Juigné-des-Moutiers

Juigné-des-Moutiers (ou Juigné-les-Moutiers) est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Pour les articles homonymes, voir Juigné et Moutiers.

Juigné-des-Moutiers

La rue du Bourg.

Blason
Administration
Pays France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Châteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Communauté de communes Châteaubriant-Derval
Maire
Mandat
Brigitte Maison
2020-2026
Code postal 44670
Code commune 44078
Démographie
Gentilé Juignéens
Population
municipale
338 hab. (2018 )
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 40′ 47″ nord, 1° 11′ 02″ ouest
Altitude Min. 52 m
Max. 102 m
Superficie 24,65 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châteaubriant
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châteaubriant
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Juigné-des-Moutiers
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Juigné-des-Moutiers
Géolocalisation sur la carte : France
Juigné-des-Moutiers
Géolocalisation sur la carte : France
Juigné-des-Moutiers
Liens
Site web http://www.juignedesmoutiers.fr

    Sise sur un territoire qui a permis au cours des siècles l'exploitation du bois, du fer et de l'ardoise, Juigné-des-Moutiers est marquée par l'histoire de ses deux monastères, dont celui de Prieuré de la Primaudière, classé monument historique au XXe siècle. L'histoire de la commune est liée à celle du duché de Bretagne et de l'épisode de la chouannerie lors de la Révolution. Subissant, déclin démographique depuis le milieu du XIXe siècle, enrayé au début du XXIe siècle, Juigné est une commune rurale riche de sa forêt et de son agriculture.

    Géographie

    Situation

    Situation de la commune de Juigné-des-Moutiers dans le département de la Loire-Atlantique.

    Juigné-des-Moutiers est située à 15 km au sud-est de Châteaubriant, à 50 km d'Angers, à 60 km de Nantes et à 60 km de Rennes[1]. Les communes limitrophes sont Soudan, Erbray, Saint-Julien-de-Vouvantes et La Chapelle-Glain en Loire-Atlantique, Carbay, La Prévière, Armaillé et Saint-Michel-et-Chanveaux en Maine-et-Loire.

    Relief

    Le profil du territoire est relativement plat, le point le plus bas se situe au nord, au niveau de la Richardais[2].

    Hydrographie

    Au sud de la commune, près du hameau de Ruigné, coule le ruisseau la Gravelle. Près de l'ancien prieuré de la Primaudière se trouve l'étang de la Fonte. L'étang de la Blisière est à l'est du territoire de la commune[2].

    Climat

    Juigné-des-Moutiers est limitrophe de l'Anjou. Son climat est réputé particulièrement doux. Ceci est lié à sa situation entre climat océanique et climat continental. Les hivers sont généralement pluvieux, les gelés rares et les étés ensoleillés. Le tableau suivant recense les données climatique d'Angers, distante de 52 kilomètres à vol d'oiseau de la commune de Juigné-des-Moutiers.

    MoisJanvFévMarsAvrMaiJuinJuilAoûtSeptOctNovDécAnnée
    Températures maximales moyennes (°C) 7,9 9,2 12,6 15,3 19 22,6 24,9 24,7 21,8 17 11,4 8,4 16,2
    Températures minimales moyennes (°C) 2,1 2,2 3,9 5,6 8,9 11,8 13,6 13,4 11,3 8,4 4,6 2,8 7,4
    Températures moyennes (°C) 5 5,7 8,2 10.4 13,9 16,2 19,2 19,1 16,5 12,7 8 5,6 11,8
    Moyennes mensuelles de précipitations (mm) 62,1 50,8 51,7 44,6 54,4 41,2 43,8 44,9 52,2 59,6 64,5 63,4 633,4
    Durée mensuelle d'ensoleillement (heures/mois) 70 92 141 179 201 234 248 237 191 129 89 65 1877
    Source : site Lameteo[3].

    Urbanisme

    Typologie

    Juigné-des-Moutiers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[4],[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteaubriant dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (62,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62,2 %), zones agricoles hétérogènes (14,7 %), prairies (13,8 %), terres arables (7,4 %), zones urbanisées (1 %), eaux continentales[Note 3] (0,9 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attestée sous sa forme latine Joviniacum dès 1123[11].

