André Chénier

André Marie de Chénier, dit André Chénier, fils de Louis de Chénier et frère de Marie-Joseph Chénier, est un poète et journaliste français né le à Constantinople et mort guillotiné à Paris le 7 Thermidor de l'an II () à 31 ans.

Pour les articles homonymes, voir Chénier.

Sa poésie comprend des réécritures de poèmes antiques, des élégies personnelles, des poèmes philosophiques et des poèmes politiques marqués par le contexte révolutionnaire. L'œuvre inachevée de ce jeune poète du XVIIIe siècle, publiée progressivement à partir de 1819, a fait de lui une figure majeure de l'hellénisme en France[1] et un inspirateur du romantisme.

Durant la période révolutionnaire, il entre dans les polémiques politiques. Héritier des Lumières, il est membre du parti constitutionnel, admire la Révolution de 1789 mais prend violemment position contre le jacobinisme mené par Robespierre, tout en méprisant les royalistes.

Biographie

Enfance et adolescence

André Chénier est né à Galata, quartier de Constantinople (aujourd'hui Istanbul en Turquie), d’une mère grecque (Elisabeth Lhomaca)[2],[3] et d’un négociant français, Louis de Chénier. La famille rentre en France en 1765, mais le père repart bientôt seul pour être consul au Maroc[4] (ville de Safi). André fut élevé par sa tante Marie et l'époux de celle-ci, André Béraut, à Carcassonne[5],[6],[7] Il est admis en 1773 au Collège de Navarre, qui est ouvert sur les idées nouvelles : l'histoire et la géographie sont inspirées de L'Essai sur les mœurs de Voltaire, la philosophie inspirée du sensualisme de Condillac[8]. Il s'y lie avec des fils de grandes familles, notamment Charles et Michel de Trudaine, ainsi que Louis et François de Pange, grâce auxquels il put ensuite fréquenter les milieux littéraires et aristocratiques ; plusieurs de ses poèmes sont dédiés à ces amis. Les Trudaine et les Pange sont par ailleurs proches de Turgot, des Lumières et des encyclopédistes. Tous ces amis ont Condorcet pour maître à penser[9].

Activités poétiques

Pour l'arracher à un amour malheureux pour une chanteuse de l'Opéra (sa Lycoris), on lui ménagea un stage d'élève officier à Strasbourg en 1782 ; mais il se vit fermer la carrière militaire comme roturier. Reportant désormais toute son ambition vers la poésie, quoique sans publier, il conçut de grands projets, avec l'espoir de devenir « l’Homère des modernes »[2]. Cependant, après un voyage en Suisse en 1784, il composa surtout des Élégies et des Bucoliques, où l'imitation des modèles antiques[11] servait l'expression esthétique d'une inspiration orientée par sa passion pour la mondaine Michelle Guesnon de Bonneuil (appelée D'Azan ou Camille), puis par son amitié amoureuse pour la peintre italo-anglaise Maria Cosway née Hadfield, épouse de Richard Cosway, courtisée par l'ambassadeur américain Thomas Jefferson.

À partir de , au retour d'un rapide et mystérieux voyage en Italie, il s'occupa plus activement de poèmes philosophiques et satiriques qui portent la marque du climat idéologique et politique de l'époque prérévolutionnaire ; mais sa situation précaire l'obligea à contenir sa combativité. Engagé comme ambassadeur privé du marquis de la Luzerne, ambassadeur de France en Angleterre, il partit le en compagnie de Maria Cosway, qui rentrait à Londres, où il resta en service jusqu'en 1790, tout en disposant chaque été d'un congé à Paris.

