Aurore Bergé

Aurore Bergé, née le à Paris, est une femme politique française.

Pour les articles homonymes, voir Bergé.

Aurore Bergé

Aurore Bergé en 2017.
Fonctions
Présidente déléguée du groupe LREM
à l'Assemblée nationale
En fonction depuis le
(11 mois et 11 jours)
Avec Coralie Dubost
Président Christophe Castaner
Prédécesseur Fonction créée
Députée française
En fonction depuis le
(4 ans, 2 mois et 19 jours)
Élection 18 juin 2017
Circonscription 10e des Yvelines
Législature XVe (Cinquième République)
Groupe politique LREM
Prédécesseur Jean-Frédéric Poisson
Porte-parole de La République en marche[1]

(1 an, 7 mois et 28 jours)
Président Stanislas Guerini
Biographie
Date de naissance
Lieu de naissance Paris (France)
Nationalité Française
Parti politique UMP (2002-2015)
LR (2015-2017)
LREM (depuis 2017)
Père Alain Dorval
Diplômée de IEP de Paris
Site web auroreberge.fr

D'abord cadre de l'Union pour un mouvement populaire (UMP) puis des Républicains, ainsi que des Jeunes populaires, elle est élue conseillère municipale de Magny-les-Hameaux et conseillère de l'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines en 2014. Membre de l'équipe de campagne d'Alain Juppé pour la primaire de la droite et du centre de 2016, elle rejoint Emmanuel Macron au cours de la campagne présidentielle de 2017.

Elle est élue députée de la 10e circonscription des Yvelines lors des élections législatives de 2017. À l'Assemblée nationale, elle est membre de la commission des Affaires culturelles et de l'Éducation. Elle est également porte-parole de La République en marche (LREM), chargée de la « riposte », de à , et depuis, présidente déléguée du groupe LREM à l'Assemblée nationale, chargée du travail législatif.

Famille et parcours étudiant

Fille de comédiens qui participent aux mouvements étudiants de mai 68, elle s'intéresse très tôt à la politique[2]. Son père, Alain Bergé (dit Alain Dorval), est la voix française de Sylvester Stallone et sa mère, Dominique Dumont, prête sa voix à Katherine Kelly Lang dans la série Amour, Gloire et Beauté[3],[4],[5]. Elle grandit dans le département des Yvelines, à Versailles[3] et Méré[6].

Elle effectue sa scolarité à Versailles, à l'école Colonel-de-Bange puis à Saint-Jean-Hulst[7].

Elle étudie à Sciences Po Paris, où elle obtient un master affaires publiques (promotion 2009)[8], fait des stages auprès de députés européens, notamment auprès de Roselyne Bachelot au Parlement européen, puis est embauchée par une agence de communication, Agence Publics d'abord, l'agence qui a organisé tous les grands meetings de Nicolas Sarkozy lors de la présidentielle 2012, puis chez Spintank, auprès de Nicolas Vanbremeersch, et Hopscotch, en tant que directrice de clientèle[3],[5].

En 2007, elle rencontre Nicolas Bays, alors collaborateur parlementaire[9], dans les couloirs du Parlement européen et se marie avec lui en à Wingles. Le couple choisit comme témoins Roselyne Bachelot, alors ministre de la Santé et des Sports, et Pierre Moscovici, alors député[10]. Ils n'hésitent alors pas à médiatiser leur couple qui partage des opinions politiques opposées[9]. Ils se sont depuis séparés[3].

Carrière politique

Débuts à l'UMP et LR

Aurore Bergé adhère à l'Union pour un mouvement populaire (UMP) à l'âge de 16 ans, à la suite de la présence de Jean-Marie Le Pen au second tour de l'élection présidentielle de 2002[2]. Elle est responsable des Jeunes Populaires dans le département des Yvelines entre 2005 et 2008[5], nommée par le président du conseil général des Yvelines Pierre Bédier et évoluant sous l'égide de Valérie Pécresse, présidente de la fédération UMP du département[11].

En 2004, elle milite à Sciences Po Paris dans les rangs de l'Union nationale inter-universitaire (UNI), un syndicat étudiant classé à droite.

En 2008, elle se présente une première fois à la présidence des Jeunes Populaires avec Mathieu Guillemin mais décide finalement de retirer sa candidature[12] et de rallier Benjamin Lancar.

Elle est candidate aux élections municipales de Versailles en 2008, sur la liste UMP menée par l'ancien adjoint du maire sortant. La liste UMP est finalement battue par la candidature divers droite dissidente de François de Mazières.

En 2010, elle se présente à nouveau à la présidence des Jeunes Populaires[12]. Elle est finalement battue par le président sortant Benjamin Lancar dans un scrutin soupçonné d'irrégularités[13].

Elle est candidate sur la liste de Valérie Pécresse lors des élections régionales de 2010 en Île-de-France, mais sa position sur la liste ne lui permet pas d'être élue.

Elle soutient François Fillon lors du congrès de l'UMP de 2012[3].

En 2013, elle dit admirer Nicolas Sarkozy, mais davantage celui de 2007 (qui a « siphonné » les voix du FN avec, selon elle, un « discours équilibré », créant après son élection le ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale et le Conseil français du culte musulman), que celui de 2012 (année où il fait une campagne présidentielle cherchant à séduire l'électorat du Front national). Elle continue toutefois de défendre l'ancien président (il la reçoit pendant l'été 2013), se faisant également « l'avocate » de Nadine Morano et de Jean-François Copé, L'Obs ajoutant qu'« Aurore Bergé jongle avec ses paradoxes » sur le sujet de la sécurité[3].

