Méré (Yvelines)
Méré est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.
Pour les articles homonymes, voir Méré.
Méré | |||||
![]() La mairie. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Île-de-France | ||||
Département | Yvelines | ||||
Arrondissement | Rambouillet | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur d'Yvelines | ||||
Maire Mandat |
Michel Recoussines 2020-2026 |
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Code postal | 78490 | ||||
Code commune | 78389 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Méréens | ||||
Population municipale |
1 673 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 162 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 47′ 13″ nord, 1° 49′ 06″ est | ||||
Altitude | Min. 65 m Max. 184 m |
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Superficie | 10,32 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Montfort-l'Amaury (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Aubergenville | ||||
Législatives | Dixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | mere-village.fr | ||||
Géographie
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Situation
La commune se trouve à 24 km environ au nord de Rambouillet, dans la plaine de Montfort-l'Amaury, en lisière de la forêt de Rambouillet. Le village jouxte Montfort-l'Amaury.
Hydrographie
La commune est irriguée par un petit ruisseau, le ru de Ponteux qui coule du sud vers le nord et se jette dans le Lieutel, affluent de la Mauldre.
Communes limitrophes
Réseau routier
Les communications routières sont assurées par la route nationale 12, mise à deux fois deux voies en 2003, qui traverse la commune d'est en ouest. La route RD 76, qui lui est perpendiculaire, relie Montfort-l'Amaury et Méré à la gare puis à Thoiry vers le nord.
Desserte ferroviaire
La ligne de Saint-Cyr à Surdon passe par le territoire communal. La commune possède une gare ferroviaire sur cette ligne, à environ 3 km du centre-ville, le long de la route nationale 12.
Bus
La commune est desservie par les lignes 2, 13, 17, 22, 35, 40, 45 et Express 67 de l'établissement Transdev de Houdan, par les lignes 01, 15, 16, 39 et 49 de l'établissement Transdev de Rambouillet et par la ligne 5 de la société de transport Hourtoule.
Sentier de randonnée
Le sentier de grande randonnée GR 1 traverse le territoire de la commune, de Montfort-l'Amaury au sud jusqu'à Mareil-le-Guyon au nord-est.
Urbanisme
Typologie
Méré est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montfort-l'Amaury, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[4] et 5 474 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[7],[8].
Toponymie
Selon B. Guérard le nom de Méré serait le chef-lieu le plus vraisemblable du comté de Madrie[9]. Si l'on suit cette hypothèse, les mentions les plus anciennes de Méré se retrouvent dans : Madriacensis pagi vers 692, [in] pago Madriacensi en 707[10],[11], in pago Matriacensi 751-752[12],[13], Rumaldus Madriacens, Comes... in pago Madriacensi en 754[14], Theobertus comes Matricensis en 802[15], filiam Theotberti Comitis Matricensis en 822[16], in pago Madriacensi vers 825[17], villam pagi Madriacensis en 849[18].
Les mentions suivantes de la localité sont Pinciacensi comitatu, prima potesta Medriaca vers 879-999[19], Medriaca en 936[20], ad Mairiacum en 997[21], potestate Madreia, potestate Madriaca en 997[22], S. Dionysii de Madriaco en 1158[23],[24], de Meri en 1209[25], de Mereio vers 1270[26], prévosté de Mairay en 1317[27],[28], Meriacum[29], Meracum, Mereaorum en 1490[30], Cure de Merey en 1648[31], Merey vers 1757[32], Méré vers 1850[33].
L'étymologie de Madriacensis ou Matriacensis indique que ce toponyme est formé de la racine latine Matri- ou gauloise Matri- (latin mater, -tricis « mère » ou gaulois matir « mère », attesté dans le Plomb du Larzac : adiega matir aiias « Adiega, mère d'Aiia »[34]) employée de manière littérale « Mère » ou sous forme d'un anthroponyme Matrius[35], dont la consonne occlusive sourde -t- passa, sous les mérovingiens, à -d-. Il est suivi du suffixe gaulois et gallo-romain -acum « domaine de »[35],[36] + suffixe latin adjectival -ensis « du pays, du territoire »[37] (> gallo-roman -ESI > ancien français -eis > français -ais). Madriacensis peut être traduit par « pays du domaine de la Mère ou de Matrius », le Mérézais, comme Pinciacensis a donné Pincerais. Potestate Madriaca (prévôté de Méré) est le seul toponyme candidat, le plus homologue dans cette région, à pouvoir prétendre succéder à Madriacensis. Il correspondrait à la bourgade de Méré, plutôt qu'à Merey (Eure). Ce nom est formée également de la racine gauloise et latine Matri- + suffixe gaulois et gallo-romain -acum « domaine de » devenu Madri- par lénition de l'occlusive sourde. Son ultime évolution, de Ma(d)ri(aca) par le double amuïssement de l'occlusive dentale -d- du radical Madri- et de l'occlusive -c- de la finale -acu, aboutit à Mairy, Méri, Merey et Méré. Dans cette hypothèse, les formes anciennes Matriacensis permettent d'établir Matri- > Madri-, le -d- s'est amuis sous les mérovingiens, et rendent moins forte l'explication par le latin materius « matériaux, bois de construction »[38]. Madriaca peut se traduire par « Domaine de la (Déesse) Mère ou de Matrius ». En effet, le culte des 'Mères' a laissé des traces innombrables dans la toponymie de la Gaule[34].