Journalisme

Il contribua au Journal de la Société de 1789 qui compta une quinzaine de numéros[2]. À partir de 1791, il collabora, comme Michel Regnaud de Saint-Jean d'Angély et François de Pange, au Journal de Paris, organe du parti constitutionnel, où il condamna la Terreur de la Révolution dans des articles critiques contre Jacques Pierre Brissot, et d'autres plus véhéments contre les Jacobins, notamment Robespierre et Marat[2]. Inquiété pour ses prises de position publiques, il réussit à sortir de Paris, après le 10 août 1792, quittant le quartier du Sentier, où il résidait chez ses parents. Au moment des massacres de Septembre, il se rendit à Rouen, puis au Havre, d'où il aurait pu embarquer. Il refusa néanmoins d'émigrer et revint à Paris, afin de participer aux tentatives faites pour arracher Louis XVI à l'échafaud. Il se replia au printemps 1793 à Versailles, d'où il se rendait souvent à Louveciennes où se trouvait la propriété de ses amis Lecouteulx[2]. Discrètement amoureux de Françoise Lecouteulx, il composa pour elle la mélancolique série des Odes à Fanny[12].

Arrestation et condamnation

Appel des dernières victimes de la terreur dans la prison de saint Lazare.7, 9 thermidor 1794 par Charles Müller.

André Chénier est arrêté à Passy (sur l'actuelle rue Bois-Le-Vent[13]) le alors qu’il rend visite à son amie, Adélaïde Piscatory, marquise de Pastoret. Venant de Versailles, il est accompagné d'Émilie-Lucrèce d’Estat qui, comme lui, a participé aux achats de votes de Conventionnels pendant le procès de Louis XVI. Mlle d’Estat, maîtresse puis épouse de José Ocariz, l’ancien chargé d’affaires ayant rang d’ambassadeur espagnol à Paris avant la déclaration de guerre, qui a supervisé cette vaste opération de corruption[Note 1], a conservé des papiers relatifs à cette affaire. Ce dossier très important qu'André Chénier a eu entre les mains est activement recherché par les comités de l’an II.

Sachant que Mlle d’Estat, dont le frère et la sœur viennent d’être guillotinés, est elle-même en grand danger, Chénier se met courageusement en avant, créant une espèce de confusion à l’occasion de laquelle Mlle d’Estat peut s’esquiver tandis qu’on l’emmène, lui, en prison à Saint-Lazare. Impliqué dans une affaire qui permet d’exécuter les suspects sans les entendre, il est condamné à mort par le Tribunal révolutionnaire, pour avoir « recelé les papiers de l'ambassadeur d'Espagne ». Il est également accusé comme « ex-adjudant-chef et chef-de-brigade » sous les ordres de Charles François Dumouriez d'avoir écrit « un mémoire contre des habitants de la commune de Breteuil » alors qu'en réalité, c'est son frère « Sauveur » Chénier qui en est l'auteur et qui est lui-même emprisonné à Beauvais[14].

À l'instar de Jean-Baptiste Coffinhal qui avait adressé à Antoine Lavoisier lors de son procès : « La République n’a pas besoin de savants, ni de chimistes »[15], Fouquier-Tinville adressa à André Chénier la phrase suivante : « La République n’a pas besoin de poète »[réf. souhaitée].

André Chénier est guillotiné le 7 thermidor, avec le poète Jean-Antoine Roucher et Frédéric de Trenck, deux jours avant l’arrestation de Robespierre. La veille de sa mort, il aurait écrit l’ode La Jeune Captive, poème qui évoque la figure de sa muse, Aimée de Coigny.

S'adressant à Jean Antoine Roucher, ses dernières paroles[16] prononcées avant de monter sur l’échafaud sont : « Je n'ai rien fait pour la postérité », ajoutant en se désignant la tête : « Pourtant, j’avais quelque chose là ! » ou « C'est dommage, il y avait quelque chose là ! »[Note 2]. Son corps, parmi mille trois cents autres victimes de la Terreur et de la guillotine, est jeté place de la Nation, dans une fosse commune du couvent des Chanoinesses, plus tard devenu le cimetière de Picpus à Paris[17].

Il est aussi connu pour l'anecdote suivante : attendant son tour devant l'échafaud, il lit une pièce de Sophocle. Lorsque le bourreau l'appelle pour lui lier les mains, Chénier remet son livre en poche, non sans avoir corné la page[18],[19].

Son frère cadet, Marie-Joseph Chénier, écrivain, dramaturge, mena de pair une carrière politique. Après la mort d'André, les Royalistes se livrèrent à une violente campagne diffamatoire contre Marie-Joseph, le traitant de Caïn et l’accusant faussement, pour discréditer les Républicains, d’avoir laissé exécuter son frère.

