Tigny-Noyelle
Tigny-Noyelle est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.
Pour les articles homonymes, voir Noyelle.
Tigny-Noyelle | |||||
Le centre de la commune. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Montreuil | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois | ||||
Maire Mandat |
Bruno Delenclos 2020-2026 |
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Code postal | 62180 | ||||
Code commune | 62815 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Tygniens (ou Tigny-Noyellois) | ||||
Population municipale |
174 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 26 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 21′ 13″ nord, 1° 42′ 24″ est | ||||
Altitude | Min. 2 m Max. 49 m |
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Superficie | 6,76 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Berck (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Berck | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Géographie
Communes limitrophes
Conchil-le-Temple | Lépine | |||
N | Nempont-Saint-Firmin | |||
O Tigny-Noyelle E | ||||
S | ||||
Colline-Beaumont | Nampont (Somme) |
Urbanisme
Typologie
Tigny-Noyelle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Berck, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[4],[5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,7 %), prairies (19 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), zones humides intérieures (4,6 %), forêts (3,8 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,3 %)[6].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].
Toponymie
- Tigny : vient du gallo-roman Tenniacum, nom romain d´homme Tennius dérivé avec le suffixe -acum « domaine, propriété »[8], donnant « domaine du seigneur Tennius » :
Tigny (1152), Tegny (1249), Tigni (1252), Tingny (1256), Tinniacum, Tinniachum (1264)[9]. - Noyelle (ancien hameau de Tigny) : vient du gaulois nevio-ialo « nouvelle terre » :
Nigella (917), Neiletta (fin XIe siècle), Nigellae (1123), Noilete (1153), Nuiella (1157), Noele (1197), Noella (1237), Noyelle (1249), Nigella super Alteiam (1249), Nihele (1263), Noiele (1281), Noiele-sur-Auty (1301), Noyelle-sur-Authie (1703)[10].
Histoire
Tigny
Foulques, chevalier, sire de Nempont et Enguerran, chevalier sire de Beaurain, possédaient chacun un moulin à Tigny : Foulques donna le sien aux religieux de Saint-Josse-au-Bois en 1142. Le fils d'Enguerran de Beaurain suivit cet exemple en 1158.
Le comte de Ponthieu, les seigneurs de Nempont et de Collines, messires Enguerran de Lianne, Gaultier de Waben et Gilbert de Aurenc augmentèrent dans le cours du XIIIe siècle, le domaine que l'abbaye de Saint-Josse-au-Bois ou Dommartin avait à Tigny. Les marais d'Aurenc, qui lui appartenaient, longeaient la chaussée menant de Noyelle au moulin de Tigny.
Au mois de , le comte de Ponthieu vint à Dommartin pour régler la bannée du moulin de Tigny. Il fut convenu que les habitants de Waben, de Verton, de Tigny, de Saint-Vaast et de Saint-Quentin-en-Tourmont en Marquenterre y feraient moudre leurs grains sous peine d'amende.
Les droits de mouture se partageront également entre le comte et les moines ; ceux-ci choisiront le meunier.
Les constructions occasionnées par le séjour du comte sont à frais communs, mais les dépenses occasionnées par le séjour du comte ou de l'abbé à Tigny demeureront personnelles.
Aucun moulin ne pourra être établi contre le gré des moines depuis Maintenay jusqu'à la mer, et depuis Tigny jusqu'à Saint-Josse-sur-Mer.
La comtesse de Ponthieu et sa fille Marie, les chevaliers Hugues de Fontaine, Hugues Boteris, Gaultier de Hallencourt, Dreux de Ponches et Simon de Donqueur, les abbés de Valloires et de Saint-Jean d'Amiens, assistèrent à cette convention. (G.C. de Domartin)
Les moulins de Tigny étaient grevés de certaines redevances envers les seigneurs de Nempont, de Collines et de Beaurain, et payaient au roi deux-cents anguilles pour la retenue de la rivière.
