Thiverval-Grignon

Thiverval-Grignon est une commune française du département des Yvelines, dans la région Île-de-France, en France.

Thiverval-Grignon

La mairie (Thiverval).

Blason
Administration
Pays France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Rambouillet
Intercommunalité Communauté de communes Cœur d'Yvelines
Maire
Mandat
Nadine Gohard
2020-2026
Code postal 78850
Code commune 78615
Démographie
Gentilé Thivervalo-grignonais
Population
municipale
1 030 hab. (2018 )
Densité 92 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 51′ 07″ nord, 1° 55′ 05″ est
Altitude Min. 56 m
Max. 132 m
Superficie 11,17 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Plaisir
Législatives Douzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Thiverval-Grignon
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Thiverval-Grignon
Géolocalisation sur la carte : France
Thiverval-Grignon
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Thiverval-Grignon
Liens
Site web thiverval-grignon.com

    Ses habitants sont appelés les Thivervalo-grignonais.

    Géographie

    Localisation

    Position de Thiverval-Grignon dans les Yvelines.

    La commune de Thiverval-Grignon se trouve dans la plaine de Versailles sur une petite éminence entre la vallée du Maldroit (Plaisir, Saint-Germain-de-la-Grange puis Beynes) et celle du ru de Gally (Chavenay puis en contrebas de Davron et Crespières).

    La commune présente deux lieux habités distants de trois kilomètres ; le village de Thiverval, dans la vallée du ru de Gally, et le hameau de Grignon où se trouve le complexe d'AgroParisTech (anciennement Institut national agronomique Paris-Grignon, ex-École nationale supérieure d'agronomie de Grignon).

    La commune est limitrophe de Davron au nord-nord-est, de Chavenay à l'est, de Plaisir au sud, de Saint-Germain-de-la-Grange au sud-ouest, de Beynes au nord-ouest, de Crespières au nord - nord-ouest.

    Réseau routier

    La commune est desservie par la route départementale 30 reliant Plaisir à Poissy et la route départementale 119 reliant Chavenay et la D 30 à Beynes.

    Desserte ferroviaire

    La gare la plus proche est celle de Plaisir - Grignon.

    Bus

    La commune est desservie par les lignes 12, 19, B et TG de la société de transport Hourtoule et par la ligne 4 de la société de transport CSO.

    Sentier de randonnée

    Le sentier de grande randonnée GR 1 traverse le territoire de la commune, de Saint-Germain-de-la-Grange au sud-ouest jusqu'à Davron au nord.

    Urbanisme

    Typologie

    Thiverval-Grignon est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[4],[5].

    Occupation des sols

    Le tableau ci-dessous présente l'occupation des sols de la commune en 2018, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC).

    Occupation des sols en 2018
    Type d’occupation Pourcentage Superficie
    (en hectares)
    Tissu urbain discontinu 3,4 % 38
    Zones industrielles ou commerciales et installations publiques 2,1 % 24
    Terres arables hors périmètres d'irrigation 60,1 % 680
    Prairies et autres surfaces toujours en herbe 17,4 % 197
    Systèmes culturaux et parcellaires complexes 2,2 % 25
    Forêts de feuillus 14,3 % 162
    Forêt et végétation arbustive en mutation 0,4 % 5
    Source : Corine Land Cover[6]

    Toponymie

    Le nom de Thiverval est attesté sous les formes Tivervalle, Tivevalle, Tuvervalle, Tivervale en 1061[7],[8], Paganus de Tevarval en 1152[9], dominus de Tiverval en 1207[10], de Theverval en 1209[10], Tyverval vers 1220[11],[12], Galterus de Tiverval en 1235[13], Gellanus de Tyvervalle en 1254[14], Tyverval, Tiverval vers 1272[15], Tiverval en 1351[15], Tivervallis en 1480[15], Tyverval au Val de Gallye en 1483 [16],[8], Cure de Tiberual en 1648[17], Thiverval vers 1757[18], en 1793[19] et vers 1850[20], Thiverval-Grignon en 1952[19].