Œuvres d’art inspirées de ses poèmes et de sa vie

Portrait du poète André Chénier (1762-1794)
Horace Vernet, 1825
Collection privée[20]
Buste d'André Chénier par le sculpteur David d'Angers (1839).

Hommage

Plaque au no 97 rue de Cléry (Paris).
Plaque apposée à Carcassonne, rue Pinel, sur la maison où André Chénier passa une partie de son enfance.

À Paris, dans le 2e arrondissement, une rue Chénier existe depuis 1864, à quelques pas du 97 rue de Cléry où est apposée une plaque mémorielle.

Il existe un collège André Chénier :

  • à Marseille dans le 12e arrondissement ;

À Carcassonne encore, entre la gare et le centre-ville, un square bordé d'un mail porte également le nom d'André Chénier.

L'Institution Sainte-Marie d'Antony possède un amphithéâtre nommé André Chénier.

À Versailles, une rue André Chénier existe dans le centre-ville. Elle est l'une des quatre rues périphériques de la Place du Marché Notre-Dame. Sur un plan de 1854 cette rue s'appelait Rue des Fripiers[23], elle apparaît sous son nom actuel sur un plan de 1889[24].

Dans le département des Yvelines (78), une école primaire de Louveciennes porte son nom ainsi qu'une école maternelle de Montigny-le-Bretonneux

Une impasse existe en son nom aussi :

  • à Wasquehal, ville du département du Nord (59).

Le nom d’André Chénier a été donné à :

  • une avenue de Roubaix, ville du département du Nord (59) ;
  • une avenue de Limoux, ville du département de l'Aude (11);
  • une rue et une école maternelle dans cette rue à Amiens, chef-lieu du département de la Somme (80) ;
  • une rue limitrophe entre les communes de Massy et d'Antony ;
  • une rue à Toulon, chef-lieu du département du Var (83).
  • une rue à Reims commune du département de Marne (51)

