Buthiers (Seine-et-Marne)

Buthiers est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

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Buthiers

La mairie-école.
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Fontainebleau
Intercommunalité Communauté de communes Pays de Nemours
Maire
Mandat
Christophe Chamoreau
2020-2026
Code postal 77760
Code commune 77060
Démographie
Gentilé Butherrois
Population
municipale
726 hab. (2018 )
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 17′ 17″ nord, 2° 25′ 53″ est
Altitude Min. 70 m
Max. 122 m
Superficie 19,67 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fontainebleau
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Buthiers
Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Buthiers
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Buthiers
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Buthiers
Liens
Site web buthiers.fr

    En 2018, elle compte 726 habitants.

    Géographie

    Localisation

    Localisation de Buthiers dans le département de Seine-et-Marne.

    La commune de Buthiers se situe au sud-ouest du département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France[1], à la limite du département du Loiret. Buthiers fait partie du parc naturel régional du Gâtinais français.

    Elle se situe à 39,29 km par la route[Note 1] de Melun[2], préfecture du département et à 27,76 km de Fontainebleau[3], sous-préfecture. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Malesherbes[1].

    Communes limitrophes

    Carte des communes limitrophes de Buthiers.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Le Malesherbois (2,1 km), Boulancourt (3,2 km), Nanteau-sur-Essonne (3,4 km), Augerville-la-Rivière (3,9 km), Rumont (5,6 km).

    Communes limitrophes de Buthiers (Seine-et-Marne)
    Nanteau-sur-Essonne Boissy-aux-Cailles
    Le Malesherbois
    (Loiret)
    Amponville
    Boulancourt Rumont

    Relief et géologie

    Carte géologique vectorisée et harmonisée de Buthiers.

    Le territoire de la commune se situe dans le sud du Bassin parisien, plus précisément au nord de la région naturelle du Gâtinais.

    Géologiquement intégré au bassin parisien, qui est une région géologique sédimentaire, l'ensemble des terrains affleurants de la commune sont issus de l'ère géologique Cénozoïque (des périodes géologiques s'étageant du Paléogène au Quaternaire)[5],[6].

    Géologie de la commune de Buthiers selon l'échelle des temps géologiques[5],[6].
    Ères Périodes géologiques Époques géologiques Nature des sols
    Cénozoïque Quaternaire Holocène
    X :Dépôts anthropiques, remblais.
    CE :Colluvions polygéniques éboulis.
    CF :Colluvions de versant et de fond de vallon.
    LP :Limon des plateaux de composition argilo-marneuse.
    T :Zones tourbeuses au sein des alluvions récentes.
    Fz :Alluvions récentes : limons, argiles, sables, tourbes localement.
    Pléistocène
    Néogène Pliocène non présent.
    Miocène
    m1MG :Molasse du Gâtinais, Marnes vertes de Neuville-sur-Essonne (Loiret).
    Paléogène Oligocène
    g1CE :Calcaire d'Étampes, meulières, marnes, calcaires du Gâtinais.
    g1GF :Grès de Fontainebleau en place ou remaniés (grésification quaternaire de sables stampiens dunaires).
    g1SF :Sables de Fontainebleau, accessoirement grès en place ou peu remanié (versant).
    Éocène non présent.
    Paléocène non présent.

    Réseau hydrographique

    Carte des réseaux hydrographique et routier de Buthiers.

    Le réseau hydrographique de la commune se compose de la rivière Essonne, longue de 101,10 km[7], ainsi que :

    • un bras de l'Essonne de 0,5 km[8] ;
    • un bras de l'Essonne de 0,8 km[9] ;
    • un bras de l'Essonne de 1,5 km[10].

    Elle marque la limite ouest de la commune.

    Sa longueur totale sur la commune est de 2,72 km[11].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[12].

    La commune fait partie du SAGE « Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés », approuvé le . Le territoire de ce SAGE couvre deux régions, six départements et compte 681 communes, pour une superficie de 9 722 km2[13]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le Syndicat mixte du pays Beauce Gâtinais en Pithiverais, qualifié de « structure porteuse »[14].

