Stade brestois 29
Le Stade brestois 29 est un club de football français basé à Brest, fondé en 1950 à la suite de la fusion de cinq patronages locaux, dont l'Armoricaine de Brest, fondé en 1903.
Nom complet | Stade brestois 29 |
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Surnoms |
Les Ty' Zefs[1], La Team Pirate, SB29 |
Noms précédents |
Armoricaine de Brest (1903-1950) Stade brestois (1950-1982) Brest Armorique FC (1982-1991) |
Fondation |
26 juin 1950 (71 ans, 2 mois et 23 jours) |
Statut professionnel |
1979-1991 2004- |
Couleurs | Rouge et blanc |
Stade |
Stade Francis-Le Blé (15 097 places) |
Siège |
Centre de l'Armoricaine 6 chemin de Pen Helen 29200 Brest |
Championnat actuel | Ligue 1 |
Propriétaire | Denis Le Saint |
Président | Denis Le Saint |
Entraîneur | Michel Der Zakarian |
Joueur le plus capé | René Tréguer (309) |
Meilleur buteur |
Gérard Buscher (64) Drago Vabec (64) |
Site web | sb29.bzh |
National[2] | Championnat de France de D2 (1) |
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Domicile
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Extérieur
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Neutre
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Actualités
Dans ses premières années, le club réalise une montée rapide dans la hiérarchie du football régional, au point d'être promu en championnat de France amateur, troisième échelon du football français, en 1958. Le club intègre la deuxième division en 1970, puis découvre enfin la première division en 1979. Il connaît son apogée sportif entre 1981 et 1991, sous la présidence de François Yvinec, en disputant neuf saisons dans l'élite en dix ans. En 1991, le club est rétrogradé avant de déposer le bilan quelques mois plus tard. Le club ne retrouve la deuxième division qu'en 2004 et la Ligue 1 en 2010. À la fin de la saison 2012-2013, il compte respectivement treize et dix-sept exercices en première et deuxième division française[3].
Le club brestois est présidé, depuis le , par l'entrepreneur Denis Le Saint et dirigé par le tacticien Michel Der Zakarian depuis le . L'équipe première évolue au sein du championnat de France de Ligue 1.
À la suite de la saison 2018-2019, le club est promu en Ligue 1 pour la première fois depuis 2010 en finissant vice-champion, juste derrière le Football Club de Metz.
Histoire
Les sources ne concordent pas quant à la date de création du club. Selon la version présentée par le club actuel, celui-ci est né en 1950 de la fusion de cinq patronages locaux[4]. Cependant, le Stade brestois à sa création a repris les structures et la place en championnat de l'Armoricaine, fondé en 1903, dont il serait donc en quelque sorte l'héritier direct.
L'Armoricaine de Brest (1903-1950)
La section sportive du patronage Saint Louis voit le jour en 1903 en prenant le nom de L’Armoricaine de Brest et en adoptant une devise : « Pen Huel » (« Tête Haute » en breton). Avant la Première Guerre mondiale, 500 jeunes et 400 enfants fréquentent les diverses activités du patronage : préparation militaire, tir, football, athlétisme, gymnastique masculine, théâtre, chorale, fanfare, cercles d’études. La guerre clairsème les rangs des Armoricains mais les activités reprennent vite.
En 1922, l’abbé Cozanet fait construire un stade au Petit Paris, sur l'emplacement de l’actuel Stade Francis-Le Blé, dont une tribune porte toujours pour nom la devise de l'Armoricaine (la tribune Pen Huel). Le stade est inauguré le lors d'une rencontre entre l'Armoricaine et le Stade français. Des rangs de l’Armoricaine sortent, entre les deux guerres, les internationaux français Alexis Thépot, Robert Coat et Ernest Guéguen.
Le patronage de l'Armoricaine dispute les 16e de finale de la Coupe de France en 1921 et 1927, les 32e de finale en 1923, 1926, 1928, 1930, 1931 et 1935. En 1926, l'Armoricaine enlève le titre de champion de France des patronages en s'imposant en finale face à Saint-Jean-de-Luz (3-0). Le gardien Alexis Thépot, qui obtient une sélection alors qu'il fait partie de l'effectif de l'Armoricaine en 1927 face à l'Angleterre, est l'un des plus brillants joueurs du club à cette période.
L'ascension du Stade brestois (1950-1982)
En 1950, la fusion impulsée par le chanoine Balbous entre cinq patronages catholiques (l'Armoricaine de Saint-Louis, l'Avenir de Saint-Martin, la Flamme du Pilier Rouge, la Milice de Saint-Michel et les Jeunes de Saint-Marc) donne naissance au Stade brestois. L'un des objectifs de cette fusion d'équipes catholiques est de supplanter le grand club brestois de l'époque, l'AS Brest, qui est laïque.
A sa naissance, le stade brestois a comme Président (puis comme Président d'honneur jusqu'à sa mort en 1998) Jean Offret.
Reprenant la place de l'Armoricaine en première division de Bretagne, le Stade est promu en promotion d'honneur dès 1951, en division d'honneur régionale (tout juste créée) en 1952 avant de rejoindre la division d'honneur (1953). Le Stade brestois accède finalement au championnat de France amateur (CFA) en 1958, profitant du désistement des Voltigeurs de Châteaubriant. Le club évolue enfin au même niveau que son rival de l'AS Brest. En 1963, le club redescend en division d'honneur, mais retrouve le CFA en 1966. Poursuivant son ascension dans la hiérarchie du football français, le Stade brestois accède ensuite à la deuxième division à la suite de l'élargissement de celle-ci en 1970.
