Tursac

Tursac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Tursac

Le village de Tursac.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de l'Homme
Maire
Mandat
Michel Talet
2020-2026
Code postal 24620
Code commune 24559
Démographie
Population
municipale
330 hab. (2018 )
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 58′ 12″ nord, 1° 02′ 43″ est
Altitude Min. 56 m
Max. 237 m
Superficie 17,71 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Homme
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Tursac
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Tursac
Géolocalisation sur la carte : France
Tursac
Géolocalisation sur la carte : France
Tursac
Liens
Site web tursac.jimdo.com

    Géographie

    Généralités

    La commune de Tursac est traversée par la Vézère et est bordée au nord-est par un de ses petits affluents, le Vimont.

    Le village se trouve le long de la vallée de la Vézère à proximité des Eyzies.

    Communes limitrophes

    Carte de Tursac et des communes avoisinantes en 2018, avant la création de la commune nouvelle des Eyzies.

    Tursac est limitrophe de trois communes. Au nord-est, elle est distante d'une vingtaine de mètres du territoire de Saint-Léon-sur-Vézère.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 12,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 938 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,1 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-Canéda, mise en service en 1995[7] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 854,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le département du Lot, mise en service en 1961 et à 37 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,7 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Tursac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (70,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (69,3 %), zones agricoles hétérogènes (14,6 %), terres arables (9,3 %), prairies (5,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Prévention des risques

    Un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2000 pour la Vézère  qui traverse la commune du nord au sud  à Tursac, impactant ses rives jusqu'à une largeur pouvant atteindre 400 mètres au niveau du méandre de Marzac[20],[21].

    Toponymie

    En français comme en occitan, la commune porte le même nom[22].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Tursac a, dès 1790, été rattachée au canton de Marquay qui dépendait du district de Sarlat jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Saint-Cyprien dépendant de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[23].

    Intercommunalité

    En 2002, Tursac intègre la communauté de communes Terre de Cro-Magnon. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes de la Vallée de l'Homme.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[24],[25].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    avant 1981  ? Hélen Gourvat DVG  
        François Bouyssou    
    mars 1983[26]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Michel Talet SE[27] Retraité agricole

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Tursac relève[28] :

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

    En 2018, la commune comptait 330 habitants[Note 5], en diminution de 4,9 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    715730667722709670694734789
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    792787770703729774743676591
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    505503485413376356339368293
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    242217238263316340324322319
    2013 2018 - - - - - - -
    347330-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[31].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[32], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 149 personnes, soit 41,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-huit) a plus que doublé par rapport à 2010 (treize) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 18,7 %.

    Établissements

    Au , la commune compte cinquante-deux établissements[33], dont vingt-huit au niveau des commerces, transports ou services, onze dans la construction, sept dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[34].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • Ruines du fort de Tursac du XIVe – XVe siècle, au sommet de la falaise dominant la Vézère, inscrit au titre des monuments historiques en 1978[35]. À l'étage inférieur se trouve l'abri de la Madeleine : site éponyme du Magdalénien et village troglodytique ouvert à la visite. En 1865, y a été trouvé le « mammouth de la Madeleine », premier objet à prouver une existence très ancienne de l'homme, très antérieure à l'Antiquité. Sur place et en dessous, au bord de la Vézère, son gisement préhistorique, classé au titre des monuments historiques en 1956, a été occupé depuis le Paléolithique supérieur[36].
    • Château de Marzac, XVe, XVIe et XVIIe siècles, inscrit avec sa chapelle et son pigeonnier au titre des monuments historiques en 1963 et 1991[37].
    • Maison forte de Reignac : château troglodytique, seul château-falaise intact de France, inscrit au titre monuments historiques en 1964 pour ses façades et toitures (parcelle cadastrale AN 36)[38]. Sur place et autour (parcelles cadastrales AN 34 à 38), le gisement préhistorique du même nom, classé en 1966, présente une occupation depuis le Paléolithique supérieur, au Néolithique, à l'Âge du bronze, à l'Âge du fer et à l'époque gallo-romaine[39].
    • L'abri du Facteur est classé depuis 1930[40].
    • Le gisement préhistorique de Liveyre occupé au Paléolithique supérieur et à l'Âge du bronze final est classé depuis 1930[41].
    • Le gisement préhistorique du Roc du Barbeau présentant des traces d'occupation au Paléolithique supérieur et au Mésolithique est classé depuis 1936[42].
    • Le gisement préhistorique du Ruth, ou « abri Pages », est classé depuis 1927[43].
    • Un autre gisement préhistorique situé au Ruth, l'abri Cellier, est également classé depuis 1927[44],[45].
    • La grotte de la Forêt, site archéologique classé depuis 1981, présente des gravures rupestres du Paléolithique supérieur[46],[47].
    • Prehistoparc est un parc à thème présentant des scènes de la vie des hommes préhistoriques.

