Armaillé

Armaillé est une commune française, située dans le Haut-Anjou du département de Maine-et-Loire en région Pays de la Loire.

Armaillé

Vue du bourg d'Armaillé, traversé par la Verzée.
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Segré
Intercommunalité Anjou Bleu Communauté
Maire
Mandat
Emmanuelle Galisson
2020-2026
Code postal 49420
Code commune 49010
Démographie
Gentilé Armailléens
Population
municipale
317 hab. (2018 )
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 42′ 54″ nord, 1° 07′ 39″ ouest
Altitude 97 m
Min. 39 m
Max. 100 m
Superficie 16,78 km2
Élections
Départementales Canton de Segré-en-Anjou Bleu
Législatives Septième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Armaillé
Géolocalisation sur la carte : Maine-et-Loire
Armaillé
Géolocalisation sur la carte : France
Armaillé
Géolocalisation sur la carte : France
Armaillé

    Commune rurale du Haut-Anjou, Armaillé se situe dans une vallée entre deux lignes de crête où coule la Verzée, qui permit dans le passé d'alimenter des industries locales, comme des tanneries ou des moulins. Bourg agricole ancien, siège d'une famille de chevalerie, le bourg subit dès le XIXe siècle un exode rural qui continue encore au début du XXIe siècle.

    Géographie

    Localisation

    La commune est située dans le Haut-Anjou, à environ km de Pouancé, le chef-lieu de canton, et environ 20 km de Segré, la sous-préfecture.

    Topographie, géologie, relief

    Armaillé fait partie de l'unité paysagère du Segréen, et plus particulièrement de la sous-unité paysagère du Pouancéen, qui se caractérise par un paysage vallonné, aux ondulations orientées d'est en ouest où le maillage bocager tend à se densifier au fur et à mesure que l'on descend dans les vallons[1]. Au niveau géologique, la commune se trouve sur un terrain schisteux, de formation silurienne provenant du massif armoricain.

    La commune se situe entre deux lignes de crête. Au nord, l'altitude est comprise entre 94 et 98 mètres, et descend progressivement jusqu'au bourg même de la commune, qui se situe à 45 mètres. Le terrain remonte ensuite vers la seconde crête, au sud, culminant à 89 mètres, puis redescend une nouvelle fois, vers la commune de Saint-Michel-et-Chanveaux[2].

    Climat

    La région du Haut-Anjou est caractéristique de la «douceur angevine»[3]. Le climat du Maine-et-Loire étant un climat de transition entre le climat océanique de la côte atlantique et le climat continental de la Touraine[4], les hivers y sont doux et les étés agréables. À l'arrivée des perturbations venant de l'océan, le Haut-Anjou et Armaillé sont en première ligne. Le nombre de jours avec précipitations y oscille entre 140 et 150 par an[3].

    Hydrographie

    La commune est traversée d'ouest en est par la Verzée. La rivière est rejointe par le ruisseau des Rochettes, qui forme une partie de la frontière ouest de la commune avec La Prévière. D'autres ruisseaux, coulant en intermittence, peuvent rejoindre la rivière. Celle-ci forme plusieurs étangs au niveau du Domaine du Château du Bois-Geslin, ainsi qu'un plan d'eau devant le bourg, créé par la retenue d'eau de l'ancien moulin. La limite sud de la commune, avec Saint-Michel-et-Chanveaux est délimitée par le ruisseau du Merdereau[2].

    Toponymie

    Attestée sous les formes Armaleiacus en 1050, Armaleium vers 1330 [5].

    Histoire

    Préhistoire

    Aucun site préhistorique ne se trouve sur la commune, cependant, le menhir de Pierre-Frite, le troisième le plus élevé du département[6], se trouve à proximité, à la frontière sud, mais sur le territoire de Saint-Michel-et-Chanveaux.

    Moyen Âge

    Il est possible qu'à l'emplacement actuel du bourg d'Armaillé se soit tenue une motte féodale puis une résidence seigneuriale, sur la rive droite de la Verzée, où se trouve une cave souterraine. Un des premiers seigneurs du fief fut Hervé d'Armaillé, fils d'Hervé de Martigné, premier seigneur de Pouancé, et frère vassal de Gautier Hai, successeur de leur père à Pouancé[7]. La fondation de l'église date certainement d'avant le XIe siècle. Jean d'Armaillé, bienfaiteur des Dominicains d'Angers, meurt en 1246. Au XVe siècle, la famille d'Armaillé quitte l'ancien château pour s'établir au Bois-Geslin, où ils en font construire un nouveau[8].

