Senneville-sur-Fécamp

Senneville-sur-Fécamp est une commune française située dans le département de la Seine-Maritime en région Normandie.

Pour les articles homonymes, voir Senneville.

Senneville-sur-Fécamp

L'église Sainte-Anne.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Seine-Maritime
Arrondissement Le Havre
Intercommunalité CA Fécamp Caux Littoral Agglomération
Maire
Mandat
Pascal Lecourt
2020-2026
Code postal 76400
Code commune 76670
Démographie
Gentilé Sennevillais, Sennevillaises
Population
municipale
884 hab. (2018 )
Densité 187 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 46′ 24″ nord, 0° 25′ 02″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 124 m
Superficie 4,73 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Fécamp
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fécamp
Législatives 9e circonscription de la Seine-Maritime
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Senneville-sur-Fécamp
Géolocalisation sur la carte : Seine-Maritime
Senneville-sur-Fécamp
Géolocalisation sur la carte : France
Senneville-sur-Fécamp
Géolocalisation sur la carte : France
Senneville-sur-Fécamp
Liens
Site web http://www.villages76.com/sennevillesurfecamp

    Géographie

    Description

    Village du pays de Caux situé sur la partie de la côte normande dite côte d'Albâtre près de Fécamp.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Senneville-sur-Fécamp
    Manche Életot
    Fécamp Fécamp Sainte-Hélène-Bondeville

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,5 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 899 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Goderville », sur la commune de Goderville, mise en service en 1960[7] et qui se trouve à 15 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 10,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 109,7 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Rouen-Boos », sur la commune de Boos, mise en service en 1968 et à 71 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,1 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,5 °C pour 1981-2010[12], puis à 11 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Senneville-sur-Fécamp est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fécamp, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[20],[21].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68,6 %), zones urbanisées (15,6 %), zones agricoles hétérogènes (12 %), zones humides côtières (2,6 %), forêts (1,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

    Toponymie

    Le lieu est attesté sous les formes Sone villa[24] ou Sonevilla en 1025[25], Seigneville vers 1119[26], Seneville en 1154[27].

    Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural », précédé d'un anthroponyme ou d'un adjectif.

    Étant donné l'absence de formes anciennes suffisamment déterminantes, il est difficile de connaître la nature du premier élément.

    Selon François de Beaurepaire[28], la forme de 1025 n'est pas assurée. En effet, il est difficile d'admettre une évolution phonétique Sone- > Se(i)ne-.

    En outre, il hésite à voir dans Senneville une « saine ville », comme Sainneville (Sanavilla 1145) et les différents Santerre (Picardie, Sana terra 881), Sanroy (Criel-sur-Mer, Sanrei fin XIIe siècle < *Sana rito) qui contiennent manifestement l'adjectif gallo-roman SANA > sain, ce qui n'est pas le cas ici.

    Statistiquement, les noms de lieux en -ville composés avec un anthroponyme représentent plus des ¾ de ce type de formation toponymique, il est donc préférable de privilégier cette autre solution.

    Il existe par ailleurs un Senneville (Eure-et-Loir, Sesni villa 1080, Senni villa 1121, Senesvilla 1109), dont Ernest Nègre[29] analyse le premier élément comme étant le nom de personne germanique Saxo (aussi Sahso). Cependant, dans la Beauce les noms en -ville conservent le -(o)n de l'ancien cas régime, ce qui n'est généralement pas le cas en Normandie. À moins que Senneville-sur-Fécamp soit une formation basée effectivement sur le mot SAXONE > Saisne > Sesne, Cesne « saxon », bien attesté dans l'onomastique normande (cf. le Val aux Cesnes ou le nom de famille Lecesne).

    À l'appui supplémentaire de cette hypothèse, il existe en pays de Caux une formation au cas régime bien identifiée dans Vassonville (Vassunville 1088) qui contient l'anthroponyme germanique Wasso, qui normalement aurait dû donner *Vasseville et qui se perpétue dans l'anthroponyme Vasse (cf. Wace), plus rarement Vasson ou Gasson.

