Fleurac (Dordogne)

Fleurac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Fleurac.

Fleurac

L'église Sainte-Marie de Fleurac.

Blason
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de l'Homme
Maire
Mandat
Jean-Paul Bouet
2020-2026
Code postal 24580
Code commune 24183
Démographie
Gentilé Fleuracois
Population
municipale
263 hab. (2018 )
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 00′ 31″ nord, 1° 00′ 09″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 281 m
Superficie 22,18 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Homme
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Fleurac
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Fleurac
Géolocalisation sur la carte : France
Fleurac
Géolocalisation sur la carte : France
Fleurac

    Géographie

    Généralités

    Le Vimont au lieu-dit le Peuch à Fleurac.

    La commune de Fleurac, traversée par le 45e parallèle nord, est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).

    Elle est bordée au nord-est par le Vimont, un petit affluent de la Vézère.

    Le village de Fleurac est situé sur une colline.

    L'intersection du 45e parallèle nord et du 1er méridien à l'est de Greenwich se trouve sur le territoire de la commune (voir le Degree Confluence Project[1]).

    Communes limitrophes

    Carte de Fleurac et des communes avoisinantes en 2018.

    Fleurac est limitrophe de huit autres communes, dont Peyzac-le-Moustier à l'est, sur moins de 300 mètres.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,8 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 996 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Sarlat », sur la commune de Sarlat-la-Canéda, mise en service en 1995[8] et qui se trouve à 21 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 854,5 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le département du Lot, mise en service en 1961 et à 43 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Fleurac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (66,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (65,1 %), prairies (22,2 %), zones agricoles hétérogènes (12,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le lieu est attesté au XIIIe siècle sous la forme Floyracum[21].

    Fleurac est issu du nom de domaine d'un propriétaire gallo-roman, nommé Florius, dérivé du latin Florus, suivi du suffixe -acum[22], correspondant au « domaine de Florius ».

    Florius explique les formes anciennes de type Floyr-, comme dans les noms de type occitan Floirac. Même chose pour les Fleury, Fleurey et Fleuré de langue d'oïl qui ont le plus souvent des formes anciennes de type Floriacum.

    En occitan, la commune porte le nom de Flurac[23].

    Sur la planète Mars, en , l'une des cibles d'analyses poussées effectuées sur un affleurement sédimentaire par l'astromobile Curiosity de la NASA, est baptisée d'après la commune[24].

    Histoire

    Même si la première apparition écrite du nom du village remonte au XIIIe siècle[21], l'église romane lui est antérieure[22].

    Fleurac a longtemps été une terre viticole. Aux XVIe et XVIIe siècles, le domaine du château produit un vin d'excellente qualité. Les seigneurs très puissants de l'époque en tirent de gros profits. Il y a des expéditions de vin jusqu'en Hollande grâce aux gabarres sur la Dordogne et aux bateaux depuis Libourne.

    Vers 1880, le phylloxera anéantit le vignoble et provoque la ruine des châtelains de l'époque (famille De Beauroyre) qui souhaitent replanter. Au début du XXe siècle, la famille Normant, riches industriels du textile de Romorantin[25] et nouveaux châtelains de Fleurac, plante des variétés nobles : cabernet, merlot, plants français greffés et quelques hybrides 5454. Au total, une bonne cinquantaine d'hectares est planté.

    Un chai en pierre de taille est construit à la même époque (toit en terrasse et trois niveaux). Il abrite seize foudres en bois de chêne d'une contenance de 65 barriques de 220 litres et deux de 45 barriques. Par ailleurs, 200 à 300 barriques en chêne s'alignent sur deux rangs face à une petite voie ferrée où circulent de petits wagonnets. La production du vin rouge est dominante. Le vin blanc doux a gardé une certaine renommée.

    La production atteint plus de 1 000 barriques entre les deux guerres puis s'essouffle progressivement au fil des ans. Aucune classification du vin n'ayant été possible, le régisseur de l'époque décide de procéder à une reconversion du domaine.