Elle devient conseillère politique à l'UMP en , sous la présidence de Jean-François Copé[3].

Sous les recommandations de Valérie Pécresse, elle s'installe en 2013 à Magny-les-Hameaux dans les Yvelines afin de briguer la mairie de cette ville jusqu'alors ancrée à gauche. En 2014, à l'âge de 27 ans, elle est investie par l'UMP et l'UDI pour les élections municipales dans la commune[3]. Finalement, elle essuie un échec face au maire socialiste sortant Bertrand Houillon en ne réunissant que 41,73 % des voix[14] et annonce qu'elle se présentera aux élections suivantes[3]. À la suite des élections municipales, elle devient conseillère de l'agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines[15].

Quelques semaines plus tard, elle tente d'obtenir la 6e position sur la liste UMP des élections européennes. Selon le magazine Valeurs actuelles, Aurore Bergé est critiquée en interne car elle est jugée comme n'étant pas suffisamment à droite[16] et sa candidature n'est finalement pas retenue.

Elle soutient Nicolas Sarkozy lors du congrès de l'UMP de 2014[17].

Campagne présidentielle de 2017

Libération indique qu'elle soutient Nathalie Kosciusko-Morizet pour la primaire de la droite et du centre de 2016[11]. Cependant, elle apparaît dans l'organigramme de la campagne d'Alain Juppé, au sein duquel elle est responsable de la veille et de l'activisme sur les réseaux sociaux au sein du pôle numérique[18], aux côtés de Xavier Moisant et d'Ève Zuckerman[19]. Sa participation à cette campagne et son soutien à Nathalie Kosciusko-Morizet lors des élections municipales de 2014 à Paris, deux scrutins qui se sont soldés par des défaites, amènent Le Lab (Europe 1) à la qualifier de « chat noir »[20],[21].

En janvier 2017, elle participe au lancement de Droite Lib, « un mouvement pro-Fillon et anti-Macron », fondé par Virginie Calmels[20],[22] (quelques mois plus tard, elle nie en avoir fait partie)[23]. Par la suite, elle refuse de rejoindre le groupe « Les femmes avec Fillon » et décide de ne plus renouveler son adhésion aux Républicains[24].

En , elle assiste à un meeting d'Emmanuel Macron à Lyon et rencontre son équipe pour finalement rejoindre son équipe de campagne[25]. Elle explique sa décision par la ligne droitière suivie par François Fillon qui souhaite notamment revenir sur l'adoption par des couples homosexuels et par les affaires qui entachent la campagne du candidat[26]. Par ailleurs, elle participe activement au ralliement à Emmanuel Macron d'une cinquantaine de collaborateurs d'anciens ministres sous les présidences de Jacques Chirac ou Nicolas Sarkozy[27]. Alors qu'elle affirme défendre le « choix de la cohérence » avec ce ralliement, elle est cependant moquée sur les réseaux sociaux pour le nombre de candidats qu'elle a soutenus depuis le début de sa carrière politique, l'amenant à être qualifiée de « girouette » ou d'« opportuniste »[28],[29]. En réaction Aurore Bergé dénonce : « Faux comptes, mensonges, misogynie et vulgarité ». Elle considère que c'est la « marque de ses opposants »[30].

À la mi-février 2017, elle publie une longue tribune dans L'Obs pour justifier son ralliement à Emmanuel Macron[26]. Elle y défend le choix d'un candidat refusant « la fatalité du déclin de la France », voulant « bousculer le jeu institutionnel hagard et à bout de souffle ». Lors de la campagne présidentielle, elle intervient sur le thème « La France doit être une chance pour tous »[31].

Élection

Le , elle est investie par le parti La République en marche pour les élections législatives dans la dixième circonscription des Yvelines[32] (circonscription différente de celle où se trouve sa ville d'élection Magny-les-Hameaux), dont le député sortant est le président du Parti chrétien-démocrate Jean-Frédéric Poisson[22]. Elle reçoit le soutien d'Alain Juppé[33], Nicolas Hulot, ministre d'État, ministre de la Transition écologique et solidaire[34], et d'Erik Orsenna, académicien résidant dans cette circonscription[35].

Aurore Bergé arrive en tête lors du premier tour avec 46,63 % des voix contre 19,12 % pour Jean-Frédéric Poisson soutenu par LR[36]. Elle est élue au second tour avec 64 % des suffrages exprimés[37].

Au sein de LREM et du groupe LREM

Le 27 juin 2017, Aurore Bergé est nommée porte-parole du groupe La République en marche à l’Assemblée nationale, avec Stanislas Guerini, Olivia Grégoire et Hervé Berville[38].

Le Monde indique en octobre 2017 qu'elle fait partie d'une petite dizaine de députés qui forment « la garde avancée d’Emmanuel Macron, au Palais-Bourbon comme dans les médias. Des janissaires dévoués corps et âme au chef de l’État, qui ne dépendent que de lui, ne rendent de comptes qu’à lui »[39]. Elle est proche de Gabriel Attal au début de la législature[40]. Contexte indique en juin 2018 qu'elle « a été très présente auprès des journalistes en début de mandat, non sans susciter des critiques. Elle a depuis réduit sa venue en salle des quatre colonnes et pris en charge le sujet de la réforme de l’audiovisuel, qui doit faire l’objet d’un important projet de loi en 2019 »[41].