Bibliographie

Œuvres de Chénier
  • André Chénier, Œuvres complètes, Paris, Gallimard, 1940, Bibliothèque de la Pléiade, édition de Georges Walter.
  • André Chénier, Poésies, Paris, Gallimard, 1994, coll. "Poésie", édition de Louis Becq de Fouquières, fac-similé de l'édition de 1872, (ISBN 2-07-032812-0).
  • André Chénier, Œuvres poétiques, tome 1 : Imitations et préludes. Art d'aimer. Élégies. Édition critique par Georges Buisson et Édouard Guitton, Paradigme, 2005.
  • André Chénier, Œuvres poétiques, tome 2 : Bucoliques. Epîtres et Poétique. L'Invention. Édition critique par Georges Buisson, Paradigme, 2010, édition de référence du jury de l'agrégation de Lettres.
Ouvrages sur Chénier
  • Paul Dimoff, La vie et l’œuvre d'André Chénier, Paris 1936, Slatkine Reprints 1970.
  • Georges Walter, André Chénier, son milieu, son temps, Paris, Robert Laffont, 1946.
  • Jean Fabre, Chénier, l'homme et l'œuvre, Hatier, 1955.
  • Jean-Marie Gerbault, André Chénier, Paris, Seghers, 1958.
  • Catriona Seth, André Chénier, le miracle du siècle, Paris, PUPS, 2005.
  • Jean Goulemot, André Chénier : poésie et politique, (avec Jean-Jacques Tatin-Gourier), Paris, Minerve, 2005, vol.I, 219 p.  (ISBN 2-86931-113-3)
  • Catriona Seth et Agnès Steuckardt, André Chénier. Études sur les Imitations et préludes poétiques, Art d'aimer et Elégies, Neuilly, Atlande, 2005.
  • Venance Dougados et son temps, André Chénier, Fabre d'Églantine, actes du colloque international tenu à Carcassonne les 5, 6 et , (éd.) Sylvie Caucanas et Rémy Cazals, 1995, 222 p.  (ISBN 2-906442-12-7)
  • Henri Troyat, Le pas du juge ou la vie des frères Chénier, Paris, de Fallois, , 202 p. (ISBN 978-2-87706-682-2)
Articles
  1. « André Chénier et la dynamique constituante des affects », dans Jean-Noël Pascal (éd.), Lectures de Chénier : Imitations et préludes poétiques, Art d’aimer, Presses universitaires de Rennes, 2005, p. 31-46.
  2. « André Chénier entre l’abeille et la harpe éolienne : enjeux poétiques et politiques de l’imitation inventrice » (Lire en ligne [PDF]).
  3. « Le dilemme du peintre affligé. André Chénier et la cartographie de l’élégiaque », Cahiers Roucher-André Chénier, no 25 spécial sur l’Élégie, 2006, p. 91-118.
  4. « Gémir en silence. Puissance des engagements hétérogènes d’André Chénier », Laurent Loty (éd), Littérature et engagement sous la Révolution française, Presses Universitaires de Rennes, 2007, p. 163-191.
  5. « La propriété poétique, c’est le vol de l’abeille. Éloge du copillage chez André Chénier », in Martial Poirson, Christian Biet et Yves Citton, Les Frontières littéraires de l’économie XVIIe-XIXe siècles, Desjonqueres, 2008, (ISBN 2843211085).
  • Joann Élart, « Une adaptation musicale de La Jeune captive par Vernier (1819) », in Catriona Seth, André Chénier. Le miracle du siècle, Paris, PUPS, 2005, p. 307-316.
  • Claude Perroud, « À propos d’André Chénier ; Sur un des Iambes d’André Chénier ; André Chénier et Duport-Dutertre ; André Chénier après le 10 août 1792 ; André Chénier à Versailles en 1793 ; Cinq lettres de Fanny, l’amie d’André Chénier », dans Études révolutionnaires, s. l., Bibliothèque du Bois-Menez, coll. « Textes oubliés / Études et mélanges de Claude Perroud ; 5 », , 325 p. (ISBN 978-2-490135-19-6, ISSN 2557-8715, lire en ligne), p. 20-89.
  • Catriona Seth, « J’écris ton nom », Lectures d’André Chénier. Imitations et préludes poétiques, Art d’aimer, Elégies, sous la direction de J.-N. Pascal, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, 2005, p. 93-101.
  • Catriona Seth, « Les cheveux épars de la Muse », Europe no 921-922, janvier-, p. 219-236.
  • Catriona Seth, « André Chénier et Marceline Desbordes-Valmore : l’écho d’une voix fraternelle » in Cahiers Roucher - André Chénier no 9 (1989).
  • Émile Egger, L'hellénisme en France : leçons sur l'influence des études grecques dans le développement de la langue et de la littérature françaises, Paris, Librairie académique Didier, 1869 (deux articles sur A. Chénier, pages 331 à 385) lire en ligne

Notes et références

Notes

  1. Des fonds débloqués par la cour d’Espagne, avaient été transférés de la Banque de Saint-Charles vers celle, à Paris, des Le Couteulx à Paris qui les mirent à la disposition de Chénier, Richer de Sérisy, Michel Regnaud de Saint-Jean d’Angély, Félix Le Peletier et autres distributeurs d’argent aux Conventionnels. Parmi ces derniers, Tallien.
  2. « Tout le monde connait le mot d'André Chénier sur l'échafaud : « C'est dommage, dit-il en se frappant le front, il y avait quelque chose là ! » ». (Notes de Contre la peine de mort, Méditations Poétiques, Lamartine)