    La commune tire une partie de son nom de l'ancien français moustier, signifiant monastère[F 1].

    La graphie « Juigné-les-Moutiers » est également utilisée (panneau de signalisation routière, ouvrages, site de la Mairie), mais le code officiel géographique donne Juigné-des-Moutiers[12].

    Juigné possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale : Junyaé (écriture ELG, prononcé [ʒy.ɲə])[13].

    En breton, son nom est Yaoueneg-ar-Mousteriou[14].

    Histoire

    Prieuré de la Primaudière.

    Des vestiges d'une voie romaine ayant été mis au jour sur le territoire de la commune, le peuplement du site est supposé remonter à cette époque. Au Moyen Âge, alors que la région appartient au duché de Bretagne, Juigné-des-Moutiers est mentionné la première fois en 1123, lorsque son église est offerte à Brice, évêque de Nantes. À l'époque, deux prieurés cohabitent sur le territoire de l'actuelle commune. Le premier, les Moutiers, se situe dans le bourg, le second, la Primaudière, se trouve à deux kilomètres au nord[F 1]. Le prieuré de la Primaudière est fondé en 1207 après signature d'une charte entre seigneurs bretons et angevins, et les évêques d'Angers, Guillaume de Beaumont-au-Maine, et de Nantes, Geoffroi. Le monastère est bâti de part et d'autre de la Nymphe, frontière entre le duché de Bretagne et le royaume de France[F 2]. Jusqu'au XVIIIe siècle, le bourg était situé à un kilomètre à l'est du bourg actuel[F 1].

    Jusqu'à la Révolution, une communauté protestante vivait à Teillais, appelé à l'époque la Huguenotière, où était construit un temple.

    Pendant la Révolution, Gabriel Guyot de Folleville est arrêté à l'étang des Rochettes ; il est exécuté à Châteaubriant le . En même temps que lui est arrêté Louis Fresnais de Beaumont, qui est guillotiné le à Angers. Les cachettes de ce dernier auraient été dévoilées par une jeune fille du village, exécutée elle aussi, par pendaison, dans un lieu situé entre Les Rochettes et la Primaudière[15].

    En , le préfet de Loire-Inférieure fait installer à Juigné-des-Moutiers et à Moisdon-la-Rivière[16] des camps d'accueil pour les réfugiés espagnols de la zone républicaine. Les deux camps comptent 1 160 réfugiés en , 996 en octobre (dont 688 à Moisdon), la majorité étant des femmes et des enfants.

    Depuis l'Antiquité, le fer a été exploité sur le territoire de Juigné. Au Moyen Âge, un réservoir d'eau nécessaire au traitement du minerai voit sa digue se rompre. L'eau déversée dévaste le vieux Juigné et son église. L'église du monastère devient paroissiale et le bourg se déplace autour[C 1]. La paroisse a été le site de forges du XVIe au XVIIIe siècle[F 3]. La forêt de Juigné, assez vaste, est exploitée jusque dans les années 1940. L'économie est depuis cette date essentiellement rurale[F 1]. Les dernières mines d'ardoise sont fermées en 1900, tandis que les carrières de pierre cessent leur activité après la Première Guerre mondiale[C 1]. Juigné-des-Moutiers est la seule commune de la Loire-Atlantique à avoir le Front national en tête lors de l'élection présidentielle de 2012 : Marine Le Pen y obtient un score de 31,80 %.

    Politique et administration

    Mairie de Juigné.

    Juigné-des-Moutiers est située dans le canton et l'arrondissement de Châteaubriant, dans le département de la Loire-Atlantique (région Pays de la Loire)[17]. Comme pour toutes les communes françaises comptant entre 100 et 500 habitants, le Conseil municipal est constitué de onze membres en 2011[18].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[C 2],[15],[19]
    Période Identité Étiquette Qualité
     ?  ? M. Hamon    
     ? 1813 Joseph Cosnard    
    1814  ? Julien Louvet du Pesle    
    1830  ? Louis Bucquet    
    1848  ? Louis Rigault    
     ?  ? M. Richard    
    1860 1868 Julien Jean Masson   Laboureur propriétaire
    1880 1883 Pierre Desgrés    
    1883 1888 Jean Benatre    
    1888 1907 Jean-Marie Hardeux    
    1907 1908 Pierre Ergand    
    1908 1912 Édouard Bourdais    
    1912 1919 Jean Peltier    
    1919 1929 Étienne Lelièvre    
    1929 1942 Eugène Herbert    
    1942 1953 Eugène Fremond    
    1953 1968 Eugène Barbot    
    1968 1971 Ernest Pourrias    
    1971  ? Hervé Bernard    
    mars 2001 2014 Thierry Legrais   Agriculteur
    2014 2020 Jean Voiset    
    2020 En cours Brigitte Maison[20]   Médecin
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Juigné-des-Moutiers est membre de la communauté de communes du Castelbriantais, qui est constituée de dix-neuf communes regroupées autour de Châteaubriant[21].