En 1979, le Stade brestois est promu en première division (D1) pour la première fois de son histoire. Cette année d'apprentissage se solde par une dernière place au classement, mais le Stade remonte dès la saison suivante. Le club, dont le nouveau président s'appelle François Yvinec, se maintient cette fois assez confortablement en D1. Malgré une certaine instabilité au poste d'entraîneur, le club breton confirme sa place dans l'élite au cours des saisons suivantes.
L'apogée avec le Brest Armorique puis la chute brutale (1982-1991)
En 1983, le président François Yvinec décide de changer le nom du club pour celui de FC Brest Armorique afin de mieux préciser la localisation géographique du club. L'année 1986 est un tournant dans la vie du club. Les Bretons s'engagent à partir de cette saison dans la voie du « football-business » en recrutant des stars sud-américaines, qui après des débuts en fanfare lui permettent d'atteindre une historique (et toujours inégalée) 8e place de D1 en 1987. Pourtant, en coulisses, la rupture entre le président et l'entraîneur Raymond Keruzoré conduit à la démission de ce dernier, puis au retrait du principal sponsor, les magasins Leclerc.
Les jeunes Paul Le Guen, Vincent Guérin et Patrick Colleter ne suffisent pas à maintenir le club, qui redescend en D2 en 1988 avec sa jeune génération prometteuse. C'est contre le Racing Club de Strasbourg qu'ils regagnent un an plus tard leur place en élite au terme de barrages qui restent comme un grand moment de l'histoire du club.
De retour en première division, l'équipe brestoise est composée de jeunes joueurs talentueux comme Corentin Martins, David Ginola, le Paraguayen Roberto Cabañas ou le futur champion du monde Stéphane Guivarc'h, qui permettent au club de bien figurer dans l'élite. Mais en 1991, malgré la 11e place obtenue par les Brestois en championnat, le déficit important du club entraîne sa relégation administrative en deuxième division[5].
Le club des bords de la Penfeld finit par imploser en décembre de cette même année. Lors de son dernier match chez le rival guingampais, l'envahissement de la pelouse par les supporters brestois excédés oblige David Ginola à appeler au calme pour que le match puisse reprendre. Les résultats des matches disputés par le club depuis le début de la compétition sont annulés. Le club, dont le passif est estimé à 150 millions de francs, dépose son bilan[6].
L'équipe professionnelle est dissoute, les joueurs brestois sont libérés. L'équipe réserve, qui évolue alors en troisième division, devient l'équipe fanion.
Les années en championnats amateurs (1991-2004)
En 1993, le club est promu dans le tout nouveau championnat National 1. À la suite de la fusion des deux groupes de National en 1997, le Stade brestois est relégué en Championnat de France amateur, où il reste trois saisons.
Après une dizaine d'années dans les championnats amateurs, le club breton, qui a retrouvé son nom d'origine (en 1993), remonte en 2000 en championnat National, où il reste quatre saisons.
La renaissance du Stade brestois (2004-2013)
En 2004, l'équipe au sein de laquelle joue le jeune Franck Ribéry remporte son billet pour la Ligue 2. Le club parvient les années suivantes à se maintenir à ce niveau, sans toutefois être un candidat sérieux à la montée dans l'élite.
La saison 2009-2010 voit le club breton, entraîné par Alex Dupont, finir à la deuxième place, ce qui lui permet de retrouver officiellement l'élite grâce à sa victoire 2-0 face au Tours Football Club le . De plus, l'équipe réalise un beau parcours en Coupe de France, n'étant éliminée qu'en huitièmes de finale à Lens en prolongation.
Lors de la saison 2010-2011, le , à la suite de sa victoire 2-0 contre les Verts de Saint-Étienne, le Stade brestois 29 est seul leader de la Ligue 1, après onze matchs joués.
Pour sa première saison en Ligue 1, le club parvient à assurer son maintien, obtenu le malgré une défaite à domicile face à Toulouse[7]. Cette première saison en Ligue 1 suivant la montée est par ailleurs couronnée par une première place au classement du fair play[8] et par une deuxième place au championnat des tribunes[9].
À nouveau à la lutte pour le maintien tout au long de la saison 2011-2012, Brest assure sa place dans l'élite au cours de l'ultime journée du championnat en remportant face à Évian Thonon-Gaillard son premier succès à l'extérieur de la saison[10].
Tempête sur la rade et retour en Ligue 2 (2013-2016)
Brest entame sa troisième saison consécutive en Ligue 1 en août 2012. Pour cette nouvelle saison Landry Chauvin prend les commandes du groupe professionnel. Mais par suite d'une série de mauvais résultats avec l'équipe bretonne, il est limogé le . Corentin Martins assure l'intérim au poste d'entraîneur. Les résultats sportifs ne s'améliorant pas, le Stade brestois semble se diriger tout droit vers la Ligue 2, tandis que des conflits internes, notamment entre le président Michel Guyot et l'actionnaire principal Yvon Kermarec prennent le pas sur l'actualité sportive du club[11],[12].