En septembre 2018, après la nomination de François de Rugy au gouvernement, elle soutient la candidature de Richard Ferrand à la présidence de l'Assemblée nationale[42]. Elle soutient ensuite Gilles Le Gendre pour lui succéder à la présidence du groupe LREM[40], puis Stanislas Guerini pour succéder à Christophe Castaner comme délégué général de LREM[43].

Le 24 janvier 2019, Aurore Bergé est nommée porte-parole du mouvement La République en marche[44]. Elle est choisie par Stanislas Guerini pour mener la « riposte » du mouvement[45].

Lors des élections municipales de 2020, à Rambouillet, elle figure en 4e position sur la liste de Gilles Schmidt, son suppléant à l'Assemblée nationale, qui arrive en troisième position sur trois au second tour avec 16,10 % des voix[46],[47]. La liste n'obtenant que trois sièges, Aurore Bergé n'est pas élue membre du conseil municipal.

Pressentie pour entrer au gouvernement Jean Castex, notamment pour un secrétariat d’État à la Communication audiovisuelle, rattaché au ministère de la Culture, elle n'est finalement pas retenue[48]. Le Canard enchaîné la dit alors peu appréciée par Emmanuel Macron et certains parlementaires LREM[49].

Après les anciens ministres François de Rugy et Christophe Castaner, elle se déclare candidate à la succession de Gilles Le Gendre à la présidence du groupe La République en marche à l’Assemblée nationale[50],[51]. À l’issue du premier tour, le , elle se qualifie pour le second tour avec 81 voix, arrivant alors en deuxième position derrière Christophe Castaner[52]. Elle reçoit le soutien de François de Rugy pour le second tour[52]. Le lendemain, elle est battue par Christophe Castaner avec 45,28 % des voix[53]. Après son élection, Christophe Castaner la nomme présidente déléguée du groupe en charge du travail législatif, un poste qu'elle partage avec Coralie Dubost[54].

Le même mois, dans la foulée de Pierre Person et Sacha Houlié, elle démissionne de ses fonctions de porte-parole et quitte le bureau exécutif de LREM, contestant le « choix d'organisation » du délégué général Stanislas Guerini et celui d'organiser des élections internes seulement après les élections locales de 2021[55],[56].

Travaux parlementaires

Aurore Bergé est membre de la commission des Affaires culturelles et de l'Éducation.

Le , elle est chargée par la commission, avec la députée UDI Béatrice Descamps, d'une « mission flash » sur les relations entre les parents et l'école[57]. Elles remettent leur rapport le au ministre de l'Éducation nationale Jean-Michel Blanquer[58], dans lequel elles estiment que les professeurs ne sont pas forcément en phase avec les quartiers dans lesquels ils peuvent être mutés ou conseillent d'éviter dans les bulletins les remarques « désobligeantes, voire stigmatisantes sur le long terme pour l'élève et son orientation ». Le rapport de la « mission flash » d'Aurore Bergé et Béatrice Descamps formule ainsi cinq propositions pour renforcer le lien entre les parents et l'école[59].

Le , la Commission des Affaires culturelles et de l’Éducation désigne les membres de la mission d’information sur une nouvelle régulation de la communication audiovisuelle à l’ère numérique[60] qui a pour but de faire réfléchir à une révision de la loi du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication. Aurore Bergé en est nommée rapporteure[61].

Le , Aurore Bergé présente ses 40 propositions pour une nouvelle régulation de l'audiovisuel[62],[63] qui serviront de base pour les discussions sur la future loi audiovisuelle[64] qui devrait être présentée à l'été 2019[65]. Au cours de la 28e édition du colloque NPA-Le Figaro[66], Aurore Bergé a pu présenter ses 40 propositions aux professionnels du monde de l'audiovisuel[67].

En 2019, Aurore Bergé est nommée secrétaire de la commission spéciale chargée d’examiner le projet de révision des lois de bioéthique, dont la mesure phare est l’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) à toutes les femmes[68]. Aurore Bergé était pendant deux ans responsable de texte pour la majorité LREM du projet de loi bioéthique[69]. Adopté en juillet 2021, ce texte de loi prévoit notamment l'ouverture de la procréation médicalement assistée[70] à toutes les femmes et ouvre la voie à de nouveaux moyens thérapeutiques comme la médecine régénérative[71].

Le 25 août 2019, elle est chargée par le Premier ministre d’une mission auprès du ministre de la Culture[72] visant à « définir les objectifs, les principes d’action et les leviers d’une politique d’émancipation artistique et culturelle renouvelée, allant au-delà de l’éducation artistique et culturelle, et qui s’adresse à tous nos concitoyens »[73]. Après 450 entretiens avec les acteurs culturels[74] et 55 déplacements sur tout le territoire[75],[76], elle présente 60 propositions pour l’émancipation par la culture[77], parmi lesquelles celles « de faire entrer l’Éducation Artistique et Culturelle[78] dans les programmes scolaires » et « d’inscrire la santé culturelle[79] comme une priorité pour la petite enfance » comme l’explique Le Point[80]. Elle remet son rapport Pour un ministère de la Culture au service des créateurs, des arts et des droits humains[81] au Premier ministre le 17 février 2020[82], dont les préconisations sont accueillies favorablement par la SACD, le SPFA[83] et la SGDL[84].