    Fécamp est une des villes voisines.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[30]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
        Jules Allard    
        Louis de Robillard de Beaurepaire    
    1940   Georges Gobbé    
    avant 1988   Bernard Lebreton    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 En cours
    (au 10 août 2020)
    Pascal Lecourt   Retraité de la Caisse d'épargne
    Vice-président de la CA Fécamp Caux Littoral Agglomération (2020 → )
    Réélu pour le mandat 2020-2026[31],[32]

    Distinctions et labels

    La commune a obtenu en 2019 sa première Fleur au Concours des villes et villages fleuris[31].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

    En 2018, la commune comptait 884 habitants[Note 7], en augmentation de 7,54 % par rapport à 2013 (Seine-Maritime : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    492619554610678713705677685
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    592672669660697656741805790
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    786765776681655624566553590
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    538527533540565628752770813
    2017 2018 - - - - - - -
    882884-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Sainte-Anne.

    Personnalités liées à la commune

    Jeanne Loviton, muse de Paul Valéry, y posséda une résidence dont elle confia la décoration intérieure à l'antiquaire et décoratrice parisienne Madeleine Castaing.

    Senneville-sur-Fécamp dans les arts

    Senneville a laissé sa trace dans l'histoire au travers d'un chant de marin, puisque l'un d'eux s'intitule Les Gars de Senneville[37].

    Paroles :

    Ce sont les gars de Senneville,
    Ah ! ce sont de bons enfants
    Ils ont fait faire un navire
    J'aime la belle endormie
    Pour aller sur le grand banc
    J'aime la belle en dormant

    la mâture était d'ivoire
    Et la coque était d'argent
    Il y avait sur ce navire
    J'aime la belle Pamyre
    Une jeune fille qui pleurait tant
    J'aime la belle en dormant

    le capitaine du navire
    Mit la main sur ses bas blancs
    Tout doux tout doux capitaine
    J'aime la belle Marjolaine
    Vous n'irez pas plus avant
    J'aime la belle en dormant

    Vous avez eu mon pucelage
    Mais je n'ai pas eu votre argent
    Galant fouille dans sa pouquette[38]
    J'aime la belle Mariette
    lui donne dix écus comptant
    J'aime la belle en dormant

    Héraldique

    Les armes de la commune de Senneville-sur-Fécamp se blasonnent ainsi :
    Écartelé au 1) et au 4) échiqueté d’azur et d’or, au 2) d’azur au crabe d’or, au 3) d’azur aux deux épis de blé passés en sautoir ; à la croix d’argent brochant sur la partition ; sur le tout de gueules à la croix latine au pied perronné d’or.[39].

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Michèle Schortz, Le parler de Senneville-sur-Fécamp, Uppsala, Acta Universitatis Upsa- liensis, coll. « Studia Romanica 55 », , 278 p. (présentation en ligne).

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Senneville-sur-Fécamp », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Goderville - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Senneville-sur-Fécamp et Goderville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Goderville - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Senneville-sur-Fécamp et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rouen-Boos - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fécamp », sur insee.fr (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
    20. « La loi littoral », sur www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    24. Adigard des Gautries Jean. Les noms de lieux de la Seine-Maritime attestés entre 911 et 1066 (suite). Annales de Normandie, 8e année, no 3, 1958. Page 165.
    25. Dictionnaire topographique de la France comprenant les noms de lieux anciens et modernes, Dictionnaire du département : Seine-Maritime, page 951.
    26. Archives de Seine-Maritime 6 H 6 — charte de Henri comte d'Eu.
    27. François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, 1979, 180 p. (ISBN 2-7084-0040-1) (OCLC 6403150). p. 151.
    28. ibidem
    29. Toponymie générale de la France. 2. Formations non-romanes ..., Volume 2, Librairie Droz 1991. p. 949.
    30. « Les maires de Senneville-sur-Fécamp », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
    31. Matthias Chaventré, « Municipales 2020 : Pascal Lecourt candidat à un nouveau mandat de maire à Senneville-sur-Fécamp : L’actuel maire du village est candidat à un nouveau mandat, entouré d’une grande majorité d’autres élus sortants », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
    32. « Municipales 2020. Pascal Lecourt réélu maire de Senneville-sur-Fécamp : Ses conseillers municipaux lui ont confié les rênes du village pour la cinquième fois », Paris-Normandie, (lire en ligne, consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. « Les Gars de Senneville », sur babord.amures.info (consulté le ).
    38. « Poche de vêtement » en cauchois
    39. GASO - Banque du blason - 76664.
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