À la suite d'une nouvelle défaite au cours de la 36e journée, Brest devient lanterne rouge du championnat et est mathématiquement assuré de descendre en Ligue 2 en fin de saison. Le conflit interne entre dirigeants se termine par la démission de Michel Guyot, remplacé à la présidence par l'ancien vice-président et actionnaire principal Yvon Kermarec, qui rappelle immédiatement Alex Dupont au poste d'entraîneur de l'équipe première[13].
Après la catastrophique saison 2012-2013, le club brestois se rassure en effectuant un bon début de saison pour son retour en deuxième division, atteignant ainsi la quatrième place à l'issue de la 7e journée. L'équipe enchaîne cependant sur une longue série de mauvais résultats qui l'amène à une position de relégable au [14]. Une excellente deuxième partie de saison permet au Stade brestois de s'éloigner de la zone rouge puis d'effectuer une remontée qui lui permet de terminer à la 7e place.
Voulant poursuivre sur l'élan de cette fin de saison réussie, l'entraineur Alex Dupont annonce sa volonté de jouer la montée en Ligue 1 au cours de la saison suivante[15]. De fait, le club breton reste sur le podium ou à proximité des places synonymes d'accession une grande partie de l'année ; mais en fin de saison, Brest enchaîne les mauvais résultats, et termine finalement à une 6e place décevante au regard des ambitions du club et du déroulement de la saison[16].
Lors de la saison 2015-2016, le Stade brestois se prépare à une saison de transition avec la dernière année de contrat d'Alex Dupont et la dernière année de présidence d'Yvon Kermarec. Jean Costa est nommé directeur sportif afin de guider le recrutement. Au cours du mercato estival, un nombre important de joueurs quittent le club (Alexis Thébaux, Wilfried Moimbé, Ismaël Traoré, Alexandre Cuvillier, Gaëtan Laborde, etc.), ils sont remplacés par plusieurs joueurs (Baïssama Sankoh, Keita, Jean-Alain Fanchone, Maxime Brillault, Éric Tié Bi, Cristian Battocchio, etc.). Les contrats de ces joueurs n'excèdent pas deux ans du fait du changement de gouvernance qui attend le club la saison suivante. La saison brestoise n'aura jamais vraiment décollé. Les Brestois se maintiennent certes rapidement. Il finissent la saison à une médiocre 10e place. À l'issue de cette saison, Yvon Kermarec et Alex Dupont n'auront pas réussi à faire remonter le Stade brestois en Ligue 1. Le , Yvon Kermarec passe le relais de la présidence à l'entrepreneur Denis Le Saint.
Retour des ambitions (2016-2019)
Après une saison 2015-2016 décevante sur tous les plans, le Stade brestois rouvre une nouvelle page de son histoire. Le , l'entrepreneur Denis Le Saint succède à Yvon Kermarec à la présidence du Stade brestois 29. L'objectif de Denis Le Saint est simple : redorer le blason du Stade brestois et ainsi reconquérir un public qui a vidé le Stade Francis Le Blé la dernière saison. Le Jean-Marc Furlan est nommé au poste d'entraîneur pour une durée de trois ans. Jean-Marc Furlan est un entraîneur reconnu pour avoir réussi à faire monter Troyes trois fois en six ans. Denis Le Saint et Jean-Marc Furlan ont un objectif clair : retrouver la Ligue 1, le plus rapidement possible.
Pour cette nouvelle saison 2016-2017, l'effectif est fortement renouvelé et l'objectif affiché est alors le maintien. Le Stade brestois commence parfaitement sa saison, occupant la tête du classement durant plus de cinq mois, remportant le titre honorifique de Champion d'automne. Le club joue encore sa qualification pour les barrages lors de 38e journée mais finalement, les victoires de ses adversaires Troyes et Amiens placent le club brestois à la cinquième place.
Un vaste chantier attendra cependant Jean-Marc Furlan et Gregory Lorenzi pour la saison 2017-2018 avec quinze joueurs en fin de contrat. Lors de cette saison, le club termine à la cinquième place du championnat, place qui lui permet de disputer des barrages d'accession à l'élite. Il s'incline toutefois 2 à 0 contre Le Havre lors du premier match de ces play-offs.
Le retour en Ligue 1 (2019-)
À la suite de la saison 2018-2019 en Ligue 2, le club finit vice-champion tout juste derrière le FC Metz à la 37e journée, après avoir vaincu Niort à domicile sur une large victoire 3-0. Le Stade brestois est ainsi promu pour la saison suivante en Ligue 1, qu'il retrouve pour la première fois depuis 2013. Par ailleurs, Gaëtan Charbonnier finit meilleur buteur de la saison avec 27 buts, un record pour le club depuis 1979.
Identité du club
Logos
- 1960 : le premier logo du club a une forme de bouclier. Il indique les initiales SB du Stade brestois, en lettrage blanc sur fond rouge comme les couleurs du club. Il représente aussi les armoiries de la ville de Brest : la fleur de lys et l'hermine.
- 1980 : Ce logo se résume à une hermine stylisée, représentant la Bretagne. Ce nouveau logo cohabite avec le logo historique. Il est utilisé pour la première fois sur les maillots lors de la saison 1981-1982. Au cours de cette saison, on voit aussi apparaître sur les maillots un logo circulaire représentant un ballon de football de couleur rouge.
