Frazé

Frazé est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire. En 2019, Frazé est choisi pour représenter la région Centre-Val de Loire dans l’émission Le Village préféré des Français. Il est classé en 10ème position.

Frazé

Le château de Frazé
 Classé MH (1948)[1].
Administration
Pays France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Nogent-le-Rotrou
Intercommunalité Communauté de communes Terres de Perche
Maire
Mandat
Brigitte Pistre
2020-2026
Code postal 28160
Code commune 28161
Démographie
Gentilé Frazéen, frazéens, frazéenne, frazéennes
Population
municipale
502 hab. (2018 )
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 15′ 44″ nord, 1° 06′ 01″ est
Altitude Min. 167 m
Max. 233 m
Superficie 27,55 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Brou
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Brou
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Frazé
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Frazé
Géolocalisation sur la carte : France
Frazé
Géolocalisation sur la carte : France
Frazé
Liens
Site web http://www.mairie-fraze.fr

    Géographie

    Situation

    Frazé est un village percheron situé à 1 h 30 du centre de Paris et à 40 minutes de Chartres.

    Communes limitrophes

    Hydrographie

    La commune est traversée par la rivière la Foussarde, affluent en rive droite du Loir, lui-même sous-affluent de la Loire par la Sarthe et la Maine[2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 693 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Miermaigne », sur la commune de Miermaigne, mise en service en 1993[9] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[10],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 756,1 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Châteaudun », sur la commune de Jallans, mise en service en 1952 et à 29 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 10,6 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,1 °C pour 1981-2010[14], puis à 11,5 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Frazé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[16],[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brou, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (70,3 %), forêts (14,4 %), prairies (8,6 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), zones urbanisées (0,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[22].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Frasiam en 1215, Fraseium vers 1219, Froiseium vers 1270[23].

    Histoire

    XXe siècle

    Entre le 29 janvier 1939 et le 8 février, plus de 2 000 réfugiés espagnols fuyant l'effondrement de la république espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de Lucé et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis à contribution[24], dont Frazé[25]. Les réfugiés, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont désarmés et retenus dans le Sud de la France), sont soumis à une quarantaine stricte, vaccinés, le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[26]. Une partie des réfugiés rentrent en Espagne, incités par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en décembre, 922 ont préféré rester et sont rassemblés à Dreux et Lucé[27].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2014 En cours Brigitte Pistre[28],[29] LREM Ancienne cadre

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

    En 2018, la commune comptait 502 habitants[Note 7], en diminution de 1,18 % par rapport à 2013 (Eure-et-Loir : −0,22 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1001 2391 2181 4921 5131 4591 5251 5121 536
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5051 5241 5061 3381 3231 2081 2311 1681 167
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1261 1741 1731 011976953926859795
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    689605481418489493514517510
    2017 2018 - - - - - - -
    505502-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Frazé se déploie autour de son château et de son église, dans une boucle de la Foussarde au milieu de collines boisées. Quelques manoirs jalonnent les routes alentour, contribuant à faire de Frazé l'un des plus pittoresques villages du Perche.

    Le château

     Classé MH (1948)[1].

    C'est en venant de La Croix-du-Perche que le château de Frazé est le plus visible. Il forme un ensemble où il est facile de distinguer plusieurs époques.

    Construit sur une ancienne motte féodale encore visible et totalement détruit pendant la guerre de Cent Ans, il a été remplacé dans la seconde moitié du XVe siècle par le château dont on voit maintenant les vestiges. La tour Saint-François est restée en l'état avec son soubassement de grison et ses rangs de pierre blanche. Sur le cercle à mi-hauteur se déroule la cordelière de Saint-François-d'Assises, avec ses torsades et ses nœuds. Au XVIe siècle on ajouta un bâtiment Renaissance, puis au XVIIe et XVIIIe siècles, de nouvelles constructions furent édifiées.

    L'ensemble a été rénové au XIXe siècle, puis dans la première moitié du XXe siècle au parc orné de jardins à la française. Aujourd'hui, le château est ouvert à la visite.

    L'église Notre-Dame

     Classé MH (1987)[34].

    L'église Notre-Dame, d'origine romane, s'est agrandie au XVIe siècle de quatre chapelles à pignons.