    Démographie

    Selon le classement établi par l'Insee, Juigné-des-Moutiers est une commune multipolarisée. Elle fait partie de la zone d'emploi de Châteaubriant et du bassin de vie de Pouancé. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[22]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « très peu dense » : 100 % des habitants résidaient dans des zones « très peu denses »[23].

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

    En 2018, la commune comptait 338 habitants[Note 4], en diminution de 3,98 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +6,31 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7207006517711 004918856928941
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    960975988945940896843910918
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 103814746607594567564532516
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    513435389366335322320340354
    2018 - - - - - - - -
    338--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    Les données suivantes concernent l'année 2013. La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (30,2 %) est en effet supérieur au taux national (22,6 %) et au taux départemental (22,5 %)[28],[29],[30]. À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,7 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %)[28],[29],[30].

    Pyramide des âges à Juigné-des-Moutiers en 2013 en pourcentage[28]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90 ans ou +
    1,6 
    6,4 
    75 à 89 ans
    10,4 
    21,1 
    60 à 74 ans
    20,2 
    19,3 
    45 à 59 ans
    16,9 
    22,8 
    30 à 44 ans
    18,0 
    12,3 
    15 à 29 ans
    12,6 
    17,5 
    0 à 14 ans
    20,2 
    Pyramide des âges de la Loire-Atlantique en 2013 en pourcentage[29]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,4 
    90 ans ou +
    1,3 
    5,8 
    75 à 89 ans
    9,1 
    13,5 
    60 à 74 ans
    14,6 
    19,6 
    45 à 59 ans
    19,2 
    20,8 
    30 à 44 ans
    19,6 
    19,4 
    15 à 29 ans
    17,7 
    20,5 
    0 à 14 ans
    18,5 

    Économie

    Le canton de Saint-Julien-de-Vouvantes, dont fait partie Juigné, bénéficie du classement Zone de revitalisation rurale, ce qui permet aux entreprises qui y sont installées de bénéficier d’avantages fiscaux[31].

    En 2011, La Mairie recense 24 établissements actifs : quatre industries, deux entreprises de construction, deux commerces et seize entreprises de services). La zone à vocation artisanale de la Grée, classée Zone de revitalisation rurale, s’entend sur 5,6 hectares. L’entreprise de travaux publics Hervé TP, un des dix plus gros employeurs de la communauté de communes du Castelbriantais, est basée à Juigné-des-Moutiers[31].

    Équipements et services

    Santé

    Il n'y a pas de médecin ou d'infirmier à Juigné-des-Moutiers, les plus proches sont situés à Saint-Julien-de-Vouvantes et Pouancé[32]. Un centre hospitalier est installé à Châteaubriant[33].

    Enseignement

    Juigné-des-Moutiers dépend de l'académie de Nantes. Il n'y a pas d'école publique dans la commune, l'école privée Notre-Dame-de-Lourdes fait partie réseau de l'enseignement catholique[34]. Les collèges et les lycées se situent à Châteaubriant[35],[36],[37],[38],[39],[40].

    Autre

    La Mairie assure un service de repas à domicile pour les personnes âgées[31].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Pierre.

    L'église Saint-Pierre a été construite en 1878.

    L'ancien prieuré de la Primaudière date des XIIe, XIIIe et XVIIIe siècles. Les moines le fondèrent en 1207 et le quittèrent en 1762. La chapelle de la Primaudière (XIIe siècle) est un lieu de pèlerinage au Moyen Âge. L'abside est bâtie sur des contreforts à degrés pyramidaux[F 2]. Le site est transformé en verrerie au XIXe siècle. Le prieuré est classé au titre des monuments historiques[41].

