Valmont (Seine-Maritime)

Valmont est une commune française, située dans le département de la Seine-Maritime en Normandie, à 15 km de Fécamp.

Pour les articles homonymes, voir Valmont.

Valmont

L'abbaye de Valmont.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité CA Fécamp Caux Littoral Agglomération
Maire
Mandat
Jean-Louis Navarre
2020-2026
Code postal 76540
Code commune 76719
Démographie
Gentilé Valmontais
Population
municipale
852 hab. (2018 )
Densité 154 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 44′ 38″ nord, 0° 30′ 52″ est
Altitude Min. 35 m
Max. 123 m
Superficie 5,55 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Fécamp
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fécamp
Législatives 9e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Valmont
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Valmont
Géolocalisation sur la carte : France
Valmont
Géolocalisation sur la carte : France
Valmont
Liens
Site web http://www.valmont76.com

    Géographie

    Description

    Commune du pays de Caux.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Le petit fleuve côtier la Valmont s'écoule sur 13 km avant de se jeter dans la Manche.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 13,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 904 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[7] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 109,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 64 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Valmont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fécamp, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (43,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,8 %), prairies (33,4 %), zones urbanisées (10,4 %), terres arables (7,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Walemunt (sans date) ou au XIIe siècle, Galemunt au XIIe siècle[21], Walemont en 1236, Walemont en 1262, Walemont en 1272, Vallemont en 1300, Valmont en 1385[22].

    Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -mont au sens de « colline, hauteur »[21], appellatif précédé du nom de personne scandinave Váli (vieux danois Wale) que l'on rencontre dans plusieurs noms de lieux de Normandie, tous situés dans la zone de répartition de la toponymie norroise, à savoir : Valletot (Eure, Roumois, Valetot 1398); Valtot (Manche, Cotentin, hameau à Sideville et Virandeville, Valtot 1753 - 1785); Valleville (Eure, Brionne); Valleville (Seine-Maritime, Ectot-les-Baons, Wallevillam vers 1210), etc. Il peut s'agir également du nom de personne germanique Walo[21] qui peut expliquer aussi certains Valleville. Mont se réfère vraisemblablement à la hauteur sur laquelle a été construit le château, à noter aussi que l'église se trouve également en hauteur, en contrebas du château qui surplombe la vallée de la rivière de Valmont.

    Remarques : Une explication par Val- « val, petite vallée », suivi d'un élément indéterminé, est donnée par Albert Dauzat qui ne cite aucune forme ancienne[23]. Les formes anciennes en Wale- et Gale- s'opposent à cette suggestion. Quant à l'hypothèse qui consiste à voir le nom de personne germanique Wal(a)mund(us) qui s'est fixé absolument (sans affixe, ni appellatif)[24], elle est peu vraisemblable, car ce genre de formation est exceptionnel dans le pays de Caux et il aurait abouti à Vaumont comme dans la Lande-Vaumont[21] (Calvados, Lande Vaumon 1398). La ressemblance avec Valmont (Moselle, anciennement Walmen et Wallmen en francique lorrain ) est fortuite, il s'agit de la francisation d'un toponyme préexistant, d'après le français -mont. Quant au domaine de Valmont à Barsac (Gironde), il s'agit d'une désignation artificielle.

    Histoire

    Carte de Cassini du secteur
    (vers 1750).

    La carte de Cassini ci-contre montre qu'au milieu du XVIIIe siècle, Valmont est un bourg situé sur la Valmont.
    Trois paroisses indépendantes existaient à cette époque: Saint Ouen-aux-Bosc, Rouxmenil et Bec-au-Cauchois avec sa gentilhommière.
    Saint-Ouen-au-Bosc a été rattachée à Valmont en 1822, Rouxmesnil et Bec-au-Cauchois en 1825.
    Un château et une abbaye existaient au XVIIIe siècle à Valmont[25].
    Huit moulins à eau, représentés par une roue dentée sur la carte, fonctionnaient à cette époque sur la Valmont.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1833 1836 M. Dussaussay   conseiller général
    Les données manquantes sont à compléter.
      2 juillet 1841
    (décès)
    Nicolas Michel Mauconduit
    (1768-1841)
      propriétaire, notaire honoraire, juge de paix
    Les données manquantes sont à compléter.
    1995 2001 Étienne Mollet DVD Agent général d'assurance
    2001 2014 Gérard Lesueur[26] DVD Fonctionnaire au Trésor Public
    Vice-président de la CC du canton de Valmont (2001 → 2014)
    mars 2014[27] En cours
    (au 10 août 2020)
    Jean-Louis Navarre DVD Producteur de cidre
    Vice-président de la CC du canton de Valmont (2014 → 2016)
    Vice-président de la CA Fécamp Caux Littoral Agglomération (2017 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[28],[29]