    Le portail ouvrant dans la deuxième chapelle est de style Renaissance. Il comporte deux arcades reposant sur trois atlantes et l'on peut également admirer la frise d'entrelacs au-dessus des arcs. Ces ornements d'inspiration païenne peuvent paraître surprenants en ces lieux.

    La porte occidentale est surmontée d'une rosace flamboyante et date de la fin du XVe siècle.

    Des travaux de restauration de l'extérieur de l'édifice sont conduits de 2013 à 2016 pour un montant de 1,2 M€[35].

    Les manoirs

    Plusieurs manoirs ornent la campagne alentour, dont deux sont inscrits au titre de monument historique :

    Le manoir du Châtellier

     Inscrit MH (1975)[36].

    Sur la route vers Brou, ou accessible lors d'une promenade par un chemin de randonnée, ce manoir est situé sur une ancienne motte féodale et date du XVIe siècle.

    La demeure, cachée par des arbres séculaires, possède des fenêtres à meneaux et une façade en briques à décor de croisillons, ainsi que des cheminées sculptées.

    Le manoir du Cormier
    Le manoir du Cormier.

     Inscrit MH (1995)[37].

    Ce manoir témoigne des différentes phases de sa construction. Le porche d'entrée et le logis de maître au nord remontent aux XVIe et XVIIe siècles[38]. Les bâtiments de ferme sont plus récents. À l'exception de la grange, ils figurent au cadastre de 1810. Le porche d'entrée avec son bel escalier à vis suspendu et sa grande salle à l'étage est le corps de bâtiment le plus remarquable du manoir.

    Le Cormier, avec sa porte fortifiée, ses fossés et ses corps de bâtiments disposés autour d'une cour est un manoir percheron très typique.

    Le Grand Carcahut (ou Carcahu)

    Ce fut longtemps une exploitation agricole, qui vient d'être rénové.[Quand ?] On en trouve des traces dès le XIIe siècle du fief de Carcahu aux mains d'un fidèle de Guillaume-Goüet. Le bâtiment actuel semble antérieur à la date portée en fronton (1677) et présente une silhouette massive flanquée d'un haut toit en pavillon et d'une tour d'escalier.

    Ce manoir percheron semble être le plus ancien bâtiment de Frazé.[réf. nécessaire]

    L'ancienne tuilerie

    Non loin du château, après avoir passé le pont qui enjambe la Foussarde, on découvre l’ancienne tuilerie du château, créée pour la construction du château, des fermes, basses cours et autres annexes et sans nul doute d’une bonne partie des maisons du village. Un premier bâtiment au toit à quatre pentes est surmonté de deux épis de faîtage. La disposition particulière de ses tuiles permettait une bonne ventilation au-dessus des foyers, encore en état de fonctionnement : c’est le four. À la suite, un bâtiment en longueur, le séchoir, attire l’attention, avec ses murs ajourés grâce à la mise en œuvre originale de leurs briques, qui assurait la circulation de l’air, nécessaire au séchage du bois de chauffe du four, des briques et tuiles dans leur moule avant cuisson. Nombre de petits ateliers et appentis secondaires ont disparu, et l’ensemble a été transformé en habitation.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Château de Frazé », notice no PA00097112, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    2. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Foussarde (M1015000) » (consulté le ).
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Miermaigne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Frazé et Miermaigne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Miermaigne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Frazé et Jallans », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Châteaudun - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    23. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Droz, , p. 758.
    24. Jeanine Sodigné-Loustau, « L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43.
    25. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
    26. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
    27. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47.
    28. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
    29. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. « Église Notre-Dame », notice no PA00097113, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. « Les échafaudages seront bientôt démontés », sur www.lechorepublicain.fr, (consulté le ).
    36. « Manoir du Châtelier », notice no PA00097114, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    37. « Manoir du Cormier », notice no PA00135290, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    38. Le porche d'entrée est daté de 1572.
    39. « De Paris-Strasbourg à Paris-Ribeauvillé - 90 ans d’histoire ! », sur http://www.marche-mythique.org (consulté le ).
    40. Le Monde, n° 21 164 du 3 février 2013.
    41. « "Maison Close" : Valérie Karsenti, sans temps mort », sur lemonde.fr, (consulté le ).
    • Portail des communes de France
    • Portail d’Eure-et-Loir
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.