    Climat

    Paramètres climatiques pour la commune sur la période 1971-2000

    - Moyenne annuelle de température : 11 °C
    - Nombre de jours avec une température inférieure à -5°C : 3,2 j
    - Nombre de jours avec une température supérieure à 30°C : 4,4 j
    - Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,5 °C
    - Cumuls annuels de précipitation : 668 mm
    - Nombre de jours de précipitation en janvier : 0,1 j
    - Nombre de jours de précipitation en juillet : -3 j

    La commune bénéficie d’un « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats en France définie en 2010. Ce type affecte l’ensemble du Bassin parisien avec une extension vers le sud, dont la totalité des communes de Seine-et-Marne[15].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir cette typologie comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[15]. Avec le changement climatique, ces variables ont pu depuis évoluer. Cette évolution peut être constatée sur la station météorologique historique de Météo-France la plus proche, Melun - Villaroche , qui se trouve à 39 km à vol d'oiseau[16], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour 1981-2010[17] à 11,6 °C pour 1991-2020[18].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[19],[20]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional du Gâtinais français, créé en 1999 et d'une superficie de 75 567 ha. D’une grande richesse en termes d’habitats naturels, de flore et de faune, il est un maillon essentiel de l’Arc sud-francilien des continuités écologiques (notamment pour les espaces naturels ouverts et la circulation de la grande faune)[21],[22].

    La réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais », un espace protégé créé en 1998 et d'une superficie totale de 150 544 ha, est également présente sur la commune. Cette réserve de biosphère, d'une grande biodiversité, comprend trois grands ensembles : une grande moitié ouest à dominante agricole, l’emblématique forêt de Fontainebleau au centre, et le Val de Seine à l’est. La structure de coordination est l'Association de la Réserve de biosphère de Fontainebleau et du Gâtinais, qui comprend un conseil scientifique et un Conseil Éducation, unique parmi les Réserves de biosphère françaises[23],[24],[25],[26].

    Réseau Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[27].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[28] :

    • la « Haute vallée de l'Essonne », d'une superficie de 971 ha, un ensemble écologique de grande importance à l’échelon du bassin parisien. Cette entité est constituée de milieux humides remarquables résultants de l’évolution de bas marais alcalins[29],[30] ;

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Buthiers comprend cinq ZNIEFF de type 1[Note 4],[31] :

    • les « Bois de la Fontaine Saint-Agnan, Bel-Air, la Garenne de Boucleaux et vallée Poirette » (188,79 ha), couvrant 2 communes du département[32] ;
    • le « Bois Picard » (279,91 ha)[33] ;
    • le « Marais de Buthiers » (37 ha)[34] ;
    • la « Platière de la vallée Aux Noirs » (28,67 ha)[35] ;
    • le « Pont de Roncevaux » (1,37 ha)[36] ;

    et un ZNIEFF de type 2[Note 5],[31], la « vallée de l'Éssonne de Buthiers à la Seine » (5 102,19 ha), couvrant 29 communes dont 1 dans le Loiret, 4 en Seine-et-Marne et 24 dans l'Essonne[37].

    Urbanisme

    Typologie

    Buthiers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[38],[39],[40].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[41],[42].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (56,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,7% ), forêts (38,4% ), zones agricoles hétérogènes (7,8% ), mines, décharges et chantiers (3,1% ), zones urbanisées (3 %)[43].

    Occupation des sols en 1990 et 2018[43].
    Type d’occupation 1990 2018 Bilan
    Territoires artificialisés
    (zones urbanisées, zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication, mines, décharges et chantiers, espaces verts artificialisés ou non agricoles)
    83,68 ha 4,27 % 119,99 ha 6,12 % 36,31 ha 
    Territoires agricoles
    (terres arables, cultures permanentes, prairies, zones agricoles hétérogènes)
    1 102,40 ha 56,22 % 1 087,29 ha 55,45 % −15,11 ha 
    Forêts et milieux semi-naturels
    (forêts, milieux à végétation arbustive et/ou herbacée, espaces ouverts sans ou avec peu de végétation)
    774,88 ha 39,52 % 753,69 ha 38,43 % −21,20 ha 

    Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[44],[45],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

    Planification

    La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Nemours Gâtinais, approuvé le et porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) Nemours-Gâtinais[46].

    La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[47]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

    Lieux-dits, écarts et quartiers

    Carte du cadastre de la commune de Buthiers.

    Buthiers comporte trois hameaux : Herbeauvilliers (absorbé par Buthiers le ), Auxy et Roncevaux.

    La commune compte 112 lieux-dits administratifs[Note 8] répertoriés[48] dont la Roche-aux-Loups (dolmen).