    Il s'agit d'une formation médiévale en -val « vallée », appellatif toponymique fréquent, précédé du nom de personne germanique Thiotwar[21] ou Theodberht[10] qui donne *Ti-bert > *Ti-ver, d'où la signification possible de Thiverval : « (Le domaine) du val de Thiotwar ou Thibert », peut être en rapport avec le carolingien Thibert (ou Theodebert), (°775, + ap. 822), missi dominici de Charlemagne en 802, comte de Madrie, dont la capitale de ce comté pourrait être Méré.

    Remarque : il n'existe aucune forme ancienne du type *Tiberval qui permette de postuler l'emploi du nom de personne Theodberht > Thibert, auquel cas [b] aurait donné de manière irrégulière [v]. Les occurrences de Thibert + appellatif dans la toponymie française ont régulièrement abouti à Thiber- / Tiber- comme en témoignent Thiberville (Eure, Tibervilla 1249; Tyeberville 1339); Thibermesnil (Seine-Maritime, Tibermaisnil 1157; Tibermesnil vers 1240 / 1319). En revanche, Thiotwar a régulièrement donné Tiver-.

    Les mentions anciennes de Grignon sont : apud Grinum en 1087[22], 1171[23], Grinun en 1176[24], Greignon vers 1220[8], Gregnon en 1233[25], Greignon en 1266[26], Greignon emprès Tiverval en 1352[8], Fontaine de Grignon en 1485[8], sentier qui va des Bordes à Grignon 1551[8], Grignon vers 1757[18] et vers 1850[20], Thiverval-Grignon en 1952[19].

    Michel Roblin a émis l'hypothèse de voir en Grignon, le radical grinia d'origine germanique. Il désignerait une inégalité rocheuse dans les labours[27],[28]. C'est sans doute le même mot germanique auquel M. Mulon fait référence, mais elle suggère d’y voir un « (Domaine) du terrain grelu », « lieu où le terrain est inégal, fait de rides », c’est-à-dire « terrain difficile à labourer », comme pour le village de Vaugrigneuse[29]. L'ancien français grignos avait le sens de « triste », on le retrouve également dans Grigneuseville (Seine-Maritime, Greinosavilla 1164) et Grenieuseville (Eure, Gregnosavilla 1130)[30]. Il s'agit d'un dérivé du verbe grigner (greignier XIe siècle) « grincer des dents, grommeler, grimacer », mot d'origine germanique, encore employé en français régional. Une autre hypothèse a été formulée par Marie-Thérèse Morlet, les toponymes du type Grignon seraient des dérivés du nom de personne Granius, employé adjectivement en -one du latin granus « grain, graine » employé comme sobriquet « grenu »[10].

    Histoire

    Le territoire a été habité dès l'époque préhistorique. Des traces de l'époque gallo-romaine ont également été retrouvées. Les deux villages de Thiverval et Grignon existent depuis le Moyen Âge.

    Selon la légende, après s'être fait baptiser, Clovis lança trois plumes en l'air et décida de construire une église là où atterrirait les plumes. La légende veut que l'une d'elles atterrit à Thiverval. C'est pour ça qu'une plume figure sur le haut du blason de la commune.

    Tyverval et Greignon dépendaient de la châtellenie de Poissy au XIIIe siècle[12]

    Le château de Grignon est construit au XVIIe siècle par Pomponne de Bellièvre. Le domaine est racheté par le roi Charles X, qui crée l'Institution royale agronomique de Grignon en 1826.

    Le futur maréchal Ney se maria à la mairie de Thiverval le 17 Thermidor an X (), avec Aglaé Auguié, fille de Pierre César Auguié de Lascans, administrateur général des postes propriétaire du château de Grignon[31], époux d'Adélaïde Henriette Genet, femme de chambre de la reine Marie-Antoinette, comme sa sœur, la célèbre Madame Campan[32].

    La commune de Thiverval, regroupant les deux villages, est autorisée à prendre le nom de Thiverval-Grignon par décret du .

    Politique et administration

    Liste des maires

    Période Identité Étiquette Qualité
    1989 2001 Bernard Jolivet    
    2001 En cours Rémi Lucet    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[34].