Le 4 décembre 2019, elle est désignée rapporteure générale[85] du projet de loi relatif à la communication audiovisuelle et à la souveraineté culturelle à l'ère numérique[86], projet adopté en commission[87] le jeudi 5 mars.

Le 8 avril 2020, elle est nommée référente du groupe de travail de l'Assemblée nationale sur le suivi de la crise sanitaire et de ses impacts dans le secteur culturel[88].

Après une trentaine d'entretiens avec des organisations d'artistes-auteurs[89],[90], de spectacle vivant et du patrimoine, elle a porté et fait adopter trois amendements[91] dans le cadre du projet de loi relatif à diverses dispositions liées à la crise sanitaire[92]. Elle fait voter un amendement pour « adapter l'activité partielle aux spécificités du monde de la culture : prendre en compte la situation particulière des artistes à employeurs multiples, permettant notamment de répondre à la situation alarmante des solistes »[93].

Le 18 mai 2020, elle rend publiques les pistes de réflexion du groupe de travail créé par La République en Marche[94] et qu’elle pilote, « Agir pour la culture, notre bien commun », dans le cadre de la crise du Covid-19. Le média spécialisé La Lettre de l’Audiovisuel présente ces réflexions comme un « plan massif de soutien à l’emploi culturel » avec « la pérennisation de France 4 pour l’après-crise »[95].

Au début de la mandature, elle est vice-présidente du groupe d'amitié France-Israël à l'Assemblée nationale[96]. Elle en devient la présidente à l’été 2019 à la suite du départ d’Elise Fagjeles[97],[98].

En janvier 2021, elle dépose, en compagnie de Jean-Baptiste Moreau, un amendement au projet de loi confortant les principes républicains afin d'intégrer une disposition visant à interdire le port du voile pour les jeunes filles. Néanmoins, l'amendement est jugé irrecevable par la commission[99]. Il a été désavoué par Emmanuel Macron par ailleurs[98].

En février 2021, elle est nommée rapporteure d’une mission parlementaire[100] sur le rôle des bibliothèques, première porte d’entrée vers la culture et puissants leviers d’insertion et de cohésion territoriale. Cette mission est menée avec la députée PS Sylvie Tolmont. Ses propositions incluent notamment la pérennisation des financements de l’extension des horaires d’ouverture des bibliothèques, la mise en place de bonification budgétaire dans les Contrats Territoire Lecture ou encore de faire de la lecture en prison une priorité[101].

Membre de la commission spéciale sur le projet de loi portant lutte contre le dérèglement climatique et renforcement de la résilience face à ses effets, elle en est rapporteure thématique sur le titre I, qui regroupe les articles relatifs à l’éducation, à l’environnement, à la publicité et à l’économie circulaire (consigne et vrac)[102]. Deux de ses amendements, adoptés en séance, interdisent la publicité pour la « commercialisation et la promotion » des énergies fossiles, alors que le texte initial ne mentionnait que la « vente », et renforcent les sanctions en cas de non-respect de cette interdiction[103]. En revanche, elle s'oppose à des mesures plus contraignantes pour la publicité automobile, évoquant un « risque important pour les médias »[103].

Positions politiques

Libération la présente comme une « européiste laïque, libérale sur les questions économiques et de mœurs »[21]. Elle présente l'ancienne Première ministre britannique Margaret Thatcher comme une « source d'inspiration »[11].

En , elle prend position dans une tribune de L'Obs pour le mariage gay. Elle indiquera plus tard à l'hebdomadaire qu'elle a « failli quitter l’UMP à cause de la « déferlante de haine » qui a suivi sur Twitter »[104],[3]. Elle est de ce fait classée à la gauche de son parti[21].

En , elle dénonce, dans une tribune publiée sur les réseaux sociaux et reprise dans la presse, les pratiques des sites des mouvements pro-vie se présentant sous la forme de sites d'information sur l'avortement[105].

En février 2017, elle dénonce les positions de François Fillon, candidat à l'élection présidentielle : « La droite m'a perdue une première fois quand elle a appelé à défiler contre les droits des autres (l'ouverture du mariage aux couples homosexuels, pour la rédaction de Franceinfo). En 2017, cette droite m'a définitivement perdue quand elle a choisi un candidat, François Fillon, qui a proposé de revenir sur l'adoption plénière pour les couples homosexuels, créant de fait une discrimination entre les enfants en raison de l'orientation sexuelle »[106]. En juillet 2017, interrogée sur l'état des Républicains sur Public Sénat, elle se félicite d'avoir quitté son ancien parti dénonçant « l'absence totale de ligne » et l'obstination des Républicains « à voir François Fillon en candidat »[107].

Au sein du groupe LREM, elle figure parmi les partisans d’une laïcité républicaine stricte[108]. Elle est proche des cadres et de la ligne du Printemps républicain[109],[110],[98]. En octobre 2019, des députés LREM se désolidarisent d'elle sous le hashtag #NotInMyName lorsqu'elle annonce son intention de voter la proposition de loi d'Éric Ciotti (LR) visant à interdire le port du voile aux accompagnantes lors des sorties scolaires[111]. À cette occasion, elle se déclare, plus largement, favorable à l'interdiction de « tous les signes religieux ostensibles dans les collectivités locales ou pour les accompagnatrices scolaires »[112].