- 1984 : avec le changement de nom du club, le Stade brestois devenant le Brest Armorique, le logo d'origine est définitivement abandonné. Le nouveau logo, plus moderne, reprend l'idée d'un ballon de football , avec la prédominance des couleurs du club : rouge et blanc.
- 1992 : après la liquidation du Brest Armorique, le club reprend le nom de Stade brestois adjoint du chiffre 29, numéro du département Finistère. Le nouveau logo reprend l'idée du bouclier où un ballon rappelant le Brest Armorique reste présent dans la boucle du neuf. Ce logo est bientôt enrichi d'hermines pour figurer la Bretagne ainsi que de la représentation de la pointe Finistère. En 2004, les bandes noires qui accompagnaient le logo, rappelant le Gwenn ha du, sont colorées en rouge, pour rendre le logo plus marquant et pour rappeler la couleur du club. Le logo est légèrement modernisé en 2008, avec l'ajout de bords adoucis[17].
- 2010 : le dernier logo en date a été choisi par les supporters parmi trois propositions. Il a été présenté le lors de la dernière rencontre de championnat à domicile. Il revient à la forme de bouclier du logo d'origine, et comme lui remet en valeur les initiales du club, SB 29. La couleur dominante est le rouge, mais la deuxième couleur du club, le blanc, est utilisée pour les lettrages. Comme à l'origine ainsi que dans le précédent logo, une hermine est présente pour rappeler l'attachement à la Bretagne. Enfin la date de fondation, 1950, est mentionnée sur le logo[18],[19].
En 2017, sur le maillot extérieur bleu, un logo différent apparaît : circulaire, en impression blanche sur bleu, reprenant les armoiries de la ville de Brest (fleurs de lys et hermines), rappelant ainsi le logo d'origine. Mais ce logo n'est utilisé que lors de la saison 2017-2018.
- Logo du Stade brestois (1960-1980).
- Logo du Stade Brestois (1980-1984).
- Logo du Brest Armorique FC (1984-1992).
- Logo du Stade brestois 29 (1992-2004).
- Logo du Stade brestois 29 (2004-2008).
- Logo du Stade brestois 29 (2008-2010).
- Actuel logo du Stade brestois 29 (depuis 2010).
Couleurs
Les couleurs du club sont depuis sa fondation le blanc et le rouge. Elles sont tirées d'un ancien drapeau de la ville[20]. Le premier maillot des Brestois est d'ailleurs blanc à scapulaire rouge, avec des shorts et bas rouges[21].
Maillots
- Domicile 2005-2006
- Domicile 2007-2008 et 2008-2009
- Extérieur 2007-2008 et 2008-2009
Période | Equipementier | Sponsor Maillot |
---|---|---|
1977-1986 | Adidas | Domicile : Brittany Feries , Leclerc |
1986-1991 | Izoard | Domicile : Sodiba , Santal , M.D.V , Eurest , Crit Interim |
1992-1996 | Adidas | Domicile : FIAMM |
1997-2004 | Lotto | Domicile : Windor , Casino Plouescat , DUC, Queguiner Materiaux |
2004-2010 | Puma | Domicile : Queguiner Materiaux
Extérieur : Queguiner Materiaux |
2010-2020 | Nike | Domicile : Queguiner Materiaux
Extérieur et 3e maillot : La Potagére / Yaourt MALO |
2020- | Adidas | Domicile : Queguiner Materiaux
Extérieur et 3e maillot : Yaourt MALO |
Palmarès et résultats
Palmarès
Le palmarès du Stade brestois est constitué d'un titre de champion de France de Ligue 2 remporté en 1981 face à Montpellier lors du match des champions, à l'époque où le championnat de France de deuxième division avait deux poules et confrontait les deux champions. Ce même match des champions avait été perdu deux ans plus tôt en 1979 face au FC Gueugnon. Après le dépôt de bilan du Brest Armorique, le club entame une remontée ; il est premier de son groupe de CFA en 2000, vice-champion de National en 2004 et une deuxième fois vice-champion de Ligue 2 en 2010. Au niveau régional, dans la jeune histoire du club, le Stade brestois remporte le championnat de l'Ouest[note 1] en 1966 et la coupe de l'Ouest en 1969. Plus en arrière, l'Armoricaine de Brest, un des cinq patronages qui fusionnera pour former le Stade brestois, est champion de France FGSPF en 1926. En catégorie jeunes, le club remporte la coupe Gambardella en 1990.
Championnats nationaux | Coupes nationales |
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Anciennes compétitions |
Anciennes compétitions
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Compétitions régionales | Compétitions régionales jeunes |
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Anciennes compétitions |
Anciennes compétitions
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Tournois saisonniers | |
Compétitions féminines | |
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Trophées et distinctions
Trophées UNFP | Classements LFP | Distinctions France Football |
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Personnalités du club
Historique des entraîneurs
Le tableau suivant présente la liste des entraîneurs du club depuis 1962.