Histoire
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Époque gallo-romaine
- Au lieu-dit "La Chasière" ont été découvert des fragments d'amphores et de céramiques datant du Ier siècle apr. J.-C.[39]. En se basant sur l'étymologie de son nom, la création de Méré remonterait à l'époque gallo-romaine. Le site était placé près du carrefour de deux voies antiques importantes reliant les territoires des cités gauloises. La première reliait Beauvais (Bellovaques) à Orléans (Carnutes) par les Mureaux aux lieux-dits "La Borne Imbert" et "Maison Rouge". La seconde voie de Lutèce (Parisii) à Dreux (Durocasses) croise la première au "Carrefour de l'Espérance" (devant la gare de Méré), elle appartient à l'Itinéraire d'Antonin[40],[39].
Époque mérovingienne
- Près de l'église Saint-Denis, il y a un sarcophage mérovingien en granite de Cherbourg, portant l'inscription Radone[39],[41]. L'instituteur écrit en 1899 fort judicieusement "Les moyens de transports étant, au [haut] Moyen Âge, très difficiles et fort couteux, donc laisse à supposer qu’elle formait le couvercle de la sépulture d’un chef »[42]. En 1844, Guérard a proposé que Méré a pu être le chef-lieu du comté de Madrie[9].
Époque moderne et contemporaine
- Ancien village fermier, les plus anciennes fermes subsistantes remontent à la première moitié du XXe siècle.
Politique et administration
Liste des maires
Population et société
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[45].
En 2018, la commune comptait 1 673 habitants[Note 3], en diminution de 1,01 % par rapport à 2013 (Yvelines : +1,62 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22,9 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,3 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 49,7 % d’hommes (0 à 14 ans = 21 %, 15 à 29 ans = 15,4 %, 30 à 44 ans = 15,9 %, 45 à 59 ans = 25,5 %, plus de 60 ans = 22,2 %) ;
- 50,3 % de femmes (0 à 14 ans = 17 %, 15 à 29 ans = 16 %, 30 à 44 ans = 18,8 %, 45 à 59 ans = 24,7 %, plus de 60 ans = 23,5 %).
Enseignement
La commune possède[50] :
- une école maternelle publique ;
- une école élémentaire publique.
Économie
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- Agriculture (grandes cultures, céréales) ;
- Petites industries (scierie, silos...) ;
- Village résidentiel.
Culture locale et patrimoine
![](../I/M%C3%A9r%C3%A9_78_Buste_Quesnay.JPG.webp)
Lieux et monuments
- Église Saint-Denis : église en pierre du XIIe siècle, avec un clocher-tour carré de deux étages percé de hautes baies géminées et surmonté d'une flèche octogonale couverte d'ardoise.
Personnalités liées à la commune
- Jean de Poltrot de Méré, assassin du duc François de Guise, était le seigneur de Méré.
- François Quesnay, médecin, érudit, économiste du XVIIIe siècle, y est né en 1694.
- L'écrivain Colette a résidé à Méré de 1936 à 1940 dans sa résidence « le Parc », dont une des fenêtres a été l'objet d'un de ses poèmes (habitée ensuite par l'ancien pilote de formule 1 Jean-Pierre Jabouille).
- L'éditeur de musique Raoul Breton (1896-1959) possédait une résidence secondaire à Méré (maison dite « le Colombier »), où de nombreux artistes se rendaient. Il y est enterré avec son épouse, appelée « la Marquise ». Un square et une stèle y portent son nom[51].
- Léopold Bellan (1857-1936), industriel et homme politique français, est né à Méré.
