Villefranche-du-Périgord
Villefranche-du-Périgord est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Villefranche.
Villefranche-du-Périgord | |||||
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption de Villefranche-du-Périgord. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Sarlat-la-Canéda | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Domme-Villefranche du Périgord | ||||
Maire Mandat |
Claude Brondel 2020-2026 |
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Code postal | 24550 | ||||
Code commune | 24585 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Villefranchois | ||||
Population municipale |
682 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 28 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 37′ 52″ nord, 1° 04′ 31″ est | ||||
Altitude | Min. 155 m Max. 301 m |
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Superficie | 24,50 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de la Vallée Dordogne | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | villefrancheduperigord.fr | ||||
Géographie
Généralités
En Périgord noir, à l'extrême sud-est du département de la Dordogne, la commune de Villefranche-du-Périgord est limitrophe de trois communes du Lot : Marminiac, Saint-Caprais et Frayssinet-le-Gélat. Elle est bordée par un affluent du Lot, la Lémance à l'ouest, et par deux de ses petits affluents : au nord le Caverieux et au sud le Tourtillou.
Son altitude minimale, 155 mètres, se situe à l'ouest, là où la Lémance quitte la commune pour servir de limite entre celles de Saint-Cernin-de-l'Herm et Loubejac. L'altitude maximale, 301 mètres, se trouve au nord-est, au lieu-dit l'Hôpital, proche de la commune de Marminiac.
Le bourg de Villefranche, surplombant le ruisseau le Tourtillou, est situé, en distances orthodromiques, 17 kilomètres au nord-ouest de Fumel et autant au sud-sud-est de Belvès, au croisement des routes départementales 57 et 660 (l'ancienne route nationale 660).
La commune est également desservie vers l'est par la route départementale 59. À moins de trois kilomètres du bourg par la route, la gare de Villefranche-du-Périgord, sur la ligne de chemin de fer de Niversac (Périgueux) à Agen, est située sur la commune voisine de Loubejac.
Communes limitrophes
Villefranche-du-Périgord est limitrophe de six autres communes dont trois dans le département du Lot.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cazals - Dde », sur la commune de Cazals, mise en service en 1959[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de précipitations de 940,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le département du Lot, mise en service en 1961 et à 27 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Villefranche-du-Périgord est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,8 %), zones agricoles hétérogènes (30,2 %), prairies (2,9 %), zones urbanisées (2,1 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Villefranche est une bastide française fondée en 1261[21] par Alphonse de Poitiers[22], frère de saint Louis.
En 1463, par ses lettres patentes, le roi Louis XI confirma les anciens privilèges octroyés par ses prédécesseurs, de sorte que soit bien restaurée la ville détruite et affaiblie à cause de la guerre de Cent Ans[23].
En 1577, durant la sixième guerre de Religion, la ville est assiégée par les huguenots.
En 1893, la commune de Villefranche-de-Belvès prend le nom de Villefranche-du-Périgord.
À partir de l'armistice de juin 1940, le département est divisé en deux et Villefranche-du-Périgord est en zone libre[24]. À la suite du débarquement anglo-américain effectué le en Algérie et au Maroc, les Allemands envahissent la zone libre le , s'installent à Périgueux et Saint-Astier, et de nombreuses troupes traversent Villefranche-du-Périgord pour s'installer à Cahors[24].
En 1960, l'ancienne commune de Saint-Étienne-des-Landes est rattachée à Villefranche-du-Périgord.
Politique et administration
Rattachements administratifs
Dès 1790, la commune de Villefranche est le chef-lieu du canton de Villefranche qui dépend du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton dépend de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[25].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[26]. La commune est alors rattachée au canton de la Vallée Dordogne dont le bureau centralisateur est fixé à Saint-Cyprien.
Intercommunalité
Fin 1999, Villefranche-du-Périgord intègre la communauté de communes du Pays du Châtaignier dont elle est le siège. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes de Domme-Villefranche du Périgord dont le siège est à Saint-Cyprien.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[27],[28].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Villefranche-du-Périgord relève[31] :
- du tribunal de proximité et du tribunal paritaire des baux ruraux de Sarlat-la-Canéda ;
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Bergerac ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Politique environnementale
Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[32].