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Joueurs emblématiques
Rang | Nom | Matchs | Carrière au club |
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1 | René Tréguer | 309 | 1967 - 1978 |
2 | Bruno Grougi | 307 | 2009 - 2018 |
3 | Richard Honorine | 284 | 1976 - 1984 1986 - 1988 1990 - 1994 |
4 | Steeve Elana | 246 | 2005 - 2012 |
5 | Yvan Bourgis | 227 | 2003 - 2010 |
Rang | Nom | Buts | Matchs | Carrière au club |
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1 | Gérard Buscher | 64 | 147 | 1984 - 1987 1989 - 1990 |
Drago Vabec | 64 | 128 | 1979 - 1983 | |
3 | Bruno Grougi | 53 | 307 | 2009 - 2018 |
Gaëtan Charbonnier | 53 | 137 | 2017 - 2021 | |
5 | Patrick Martet | 48 | 82 | 1978 - 1981 |
Rang | Nom | Matchs |
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1 | Jean-Pierre Bosser | 180 |
2 | Maurice Bouquet | 171 |
3 | Richard Honorine | 159 |
4 | Patrick Chaslerie | 149 |
5 | Yvon Pouliquen | 146 |
6 | Bernard Pardo | 142 |
7 | Jocelyn Rico | 138 |
8 | Gérard Buscher | 134 |
9 | Paul Le Guen | 120 |
10 | Daniel Bernard | 117 |
11 | Jean-Luc Le Magueresse | 106 |
11 | Gérard Bernardet | 106 |
13 | Slavo Muslin | 105 |
14 | Bruno Grougi | 97 |
15 | Benoît Lesoimier | 96 |
16 | Patrick Colleter | 95 |
17 | Yvon Le Roux | 94 |
18 | Vincent Guérin | 90 |
18 | Drago Vabec | 90 |
20 | Karim Maroc | 88 |
Rang | Nom | Buts |
---|---|---|
1 | Gérard Buscher | 58 |
2 | Drago Vabec | 46 |
3 | Pascal Mariini | 21 |
4 | Bruno Grougi | 19 |
5 | Bernard Ferrer | 17 |
6 | Bernard Bureau | 16 |
7 | Irvin Cardona | 16 |
8 | Ronan Salaün | 15 |
9 | Joël Henry | 14 |
10 | Eden Ben Basat | 13 |
11 | Milan Radovic | 13 |
12 | Pascal Dupraz | 13 |
13 | Gérard Bernardet | 13 |
14 | Yvon Le Roux | 12 |
15 | Maurice Bouquet | 11 |
16 | Nolan Roux | 10 |
17 | Hervé Guégan | 10 |
18 | Gaëtan Charbonnier | 10 |
19 | Vincent Guérin | 10 |
20 | Bernard Pardo | 10 |
21 | Steve Mounié | 10 |
22 | Roberto Cabanas | 9 |
23 | Franck Honorat | 9 |
(en cas d'égalité les joueurs sont départagés à l'avantage du plus grand ratio buts marqués/matchs joués)
Au cours de son histoire, le club brestois a compté dans ses rangs plusieurs joueurs qui ont marqué de leur empreinte l'histoire du Stade brestois 29.
Le gardien de but français René Tréguer est le joueur le plus capé sous le maillot brestois avec 309 matchs de championnats en équipe première suivi par le milieu de terrain français Bruno Grougi avec 307 matchs.
Au rayon des meilleurs buteurs, ce sont les attaquants français Gérard Buscher et croate Drago Vabec qui occupent la première place avec 64 réalisations.
En 2010, le quotidien Ouest-France propose le « Onze d'or » du Stade brestois : Lama – Rico, Le Roux, César, Colleter – Le Guen, Bouquet, Cabañas – Ginola, Buscher, Vabec. Entraîneur : Alain de Martigny Entraîneur-adjoint : Slavoljub Muslin Remplaçants : Daniel Bernard, Richard Honorine, Bernard Pardo, Corentin Martins, Jos Van Herpen (en), Louis Floch et Franck Lérand.
Voici une liste non exhaustive de joueurs marquants de l'histoire du Stade brestois. Parmi les critères retenus figurent le nombre de matchs disputés, la qualité des performances ou encore le fait d'avoir représenté l'équipe nationale de son pays.
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Effectif professionnel actuel
Le tableau ci-dessous recense l'effectif professionnel du Stade brestois 29 pour la saison 2021-2022.
Joueurs | Encadrement technique | ||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
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Analyste vidéo
Direction sportive
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Le tableau suivant liste les joueurs en prêts pour la saison 2021-2022.
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Structures du club
Stade
Le Stade brestois est résident du stade Francis-Le Blé depuis sa fondation. Cette enceinte est inaugurée en 1922 sous le nom de Stade de l'Armoricaine, du nom du patronage du même nom. En 1982, le stade est rebaptisé au nom de l'ancien maire de Brest, Francis Le Blé.
Le stade a été progressivement agrandi au cours des années 1980, à tel point que son affluence record se monte à 21 619 spectateurs, réunis pour la réception de l'Olympique de Marseille le . Sa capacité a depuis été réduite à 10 189 places.
Un projet d'agrandissement est prévu pour la fin de la saison 2009-2010 pour porter la capacité du stade à 16 000 places. Comme prévu, les travaux de rénovation débutent dès le lendemain de la dernière rencontre disputée face à Dijon (). Ils prévoient la démolition de la tribune Pen Huel, la construction de la nouvelle tribune et l'aménagement de la tribune Foucauld. Deux nouvelles tribunes voient le jour : la tribune Arkéa (naming, à l'emplacement de l'ancienne Pen Huel) et la tribune Plein Ciel, dans le virage jusqu'alors vierge, où a été déplacé le parcage visiteurs situé auparavant dans l'autre virage[30].