    Logement

    En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 447 dont 98,6 % de maisons et 1,1 % d'appartements[Note 9].

    Parmi ces logements, 72,6 % étaient des résidences principales, 17,2 % des résidences secondaires et 10,3 % des logements vacants.

    La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 85,7 % contre 11,8 % de locataires et 2,5 % logés gratuitement[49].

    Voies de communication

    Plusieurs routes départementales relient Buthiers aux communes voisines :

    • la D 103, vers le sud-est en direction de Rumont ;
    • la D 103e, vers le nord en direction de Boissy-aux-Cailles ;
    • la D 152, vers l'ouest en direction du Malesherbois et vers l'est en direction de Boissy-aux-Cailles ;
    • la D 410, vers l'ouest en direction du Malesherbois et vers le sud en direction de Boulancourt.

    Transports

    La gare d'Herbeauvilliers.

    La commune est desservie par trois lignes d'autocars du réseau de bus Les Cars Bleus[50] :

    • la ligne no 184-004, reliant Nanteau-sur-Essonne à La Chapelle-la-Reine ;
    • la ligne no 184-005, reliant Roncevaux à La Chapelle-la-Reine ;
    • la ligne no 184-014, reliant Malesherbes à Avon (gare de Fontainebleau - Avon).

    La ligne de Bourron-Marlotte - Grez à Malesherbes traverse la commune de Buthiers d'est en ouest. Cette ligne, non exploitée entre les gares de Bourron-Marlotte - Grez et de La Chapelle-la-Reine, reste exploitée en trafic fret entre cette gare et celle de Malesherbes pour le transport de sable en provenance de diverses carrières situées à proximité de la ligne. La gare d'Herbeauvilliers, situé sur le territoire de Buthiers, est fermée au trafic voyageurs depuis le .

    Toponymie

    Ses habitants sont appelés les Butherrois.

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Buters en 1165[51] ; Buteriae en 1220[52] ; Butiers en 1518[53] ; Buttiers en 1594[54] ; Buttier vers 1770, Buthiers vers 1828[réf. nécessaire].

    Le toponyme est issu du gaulois buria, « cabane en pierre » pour protéger le bétail[55] ou du nom de personne germanique Botthar pris absolument[56].

    Histoire

    Des polissoirs préhistoriques sur des roches sont visibles au-dessus de l'observatoire[réf. nécessaire].

    En 2005, découverte d'un squelette du Néolithique (5000 av. J.-C.) ayant subi une amputation (avec cicatrisation) de l'avant-bras gauche[57]. Sur le même site, une autre sépulture datant de 4900-4600 av. J.C. (fin du Néolithique) a été découverte accompagnée d’un dépôt funéraire comprenant une carapace de tortue et plusieurs pièces lithiques[58].

    Un sarcophage en pierre avec les ossements d'un adulte et d'un enfant fut mis au jour dans une propriété de la rue des Larry, en contrebas de l'église. Il serait de la période du Moyen Âge[évasif].

    La paroisse de Buthiers était du ressort de l’évêché de Sens, rattaché administrativement à l'élection de Pithiviers et à la généralité d'Orléans, et dépendait de la Seigneurie de Malesherbes, jusqu'en 1790.

    Auxy et la paroisse d'Herbeauvilliers dépendait de l'Abbaye de Montmartre.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[59]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1800   Denis Chauveau    
    1830   François Deneuville    
    1837   Parnageon    
    1840   Eugène Bizouarne    
    1844   François Deneuville    
    1867   Eugène Bizouarne    
    1877   François Deneuville    
    1878   Alexandre Henault    
    1888   Étienne Douine    
    1892   Pierre Bizouarne    
    1895   Étienne Douine    
    1900   Nestor Douine    
    1905   Eugène Denis Chauveau    
    1930   Chaillet    
    1940   Camille Paillet (f.f.)    
    1941   Émile Bougon   Exploitant agricole
    1953 décès en 1954 Varennes    
    1954   René Grison   Exploitant agricole
    1971   Robert Debord   Instituteur
    1983   Robert Benoist   Exploitant agricole
    1995   Martial Bercher   Exploitant agricole
    mars 2001   Sylvie Jory    
    mars 2014 mai 2020 Jean-Yves Lacroix   Professeur de philosophie
    mai 2020[60] En cours
    (au 8 juillet 2020)
    Christophe Chamoreau   Vice-président délégué de la CC Pays de Nemours (2020 → )

    Liste des maires d'Herbeauvilliers 1789-1841

    Liste des maires successifs[réf. nécessaire]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1793 1830 Antoine Duguet    
    1830 1841 Philippe Adrien Chavaneau    

    Équipements et services

    Eau et assainissement

    L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [61],[62].