Aurore Bergé se déclare favorable à l’ouverture de la procréation médicalement assistée à toutes les femmes, plaidant « un enjeu d’égalité des droits »[113],[114]. Selon La Croix, elle incarne la ligne du gouvernement lors de l'examen du projet de loi de bioéthique en 2020 face à l’aile libérale menée par Jean-Louis Touraine[115]. Comme la majorité présidentielle, elle est opposée à la gestation pour autrui[116].

Issues de sites humoristiques, de fausses citations d'Aurore Bergé sont relayées de façon récurrente sur les réseaux sociaux sans qu'il en soit précisé le caractère parodique[117]. Prises au premier degré, elles lui valent de nombreuses critiques, insultes, voire menaces de mort[118].

Polémiques

En février 2019, dans le contexte de l'affaire de la Ligue du LOL, Aurore Bergé se pose en victime de cyber-harcèlement[119]. Pourtant, en 2010, une lettre rédigée pour critiquer les agissements supposés de ce groupe avait fuité sur Twitter et Aurore Bergé s’en était moquée[120].

Le 30 janvier 2020, une polémique se crée sur les réseaux sociaux[121] à la suite de plusieurs articles de presse relayant les noms des députés, dont celui d'Aurore Bergé, ayant voté contre la proposition de loi visant à « instaurer un congé de deuil de douze jours consécutifs pour le décès d'un enfant mineur »[122]. Interrogée par Libération, Aurore Bergé explique ne pas avoir été « au courant du vote de cette mesure »[123], ayant donné son vote par délégation. Elle a depuis demandé à l'Assemblée nationale une rectification de son vote[124].

Le 23 février 2021, le rappeur Medine porte plainte pour diffamation publique, après qu'Aurore Bergé l'a qualifié de « rappeur islamiste »[125]. Elle annonce alors être l'objet d'une vague d’insultes et de menaces sur les réseaux sociaux.

Ouvrage

  • Avec Élodie Massé et Élise Vouvet, Alter-égales : essai, Éditions Normant, , 121 p. (ISBN 978-2-915685-53-4)[126]