Un nouveau stade doit voir le jour d'ici à [31].
Centre d'entraînement
Le centre d'entraînement de Kerlaurent à Guipavas accueille les joueurs professionnels du Stade brestois[32].
Centre de formation
En 2010, le club ne dispose pas de centre de formation. Un projet de construction d'un centre d'entraînement et de formation est imaginé en 2009, sans être pour le moment concrétisé. Il est tout d'abord envisagé sur la commune de Guipavas[33],[34], à la limite de Brest, puis à Plougastel[35].
En 2013, un projet de construction du centre de formation sur le site d'entrainement de Pen Helen est prévu[36].
Actuellement, les jeunes stadistes s'entraînent sur le terrain synthétique de Pen Helen (collégiens) et au complexe sportif de la Cavale Blanche (lycéens).
Équipe | Entraîneur | Adjoint |
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Équipe National 3 | Bruno Grougi | Mickaël Pellen |
Équipe U19 | Franck Kerdilès | Johann Ramaré |
Équipe U17 | Olivier Auriac | Julien Le Reste |
Aspects juridiques et économiques
Organigramme
En 2016, le Stade brestois est composé d'une SA présidée depuis par Denis Le Saint et dont le directeur général est Pascal Robert.
Éléments comptables
Chaque saison, le Stade brestois 29 publie son budget prévisionnel de fonctionnement après validation auprès de la DNCG, l'instance qui assure le contrôle administratif, juridique et financier des associations et sociétés sportives de football afin d'en garantir la pérennité. Le budget prévisionnel d'un club s'établit en amont de l'exercice à venir et correspond à une estimation de l'ensemble des recettes et des dépenses prévues par l'entité. Le tableau ci-dessous résume les différents budgets prévisionnels du club brestois saison après saison.
Saison | 2008-2009 | 2009-2010 | 2010-2011 | 2011-2012 | 2012-2013 | 2013-2014 | 2014-2015 | 2015-2016 | 2016-2017 |
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Budget | 12 M€[38] | 9,5 M€[39] | 23,5 M€[40] | 27 M€[41] | 27 M€[42] | 13,7 M€[43] | 11,5 M€[44] | 13 M€[45] | 13 M€[46] |
Saison | 2017-2018 | 2018-2019 | 2019-2020 | 2020-2021 | |||||
Budget | 13 M€[47] | 15 M€[48] | 30 M€[49] | 35 M€[50] |
Sponsors et équipementiers
Le club est soutenu par onze principaux sponsors ; huit d'entre eux figurant sur le maillot à domicile (Quéguiner Matériaux[51], la Sill, Trécobat, Guyot environnement, Le Saint, Leclerc, Groupe Oceanic[52], Océania Hôtel[53], CDG et Nike) et sur leur tenue d'entraînement (Le Saint). Le Crédit Mutuel Arkéa a fait le choix de sponsoriser une tribune.
Le sponsoring est réparti entre la visibilité d'une part (naming, maillot, mais aussi bannières LED ou panneaux), à hauteur de 40 % du chiffre, et les relations publiques (places VIP + prestations), pour 60 %
Les 34 entreprises soutenant le stade à hauteur de 50 000 euros minimum par an sont rassemblées dans le « Club des 29 »[54].
Depuis la saison 2010-2011, l'équipementier du club est Nike. En 2016, la collaboration avec l'équipementier américain a été prolongée jusqu'à la saison 2019/2020.
Deux nouveaux sponsors maillot principaux, pour le maillot extérieur, ont également fait leur apparition. Il s'agira de « La Potagère » et des « Yaourts Malo », deux marques déposées par le groupe SILL. Le maillot à domicile reste sponsorisé par Quéguiner. À l'occasion de la saison 2016-2017, le Stade brestois renoue avec ses couleurs historiques, à savoir, un maillot rouge, short blanc et chaussette rouge. Les deuxième et troisième tuniques sont respectivement bleue et jaune fluo.
Culture populaire
Rivalités
Les rivaux sportifs du Stade brestois sont avant tout locaux, la Bretagne comptant de nombreux clubs professionnels.
AS brestoise : Dans ses premières années, le Stade brestois doit se mesurer au principal club de la ville : l'Association sportive brestoise, qu'il rencontre pour la première fois le en CFA[55]. Pendant quelques saisons, ces derbies voient s'affronter les « laïcs » de l'AS Brestoise et les « cathos » du Stade brestois (issu de la fusion de 5 patronages). C'est en octobre 1960, au cours d'un derby AS brestoise-Stade brestois, au stade de Menez-Paul, que le record absolu d'affluence pour un match de championnat de France amateur a été battu avec 13 311 spectateurs payants (sans doute plus de 15 000 au total)[56]. Cette rivalité n'empêchera pas des joueurs comme Paul Le Guen ou Corentin Martins de passer de l'AS Brestoise au Stade brestois.