    Des primes d'arrachage marquent un terme à la production de vin à Fleurac vers le début des années 1960. Tout le matériel de vinification est revendu ; le domaine ne tarde pas à être morcelé. La fin des années 1960 marque l'arrêt total de l'exploitation agricole au château de Fleurac.

    Politique et administration

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[26],[27].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1989
    (réélu en mai 2020)
    En cours Jean-Paul Bouet SE[28] Agriculteur

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Fleurac relève[29] :

    Démographie

    Les habitants de Fleurac se nomment les Fleuracois[30].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

    En 2018, la commune comptait 263 habitants[Note 5], en augmentation de 8,68 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8608327188619381 0231 0381 048903
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    923944929852891819730684600
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    645617560515501501382394316
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    323285239219220221263240247
    2018 - - - - - - - -
    263--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[35], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 109 personnes, soit 44,1 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (treize) a diminué par rapport à 2010 (dix-neuf) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 11,9 %.

    Établissements

    Au , la commune compte cinquante-deux établissements[36], dont trente-trois au niveau des commerces, transports ou services, sept dans la construction, sept relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[37].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Dans le centre du bourg se trouve l'église Sainte-Marie[38] ou Notre-Dame-de-l'Assomption[39], datant des XIIe et XVe siècles[40]. C'est une église fortifiée qui présente un clocher-mur du XIXe siècle et un bahut défensif au niveau du chœur. Une tour barlongue avec consoles et mâchicoulis[41] surmonte encore de nos jours le sanctuaire.

    Fleurac abrite plusieurs édifices nobles :

    • le château de Malbec des XVIe et XIXe siècles ;
    • le château du Cluzeau des XVIe et XVIIIe siècles ;
    • le château de Souffron des XVIIe et XIXe siècles ;
    • le château du Peuch du XVIIIe siècle ;
    • le château de Fleurac début XXe siècle, qui abritait anciennement un musée automobile[42].

    Héraldique

    Blason
    D'azur à trois têtes de griffon d'argent.
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • (de) Hildegard Holtschneider, Schloß Fleurac oder Die schöne Marguerite[43]. Il s'agit d'un roman dont l'original est composé en vers (en hexamètres), mais depuis 2005 il en existe une version simplifiée.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Le point 45°N 1°E sur le Degree Confluence Project, consulté le 23 janvier 2011.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Sarlat - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Fleurac et Sarlat-la-Canéda », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Sarlat - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Fleurac et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Librairie Guénégaud, Paris, 1989 (ISBN 2-85023-076-6), p. 291b.
    22. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 159.
    23. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 13 octobre 2013.
    24. (en) Sean Czarnecki, Sol 3034: Mars Science Buffet, NASA Science, Mars Exploration Program, , consulté le .
    25. La manufacture Normant : une aventure industrielle unique en Sologne, consulté le 23 janvier 2011.
    26. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 4 septembre 2020.
    27. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 28 octobre 2020.
    28. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 4.
    29. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    30. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 26 novembre 2016.
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. Dossier complet - Commune de Fleurac (24183) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 30 octobre 2018.
    36. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    37. Dossier complet - Commune de Fleurac (24183) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 30 octobre 2018.
    38. Église Sainte-Marie, Clochers de France, consulté le 22 février 2019.
    39. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 101.
    40. Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3), p. 311.
    41. Thierry Hourlier, Les églises fortifiées de Dordogne, Éditions patrimoines & médias, 1997, (ISBN 2-910137-20-1), p. 35.
    42. Alain Bernard, Fleurac (24) : le château qui fait parler sur Sud Ouest du 27 septembre 2011.
    43. Hildegard Holtschneider, Schloß Fleurac oder Die schöne Marguerite, maison d'édition Karin Fischer Verlag, Aachen, 1998, (ISBN 978-3-8951-4185-0).
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