Héraldique
![]() |
Les armes de Méré se blasonnent ainsi : Elles auraient été données à François Quesnay par Louis XV[52]. Le texte qui figure sur le blason est Propter Cogitationem Mentis (Comme les pensées de votre esprit) |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Montfort-l'Amaury », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- GUERARD (Benjamin), Essai sur le système des divisions territoriales de la Gaule. (1832), p. 129-138.
- Auguste Le Prévost, « Anciennes divisions territoriales de la Normandie (pagus Madriacensis) » in Mémoires de la Société des antiquaires de Normandie, 2e série, vol. 1, année 1837, 38,39 (1840), t. 11, p. 29-30.
- François de Beaurepaire, op. cit.
- MALSY Jean-Claude. Un exemple de méthodologie en géographie historique. In: Nouvelle revue d'onomastique, no 41-42, 2003. p. 73-132.
- BOUQUET (Dom Martin) Recueil des historiens des Gaules et de la France... (1869), t.5, Audogaire : p.xxxvij, p. 697A : sylva Aqualinæ p. 707.
- MABILLON (J.) Acta sanctorum ordinis S. Benedicti...- saeculum tertium (1734) pars seconda VENETIS - vita s. Germani episc. Parisiens. §XIX, p. 94 et note a
- WERNER (K.F.) La Neustrie: les pays au nord de la Loire de 650 à 850 : colloque historique international, (1989), t. 1, p. 264.
- PERTZ (Georgius Henricus) Eginhard, Annal. (1845), p. 84.
- GUERARD (Ben.) Polytique d’Irminion (1844), t. 2, p. 31.
- MABILLON (J.) Annales Ordonis S. Benedicti : Complectens res gestas ab anno Christi DCCI. ad annum DCCCXLIX. Inclusive (1704), t.2, p. 229LII;
- HALPHEN (L.) LOT (F.) Recueil des actes de Lothaire et de Louis V, rois de France (1908), p. 155, l.25,30.
- Jean Camille Niel, Attila dans les Gaules, page 75
- TARDIF (Jules) Cartons du Roi. Inventaires & Documents - A.N. (1866), no 240, p. 151.)
- BOUQUET (Dom Martin) Recueil des historiens des Gaules et de la France: Rerum gallicarum (1757), t. 10, IV, p. 575.
- GALLIA CHRISTIANA, in provincias ecclesiasticas distributa: qua..., (1744), t. 7, p. Instrumenta p. 67 §LXXXII, p. 69D, LXXXIII.
- MOUTIE (A.) Cartulaire de l'abbaye de Notre-Dame de la RocheVaux de Cernay, (1862), p. 285.
- DION (A. Cte de) Le Prieuré St-Laurent de Montfort. Sté Archéol. Rambouillet (1888), t. 8, p. 166.
- DION (Adolphe de), Trente-sixième session tenue à Chartres au mois de septembre 1869, (1870), p. 374-384, p. 380.
- RHEIN (André) Seigneurie de Montfort. Sté Archéologique de Rambouillet (1910), t. 21, p. 354-355.
- MORLET (M. Th.) Les Noms de personne sur le territoire de l'ancienne Gaule…(1968), t.3, p. 130.
- Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
- LONGNON (Auguste) Pouillé de Sens (1844) 158B, 213B .
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- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 425a - 451a
- Jean-Pierre Levet, Orient et Occident- suffixe gaulois latinisé -acum (1996)
- Pierre-Henri Billy, La « condamine », institution agro-seigneuriale in Étude onomastique (), p. 136.
- Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: Étymologie de 35000 noms de lieux, Librairie Droz, Genève, 1990, t. 1, p. 1859, n° 1861.
- BARAT (Y.) DUFAŸ (B.) RENAULT (I.) Carte archéologique de la Gaule - les Yvelines. (2007), p. 235.
- BARAT (Y.) LANGLOIS (M.) BRICON (D.) Habitats et nécropoles du haut Moyen Âge en vallée de Vaucouleurs (Septeuil et Villette) Rev archéol du Centre de la Fr (2001), t. 40, Carte p. 135.
- Archéologie des nécropoles mérovingiennes en Île-de-France - Rapport d’activité 2014, p. 43. ; - 1899 p. 16.
- A.D.Y Monographie communales, (1899), p. 16.
- Résultats des élections municipales de mars 2008 sur le site officiel de la préfecture des Yvelines.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Méré en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population des Yvelines en 2007 » [archive du ], sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Site officiel de l'inspection académique des Yvelines »(Archive • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?).
- Site de Méré
- Association pour l’idée, la rencontre, l’information non ennuyeuse, François Quesnay : un illustre enfant de Méré (1694 - 1774).
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