Notes et références

  1. Chargée de la « riposte ».
  2. « Aurore Bergé, toujours en mouvement », sur lemonde.fr, .
  3. Nolwenn Le Blevennec, « Aurore Bergé, 26 ans, la candidate UMP qui a tout pour plaire à la gauche », nouvelobs.com, 28 octobre 2013.
  4. « Il est la voix de Sylvester Stallone depuis 30 ans », sur leparisien.fr, .
  5. Anne-Claire Ruel, « #NouvelleGardePolitique - Découvrez les ministres de demain ! Aujourd'hui, Aurore Bergé », sur blog.francetvinfo.fr, .
  6. « Législatives : Aurore Bergé et Méré »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), 78actu, (consulté le ).
  7. Laurent Mansart, « “Très bons résultats” mais “très bavarde”, l'écolière Aurore Bergé, devenue députée de Rambouillet », leparisien.fr, 29 août 2017.
  8. « « Aurore Bergé », sur sciences-po.asso.fr »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?) (consulté le 13 octobre 2019). — Assaël Adary avait dit à Libération : « Aurore Bergé est une ancienne camarade du Celsa » Pauline Moullot, « Est ce que le fondateur du cabinet Occurrence (qui compte les manifestants) est un proche d'Aurore Bergé? », sur liberation.fr, 20 avril 2018 (consulté le 13 octobre 2019). — « Je n’ai jamais fait le Celsa, j’ai fait Sciences Po Paris, il a dû confondre », rectifie Aurore Bergé sur franceinfo, qui vérifie : « L'annuaire de l'école de communication ne mentionne en effet aucune Aurore Bergé. » Assaël Adary déclare alors : « À l'époque, j'aurais mis ma main à couper qu'elle était une ancienne du Celsa… » Marie-Jeanne Delepaul, « « Vrai ou fake. Comptage des manifestants : le cabinet Occurrence est-il lié à LREM ? », sur francetvinfo.fr »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?), 9 octobre 2019 (consulté le 13 octobre 2019).
  9. « Il est de gauche, elle est de droite : ils s'aiment. Et vice versa. », sur Franceinfo, (consulté le )
  10. « Un mariage très “politique”… », sur lavenirdelartois.fr, .
  11. Fabien Leboucq, « Aurore Bergé est elle “opportuniste” au sens factuel du terme ? Combien de fois a-t-elle changé de candidat qu'elle soutenait avant d'arriver chez Macron ? », liberation.checknews.fr, 13 décembre 2017.
  12. « Président des Jeunes Pop, un poste très convoité », sur lemonde.fr, .
  13. « Soupçons de fraude et ambiance de far-west chez les jeunes UMP », sur lemonde.fr, .
  14. « Municipales dans les Yvelines : retrouvez les temps forts du premier tour », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  15. Les élus de SQY.
  16. « Aurore Bergé, la militante UMP pro-mariage gay, cherche une place aux européennes », valeursactuelles.com, 4 avril 2014.
  17. « Le Candidat : Nicolas Sarkozy revient dans l'arène. Quoi de neuf ? », franceinter.fr, 22 septembre 2014.
  18. « Extrait de l'organigramme de l'équipe d'Alain Juppé 2017 », sur Twitter, (consulté le ).
  19. Gilles Boyer, Rase campagne, Paris, JC Lattès, , 270 p. (ISBN 978-2-7096-5959-8), p. 111.
  20. Victor Dhollande-Monnier, « Le “chat noir” Aurore Bergé rejoint le camp d’Emmanuel Macron », lelab.europe1.fr, 14 février 2017.
  21. Quentin Girard, « Aurore Bergé, à marche rapide », liberation.fr, 16 février 2018.
  22. « Législatives : investie par En Marche, Aurore Bergé est malmenée sur les réseaux sociaux », leparisien.fr, (lire en ligne).
  23. France Inter, 18 novembre 2017 à 8 h 43.
  24. Tout savoir sur Aurore Bergé, possible ministre d'Emmanuel Macron CNEWS Matin, 16 mai 2017.
  25. « La juppéiste Aurore Bergé rejoint Emmanuel Macron », sur lexpress.fr, (consulté le ).
  26. Aurore Bergé, « “Pourquoi j'ai décidé de rejoindre Macron” », sur tempsreel.nouvelobs.com, (consulté le ).
  27. « Cinquante conseillers de droite vont rejoindre Macron », lelab.europe1.fr, avril 2017.
  28. « Le + du Soir 3 : Aurore Bergé, moquée sur Twitter après avoir rejoint Emmanuel Macron », francetvinfo.fr, 15 février 2017.
  29. Martin Guimier, « Aurore Bergé rejoint Emmanuel Macron… et se fait vanner sur Twitter », 20minutes.fr, 14 février 2017.
  30. « Aurore Bergé fait face à un déluge d'attaques sur Twitter », 78actu , 13 mai 2017.
  31. « Clamart : conférence d’En marche à la salle des fêtes », leparisien.fr, (lire en ligne, consulté le ).
  32. « Communiqué de presse - Liste des investis aux élections législatives », sur en-marche.fr, (consulté le ).
  33. « Alain Juppé soutient Aurore Berge candidate En marche dans les Yvelines » Libération, 7 juin 2017.
  34. « Nicolas Hulot soutient Aurore Bergé (REM) à Rambouillet », L'Écho Républicain, 7 juin 2017.
  35. « Législatives, 10e circo. Erik Orsenna soutient Aurore Bergé », 78actu, (lire en ligne, consulté le ).
  36. Yvelines (78) - 10e circonscription résultats de la circonscription au 1er tour.
  37. « Aurore Bergé célèbre ses 64% dans le temple des start-up », 78actu, (lire en ligne, consulté le ).
  38. « A. Bergé porte parole de LREM à l'Assemblée », 78actu, (lire en ligne, consulté le ).
  39. Cédric Pietralunga et Alexandre Lemarié, « Les snipers de la Macronie », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  40. Yann Guégan et Diane de Fortanier, « La galaxie LRM à l’Assemblée nationale », sur contexte.com, (consulté le ).
  41. Samuel Le Goff, « Le premier kilomètre des marcheurs à l’Assemblée nationale », sur contexte.com, (consulté le ).
  42. Julie Cloris, « Duel Ferrand-Pompili pour présider l’Assemblée : qui soutient qui ? », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  43. Manuel Jardinaud, « Chez LREM, l’élection du délégué général se passe de débat démocratique », sur Mediapart, (consulté le ).
  44. « La République En Marche se réorganise autour de Marlène Schiappa et Aurore Bergé », sur Blasting News, (consulté le ).
  45. Centre France, « Politique - Aurore Bergé, députée de Rambouillet, va mener "la riposte" de La République en marche », sur www.lechorepublicain.fr (consulté le ).