    Assainissement des eaux usées

    En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Buthiers est assurée par le SME de la région de Buthiers pour la collecte et le transport[63],[64],[65].

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[66]. Le SME de la région de Buthiers assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[63],[67].

    Eau potable

    En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le SME de la région de Buthiers qui en a délégué la gestion à l'entreprise Veolia, dont le contrat expire le [63],[68].

    Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. À cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Beauce[69].

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[70]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[71].

    En 2018, la commune comptait 726 habitants[Note 10], en diminution de 3,2 % par rapport à 2013 (Seine-et-Marne : +3,47 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    204218200229287275448386444
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    460457445500448515601548534
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    516529535485501578519531525
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    547548529562668645737750757
    2017 2018 - - - - - - -
    730726-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[72] puis Insee à partir de 2006[73].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    L'île de loisirs de Buthiers offre de multiples activités.

    Équipements culturels

    Une médiathèque avec bibliothèque permet l'emprunt de livres, CD, DVD. Avec l'ancien four à pain communal en état de fonctionnement.

    Manifestations culturelles et festivités

    Du 30 mars au 1er avril (compris) : grande compétition de VTT trial.

    Économie

    • Sablière : exploitation du sable de Fontainebleau par la SAMIN, utilisé pour la verrerie. Le sable est transporté par train.

    Agriculture

    Buthiers est dans la petite région agricole dénommée le « Gâtinais », à l'extrême sud-ouest du département, s'étendant sur un large territoire entre la Seine et la Loire sur les départements du Loiret, de Seine-et-Marne, de l'Essonne et de l'Yonne[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 11] de l'agriculture sur la commune est la culture de céréales et d'oléoprotéagineux (COP)[74].

    Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[75]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 10 en 1988 à 4 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 62 ha en 1988 à 211 ha en 2010[74]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Buthiers, observées sur une période de 22 ans :

    Évolution de l’agriculture à Buthiers entre 1988 et 2010.
    1988 2000 2010
    Dimension économique[74],[Note 12]
    Nombre d’exploitations (u) 10 5 4
    Travail (UTA) 16 7 6
    Surface agricole utilisée (ha) 621 778 844
    Cultures[76]
    Terres labourables (ha) 618 778 844
    Céréales (ha) 502 537 541
    dont blé tendre (ha) 229 213 281
    dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 91 s
    Tournesol (ha) s s s
    Colza et navette (ha) 20 s 137
    Élevage[74]
    Cheptel (UGBTA[Note 13]) 7 1 0

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Maur-et-Sainte-Fare.

    Lieux et monuments

    • Dolmen de la Roche aux Loups, classé au titre des monuments historiques depuis le 26 novembre 1973[77].
    • Église Saint-Maur-et-Sainte-Fare, XIe et XIIe siècle, située au bord du plateau, isolée du village.
    • Église Saint-Laurent, située dans le hameau d'Herbeauvilliers, XVe siècle.
    • Vallée de l'Essonne.
    • Massif de Buthiers-Malesherbes, magnifique ensemble de rochers, où l'on peut faire de l'escalade, de la varappe et de très belles promenades.
    • Abri orné de la grotte de Chateaubriand.
    • L'île de loisirs de Buthiers : c'est l'une des douze bases de plein air et de loisirs de la région Île-de-France. Elle offre sur 140 ha de nombreuses activités dont l'accès unique en Île-de-France à un observatoire astronomique ouvert au public, le centre d'astronomie Jean-Marc Salomon (sans lien de parenté avec l'architecte du même nom, fut un animateur scientifique reconnu de l'ANSTJ). Le télescope Jean-Marc-Salomon, télescope de 600 mm dans le centre d'astronomie Jean-Marc-Salomon, ouvert au public et aux amateurs est géré par Planète Sciences[78]; deux astéroïdes Buthiers et Jemasalomon y ont été découverts en 2001.