EA Guingamp : Avec l'ascension sportive du Stade brestois, les rivalités se font plus régionales. Parmi les clubs voisins, le principal rival va devenir l'En Avant Guingamp[57]. Cette rivalité a été exacerbée lors du dernier match disputé par le Brest Armorique avant le dépôt de bilan, le à Guingamp[58]. Des supporters brestois avaient alors envahi le terrain du Roudourou et interrompu le match pour protester contre la décision de la ligue (dont le président de l'époque, Noël Le Graët, était aussi le président de Guingamp) de rétrograder le club en troisième division.
Football Club Lorient : Depuis plusieurs années maintenant, le club (plus particulièrement ses supporters) est en froid avec le club du Morbihan. Depuis un vol de bâche Ultras Brestois 90 par les Merlus Ultras, les supporters se détestent. La saison 2010-2011 voit le Stade Brestois monter en Championnat de France de football jusqu'à sa relégation au cours de la saison 2012-2013. Les deux équipes se retrouvent en Ligue 2 le au Moustoir, dans un derby qui marquera l'apogée des tensions entre les Lorientais et les Brestois avec notamment un tifo déployé par les ultras lorientais mettant en scène un rappeur avec des expressions du groupe de rap Suprême NTM « on est encore là prêt à foutre le souk » et « et tout le monde est cor-da (d'accord en verlan) » avec une bâche « Nique le Stade brestois » (le match sera remporté 4-2 par le FCL). Le à l'occasion du nouveau derby les ultras brestois créeront un pendu avec les initiales des Merlus Ultras 1995 (MU95) et une banderole accrochée sur l'autoroute « MU95 vous allez mourir » (le match sera remporté par le SB29 3-2 au terme d'un match fou).
Affluence
Lors des premières saisons du club en première division, au début des années 1980, la moyenne d'affluence du club a dépassé la barre des 10 000 spectateurs à deux reprises (1982 et 1983).
Le stade Francis-Le Blé a accueilli en moyenne 6 000 à 7 000 supporters par match en Ligue 2 depuis la remontée du club en 2004 (contre quelques centaines à l'époque du championnat de France amateur).
Depuis la reprise du championnat 2010-2011, Brest évolue en Ligue 1 et l'affluence moyenne du club est de 13 000 spectateurs par match avec des matchs à guichets fermés autour de 15 000 spectateurs (contre l'AS Saint-Étienne le ou l'Olympique de Marseille le notamment).
Groupes de supporters
Il existe à l'heure actuelle quatre groupes de supporters du Stade brestois[59].
Les Ultras Brestois, groupe historique du club, furent créés en 1990.
En 2001, les Ultras Brestois et Celtic Angels, un ancien groupe de supporters, s'unissent pour donner naissance aux Celtic Ultras[60]. Mais des différences de mentalité auront vite raison de cette union et les Ultras Brestois retourneront dans leur tribune d'origine, la tribune « Route de Quimper », plus souvent appelée tribune RDK. Les ex-Celtic Angels décident malgré cette scission de conserver le nom de Celtic Ultras et gardent leur emplacement dans la « fosse », au bas de la tribune Foucauld.
Lors de la saison 2005-2006, les Celtic Ultras décident de prendre place dans la tribune RDK aux côtés des Ultras Brestois 90.
L'Hermine 29, groupe de supporters officiel du club, existe depuis 2005. D'abord positionné au bas de la tribune Foucauld, depuis le début de la saison 2010, le groupe se situe dans la tribune Crédit Mutuel Arkea[61].
Depuis , s'est créé un nouveau groupe du supporters : le 12 Brestoa, installé en bas de la tribune Crédit Mutuel Arkea[62]. Ce groupe n'aura duré que 2 années en raison d'une mauvaise gestion de leur bureau et de leurs finances.
Relations avec les médias
Deux quotidiens couvrent l'actualité de la région et, par là, du club : Le Télégramme et Ouest-France.
De plus, depuis la saison 2009-2010, la chaîne de télévision locale Tébéo (disponible sur la TNT) propose plusieurs émissions à propos du Stade brestois et la retransmission des matches du championnat en différé.
France Bleu Breizh Izel couvre les directs radio, à domicile comme à l'extérieur, en multiplex avec les autres clubs bretons.
Radio U (101.1 FM) diffuse les matchs à domicile en direct et en intégralité sur son antenne.
Chanson
Dans les années 1980, l'hymne du Brest Armorique est La Marée Rouge par les Canadiens.
En 1998, le chanteur brestois Christophe Miossec enregistre pour la compilation Amour Foot un morceau intitulé Stade brestoa, narrant les pérégrinations du club dans les années 1980. Il avait déjà fait allusion au Stade brestois avec la chanson Évoluer en 3e division, dans son premier album Boire sorti en 1995.
En 2010, à l'occasion de la montée en ligue 1, le groupe brestois Merzhin décline les paroles de leur chanson Liberté tout juste sortie en Ici c'est Brest !.
En 2014 le groupe brestois La Lucha Libre, sort le titre Saint Bruno Grougi "sanctifiant" l'emblématique milieu de terrain du Stade Brestois.
En 2019, le lendemain de la victoire face à Niort, officialisant le retour du Stade brestois en L1, la Lucha Libre propose un nouveau titre dédié au club finistérien : Red and White. Le clip de la chanson a été réalisé à partir de vidéos d'amateurs prises lors du match et de la fête qui l'a suivi.
