Unverre

Unverre est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Unverre

L'église Saint-Martin et le monument aux morts réalisé par Félix Charpentier.
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Châteaudun
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Châteaudun
Maire
Mandat
Marie-Dominique Pinos
2020-2026
Code postal 28160
Code commune 28398
Démographie
Gentilé Unverrois(e)
Population
municipale
1 181 hab. (2018 )
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 12′ 01″ nord, 1° 05′ 39″ est
Altitude Min. 153 m
Max. 235 m
Superficie 62,33 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Brou
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brou
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Unverre
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Unverre
Géolocalisation sur la carte : France
Unverre
Géolocalisation sur la carte : France
Unverre
Liens
Site web http://www.unverre.fr

    Géographie

    Situation

    La commune est très étendue (seconde du département, en superficie, après Arrou), avec une vaste surface agricole, et compte près de 180 fermes et hameaux. Le bourg est partagé en deux parties par la Sainte-Suzanne : Unverre, au nord, et les Moulins d'Unverre, au sud.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    Unverre est arrosée par trois rivières : la Sainte-Suzanne, et son affluent en rive droite la Sonnette, et, plus au nord, la Mozanne. La Sainte-Suzanne et la Mozanne se rejoignent en aval d'Unverre pour former l'Ozanne.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 695 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,5 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Miermaigne », sur la commune de Miermaigne, mise en service en 1993[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 756,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Châteaudun », sur la commune de Jallans, mise en service en 1952 et à 25 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,6 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Unverre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brou, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (90,2 %), prairies (6,2 %), zones agricoles hétérogènes (2,1 %), forêts (0,8 %), zones urbanisées (0,6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Inverria en 1128[21], Unveria en 1130[22], Unverrium en 1142[23], Unum vitrum en 1173[24], Ungverre en 1532[25], Unvers en 1676[26], Unguerre au Perche Gouet en 1678[27],[28].

    Le dictionnaire géographique attribue à Unverre une origine mérovingienne (Ve siècle).

    Selon Guy Villette, l'étymologie du nom serait gauloise : an(de) voberia, ce qui signifie « terre humide ». Unverre est un *Ande vara l'eau inférieure ») situé au confluent souvent inondé des deux Ozannes[29](Géoportail signale une autre source de l'Ozanne, au lieu-dit les Mézarbières)[30].

    Unverre, unum vitrum au XIIe siècle, serait primitivement un vara gaulois, signifiant « lieu inondé »[31].

    Histoire

    Pendant l'Ancien Régime, la commune fait partie de la baronnie de Brou (la Noble) qui constitue jusqu'à la Révolution française l'ancienne province du Perche-Gouët, avec les baronnies d'Alluyes (la Riche), d'Authon (la Gueuse), de La Bazoche (la Pouilleuse) et de Montmirail (la Superbe).

    En 1793, elle est rattachée au district de Châteaudun[32].

    De 1908 à 1933, Unverre est desservi par les tramways d'Eure-et-Loir qui exploitent la ligne Brou-Nogent-le-Rotrou. L'ancienne gare du tramway présente aujourd'hui une scène extérieure permettant d'accueillir des manifestations culturelles[33].

    En 2004, Unverre héberge le siège de la communauté de communes du Perche-Gouët avant de rejoindre le la communauté de communes du Grand Châteaudun.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1813 1825 Charles-Adrien Le Chapellier de Grandmaison   Député d'Eure-et-Loir
    1830 janvier 1856 Marin Louis Guinebert    
    1856 1858 Charles Gabriel David de Thiais   Garde du corps du roi
    1859 1862 Abel Astère Thierré    
    1862 1865 Louis Alfred David de Thiais   Conseiller général[réf. nécessaire]
    1865 1870 Victor Marchais    
    1870 1871 Abel Astère Thierré    
    1872 1874 Louis François Botineau    
    1874 1876 François Charron    
    1876 1881 Jean-Louis Lemarié    
    1881 1885 Henry de Boissieu    
    1885 1889 Jean-Louis Honoré Cochin    
    1889 1893 François-Mathias Chevallier    
    1893 1896 Louis Octave Théophile Guinebert    
    1896 1899 Auguste Guillaume Colon    
    1899 1900 François Chevallier    
    1900 1904 Antoine François Marie Henri de Boissieu    
    1904 1916 Jacques Ferdinand Galerne    
    1916 1919 François Léon Chevallier    
    1919 1925 Pierre Désiré Chevreau    
    1925 1935 Jules Auguste Girard   Conseiller général[réf. nécessaire]
    1935 janvier 1936 Auguste Félix Hallouin    
    janvier 1936 1944 Louis Chambrier    
    1944 1955 Alfred Lesieur    
    5 avril 1955 23 mars 1959 Albert Jubert    
    23 mars 1959 27 mars 1965 Bernard Hubert    
    27 mars 1965 20 mars 1977 Abel Vallée    
    20 mars 1977 mars 2001 André Hameau    
    Mars 2001 28 mars 2014 Robert Weber    
    28 mars 2014 Juillet 2020 Luc Bonvallet DVD Agriculteur
    Juillet 2020 En cours Marie-Dominique Pinos    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