    En 2018, la commune comptait 1 030 habitants[Note 3], en diminution de 5,94 % par rapport à 2013 (Yvelines : +1,62 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    436393377347369404558500502
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    522497492512553534516525560
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    554587582777660632572660684
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    6126397526627677731 0141 0121 009
    2013 2018 - - - - - - -
    1 0951 030-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des âges

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (13,7 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (54,2 %) est supérieur de plus de deux points au taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 45,8 % d’hommes (0 à 14 ans = 16,6 %, 15 à 29 ans = 34,1 %, 30 à 44 ans = 17 %, 45 à 59 ans = 21,1 %, plus de 60 ans = 11,2 %) ;
    • 54,2 % de femmes (0 à 14 ans = 14,2 %, 15 à 29 ans = 36,4 %, 30 à 44 ans = 16,2 %, 45 à 59 ans = 17,4 %, plus de 60 ans = 15,9 %).
    Pyramide des âges à Thiverval-Grignon en 2007 en pourcentage[36]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    1,9 
    3,0 
    75 à 89 ans
    6,3 
    8,2 
    60 à 74 ans
    7,7 
    21,1 
    45 à 59 ans
    17,4 
    17,0 
    30 à 44 ans
    16,2 
    34,1 
    15 à 29 ans
    36,4 
    16,6 
    0 à 14 ans
    14,2 
    Pyramide des âges du département des Yvelines en 2007 en pourcentage[37]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,3 
    90  ans ou +
    0,9 
    4,3 
    75 à 89 ans
    6,6 
    11,2 
    60 à 74 ans
    11,6 
    20,3 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,1 
    30 à 44 ans
    21,5 
    19,9 
    15 à 29 ans
    18,9 
    21,9 
    0 à 14 ans
    19,8 

    Enseignement

    • Enseignement supérieur : site d'AgroParisTech (établissement né du rapprochement de l'INA-PG, l'ENGREF et l'ENSIA).
    • Recherche : centre de recherche de l'INRA : INRA-Grignon qui regroupe différentes unités de recherches traitant principalement des problèmes environnementaux.

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    L'église Saint-Martin.

    Lieux et monuments

    Elle comporte une nef à cinq travées et trois niveaux en élévation, un clocher octogonal élevé sur la croisée du transept.
    • Château de Grignon : château du XVIIe siècle en briques à chaînages d'angles en pierre calcaire blanche dans un domaine de 500 hectares,  Inscrit MH (1941, L'école Nationale d'Agriculture)[40].
    Zones agricoles et boisées d'environ 290 hectares comprenant un Arboretum[41].
    Il est actuellement affecté à une grande école d'ingénieurs, l'AgroParisTech.
    L'école devrait quitter le site en 2021 et ce patrimoine historique aurait pu devenir le futur centre d'entraînement du PSG[42], ce qui a suscité l'opposition de l'association Yvelines Environnement , du conseil scientifique régional du patrimoine naturel d’Île-de-France[43] et des anciens élèves de l'AgroParisTech.
    En 2018, le ministère de l'Agriculture met en vente le site[44]. Les candidats au rachat du site déposent leur offre auprès de l'État pour le mois de [45]. Un des projets, Grignon 2026, est porté par l'Association Grignon 2000 créée en 1999 par des anciens élèves et des enseignants chercheurs. En août 2021, l'État retient toutefois l'offre du promoteur immobilier Altarea Cogedim[46], choix qui suscite des oppositions de Grignon 2000, d'élus locaux et d'anciens élèves[47].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Les armes de Thiverval-Grignon se blasonnent ainsi :
    parti d'azur à trois trèfles d'or et d'or à trois merlettes de sable becquées et membrées de gueules; au chef cousu de sinople à la croix alésée accompagnée en pointe d'une plume, le tout d'argent.