    Patrimoine religieux

    Personnalités liées à la commune

    • Jaquemet de Reignac, seigneur le plus cruel de Reignac[51]
    • Pierre Claret de Fleurieu, (1896-1977), militaire, aviateur et entrepreneur, enterré à Tursac où il a passé une partie de son enfance.

    Héraldique

    Blason
    Écartelé : aux 1er et 4e d'or au lion de gueules, aux 2e et 3e de gueules à la croix de Lorraine d'argent cantonnée en chef, à dextre, d'un croissant et à senestre d'une étoile, et en pointe, à dextre, d'une étoile et à senestre d'un croissant, le tout d'or.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Sarlat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Tursac et Sarlat-la-Canéda », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Sarlat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Tursac et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. PPR inondation - 24DDT20000029 - Tursac - Vézère, DREAL Aquitaine, consulté le 11 avril 2019.
    21. [PDF] Vallée de la Vézère – Tursac – Révision du plan de prévention du risque inondation, DREAL Aquitaine, consulté le 11 avril 2019.
    22. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 21 avril 2014.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 16 septembre 2020.
    25. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 novembre 2020.
    26. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 4 septembre 2014.
    27. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 21.
    28. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    32. Dossier complet - Commune de Tursac (24559) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 5 février 2019.
    33. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    34. Dossier complet - Commune de Tursac (24559) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 5 février 2019.
    35. « Fort de Tursac », notice no PA00083033, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
    36. « Gisement préhistorique de la Madeleine », notice no PA00083036, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
    37. « Château de Marzac », notice no PA00083031, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
    38. « Maison forte de Reignac », notice no PA00083042, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
    39. « Gisement préhistorique dit de la Maison Forte de Reignac », notice no PA00083037, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
    40. « Gisement préhistorique ou Abri du Facteur », notice no PA00083039, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
    41. « Gisement préhistorique de Liveyre », notice no PA00083035, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
    42. « Gisement préhistorique du Roc du Barbeau », notice no PA00083040, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
    43. « Gisement préhistorique du Ruth ou Abri Pages », notice no PA00083038, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
    44. « Gisement préhistorique dit Abri Cellier au Ruth », notice no PA00083034, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. [White et al. 2017] (en) Randall White, Raphaëlle Bourrillon, Romain Mensan, Amy Clark, Laurent Chiotti, Thomas Higham, Sarah Ranlett, Élise Tartar, André Morala et Marie-Cécile Soulier, « Newly discovered Aurignacian engraved blocks from Abri Cellier: History, context and dating », Quaternary International, , p. 1-27 (lire en ligne [sur academia.edu]).
    46. « Grotte de La Forêt », notice no PA00083041, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
    47. Henri Delporte, « L'abri du Facteur à Tursac (Dordogne) - I. Étude générale, industrie et statuette », p. 1, in Gallia Préhistoire, 1968, t. XI, sur Persée.
    48. « Eglise Saint-Julien », notice no PA00083032, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 6 septembre 2020.
    49. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 130.
    50. Histoire du sanctuaire
    51. Maison forte de Reignac : le Bouc de l'Alchimiste et les esprits dans la falaise
    • Portail de la Dordogne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.