Population et société
Démographie
En 1960, la commune de Saint-Étienne-des-Landes fusionne avec Villefranche-du-Périgord.
Démographie de Villefranche-du-Périgord
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].
En 2018, la commune comptait 682 habitants[Note 6], en diminution de 4,88 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Santé
La commune est dotée d'une maison de santé où sont installés en 2020 deux médecins généralistes, un cabinet d'infirmiers, un chirurgien-dentiste, une diététicienne, un masseur-kinésithérapeute, une naturopathe, une ostéopathe, une podologue-pédicure, une psychologue clinicienne, un rhumatologue et une sage-femme[36].
Économie
Emploi
En 2015[39], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 268 personnes, soit 37,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quarante-sept) a augmenté par rapport à 2010 (vingt-sept) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 17,5 %.
Établissements
Au , la commune compte 93 établissements[40], dont cinquante-sept au niveau des commerces, transports ou services, quatorze relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, dix dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, six dans la construction, et six dans l'industrie[41].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La bastide a conservé de belles constructions d'époque :
- Maisons des XIIIe et XIVe siècles bâties sur arcades.
- Demeures des XVe et XVIe siècles.
- La halle, reconstruite en 1818, garde ses colonnes toscanes et ses mesures à grain.
- Église Notre-Dame-de-l'Assomption construite en 1864 par Paul Abadie, l'architecte du Sacré-Cœur de Montmartre ; elle renferme une Vierge dorée et une croix de procession. Les vitraux de l'église aux été réalisés par le peintre-verrier Gustave Pierre Dagrant de Bordeaux, en 1902.
- Église Saint-Étienne des Landes, XIIe et XVe siècles, avec des peintures murales, inscrite aux monuments historiques depuis 2002[42]
- Tour des consuls du XVIe siècle.
- Maison de la Châtaigne : espace muséographique consacré à la forêt de châtaigniers, ses fruits, ses hommes et son exploitation, à côté de l'office de tourisme[43].
- Château des Fournels (château ruiné).
La halle. Maison sur arcades. Maison du XVIe siècle. Maison du XVIe siècle. Fontaine et lavoir. L'église Saint-Étienne à Saint-Étienne-des-Landes.
Patrimoine urbain
Dans un premier temps, à l'intérieur de la bastide, la place du marché devient en 1971 un site inscrit sur un demi-hectare[44],[45]. Ensuite, en 1986, c'est l'ensemble de la bastide qui, sur huit hectares et demi, devient inscrite[46],[47].
Personnalités liées à la commune
Remarque : On trouve dans certaines biographies d'Aimoin de Fleury qu'il était né à Villefranche-du-Périgord. L'historien du Périgord, Pierre Lespine (1757-1831), a écrit qu'il était né à Villefranche en Périgord. Il y a deux Villefranche dans le Périgord. Il s'agit plus probablement de Villefranche-de-Lonchat, proche des origines de sa famille, mais ces deux Villefranche n'existaient pas à la date de sa naissance. De son côté, l'historien Guy Penaud, né en 1943, indique qu'Aimoin est né dans un lieu appelé Ad Francos correspondant soit à la commune de Francs, actuellement en Gironde mais faisant partie antérieurement du Périgord, soit à celle de Villefranche-de-Lonchat[48].