    Ancien régime

    En 1576, la famille d'Armaillé cède le Bois-Geslin à Jacques de la Forest d'Armaillé[9], qui reprend le titre . Le château et le fief dépendent toujours de Pouancé. Entre 1635 et 1639, une épidémie de dysenterie ravage la paroisse, puis une seconde en 1707, qui emporte Jean-Gilles Lallemand, le curé. Durant une autre épidémie, en 1781, le curé de la paroisse s'endette de 200 livres pour venir en aide aux malades. À la fin du XVIIIe siècle, 450 miséreux résident dans la commune. Il n'y a pas de chirurgien, ni de vétérinaire. La seule industrie de la ville est une tannerie. Les impôts s'élevaient pour la paroisse à 1 217 livres pour les vingtièmes, 1 457 livres pour la taille et 204 livres pour la capitation. Les habitants sont également soumis à la gabelle et dépendent du grenier à sel de Pouancé[8].

    Révolution

    La paroisse envoie deux représentants aux États généraux de 1789, le notaire et le tanneur. En 1790, la paroisse est transformée en commune et intégrée dans le canton de Pouancé. En 1792, le curé d'Armaillé refuse de prêter serment et s'exile à Jersey suivi de son vicaire. Un curé constitutionnel vient le remplacer, mais ne reste en fonction que deux mois. Son remplaçant abandonne à son tour[8]. La même année, le 20 mai, une vingtaine d'hommes de la Garde nationale de Pouancé arrivent à Armaillé et arrêtent le maire et une habitante[10]. En 1793, lors de la levée des 300 000 hommes, des hommes des communes alentour entrent dans le bourg et désarment les officiers municipaux et les habitants patriotes[11].

    Époque contemporaine

    La fermeture en 1855 des forges de Tressé, sur la commune de Pouancé, entraine un exode de la population. En 1875, l'ancienne église est détruite pour en construire une nouvelle, de style néogothique. En 1912 sont construits, à la sortie du bourg, la mairie et le groupe scolaire. Lors de la Première Guerre mondiale, Armaillé perd 22 de ses habitants. L'électricité est établie en 1924. La Seconde Guerre mondiale voit la mort de 3 habitants[8].

    Politique et administration

    Armaillé est située dans le canton de Pouancé, arrondissement de Segré, dans le département de Maine-et-Loire. La commune comptant moins de 500 habitants, son conseil municipal est constitué de 11 élus.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1790 janvier 1792 Toussaint Péju    
    janvier 1792 décembre 1792 René Raoult   arrêté en 1792.
    décembre 1792 1800 François Jallot    
    1800 1808 René Deshaies    
    1808 1813 François Jallot    
    1813 1816 Coué-Dutertre    
    1816 1820 Pierre Raoult    
    1820 1826 Gendry    
    1826 1839 François Jallot    
    1839 1841 Bréjouin    
    1841 1847 Raimbault    
    1847 1851 Rivière    
    1851 1863 Prod'homme    
    1863 1892 Louis Dutertre    
    1892 1900 Alexandre Audiganne    
    1900 1904 Joseph Freisnais    
    1904 1919 Germain Deneux    
    1919 1953 Pierre Adam    
    1989 2001 Bernard Thoumin   Agriculteur
    mars 2001 mai 2020 Bernard Gaultier[12] DVD Agriculteur
    mai 2020 En cours
    (au 29 mai 2020)
    Emmanuelle Galisson[13]    

    Intercommunalité

    La commune adhère, comme les autres communes du canton de Pouancé, à un syndicat intercommunal à vocations multiples (SIVM) créé en 1966. Celui-ci devient la communauté de communes de la région de Pouancé-Combrée en 1995[14]. Le 14 décembre 2016, elle se retire de la communauté qui est dissoute le lendemain. Le 1er janvier 2017, la commune rejoint Anjou Bleu Communauté.

    Population et société

    Évolution démographique

    Dans son Dictionnaire Historique, Géographique et Biographique de Maine-et-Loire, Célestin Port livre le compte de la population d'Armaillé sous l'Ancien Régime. La population est exprimée en « feux », c'est-à-dire en foyer de famille. Pour estimer le nombre d'habitants, il faut appliquer un coefficient multiplicateur de 5. Entre 1720 et 1726, la paroisse comptait 176 feux, pour 794 habitants[8].


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[15]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[16].