Le domaine des moines comprenait en 1252 environ 375 journaux de terres labourables, 90 journaux de bois et 10 journaux de prairies.
Un religieux de Dommartin résidait à Tigny et y exerçait les fonctions de curé. La chronique de l'abbaye nous apprend que le prédécesseur du père Milon d'Andreult, nommé en 1682, s'était vu forcé de demeurer pendant quelque temps caché dans la tour de l'église pour se soustraire aux persécutions de ses paroissiens.
Le père Maigret nommé curé de Tigny en 1758, trouva l'église complètement délabrée, il y pleuvait de toutes parts et la commune mise en demeure de réparer la nef s'étant refusé à le faire, l'évêque d'Amiens dut l'interdire. Cette mesure de rigueur décida les habitants à exécuter les travaux nécessaires.
Hameau de Noyelle
Le moulin de Noyelle appartenait à Guillaume de Montreuil-Maintenay qui le donna aux moines de Dommartin en 1158.
Ses vassaux devaient y faire moudre leurs grains et lui-même s'engagea à fournir le bois nécessaire pour l'entretien des bâtiments. Guillaume de Nempont avait un four banal à Noyelle en 1311 (aveu de Maintenay).
Politique et administration
Liste des maires
Politique environnementale
La commune obtient sa première fleur au concours des villes et villages fleuris lors du dévoilement du palmarès le [15].
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[17].
En 2018, la commune comptait 174 habitants[Note 3], en augmentation de 2,96 % par rapport à 2013 (Pas-de-Calais : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (26,1 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (19,8 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51 % contre 48,4 % au niveau national et 48,2 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 51 % d'hommes (0 à 14 ans = 15 %, 15 à 29 ans = 18,7 %, 30 à 44 ans = 15 %, 45 à 59 ans = 27,5 %, plus de 60 ans = 23,7 %) ;
- 49 % de femmes (0 à 14 ans = 10,4 %, 15 à 29 ans = 14,3 %, 30 à 44 ans = 11,7 %, 45 à 59 ans = 35,1 %, plus de 60 ans = 28,6 %).
Enseignement
Culture locale et patrimoine
Patrimoine religieux
- Église de la Nativité-de-Notre-Dame ou église Saint-Valéry :
- le chœur de l'église, bâti au XVIe siècle aux frais de l'abbaye de Dommartin, est remarquable ;
- la voûte est tombée, mais on peut juger de son architecture par la richesse des sculptures qui ornent les culs-de-lampe ;
- la tour située à l'entrée de la nef était autrefois beaucoup plus élevée. Le maître autel porte la date de 1703.
Patrimoine civil
- Depuis 2006 l'Association Euphonie organise le Festival Musica Nigella[22] entre le dernier weekend de mai et le premier weekend de juin. Cet événement à dimension internationale faisant partie du Réseau des festivals en Côte d'Opale, initié par le conseil régional, a donné naissance au premier ensemble orchestral professionnel du département : Ensemble Musica Nigella [23].
- Le monument aux morts.
Patrimoine naturel
La commune abrite une zone humide remarquable (Position : X=554,326 ; Y=2594,362, ou 50.3487° - 1.71049°) classée ZNIEFF de type 1[24], d'intérêt régional et national[25] notamment comme halte migratoire pour les oiseaux. Il est inclus dans l'une des 87 zones humides d'importance majeure en France et considéré comme tel par le schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux et la partie trame bleue du schéma régional Trame verte et bleue. La zone d'intérêt écologique dépasse la seule surface du marais puisqu'elle s'étend sur 154 hectares, incluant tourbières et mégaphorbiaies : le marais de Tigny ou marais de Tigny-Noyelle, actuellement classé comme site naturel protégé sur 33,48 hectares, dans un complexe plus vaste de zones humides, mosaïque de milieux associés (ex prairie hygrophile à scirpe des marais sur ce site), habitat menacé à échelle régionale, et coteaux de la basse vallée de l'Authie. Il se situe au cœur de la basse vallée de l'Authie et fait partie des zones humides qui facilitent la migration nord-sud des oiseaux migrateurs de l'Europe de l'Ouest. Il abrite aussi de nombreux oiseaux nicheurs ou de passage (dont Grèbe à cou noir, Cigogne blanche, Cygne tuberculé, Canard Chipeau, Sarcelle d'hiver, Sarcelle d'été, Canard souchet, Fuligule morillon, Marouette ponctuée, Bécassine des marais, Gorge-bleue à miroir, Bouscarle de Cetti, Phragmite des joncs). Outre un site riche en anatidés et limicoles notamment, c'est un des rares endroits de la région ou l'on peut observer la cigogne blanche (pour laquelle un mat de nidification a été implanté).