Références

  1. Émile Egger, L'Hellénisme en France, leçons sur l'influence des études grecques dans le développement de la langue et de la littérature françaises, Paris, Didier, , 2 vol. in-8° (notice BnF no FRBNF30395567), Tome II, p. 386
    L'hellénisme en France, Tome II sur Google Livres
  2. André Chénier, Georges Buisson (Éditeur scientifique) et Édouard Guitton (Éditeur scientifique), Œuvres poétiques, Orléans, Paradigme, coll. « Hologrammes », , 21 cm (ISSN 1773-7036, notice BnF no FRBNF39982759), Tome I, Chronologie
  3. André Chénier (préf. Henri de Latouche), Poésies de André Chénier, Paris, Charpentier et Cie, , XLVIII-283 p. ; 18 cm (notice BnF no FRBNF30232716)
  4. Louis Becq de Fourières, André Chénier. Sa vie et ses œuvres, introduction aux Poésies d'André Chénier, Gallimard, coll. « Poésie/Gallimard », Paris, p. XIII-XIV.
  5. Jean Fabre, Chénier, l'homme et l’œuvre, Hatier, 1955, p. 13.
  6. René Descadeillas, Bulletin n°91-92 de la Société des bibliophiles de Guyenne. La bibliothèque municipale de Carcassonne, le fond Chénier, Imprimerie Taffard, , p.36 à 41
  7. Martial Andrieu, « Essai d'inventaire des tableaux et objets représentant le poète André Chénier », sur http://musiqueetpatrimoinedecarcassonne.blogspirit.com, (consulté le )
  8. Jean Fabre, Chénier, l'homme et l’œuvre, Hatier, 1955, p. 15-16
  9. Jean Fabre, Chénier, l'homme et l’œuvre, Hatier, 1955, p. 16-17
  10. « Portrait d'André-Marie Chénier », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
  11. Émile Egger, L'Hellénisme en France, leçons sur l'influence des études grecques dans le développement de la langue et de la littérature françaises, Paris, Didier, , 2 vol. in-8° (notice BnF no FRBNF30395567), Tome I, p. 7
    L'hellénisme en France, Tome I sur Google Livres
  12. Gustave Planche, « Poètes et romanciers modernes de la France », période initiale, , p. 218–235 (lire en ligne, consulté le )
  13. Jacques Hillairet, Dictionnaire historique des rues de Paris, Les Éditions de Minuit, septième édition, 1963, tome 2 (« L-Z »), page 169.
  14. André Chénier et Paul Lacroix (Éditeur scientifique), Œuvres en prose de André Chénier, augmentées d'un grand nombre de morceaux inédits et précédées d'une notice littéraire par Eugène Hugo et d'une notice historique contenant toutes les pièces relatives à son procès : Seule édition complète publiée sur les manuscrits autographes de l'auteur, Paris, C. Gosselin, , In-18, LVIII-332 p. (notice BnF no FRBNF30232746)
  15. A. Demazière, Encyclopédie des mots historiques vrais et faux, Genève, Famot, 1980, p. 285.
  16. André Chénier et Marie-Joseph de Chénier, Œuvres d'André et de M.-J. Chénier, Bruxelles, Laurent frères, , In-32, XXIV-536 p. (notice BnF no FRBNF31938072)
  17. « Fêtes picpuciennes », sur www.ssccpicpus.fr (consulté le )
  18. Émission Ça peut pas faire de mal, Guillaume Galienne, France Inter, 24 janvier 2015
  19. « 25 juillet 1794 : André Chénier est guillotiné », sur Revue Des Deux Mondes, (consulté le )
  20. Portrait posthume
  21. Jean-Marie Mestrallet (préf. Paul Margueritte), André Chénier, poème dramatique en 4 actes, Paris, E. Sansot, , In-12, 83 p. (notice BnF no FRBNF30934331)
  22. Catriona Seth (dir.), André Chénier : le miracle du siècle, Paris, Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, coll. « Mémoire de la critique », , 349 p., couv. ill. ; 21 cm (ISBN 2-84050-418-9, ISSN 1269-7621, notice BnF no FRBNF40076258, lire en ligne), p. 33
    André Chénier: le miracle du siècle sur Google Livres
  23. Auguste (1804-1876) Auteur du texte Logerot, « Plan pittoresque de la ville et du parc de Versailles », sur Gallica, (consulté le )
  24. Bieuville Auteur du texte et L. (18-19 ; éditeur à Versailles) Auteur du texte Bernard, « Plan de Versailles en 1889 / dressé par Bieuville... », sur Gallica, (consulté le )

Articles connexes

Liens externes

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