  46. Maxime Fieschi, « Municipales à Rambouillet : en avant pour une triangulaire », sur leparisien.fr, (consulté le ).
  47. « Résultats municipales 2020 à Rambouillet », sur Le Monde.fr (consulté le ).
  48. Nathalie Segaunes, « Nominations des secrétaires d’Etat: les recalés du gouvernement », sur L'Opinion.fr, (consulté le ).
  49. Anne-Sophie Mercier, « Aurore Bergé : à la recherche du troupeau », Le Canard enchaîné, no 5205, , p. 7.
  50. franceinfo avec AFP, « Après François de Rugy et Christophe Castaner, Aurore Bergé candidate à la présidence du groupe LREM à l'Assemblée », sur francetvinfo.fr, Franceinfo, (consulté le ).
  51. « Aurore Bergé candidate à la présidence du groupe LREM à l'Assemblée », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
  52. « Présidence du groupe des députés LREM à l'Assemblée : duel entre Aurore Bergé et Christophe Castaner au second tour », sur Franceinfo, (consulté le ).
  53. « L'ex-ministre de l'Intérieur Christophe Castaner élu à la présidence du groupe LREM à l'Assemblée », sur Franceinfo, (consulté le ).
  54. AFP, « Députés LREM: Aurore Bergé, ex-rivale de Castaner, nommée "présidente déléguée" », sur lepoint.fr, (consulté le ).
  55. Julie Carriat, « Après le départ de Pierre Person de la direction de LRM, démissions en cascade », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  56. « LREM : Le parti se déchire lors d’un bureau exécutif sous tension », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
  57. « Relations entre l'école et les parents : communication des co-rapporteures de la mission flash - Assemblée nationale », sur www2.assemblee-nationale.fr (consulté le ).
  58. « Ecole : un rapport sur les relations parents-professeurs fâche les internautes », sur http://www.leparisien.fr, presse nationale, (consulté le ).
  59. « Mission « flash » sur les relations école-parents », sur www2.assemblee-nationale.fr, site institutionnel, (consulté le ).
  60. « Mission d'information sur une nouvelle régulation de la communication audiovisuelle à l'ère numérique - Assemblée nationale », sur www2.assemblee-nationale.fr (consulté le ).
  61. « Aurore Bergé : rapporteure de la mission d’info sur une nouvelle régulation de la communication audiovisuelle - Image », sur CB News (consulté le ).
  62. « N° 1292 - Rapport d'information de Mme Aurore Bergé déposé en application de l'article 145 du règlement, par la commission des affaires culturelles et de l'éducation, en conclusion des travaux d'une mission d'information sur une nouvelle régulation de la communication audiovisuelle à l'ère numérique », sur www.assemblee-nationale.fr (consulté le ).
  63. « Réforme de l’audiovisuel : les députés proposent de soutenir la création et mettre fin aux « archaïsmes » », Le Monde lire en ligne=https://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2018/10/04/audiovisuel-les-propositions-chocs-des-deputes_5364400_3236.html, .
  64. « Ce que propose le rapport Bergé sur l'audiovisuel », sur FIGARO, (consulté le ).
  65. « Franck Riester : la nouvelle loi sur l’audiovisuel présentée ‘’à l’été’’ - Image », sur CB News (consulté le ).
  66. https://colloque-npa.fr/.
  67. « Réforme de l’audiovisuel : « Il y a convergence de tous les acteurs sur l’urgence à agir » », sur Aurore Bergé, Députée des Yvelines, (consulté le ).
  68. Bernard Gorce, « Bioéthique : deux semaines d’auditions et encore beaucoup de questions », sur la-croix.com, (consulté le ).
  69. Laure Equy, « Projet de loi bioéthique : retour à l’Assemblée, malaise dans la majorité », sur Libération (consulté le )
  70. « Le projet de loi de bioéthique et la PMA pour toutes définitivement adopté par le Parlement », sur SudOuest.fr (consulté le )
  71. « Loi bioéthique et PMA : nouveau feu vert de l'Assemblée à la réforme de la filiation », sur LExpress.fr, (consulté le )
  72. « 190826-Lettre-de-mission-Aurore-Berge-mission-culture », sur SNSP : Syndicat national des Scènes Publiques (consulté le )
  73. « Aurore Bergé planche sur l'émancipation artistique », sur Le Quotidien de l'Art (consulté le )
  74. Centre France, « Culture - La députée des Yvelines Aurore Bergé en Eure-et-Loir pour une mission sur la culture », sur www.lechorepublicain.fr, (consulté le )
  75. « Une députée en mission pour développer la culture pour tous », sur Le Telegramme, (consulté le )
  76. « Aurore Bergé ce vendredi à Toulouse : "Tout faire pour éviter la paralysie des transports" », sur ladepeche.fr (consulté le )
  77. « Les 60 propositions d’Aurore Bergé pour l’émancipation par la culture - 17 février 2020 - lejournaldesarts.fr », sur Le Journal Des Arts (consulté le )
  78. Centre France, « Interview - Aurore Bergé, députée (LREM) des Yvelines : "L’éveil culturel et artistique doit faire partie des fondamentaux" », sur www.leveil.fr, (consulté le )
  79. « "Santé culturelle" et audiovisuel public : les pistes d'Aurore Bergé pour démocratiser la culture », sur Europe 1 (consulté le )
  80. Saïd Mahrane, « Aurore Bergé : « Sur la culture, il y a eu des malentendus… » », sur Le Point, (consulté le )
  81. « Rapport d'Aurore Bergé - Pour un ministère de la Culture au service des créateurs, des arts et des droits humains - HD », sur calameo.com (consulté le )
  82. Avec AFP, « Carnets de santé, malle à lire : les 60 propositions pour favoriser l’accès la culture », sur Ouest-France.fr, (consulté le )
  83. « Rapport Bergé : une préconisation forte pour l'animation », sur SACD, (consulté le )
  84. « La Société des Gens de Lettres salue la publication du rapport sur l’émancipation et l’inclusion par les arts et la culture », sur www.sgdl.org (consulté le )
  85. « Aurore Bergé devient la rapporteure générale du projet de loi audiovisuelle », sur La lettre de l'audiovisuel (consulté le )