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

    En 2018, la commune comptait 852 habitants[Note 7], en diminution de 7,99 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3113473363621 0261 0801 1121 0361 110
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 0701 0241 011950911862859858835
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    809808828810761776731770843
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    8358188688608751 0109931 017876
    2018 - - - - - - - -
    852--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Petite ville marquée par l'histoire, elle dispose de nombreux monuments, dont :

    • Le château[34] de la famille d'Estouteville, comportant un donjon XIe siècle et une aile Renaissance. Ce château imposant a connu de nombreuses transformations et de nombreux propriétaires dont les Grimaldi de Monaco et les Barbet de Rouen. Grand parc ouvert au public.
    • L'abbaye Notre-Dame-du-Pré[35] : elle fut fondée par Nicolas d'Estouteville en 1169. De l'église abbatiale en ruines, reste en état la superbe chapelle axiale dite de Six-Heures, où se trouvent des gisants finement sculptés des d'Estouteville, des vitraux datés de 1552, ainsi qu'un groupe sculpté attribué à Germain Pilon. Eugène Delacroix séjourna à plusieurs reprises à l'abbaye de Valmont, chez ses cousins, entre 1813 et 1840, et y a peint le tableau Ruines de l'abbaye de Valmont, aujourd'hui au musée du Louvre. C'est dans le cadre de cette abbaye que se déroule le premier chapitre de L'Aiguille creuse de Maurice Leblanc.
    • Maison-forte du Bec-au-Cauchois[36],  Inscrit MH (1993, partiel)
    • L'église Saint-Nicolas[37].
    • Le Vivier : lieu de promenade aux sources de la Valmont.
    • Le domaine du château de Valmont comprenant le parc et les allées du château, la futaie du château, la futaie des Patriarches, les Balivets, la futaie du Mont-Rouge, la Promenade du vivier et les alignements des haras, parcelles (…)  Site classé (1943)[38].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de la commune de Valmont se blasonnent ainsi :
    burelé d'argent et de gueules au lion de sable brochant sur le tout[39].

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Valmont », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Valmont et Goderville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Valmont et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fécamp », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 159.
    22. Charles de Beaurepaire et Dom Jean Laporte, Dictionnaire topographique du département de la Seine-Maritime, Paris, 1982-1984, p. 1028 in Dictionnaire topographique de la France comprenant LES NOMS DE LIEUX ANCIENS ET MODERNES
    23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6).
    24. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes, Librairie Droz, Genève.
    25. « Causeries sur Fécamp, Yport, Étretat, Colleville, Valmont, Saint-Valéry-en-Caux, Cany et autres lieux... / par un nommé Joachim Michel,... », sur Gallica, (consulté le ).
    26. « Valmont : Gérard Lesueur a été nommé maire honoraire », Paris-Normandie, (lire en ligne).
    27. « Jean-Louis Navarre élu maire », Paris-Normandie, (lire en ligne).
    28. Matthias Chaventré, « Municipales 2020. À Valmont, Jean-Louis Navarre brigue un second mandat de maire : C’est satisfait de ses actions au cours des six dernières années que Jean-Louis Navarre souhaite conserver son poste de maire », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
    29. Matthias Chaventré, « Municipales 2020. À Valmont près de Fécamp, Jean-Louis Navarre repart pour six ans : L’élu va effectuer un deuxième mandat à la tête de la commune. Ses quatre adjoints ont également été choisis en conseil municipal », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ) « https://www.paris-normandie.fr/actualites/politique/municipales-2020-a-valmont-pres-de-fecamp-jean-louis-navarre-repart-pour-six-ans-JG17009011 ».
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. « Château », notice no PA00101076, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « Abbaye de Valmont », notice no PA00101075, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    36. « Maison-forte du Bec-au-Cauchois », notice no PA00125438, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. Les églises de l'arrondissement d'Yvetot, de Jean Benoît Désiré Cochet, page 258
    38. « Le domaine du château comprenant le parc et les allées du château, la futaie du château, la futaie des Patriarches, les Balivets, la futaie du Mont-Rouge, la promenade du Vivier et les alignements des haras, parcelles (…) », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).
    39. GASO - Banque du blason - 76719.
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