    En 2018, la commune comptait 1 181 habitants[Note 7], en diminution de 6,2 % par rapport à 2013 (Eure-et-Loir : −0,22 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 3012 4072 3852 4092 4822 4292 4532 4782 442
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 3642 3862 3842 3012 2942 1042 1522 1852 164
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 1942 1042 1071 8741 8951 8421 8121 7271 565
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 5051 2941 2381 1091 0229771 1401 2571 204
    2018 - - - - - - - -
    1 181--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    La fête de la Louée a lieu chaque année depuis 1991, le troisième dimanche de juin, sur la place de l'église, ainsi que dans le parc des Grand'Maisons. Elle a pour origine l'embauche des ouvriers agricoles qui, au début du XXe siècle, venaient deux fois par an (à la Saint-Jean pour les 4 mois d'été et à la Toussaint pour les 8 autres mois de l'année) "se louer" aux patrons sur la place du village. Un thème est choisi chaque année :

    • En 2014, "Du blé au pain"
    • En 2013, les voitures anciennes
    • En 2012, les abeilles
    • En 2011, les attelages de chevaux de course
    • En 2010, la fauconnerie
    • En 2009, "Il était une fois la libération"
    • En 2008, la chasse
    • En 2007, les pompiers
    • En 2006, les voitures anciennes
    • En 2005, le cheval Percheron
    • En 2004, les tracteurs anciens
    • En 2003, "Du labour aux semailles"
    • En 2002, le travail du bois
    • En 2001, la moisson "de la faucille à nos jours"
    • En 2000, les chiens de race
    • En 1999, le marché à l'ancienne
    • En 1998, la ferme, ses animaux et ses produits
    • En 1997, le mouton
    • En 1996, le travail du chanvre

    La Saint-Jean a lieu le samedi suivant la fête de la Louée, avec un rallye pédestre suivi d'une soirée musicale et dansante et du feu de Saint-Jean à la nuit tombée.

    Un concert est traditionnellement organisé à l'église chaque année le dernier samedi du mois d'avril. Des artistes aux styles et répertoires variés se sont succédé :

    • En 2014, orgue et bombarde par Florence Ladmirault et Jean Hauray
    • En 2013, Harmonie Municipale de Vendôme
    • En 2012, Orchestre d'Harmonie de Chartres
    • En 2011, trompes de chasse du Rallye Saint-Hubert de Chartres et chorale des Ménestrels du Perche
    • En 2010, gospels et negro spirituals par Rogers Esse
    • En 2009, harpe paraguayenne et chants des Amériques par Hugo Pamcos et Claudette Lagacé
    • En 2008, duo Iberia, composé d'une soprano accompagnée à la guitare

    Culture locale et patrimoine

    Église Saint-Martin

    L'église Saint-Martin, des XIIe et XVIe siècles, est un édifice remarquable du village par son architecture et son riche mobilier : retable, maître-autel, fonts baptismaux, chemin de croix...

    Elle se caractérise extérieurement par son porche à claire voie en colombages (caquetoire), son bas-côté nord de style gothique comprenant un alignement de cinq pignons avec gargouilles et son clocher à haute flèche couverte en ardoises.

    L'église Saint-Martin abrite le mobilier suivant :

    • Les deux cloches de l'église, qui dataient de 1862, ont été remplacées au printemps 2010 ; les deux nouvelles, coulées par la fonderie Voegele de Strasbourg, conservent les mêmes prénoms, Marie-Louise et Constance-Élisabeth. La première a été bénite le par Mgr Michel Pansard, évêque de Chartres et la seconde, le par l'abbé Laurent Percerou, vicaire général.
    • Cinq verrières du XVIIe siècle (baies 1, 3, 5, 7 et 9) sont inscrites en tant que monument historique au titre d'objet en 1906 : l'Annonciation, la Charité de saint Martin, sainte Barbe, l'Adoration des bergers et d'anges, chanoine donateur, saint Denis et saint Étienne, l'Adoration des Mages et donatrice[37].
    Deux vitraux sont signés des ateliers Lorin de Chartres, l'un est daté de 1894, l'autre de 190O.
    • Fonts baptismaux, bas-relief, baldaquin des fonts baptismaux du XVIIe siècle représentant le baptême du Christ,  Inscrit MH (1908)[38].