    Galerie

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « Données statistiques sur les communes de Métropole; Répartition des superficies en 44 postes d'occupation des sols (métropole) », sur CORINE Land Cover, (consulté le ).
    7. PROU (Maur.) Recueil des actes de Philippe Ier, roi de France (1908), t. 1, p. 36, l. 21 & n.j.
    8. HOUTH-BALTUS (Mad.) Dict. Topogr. Des noms de lieux et lieux-dits du Pays de Cruye et de Galie. Bull de la Comm. des Antiq et des Arts (1941), t. 49, pp. 22-215; p. 144, 145, Grignon : p. 147
    9. METAIS (abbé) Cartulaire de Notre-Dame de Josaphat. (1912), t. 1, p. 254.
    10. MORLET M Th Les Noms de personne sur le territoire de (1968), t.3, Grignon p. 101a, Thiverval p.283b
    11. B.N., 9778, f° 239. ANONYME Mémoires de la Société historique et archéologique de l'arrondissement de Pontoise et du Vexin (1922), t.37, p.66.
    12. Victor R. Belot, Coutumes et folklores en Yvelines, Préface de Paul-Louis Tenaillon, président du Conseil général des Yvelines de 1977 à 1994, membre émérite de l'Académie des Sciences morales, des Lettres et des Arts de Versailles, Librairie Guénégaud, 1977 (FRBNF 34588328), Page 241.
    13. MOUTIE (Aug.) Cartulaire abb. de ND de la Roche (1862), p. 68, §LXVII.
    14. MERLET (L) MOUTIE (A) Cartu. abb. N-D Vaux de Cernay 1251-1300. (1857), t.1-(2), p. 502 §DXLIII
    15. LONGNON (A.)Pouillés province de Sens (1904), p. 122B, 160A, 213G.
    16. Archives de Seine-et-Oise tabellionnage Villepreux. 2° registre, p. 340
    17. POUILLE GENERAL contenant les bénéfices de l'archevêché de Paris -dio. (1648), dioc. Chartres, p.51.
    18. IGN, plan de Cassini, en ligne
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. IGN, carte d'État Major 1820-1866, en ligne
    21. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 676a.
    22. DION (cte de) Notice sur Beynes. Société historique et Archéologique de Rambouillet (1896), t.11, p. 18.
    23. Revue de l'histoire de Versailles et de Seine-et-Oise, Société des sciences morales, des lettres et des arts de Seine-et-Oise, Académie de Versailles, des Yvelines et de l'Ile-de-France, L. Bernard (Versailles), H. Champion (Paris), 1899-1976, page 28.
    24. Auguste Longnon, Polyptyque de l'Abbaye de st-Germain-des-Prés. (1895), t.1, p. 223
    25. GUERARD Cartulaire de l’église ND de Paris T5, (1850), t.2, p. 10
    26. MERLET (L) MOUTIE (A) Cartu. abb. N-D Vaux de Cernay (1857), t.1, XL, p. 622
    27. Michel Roblin, Le terroir de Paris aux époques gallo-romaine et franque: peuplement et défrichement dans la Civitas des Parisii (Seine, Seine-et-Oise), (1951), p. 76.
    28. Lucien Fèvre, Le terroir des Parisii : un livre neuf. In: Annales. Economies, sociétés, civilisations. 6ᵉ année, N. 4, (1951), pp. 504-507; p. 505 n.1.
    29. Marianne Mulon, Noms de lieux-d'Ile-de-France (1997), p. 167.
    30. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, , 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 88
    31. A.D.Y., monographie communale de l'instituteur, Thiverval (1899), p. 21/44
    32. A.D.Y., monographie communale de Paul Aubert Thiverval (1863-1949), p. 33/40
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    36. « Évolution et structure de la population à Thiverval-Grignon en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    37. « Résultats du recensement de la population des Yvelines en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    38. « A propos de Sepur », sur Sepur (consulté le ).
    39. « Eglise Saint-Martin », notice no PA00087654, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Ancien château de Grignon, actuelle école nationale d'agriculture de Grignon », notice no PA00087653, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    41. « Présentation de l’arboretum historique de Grignon », Association de l'arbre de fer, .
    42. « Futur centre d'entraînement du PSG : Thiverval-Grignon, majestueux mais éloigné », sur leparisien.fr (consulté le ).
    43. « Quand la France vend ses terres agricoles au Qatar », sur Basta ! (consulté le ).
    44. Par Jérémy Denoyer Le 26 février 2018 à 19h54, « Thiverval-Grignon : le site d’AgroParisTech est officiellement à vendre », sur leparisien.fr, (consulté le )
    45. « Yvelines. Thiverval-Grignon : les candidats au rachat du domaine de Grignon ont déposé leur dossier », sur actu.fr, (consulté le )
    46. Delphine Evenou, « Le berceau de l'agronomie française en passe d'être vendu. Et ça suscite la polémique », sur www.franceinter.fr, (consulté le )
    47. « La vente du site pédagogique et agricole de Grignon rencontre une vive opposition », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
    48. Michel Noblecourt, « La mort d’Hubert Prévot », lemonde.fr.
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