    Le domaine de Ruigné est une ancienne exploitation d'ardoises. Le hameau est une cité ouvrière du XVIIe siècle dont les maisons sont bâties en schiste[F 2]

    La Forêt de Juigné

    Il y a plusieurs tombes datant de la Révolution, celle dite de l'émigré (peut-être un chef royaliste ou un évêque) à La Colinerie et le tombeau des Fombrayeux, où reposent sept fombrayeux, c'est-à-dire des ouvriers journaliers chargés de récurer les étables et écuries, tués par les chouans[F 3].

    Monument de Bout-de-Forêt

    Il reste des bâtiments des anciennes forges à Teillais, à la Blisière et la Prévière.

    La forêt de Juigné, de 2 114 hectares, s'étale également sur les communes alentour. Elle regroupe entre autres des chênes, conifères, hêtres, châtaigniers. Un bâtiment de chasse du début du XIXe siècle subsiste. Le site a été un terrain de chasse pour les propriétaires successifs, notamment la famille Bourbon Condé et dle duc d'Aumale. Au début du XXe siècle le bâtiment est devenu un lieu pour bals champêtres[F 3]. Jusqu'à la fin de la Seconde Guerre mondiale, des charbonniers vivaient de la production de charbon de bois dans la forêt[F 4]

    Héraldique

    D'argent au chêne de sinople, le fût traversé par un sanglier de sable.

    Voir aussi

    Bibliographie

     : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article..

    • Jean-Luc Flohic (dir.), Éric Brochard et Véronique Daboust, Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique, vol. 2, Charenton-le-Pont, Flohic éditions, , 1383 p. (ISBN 2-84234-040-X), p. 1109-1111. 
    • Collectif, Canton de Saint-Julien-de-Vouvantes : souvenirs du passé, Saint-Julien de Vouvantes, Fédération cantonale des associations de retraités, , 127 p. (notice BnF no FRBNF34775265). 

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    • Autres références
    1. « Juigné-des-Moutiers », sur Localisation interactive, orthodromie et navigation (consulté le ).
    2. « Carte IGN de Juigné-des-Moutiers » sur Géoportail..
    3. « Climatologie de 1947 à 2008 - Angers, France », sur lameteo.org (consulté le ).
    4. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    6. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 34.
    12. « Code officiel géographique - Juigné-des-Moutiers », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    13. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
    14. Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
    15. « Juigné-des-Moutiers », sur Infobretagne (consulté le ).
    16. Bartolomé Bennassar, La Guerre d'Espagne et ses lendemains, Perrin, Paris, 2004, page 408 (collection Tempus).
    17. « Fiche de la commune de Juigné-des-Moutiers », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
    19. « Les maires de Juigné-des-Moutiers », sur MairesGenWeb (consulté le ).
    20. « Site officiel de la commune de Juigné des Moutiers », sur www.juignedesmoutiers.fr (consulté le ).
    21. « Juigné-les-Moutiers », sur Communauté de communes du Castelbriantais (consulté le ).
    22. « Commune de Juigné-des-Moutiers (44078) », Insee (consulté le ).
    23. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
    24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    28. « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Juigné-des-Moutiers - POP T0-T3 - Population par sexe et âge en 2013 », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
    29. « Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, Insee (consulté le ).
    30. « Résultats du recensement de la population française - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, Insee (consulté le ).
    31. « Juigné-des-Moutiers », sur communauté de communes du Castelbriantais (consulté le ).
    32. « Recherche », sur Les pages jaunes (consulté le ).
    33. « Liste des hôpitaux et cliniques de la Loire-Atlantique », sur Annuaire sanitaire et social (consulté le ).
    34. « Les écoles de l'académie », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    35. « Les collèges publics de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    36. « Les collèges privés de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    37. « Les lycées publics de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    38. « Les lycées privés de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    39. « Les lycées publics professionnels publics de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    40. « Les lycées professionnels privés de la Loire-Atlantique », sur Académie de Nantes (consulté le ).
    41. Notice no PA44000034, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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