On y trouve aussi une riche flore[26] (Ce site abrite environ 10 % des espèces de plantes pouvant être observée dans tout le Nord/Pas-de-Calais), dont l’Ache rampante[27] devenue très rare dans la région et dans toute l'Europe de l'Ouest, une petite plante palustre des bords (écotones) de milieux inondés et piétinés (par les animaux), ou encore la Grande douve, le Troscart des marais (plante toxique pour les moutons), l'Hottonie des marais et bien d'autres.
Le marais, depuis 1997, fait l'objet de mesures de gestion restauratoire (étrépage expérimental, pose de clôtures pour une pression contrôlée de pâturage, avec suivi phytosociologique, d'inventaires naturalistes (faune, flore, fonge), avec l'aide de spécialistes[28]. Des études périodiquement mises à jour portent sur la biodiversité (invertébrés aquatiques, dont mollusques), orthoptères en particulier). Une étude pédologique a permis de mieux comprendre le fonctionnement du sol, en complément d'une cartographie des milieux et du réseau hydrographique et d'une sonde piézométrique, permet sur le site de suivre les variations du niveau de la nappe auxquelles de nombreuses espèces autochtones sont sensibles.
Ce site reste néanmoins vulnérable à certaines pollutions et à des difficultés de maitrise des niveaux d’eau notamment car en lien direct avec le canal ; une menace est la baisse de la nappe consécutive à des drainages périphériques au site, mais ces derniers devraient maintenant être limités par le classement du site dans le Réseau Natura 2000.
Ce marais et les prairies associées sont un élément important de la trame verte et bleue régionale et nationale. Un objectif de « bon état écologique » doit y être atteint pour 2015 (obligation de la Directive cadre sur l'eau). Les amphibiens, pour des raisons mal comprises sont assez mal représentés[28], mais on peut signaler le triton alpestre (protégé et en régression) ou encore Bufo calamite et rainette (Hyla arborea). Quatorze espèces d'odonates étaient répertoriées en 2003 (dont l'Agrion élégant et le Calopteryx éclatant, mais trois n'avaient pas été revus par rapport à l'inventaire du 1er bilan du plan de gestion, dont la libellule fauve)[28]. Parmi les orthoptères, le criquet ensanglanté est signalé (considéré comme une espèce patrimoniale). l'inventaire est loin d'être exhaustif, mais il sera riche ; on signalait déjà par exemple en 2003 pour les mollusques aquatiques : Escargots aquatiques : Viviparus contectus, Bithynia tentaculata, Bithynia leachi, Balvata christata, Limnaea stagnalis, Stagnicola palustris, Stagnicola fuscus, Radix ovata, Planorbis planorbis, Anisus vortex, Anisus locostoma, Bathyomphalus contortus, Segmentina nitida, Planorbarius corneus, Aplexa hypnorum[28]... La liste des papillons de jour et de nuit est beaucoup plus longue.