    Monument aux morts

    Érigé sur la place de l'église, le monument aux morts de la guerre 1914-1918 a été réalisé par Félix Charpentier (1858-1924), sculpteur d'origine provençale installé à Chassant (Eure-et-Loir).

    Château des Grand'Maisons

    Le château des Grand'Maisons, demeure du XVe siècle agrandie au XVIIe siècle, se situe au centre du village. Il jouxte un parc boisé, traversé par la rivière Sainte-Suzanne.

    Il fut notamment la propriété de Charles-Adrien Le Chapellier de Grandmaison (1776-1851), personnalité politique du département d'Eure-et-Loir.

    La Forçonnerie

    La Forçonnerie, moulin et ancienne forteresse des XIIIe et XVe siècles, qui défendait autrefois l'ancienne route royale allant de Chartres au Mans (connue sous le nom de chemin de César ou chemin Henri IV). Il subsiste aujourd'hui le logis seigneurial et les granges à colombages. Le pont-levis a disparu.

    Manoir de la Camusière

    Manoir situé dans un parc boisé.

    Musée-école

    Le musée-école, ouvert en 2003 dans les locaux d'une ancienne école du village, se situe derrière l'église. Il présente l'école rurale d'autrefois à travers la reconstitution d'une classe des années 1900 avec son mobilier, son matériel pédagogique, des registres depuis 1878, des photos de classes, cahiers, livres, témoignages écrits et audios. Il s'accompagne de diverses expositions sur la vie rurale (maison de l'écolier, histoire du grain de blé dans le Perche-Gouët, la lessive de nos grand-mères, les vêtements d'autrefois...).

    Les moulins à eau

    Plusieurs anciens moulins à eau : La Boissière, Epassé, Ferchaud.

    Promenade des Ponts-Neufs

    La promenade des Ponts-Neufs relie la place de l'église aux Moulins d'Unverre, longeant la propriété des Grand'Maisons et la rivière Sainte-Suzanne.

    Sentier de randonnée pédestre

    L'un des sentiers de randonnée pédestre de la communauté de communes du Perche-Gouët part de la place de l'église d'Unverre. D'une longueur de 12 km, alternant petites routes et chemins ombragés, il prend d'abord la direction de Moulhard avant de continuer vers le nord de la commune puis de revenir vers le bourg en passant à proximité du moulin de la Forçonnerie.

    Personnalités liées à la commune

    Plaque commémorative de la naissance du professeur Félix Lejars.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Miermaigne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Unverre et Miermaigne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Miermaigne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Unverre et Jallans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Cartulaire de Thiron.
    22. Charte de l'abbaye de Saint-Jean-en-Vallée.
    23. Cartulaire de Saint-Denis de Nogent-le-Rotrou, fol. 3.
    24. Cartulaire du grand Beaulieu, p.72.
    25. Charte de la fabrique de la Madeleine de Brou.
    26. Charte de la fabrique de Mottereau.
    27. Charte de la seigneurie de la Chenardière.
    28. Lucien Merlet, Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Société archéologique d'Eure-et-Loir, , p. 183.
    29. Bernard Robreau, Histoire du pays dunois, vol. 1, , p. 58.
    30. Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
    31. Jacques Chaurand, Hommage à Guy Villette : quelques études toponymiques et historiques de Guy Villette présentées par Marianne Mulon et Gérard Taverdet, vol. 19-20, A.B.D.O., coll. « Nouvelle revue d'onomastique », , p. 255-258.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Marie Carillo, « La Guinguette connaît une vraie réussite », sur http://www.lechorepublicain.fr (consulté le ).
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. « 5 verrières figurées : l'Annonciation, la Charité de saint Martin, sainte Barbe, Adoration des bergers et d'anges (l'), chanoine donateur, saint Denis et saint Étienne, Adoration des Mages (l') et donatrice (baies 1, 3, 5, 7, 9) », notice no PM28000601, base Palissy, ministère français de la Culture.
    38. « Fonts baptismaux, bas-relief, baldaquin des fonts baptismaux : le Baptême du Christ. », notice no PM28000602, base Palissy, ministère français de la Culture.
    39. D'après une notice des moines de Marmoutier éditée par le Corpus Étampois.
    40. Journal "L'Action républicaine" du 13 août 1932 : "Le professeur Lejars est mort".
    41. http://gw1.geneanet.org/index.php3?b=figarl&lang=fr;p=antoine+francois+marie+henry;n=de+boissieu
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