    En 2018, la commune comptait 317 habitants[Note 1], en augmentation de 4,97 % par rapport à 2013 (Maine-et-Loire : +1,96 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    779515657670810797762736793
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    726731713697736755729650613
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    622611597537507509514475495
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    453403335307297290295285310
    2018 - - - - - - - -
    317--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[17] puis Insee à partir de 2006[18].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (10,4 %) est en effet inférieur au taux national (22,1 %) et au taux départemental (21,4 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (54 % contre 48,4 % au niveau national et 48,6 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2008, la suivante :

    • 54 % d’hommes (0 à 14 ans = 24,7 %, 15 à 29 ans = 20,1 %, 30 à 44 ans = 24 %, 45 à 59 ans = 21,4 %, plus de 60 ans = 9,7 %) ;
    • 46 % de femmes (0 à 14 ans = 20,6 %, 15 à 29 ans = 22,9 %, 30 à 44 ans = 22,9 %, 45 à 59 ans = 22,1 %, plus de 60 ans = 11,4 %).
    Pyramide des âges à Armaillé en 2008 en pourcentage[19]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90 ans ou +
    0,0 
    3,2 
    75 à 89 ans
    6,1 
    6,5 
    60 à 74 ans
    5,3 
    21,4 
    45 à 59 ans
    22,1 
    24,0 
    30 à 44 ans
    22,9 
    20,1 
    15 à 29 ans
    22,9 
    24,7 
    0 à 14 ans
    20,6 
    Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2008 en pourcentage[20]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,1 
    6,3 
    75 à 89 ans
    9,5 
    12,1 
    60 à 74 ans
    13,1 
    20,0 
    45 à 59 ans
    19,4 
    20,3 
    30 à 44 ans
    19,3 
    20,2 
    15 à 29 ans
    18,9 
    20,7 
    0 à 14 ans
    18,7 

    Enseignement

    Seule une école publique dépendant de l'académie de Nantes accueille les enfants de maternelle et primaire. Les collèges se trouvent à Pouancé et les lycées se situent à Châteaubriant ou Segré.

    Santé

    Il n'y a pas de médecin ni d'infirmier installé à Armaillé. Les plus proches sont basés à Pouancé, de même que l'hôpital. Les cliniques les plus proches se situent à Châteaubriant, de même que le service maternité.

    Autres équipements, commerces et tourisme

    La commune dispose pour unique équipement sportif d'un terrain de football, d'une bibliothèque pour équipement culturel et d'une salle de fête d'une capacité de 100 personnes. Un commerce fait office de café-tabac et de dépôt de pain[21]. Pour le tourisme, la commune est affiliée à l'office de tourisme de l'Anjou bleu (office de tourisme de destination). Une chambre d'hôtes et un gîte rural se trouve sur la commune[22]. Armaillé a obtenu une fleur au concours des villes et villages fleuris.

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    En 2008, le revenu fiscal médian par ménage était de 15 446 , ce qui plaçait Armaillé au 24 741e rang parmi les 31 604 communes de plus de 50 ménages en métropole[23].

    Emploi, entreprises et commerces

    Selon l'INSEE, la commune comptait en 2009, hors exploitations agricoles, quatre entreprises dont une dans la construction et trois dans le commerce, le transport, la réparation automobile et les services divers[19].

    Sur 39 établissements présents sur la commune à fin 2015, 51 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 11 % sur le département), 8 % du secteur de l'industrie, 5 % du secteur de la construction, 31 % de celui du commerce et des services et 5 % du secteur de l'administration et de la santé[24].

    Agriculture

    On comptait 33 exploitations agricoles en 2000[19]. Le nombre d'exploitations a diminué entre 1988 et 2000, passant de 37 à 33, mais la superficie cultivée a, elle, augmenté dans cette période, passant de 1 431 hectares (moyenne 39 hectares par exploitation) à 1 569 hectares (48 hectares par exploitation). Vingt-six exploitations élevaient des bovins, le nombre de tête baissant légèrement de 2 770 à 2 743 entre 1988 et 2000, et vingt-cinq des volailles, dont le nombre baisse également de 5 691 à 5 111 sur la même période[19].

    Appellations sur le territoire

    La commune possède au total une quinzaine d'appellations sur le territoire[25]:

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Armaillé comporte plusieurs monuments à découvrir :

