
  32. reproduit dans L'Illustration du 13 mai 1922 - no 4122
  33. reproduit dans L'Illustration du 12 mai 1923 - no 4184
  34. "... qui ne représente rien moins que le tableau de la Victoire et le portrait d'une armée" - Louis Gillet - Le Gaulois (France) mai 1924
  35. reproduit dans L'Illustration du 12 mai 1928 - no 4445
  36. Antonin Brocard par Pierre Brocard, Éditions Atout Livres, octobre 2008 - (ISBN 978-2918023005)
  37. voir photo sur le site de l'École nationale supérieure de chimie de Paris :
  38. reproduit dans L'Illustration du 9 mai 1931 - no 4601
  39. Ouvrage L’Ambassade d’Italie à Paris - Hôtel de La Rochefoucauld-Doudeauville - auteurs : Erminia Gentile Ortona - Maria Teresa Caracciolo - Mario Tavella - Patrizia Mussa - Éditions Skira, 2009. (ISBN 978-8857201085) ; Article de Jacques Foucart p. 188 et 189. Tableau reproduit p. 190 et 191 (double page en couleur)
  40. Pierre Quarré et Monique Geiger : Musée des beaux-arts de Dijon. Catalogue des peintures Françaises, Dijon, 1968
  41. dernière étude du panneau avant exécution définitive : collection particulière
  42. le panneau définitif dans la salle du restaurant : sur un site consacré aux Messageries maritimes
  43. le panneau central est reproduit dans L'Illustration du 13 mai 1933 - no 4706
  44. panneau dans le fumoir du paquebot: sur un site consacré aux Messageries maritimes
  45. reproduit dans L'Illustration du 11 mai 1935 - no 4810
  46. Reproduit dans L'Illustration 14 mai 1938 - no 4967
  47. reproduit dans l'ouvrage de Béatrice Fontanel et Loïc Le Gall (Album - 10 mars 2006) : Le Aragon ; p. 15 (ISBN 2740419651) et (ISBN 978-2740419656)
  48. Laurent Gervereau, Claire Constans, Collectif : Le Musée révélé : L'histoire de France au Château de Versailles, Robert Laffont (30 septembre 2005) ; (ISBN 2221102959) et (ISBN 978-2286017262) reproduit p. 145 ; courte analyse p. 133
  49. Jérémie Benoit, site : l'Histoire par l'image, RMN, analyse du tableau de Georges Paul Leroux, Aux Eparges, soldats enterrant leurs camarades au clair de lune. Avril 1915.
  50. reproduit et commenté dans : La Peinture des XIXe et XXe siècles par Madeleine Vincent. , catalogue du Musée des Beaux-Arts de Lyon - 1956
  51. reproduit dans L'Illustration du 10 mai 1941 - no 5122 Le Salon de printemps à Lyon
  52. Historique sur la base Joconde du Ministère de la Culture : L'Annonciation, pour laquelle le musée Rolin conserve 3 projets préparatoires (deux études pour l'ensemble, une pour la Vierge) rassemble deux genres fréquemment traités par l'artiste: la scène mystique et le paysage. Très marqué par la grande guerre, Leroux a produit de nombreuses scènes mystiques comme "Les Pèlerins d'Emmaüs" (Musée de St Quentin); de même les paysages méditerranéens lui ont inspiré de nombreuses toiles où l'on retrouve un rendu de la végétation, notamment des cyprès, et des constructions, analogue à celui de ce tableau. On remarquera le goût du peintre pour les aplats de couleurs dérivés de l'esthétique nabi qu'il adopte au contact de Maurice Denis ; Version finale des 3 esquisses possédées par le musée Rolin (H.V. 416, 417 et 418)
  53. reproduit dans la Biographie de Charles Terrasse : Paul Jouve, Éditions du Livre de Plantin, 1948.
  54. reproduit dans l'ouvrage de Félix Marcilhac, "Paul Jouve" page 276 - Les Éditions de l'amateur, 2005. (ISBN 978-2-85917-409-5) et (ISBN 2859174095).
  55. peinture faisant la couverture du livre de Béatrice Fontanel L’odyssée des musées, Éditions de La Martinière, 10/2007 (ISBN 2732436550) et (ISBN 978-2732436555)
  56. Pierre Fresnault-Deruelle, « Photographie peinte », Musée critique de la Sorbonne, analyse du tableau de Georges Paul Leroux, Dans la Grande Galerie du Louvre
  57. Ouvrage L’Ambassade d’Italie à Paris - Hôtel de La Rochefoucauld-Doudeauville - auteurs : Erminia Gentile Ortona - Maria Teresa Caracciolo - Mario Tavella - Patrizia Mussa - Éditions Skira, 2009 (ISBN 978-8857201085). Article de Jacques Foucart p. 192. Tableau reproduit p. 193 (en couleur)
  58. reproduit dans l'ouvrage de Félix Marcilhac, "Paul Jouve" page 24 - Les Éditions de l'amateur, 2005 (ISBN 978-2-85917-409-5) et (ISBN 2859174095).