Héraldique
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Les armes de Villefranche-du-Périgord se blasonnent ainsi : « De gueules au lion léopardé d'or escaladant un talus de sinople sommé un bosquet du même mouvant du flanc dextre ; au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or. » |
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Voir aussi
Bibliographie
- Chanoine Brugière, Villefranche-du-Périgord, Notices de l'abbé Brugière, Société historique et archéologique du Périgord (lire en ligne)
- Hippolyte Brugière, Les cantons de Belvès et de Villefranche-du-Périgord à la fin du XIXe siècle d'après le manuscrit “L'ancien et le nouveau Périgord”, Art et Histoire en Périgord Noir, Hors-série no 10, (ISBN 978-2-9520117-9-2), p. 259-281
- Françoise Auricoste - La bastide de Villefranche du Périgord, capitale de la Chataigneraie (1261-1800). Tome I : 1261-1500 - Éditions du Roc de Bourzac - 1992 - (ISBN 2-87624-048-3)
- Françoise Auricoste - La bastide de Villefranche du Périgord, capitale de la Chataigneraie (1261-1800). Tome II : 1500-1800 - Éditions du Roc de Bourzac - 1992 - (ISBN 2-87624-058-0)
- Pierre Garrigou Grandchamp, L'architecture domestique des bastides périgourdines aux XIIIe et XIVe siècles, dans Congrès archéologique de France. 156e session. Monuments en Périgord. 1999, p. 47-71, Société française d'archéologie, Paris, 1999
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Villefranche-du-Périgord sur l'Office de tourisme du Pays du Châtaignier
- Maison de la Châtaigne de Villefranche du Périgord
- Société archéologique du Midi, Pierre Garrigou Grandchamp, Inventaire des édifices domestiques romans et gothiques des XIIe, XIIIe et XIVe siècles dans le Périgord, août 2000
- Villefranche-du-Périgord sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Guyenne. Archives du Périgord : Villefranche-du-Périgord
- Groupement archéologique Mons-Paciarus (ou de Monpazier), GAM : Petite rétrospective historique sur le passé d'une bastide française : Villefranche du Périgord
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Démissionne de la fonction de maire tout en restant conseiller municipal. Source : Journal Sud Ouest édition Périgueux du 17 décembre 2009.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Cazals - Dde - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Villefranche-du-Périgord et Cazals », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Cazals - Dde - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Villefranche-du-Périgord et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 25 avril 2014.
- Pierre Garrigou Grandchamp, L'architecture domestique des bastides périgourdines aux XIIIe et XIVe siècles, p. 47-71, dans Congrès archéologique de France. 156e session. Monuments en Périgord. 1999 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1999
- Archives du Périgord : Acte de fondation de la bastide en 1261 et privilèges accordés par Louis XI en 1463
- Lettres de Louis XI, Toulouse, juin 1463 (lire en ligne).
- Guy Penaud, préface de Roger Ranoux, Les crimes de la Division « Brehmer », éditions la Lauze, mars 2004, (ISBN 2-912032-65-2), p. 19-22.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 17 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 novembre 2020.
- Période 1850-1890, source : Daniel Lacombe, « Les maires des chefs-lieux de canton de Dordogne, 1850 à 1890 », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1991, tome 118, 4e livraison, p. 712 (lire en ligne)
- Voici vos 557 maires, supplément à Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 32.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- Site des villes et villages fleuris, consulté le 16 décembre 2020.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Maison de Santé, Communauté de communes de Domme-Villefranche du Périgord, consulté le 22 novembre 2020.
- Christophe Tastet, « Villefranche-du-Périgord fête la châtaigne samedi 19 et dimanche 20 octobre 2019 », France Bleu Dordogne, consulté le 25 octobre 2019.
- « Un salon du chocolat pour fondre de plaisir », Sud Ouest édition Dordogne, 24 octobre 2019, p. 21.
- Dossier complet - Commune de Villefranche-du-Périgord (24585) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 6 février 2019.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Villefranche-du-Périgord (24585) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 6 février 2019.
- « Église Saint-Étienne des Landes », notice no PA24000037, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Maison de la Châtaigne sur le site de l'Office de Tourisme du Pays du Châtaignier
- Place du marché de Villefranche-du-Périgord sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 18 décembre 2009
- Carte du site inscrit 0000468 sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 18 décembre 2009
- Bastide (Villefranche-du-Périgord) sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 18 décembre 2009
- Carte du site inscrit 0000421 sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 18 décembre 2009
- Guy Penaud, « Aimoin », Dictionnaire biographique du Périgord, Éditions Fanlac, 1999, (ISBN 2-86577-214-4), p. 19.
- Mémoires de Sully (lire en ligne)
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