    • Le prieuré de la Primaudière est un ancien prieuré fondé en 1207 par accord entre le seigneur de Pouancé, Guillaume de La Guerche, et Geoffroy, seigneur de Châteaubriant. L'ordre de Grandmont s'y établit. Le prieuré a pour particularité d'être établi au-dessus de la Nymphe, le cours d'eau séparant l'Anjou de la Bretagne. Vendu comme bien national sous la Révolution française, la nef de la chapelle est convertie en verrerie, puis en étable. Actuellement, la nef a été restaurée et est accessible au public, tandis que les anciens communs sont propriété d'un privé. Seule la nef de l'édifice et une moitié des communs se trouvent sur la commune d'Armaillé, le reste faisant partie de Juigné-des-Moutiers[F 1].
    • Le château du Bois-Gélin est une demeure du XVIe siècle, qui devient la maison seigneuriale de la famille d'Armaillé. Il sera vendu plus tard à Jacques de la Forest et appartiendra au XXe siècle à Louis de Broglie. Le château s'articule autour d'un logis flanqué de deux pavillons à pignon pointus au nord, eux-mêmes flanquées d'une tourelle. Les douves sont encore présentes[F 1].
    • Le lavoir d'Armaillé datant du XIXe siècle possède encore un ex-voto scellé dans la maçonnerie. Originellement placé sur un acacia avec une Vierge, la niche conserve l'inscription « Jésus, Maria, 1756. Prions les. Cette croix et cette Vierge ont été données par un homme qui a failli se noyer et les a fait faire en 1767. »[F 2].
    • L'ancienne minoterie, installée sur la Verzée, a été construite vers 1863. En 1869, la cheminée en brique est construite. Originellement haute de 28 mètres, elle a été depuis tronquée de la moitié de sa hauteur[F 2].
    • L'église Saint-Pierre-Saint-Paul remonte à 1875, payée par une souscription publique, par la commune, la fabrique et l'État. Le monument est de style néogothique, avec un nef formée de voûtes en ogives surbaissées donnant sur un transept et un chœur. Dans un bras du transept se trouve un autel dédié à sainte Apolline. Plusieurs statues se trouvent dans le transept ou le chœur. Lors du réaménagement de l'édifice en 1928, la dalle funéraire de François de la Forest d'Armaillé, daté de 1662 est descellée pour être placée à l'entrée de l'église. Lors de ce déplacement, deux cœurs en fer, relié par une tige, ont été retrouvés. Ces cœurs sont ceux de François et de son épouse Françoise Le Chat (fille de Pierre Le Chat et de Marie Ayrault). Ils sont aujourd'hui exposées dans un oculus vitré, dans l'église[F 2],[8].

    Personnalités liées à la commune

    Norbert Esnault (1928-2016), coureur cycliste.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Célestin Port, Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : A-C, t. 1, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (notice BnF no FRBNF33141105, lire en ligne)
    • Jean-Luc Flohic (dir.), Aude Guiheneuc et Rémy Toulouse, Le Patrimoine des communes de Maine-et-Loire, .
    1. p. 1017.
    2. p. 1018.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Atlas des paysages du Maine-et-Loire, 2003, Édition le Polygraphe, p. 164.
    2. « Armaillé », sur geoportail.fr (consulté le ).
    3. Douceur angevine sur Anjou tourisme.
    4. Comité départemental météorologique.
    5. Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, p. 22.
    6. Bernard M. Henry, L'Anjou Préhistorique et Archéologique : Quatre mille ans d’histoire, G. H. Rossard (Librairie Sainte-Croix), Angers, 1975, p. 46.
    7. Peuplement, pouvoir et paysage sur la marche Anjou-Bretagne, Jean-Claude Meuret ; Société d'archéologie et d'histoire de la Mayenne, 1993, p. 359.
    8. Dictionnaire historique, géographie et biographique du Maine-et-Loire, Célestin Port, éd. 1996.
    9. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française, Robert Laffont, 2007, page 112.
    10. André Neau, Sur les chemins de l'Histoire, en Pays Pouancéen, Pouancé, 2010, p. 217.
    11. p. 222.
    12. Réélection 2014 : « Liste des maires élus en 2014 », sur le site de la Préfecture du département de Maine-et-Loire (consulté le ).
    13. « Maine-et-Loire. Emmanuelle Galisson, première femme maire d’Armaillé », sur Ouest-France, (consulté le ).
    14. « Communauté de Communes de la région de Pouancé-Combrée », sur cc-pouance-combree.fr (consulté le ).
    15. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    16. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    17. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    18. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    19. Armaillé sur le site de l'Insee.
    20. « Résultats du recensement de la population de Maine-et-Loire en 2008 », sur insee.fr (consulté le )
    21. « Armaillé », sur Communauté de Commune de la région Pouancé-Combré (consulté le ).
    22. « Hébergement », sur tourismepouanceen.wifeo.com (consulté le ).
    23. « CC-Résumé statistique/com,dep,zone empl », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    24. « Commune d’Armaillé (49010) », sur Insee, .
    25. Armaillé sur le site de l'INAO - Consulté le 7 juin 2011.
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