Partenariat
Afin de promouvoir l'image du club à l'international en général et à New York en particulier, le Stade brestois 29 a conclu un partenariat avec l'association culturelle BZH New York en . Les Bretons de New York évoluent dorénavant sous l'appellation Stade brestois New York[63].
En mars 2013, le Stade brestois New York a remporté le championnat YMCA hiver 2013 organisé sur Long Island et réunissant au départ huit équipes de différentes nationalités. Les Bretons l'ont emporté 4-1 en finale de play-offs contre Colmar Alsace NY, sponsorisés par le Sports réunis Colmar[64]. C'est officiellement le premier championnat remporté par une équipe du Stade brestois 29 au niveau international.
Littérature
On trouve de nombreuses références au Brest Armorique dans les romans de l'écrivain brestois Tanguy Viel Paris-Brest et Article 353 du Code Pénal.
Annexes
Notes
- La Ligue de l'Ouest réunissait les districts du Finistère, des Côtes-du-Nord, du Morbihan, de l'Ille-et-Vilaine, de la Sarthe, de la Mayenne, de la Loire-Atlantique et du Maine-et-Loire. Ces deux derniers la quittent en 1967, puis la Sarthe et la Mayenne en 1981. La Ligue de l'Ouest prend le nom de Ligue de Bretagne en 1990.
- Le Championnat de France FSGPF se disputait alors en deux phases : championnats régionaux puis play-offs à élimination directe entre les champions régionaux pour désigner le champion national.
- La Coupe de France de la FSF (1948-1967) a disparu mais la Coupe de la FSCF, ou Coupe du docteur Récamier, a pris la suite depuis 1968 et existe encore en 2016.
- Finale non jouée face à l'USSC Redon.
- Lors de la saison 1980-1981, les demi-finales de la Coupe Gambardella se jouent en 2 poules de quatre équipes, les premiers de chaque poule se qualifiant pour la finale.
- Performances en Coupe de la Ligue comptabilisées ici uniquement sous sa forme moderne, après 1994.
- Ancêtre de la Coupe de l'Ouest.
- Titre décerné à deux joueurs à l'époque : récompensé avec Eugène Kabongo
Références
- « #445 – Stade Brestois : les Ti’Zefs », sur footnickname.wordpress.com (consulté le )
- Seuls les principaux titres en compétitions officielles sont indiqués ici.
- Stade brestois, fiche du club sur le site de la Ligue de football professionnel.
- « L'historique du Club », site officiel.
- « Saison 1990-1991 (Division 1) », site officiel.
- « Le club de Brest est mis en liquidation judiciaire et exclu du championnat de deuxième division », Le Monde, .
- « Ligue 1 (38e journée). Le Stade brestois se maintient malgré une défaite face à Toulouse », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
- « Le Stade Brestois champion de France... du Fair Play ! », site officiel.
- « Le Stade Brestois 29, 2e du Championnat des Tribunes ! », site officiel.
- Patrick Daniel, « Brest arrache son maintien face à Evian TGFC », sur football365.fr.
- « Stade brestois : Kermarec veut le départ de Guyot », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
- « Guyot : « Kermarec ne me prend pas au téléphone » », sur le10sport.com, (consulté le ).
- « Kermarec élu, Dupont de retour », sur francefootball.fr, (consulté le ).
- « Ligue 2. Ça y est, Brest est relégable », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
- « La reprise au Stade Brestois avec la Ligue 1 comme objectif », sur France 3 Bretagne, (consulté le ).
- « Ligue 2. Brest conclut par une défaite sa saison décevante », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
- Gabriel Dabi-Schwebel, « Stade Brestois 29 Logo : histoire, signification et évolution, symbole », sur Agence 1min30, .
- « Ce soir, le Stade brestois dévoile son nouveau logo... », sur ouest-france.fr.
- « Voici le nouveau logo du Stade Brestois », sur letelegramme.fr, (consulté le ).
- Divi Kervella & Mikael Bodlore-Penlaez, Guides des drapeaux bretons et celtes, Yoran Embanner, Fouesnant, 2008, (ISBN 9782916579122).
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- (en) Erik Garin, José Luis Pierrend, « France - Footballer of the Year », sur rsssf.com, (consulté le ).
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- Seule la nationalité sportive est indiquée. Un joueur peut avoir plusieurs nationalités mais n'a le droit de jouer que pour une seule sélection nationale.
- Seule la sélection la plus importante est indiquée.
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- Rennes-Guingamp: les Brestois s'en foutent, 20minutes.fr, 08.05.09
- Brest et Guingamp, histoire d'une éternelle rivalité , Ouest-France, 20 février 2010.
- Les supporters, site officiel.
- « Celtic Ultras : le groupe aujourd'hui », site officiel des Celtic Ultras.
- « Hermine 29. Fidèles au poste », sur brest.letelegramme.fr, .
- « Le 12 Brestoa - qui sommes-nous ? », site officiel du 12 Brestoa.
- « Le Stade brestois habillera les Bretons de New York », sur Le Télégramme, (consulté le ).
- « Le Stade brestois new-york est champion ! », sur FinistèreFoot, .
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives au sport :
- Transfermarkt
- Union des associations européennes de football
- (mul) FootballDatabase
- (en + pt) Leballonrond (équipes)
- (mul) Mondefootball
- (en) Soccerbase
- (mul) Soccerway
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