  86. Assemblée Nationale, « Communication audiovisuelle et souveraineté culturelle », sur Assemblée nationale (consulté le )
  87. Assemblée Nationale, « Communication audiovisuelle et souveraineté culturelle à l'ère numérique : adoption en commission », sur Assemblée nationale (consulté le )
  88. Centre France, « Crise sanitaire - La députée de Rambouillet Aurore Bergé (LREM) au chevet du monde culturel », sur www.lechorepublicain.fr, (consulté le )
  89. « Audition par la commission des Affaires culturelles et de l'Education (AN) », sur La Maison des Artistes, (consulté le )
  90. UPP, « Brève : Auditions Assemblée Nationale », sur www.upp.photo (consulté le )
  91. « Aurore Bergé est notre invitée du jour », sur France Musique (consulté le )
  92. LOI n° 2020-734 du 17 juin 2020 relative à diverses dispositions liées à la crise sanitaire, à d'autres mesures urgentes ainsi qu'au retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne, (lire en ligne)
  93. « La députée Aurore Bergé obtient une avancée importante à l’Assemblée nationale pour protéger les solistes | Forum Opéra », sur www.forumopera.com (consulté le )
  94. « La République en Marche, l’audiovisuel public, France 4 et le crédit d’impôt com », sur CB News (consulté le )
  95. « Les propositions d’Aurore Bergé pour la culture », sur La lettre de l'audiovisuel (consulté le )
  96. « Les Groupes d'amitié parlementaires », sur assemblee-nationale.fr.
  97. Par Times of Israel Staff, « La députée Aurore Bergé, nouvelle présidente du groupe d’amitié France-Israël », sur fr.timesofisrael.com (consulté le )
  98. Jean Stern, « Le printemps israélien de la députée Aurore Bergé », sur Orient XXI, (consulté le ).
  99. « Loi contre le séparatisme : les amendements contre le voile pour les fillettes irrecevables », sur Les Echos,
  100. ActeursPublics, « 2 députées vont plancher sur les suites du rapport Orsenna sur les bibliothèques | Nominations | Acteurs Publics », sur 2 députées vont plancher sur les suites du rapport Orsenna sur les bibliothèques | Nominations | Acteurs Publics (consulté le )
  101. « Aurore Bergé : « Remettre la bibliothèque au cœur de la parole publique » », sur Livres Hebdo (consulté le )
  102. « Projet de loi Convention citoyenne : les députés à suivre », sur Contexte, (consulté le ).
  103. Le Figaro avec AFP, « Loi climat: l'Assemblée durcit l'interdiction des publicités pour les énergies fossiles », sur lefigaro.fr, (consulté le ).
  104. « Je suis membre de l'UMP et j'irai à la manifestation en faveur du mariage pour tous », sur leplus.nouvelobs.com, (consulté le ).
  105. « “Allô IVG.net, je veux avorter”, ou comment s’énerver toute seule », sur nouvelobs.com, (consulté le ).
  106. « L'élue des Yvelines Aurore Bergé, ancienne juppéiste, rejoint Emmanuel Macron », Franceinfo, (lire en ligne, consulté le ).
  107. « Aurore Bergé se "félicite d'être partie des Républicains" », sur francesoir.fr, .
  108. Alexandre Lemarié, « Des députés La République en marche s’attellent au sujet de l’islam de France », sur lemonde.fr, (consulté le ).
  109. Lucie Delaporte, Pauline Graulle et Ellen Salvi, « Le Printemps républicain, une «petite boutique» qui veut peser sur le jeu politique », sur Mediapart, (consulté le ).
  110. Romain Gaspar, Isabelle Kersimon et Pierre Maurer, « Peu d'adhérents mais des relais puissants, que pèse vraiment le Printemps républicain? », sur Slate, (consulté le ).
  111. « #NotInMyName : Aurore Bergé mise à l’index par des députés LREM pour sa position sur le voile », sur lest-eclair.fr, (consulté le )
  112. Manuel Jardinaud, « Voile: Blanquer perturbe une majorité sans doctrine », sur Mediapart, (consulté le ).
  113. « VIDEO - Aurore Bergé : « La PMA, un enjeu d’égalité des droits » », La Croix, (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
  114. « PMA : "Personne n'a intérêt à revivre les mêmes termes que pour le débat sur le mariage pour tous", indique Aurore Bergé », sur Franceinfo, (consulté le )
  115. Hippolyte Radisson, « Loi de bioéthique : LREM révèle ses dissensions lors du débat sur la PMA post-mortem », sur la-croix.com, (consulté le ).
  116. « "La GPA n'est pas dans la loi bioéthique": la majorité obligée d'éteindre l'incendie », sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).
  117. « Les fausses citations d’Aurore Bergé, un sparadrap difficile à décoller », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
  118. « La députée LREM Aurore Bergé a reçu une lettre de menaces de mort », sur Franceinfo, (consulté le ).
  119. Le Scan Politique, « «Ligue du LOL»: Aurore Bergé, mise en cause par un retweet, se dit elle-même victime », sur lefigaro.fr, (consulté le )
  120. Romain Herreros, « Bergé s'indigne de la "Ligue du Lol", des internautes déterrent un ancien tweet », sur huffingtonpost.fr, (consulté le )
  121. Par Alex et re SulzerLe 2 février 2020 à 19h35, « Congé pour le décès d’un enfant : le couac à l’Assemblée crée le malaise chez LREM », sur leparisien.fr, (consulté le )
  122. « Congé après la mort d'un enfant : comment ont voté vos députés ? », sur France 3 Normandie (consulté le )
  123. Emma Donada, « Aurore Bergé a-t-elle voté contre l'allongement du congé pour le deuil d'un enfant ? », sur Libération.fr, (consulté le )
  124. « Aurore Bergé a-t-elle voté contre l’extension du congé de deuil parental ? », sur www.20minutes.fr (consulté le )
  125. « Le rappeur Médine porte plainte contre la députée LREM Aurore Bergé », sur www.mediapart.fr (consulté le )
  126. Alter-égales, le féminisme moderne de trois jeunes militantes politiques, culturebox.francetvinfo.fr, 9 mars 2012.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

  • Portail de la politique française
  • Portail des Yvelines
Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.