À la suite de la disparition des grands mammifères herbivores (à la préhistoire ou plus récemment), ce type de milieux en l'absence d'intervention humaine évoluerait vers une forêt humide. Le marais est géré et protégé par Conservatoire d'espaces naturels du Nord et du Pas-de-Calais de manière à rester une zone humide et un milieu ouvert, selon une convention signée en 1997. C'est le pâturage extensif ou des opérations de fauche avec exportation qui remplacent l'action de la grande faune herbivore disparue. Un travail d'information et de sensibilisation du public est fait par le gestionnaire, avec la commune, le comité consultatif de gestion, la pose de panneau d’information, et la diffusion d'une plaquette de présentation[29], ainsi que la mise en place d'une surveillance tout au long de l'année. Le marais est aussi une zone tampon hydrauliquement importante : quand il est sous un mètre d'eau, il stocke et épure 300 000 m3 d'eau, qui en été alimenteront l'Authie en étiage. Pour cette raison une partie du marais est inaccessible durant plusieurs mois. Parfois, comme en 2001, le niveau de l'eau est inhabituellement élevé[28].
La commune possède un arboretum qui regroupe une bonne partie des essences de la région.
Personnalités liées à la commune
- Takenori Nemoto (1969-), corniste, compositeur et chef d'orchestre japonais. Directeur artistique du festival Musica Nigella et directeur musical de l'Ensemble Musica Nigella, basé à Tigny-Noyelle.
Héraldique
Blason | Tiercé en pal d'azur, d'argent en d'azur, à trois molettes, deux d'or en chef chargeant l'azur, une d'azur en pointe chargeant l'argent. |
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Détails | Armes de Philippe de Buisy, chevalier et seigneur de Tigny au XVIIIe siècle, qui portait « d'azur à trois molettes d'or », auxquelles a été ajouté un pal d'argent, censé symboliser le marais qui sépare Tigny et Noyelle. Adopté par la municipalité. |
Pour approfondir
Articles connexes
- Liste des communes du Pas-de-Calais
- Ensemble Musica Nigella
Liens externes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Berck », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, (lire en ligne), p. 280.
- Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 368.
- Guy Souillet, Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, Tome 61, n°2, article Noyelle et Noyal, (lire en ligne), p. 351.
- « Le bilan du maire à Tigny-Noyelle : Étienne Debruyne passe la main, sans surprise ni regrets : À 73 ans, et après 32 ans à la tête de la commune de 180 âmes, Étienne Debruyne, maire de Tigny-Noyelle, a décidé de passer le témoin en mars », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Tigny-Noyelles : Bruno Delenclos succède à Étienne Debruyne : Samedi, le conseil municipal de Tigny-Noyelle a élu Bruno Delenclos en tant que nouveau maire de la commune, l’écharpe tricolore lui a été remise par Étienne Debruyne, le maire sortant. Ce dernier n’avait pas souhaité se représenter », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
- Patrick Leroux, « Projets du maire de Tigny-Noyelle : comment mieux vivre ensemble dans le village : Bruno Delenclos, 47 ans, cadre commercial sans étiquette, a été élu maire de Tigny-Noyelle le 5 avril. La préservation et la valorisation du patrimoine, ainsi que le bien-vivre ensemble sont les projets phares de la commune », La Voix du Nord, (lire en ligne, consulté le ).
- Thomas Diévart, « Découvrez le palmarès 2018 des villes et villages fleuris en Picardie », Courrier picard, édition Picardie maritime, , p. 6 (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Tigny-Noyelle en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population du Pas-de-Calais en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Festival Musica Nigella
- Ensemble Musica Nigella
- INPN, ZNIEFF310013698 - Marais de Tigny-Noyelle
- Il correspond à une zone humide d'importance majeure telle que définie par la loi sur l'eau du 3 janvier 1992 (voir article 2)
- Voir inventaire flore de la Znieff (INPN)
- Fiche Opale-Sud ; Le marais de Tigny, une zone humide remarquable, consultée 2011-08-26
- Conservatoire des sites, Bilan du Plan de gestion, 2003
- « Plaquette de présentation du Marais de Tigny, Conservatoire des sites » [PDF].
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