    Personnalités liées à la commune

    • Robert Doisneau (1912-1994), photographe français, a habité à Buthiers. La salle polyvalente porte son nom.

    Liste des instituteurs

    Liste des instituteurs successif[réf. nécessaire]s
    Période Identité Fonction précédente Observation
    1793 1806 Jean Cantau    
    1806 1816 Etienne Saunier    
    1816 1820 Florence Flamery    
    1820 1824 François Fouchet    
    1824 1827 Martin Denize    
    1827 1829 Charles Feuillas    
    1829 1851 Jean Denize    
    1851 1854 Victor Morin    
    1854 1857 Médard Charmoy    
    1857 1860 Désiré Villain    
    1860 1861 Arthur Huet    
    1861 1864 Philippe Chaumat    
    1864 1868 Pierre Grandin    
    1868 1871 Florentin Viron    
    1871 1874 Théophane Calais    
    1874 1888 Lucien Jouannon    
    Les données manquantes sont à compléter.
    1914 1919 M. et Mme Leblaye    
    Les données manquantes sont à compléter.
    1920 1926 M. et Mme Hayes    
    1926 1935 M. et Mme Renault    
    1935 1968 M. et Mme Debord    
    1968 2001 M. et Mme Frot    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Liste des instituteurs d'Herbeauvilliers

    Liste des instituteurs successifs[réf. nécessaire]
    Période Identité Fonction précédente Observation
    Les données manquantes sont à compléter.
    1964 1965 Mme Jaussely Fermeture de l'école.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Lucien Jouannon, « Monographie communale » 1889, Archive Départementale: cote 30 Z 51.
    • Jean-Luc France, « La ligne Filay-Bourron », Le Passé Présent, no 9, 10, 11 (1998, 1999, 2000), publié par l'association "Les Amis du patrimoine de La Chapelle-La-Reine".
    • Jean-Luc France, « Autour du clocheton retrouvé », Le Passé Présent, no 12 (2001), publié par l'association "Les Amis du patrimoine de La Chapelle-la-Reine".
    • Roland Garnier, « Devis, adjudication et réception de travaux publics en 1825 », Le Passé Présent, no 4 (1993), publié par l'association "Les Amis du patrimoine de La Chapelle-la-Reine".
    • Maurice Veillard, « Le Gant », Le Passé Présent, no 14 (2003), publié par l'association "Les Amis du patrimoine de La Chapelle-la-Reine".

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
    9. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    11. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    12. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
    13. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
    • Cartes
    1. « Buthiers - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
    3. « Géoportail de l’urbanisme », sur https://www.geoportail-urbanisme.gouv.fr/ (consulté le ).
    4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

    Références

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    3. « Distance entre Buthiers et Fontainebleau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Buthiers », sur www.villorama.com (consulté le ).
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    6. « Carte géologique harmonisée du département de la Seine-et-Marne » [PDF], sur le site du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) (consulté le ).
    7. Sandre, « Fiche cours d'eau - L'Essonne (F45-0400) ».
    8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de l'Essonne (F4525501) ».
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    10. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de l'Essonne (F4526001) ».
    11. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 12 septembre 2018
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    13. « SAGE Nappe de Beauce et milieux aquatiques associés - Documents », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le ).
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    18. « Station météorologique de Melun - Villaroche - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    19. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le ).
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    21. « Parc naturel régional du Gâtinais français », sur www.parc-gatinais-francais.fr (consulté le ).
    22. « le Parc naturel régional du Gâtinais français - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    23. « Réserve de biosphère de « Fontainebleau et Gâtinais » », sur mab-france.org (consulté le ).
    24. « la zone centrale de la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    26. « la zone tampon de la réserve de biosphère « Fontainebleau et Gâtinais » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    28. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Buthiers », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « Haute vallée de l’Essonne - ZSC - FR1100799 », sur www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
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    37. « ZNIEFF la « vallée de l'Éssonne de Buthiers à la Seine » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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    72. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    73. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    74. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Buthiers », sur http://recensement-agricole.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
    75. « L'agriculture en Seine-et-Marne », sur www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
    76. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Buthiers », sur le site « Agreste » du service de la statistique et de la prospective (SSP) du ministère de l’Agriculture, de l’Agroalimentaire et de la Forêt. (consulté le ).
    77. « Dolmen », notice no PA00086844, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    78. Planète Sciences Télescope Jean-Marc Salomon
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