  59. Paul Ziégler :le Figaro Illustré: numéro spécial [Rome], no 216, mars 1908
  60. voir sur le site du Musée Pasteur : et
  61. Bridgeman - la Grande Lunette de 1900 la Grande Lunette de 1900
  62. consulter le catalogue Byrrh l'Affiche Imaginaire - Réjane Bargiel (Conservateur du Musée de la Publicité), 1992, PERNOD S.A. mécénat.
  63. Voir notice et reproduction : Notice de "Projet d'affiche pour armes et sports" sur le site RMN
  64. voir la fiche détaillée : sur le site du Ministère de la Culture
  65. jean Ajalbert : Les peintres de la Manufacture Nationale de Tapisseries de Beauvais. Georges-Paul Leroux, Madeleine Luka. - Louise Pascalis. - Jean Camille Bellaigue. - Eric Bagge. - Jean Lurçat. - Louis Valtat. - Ch. A. Edelmann. - Achille Laugé ; Paris : Eug. Rey, 1933 ;
  66. Catalogue d’exposition : Elégance et modernité : 1908-1958 : Un renouveau à la française page 18 ; Olivier Kaeppelin (Auteur), Yves Badetz (Auteur), Marie-Hélène Massé-Bersani (Auteur), Collectif (Auteur), Bernard Schotter (Préface); Éditeur : RMN (20 mai 2009) (ISBN 2711856100) et (ISBN 978-2711856107)
  67. Exposition "Beauvais, les années 25" - 1992 - Galerie nationale de tapisserie à Beauvais (catalogue par Chantal Gastinel-Coural, reprod. no 22. (ISBN 2868950361)
  68. Catalogue d'exposition : Exposition Georges Leroux. Paysages d'Italie et de Sicile : Du 8 au 22 janvier 1913 - Préface d' Henry Bérenger - Exposition. Paris. Galerie Devambez. 1913 [Paris] : Galerie Devambez, [s. d. ?] 8 p. ; 16
  69. voir Catalogue Exposition : Première Exposition Des Artistes Français Du Groupe De l'Erable. Preface De Pul Gsell. Paris, 1924, petit in-4, 116 pages, 28 reproductions. Paris, Impr. par Louis Kaldor
  70. Catalogue d'exposition : Exposition. Paris. Galerie Adolphe Le Goupy. 1924 - Georges Leroux par Louis Hautecœur Dessins aquarelles et peintures par Georges Leroux : exposition à partir du 14 mai 1924, Chez Le Goupy, Bd de la Madeleine.
  71. Lire sur cette exposition la critique de R.Chantereine dans Le Figaro - supplément artistique du 15 mars 1928 no 185, p. 345
  72. Texte critique de M. Gérard Morisset paru dans : L'Ordre, Montréal, 11 mai 1935, p. 6 - mis en ligne le 30 janvier 2003, par Robert Derome Texte critique de M. Gérard Morisset paru dans : L'Ordre, Montréal
  73. Plaquette de l'exposition très bien documentée par Mme Lecuyer-Champagne (conservateur du Musée du Château Saint-Jean à Nogent-le-Rotrou)
  74. sur le site du Musée d’Art Moderne de Rome
  75. Galleria d'arte moderna di Roma capitale. Artisti dell'Ottocento temi e riscoperte, par Cinzia Virno, Éditeur : De Luca Editori d'Arte (1er octobre 2014)- (ISBN 8865572094) et (ISBN 978-8865572092)
  76. //www.chartres.fr/sortir-a-chartres/culture/musee-des-beaux-arts/expositions-temporaires/georges-leroux
  77. Les collections du XXe siècle du musée départemental de l’Oise - Tome II - « De Thomas Couture à Maurice Denis » - p. 159, 160, 161 et 162 Editions d'Art Monelle Hayot - (ISBN 2-903824-29-0)
  78. ces 120 portraits sont tous reproduits dans : Le Tableau d'honneur de la grande guerre, tome 3, Éditeur : Archives & culture (1er juillet 2002) - (ISBN 2-911665-57-0) et (ISBN 978-2-911665-57-8)
  79. David Karel, Dictionnaire des artistes de langue française en Amérique du Nord : peintres, sculpteurs, dessinateurs, graveurs, photographes, et orfèvres, Québec, Presses de l’Université de Laval, , 962 p. (ISBN 2-7637-7235-8 et 9782763772356, lire en ligne), p. 505
  80. dans la collection en ligne du Centre Pompidou sur le site du musée national d’art moderne
  81. Notice de la base Joconde
  82. Notice de la base Joconde
  83. Notice de la base Joconde
  84. Notice de la base Joconde
  85. Notice de la base Joconde
  86. Notice de la base Joconde
  87. Notice de la base Joconde
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