Sarrant

Sarrant, est une commune française située dans le département du Gers, en région Occitanie.

Sarrant

Sarrant, porte de la ville.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Condom
Intercommunalité Communauté de communes Bastides de Lomagne
Maire
Mandat
Alain Berthet
2020-2026
Code postal 32120
Code commune 32416
Démographie
Gentilé Sarrantais
Population
municipale
365 hab. (2018 )
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 46′ 31″ nord, 0° 55′ 48″ est
Altitude 130 m
Min. 115 m
Max. 192 m
Superficie 19,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gimone-Arrats
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Sarrant
Géolocalisation sur la carte : Gers
Sarrant
Géolocalisation sur la carte : France
Sarrant
Géolocalisation sur la carte : France
Sarrant
Liens
Site web Site officiel

    Géographie

    Localisation

    Sarrant est une bastide située au nord-est du Gers en terre gasconne, aux confins de la Lomagne. C'est une commune limitrophe avec les départements de la Haute-Garonne et de Tarn-et-Garonne.

    Le village fortifié, disposé en cercle autour de l'église Saint-Vincent, est au carrefour de la D 165 et de la D 205, à 10 km au nord-est de Mauvezin, à 8 km au nord-ouest de Cologne et à 5 km au sud-est de Solomiac.

    Communes limitrophes

    Géologie et relief

    Sarrant se situe en zone de sismicité 1 (sismicité très faible)[2].

    Hydrographie

    Le territoire de la commune est traversé par la Gimone et son affluent le Sarrampion.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 716 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,7 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ste-Anne », sur la commune de Sainte-Anne, mise en service en 1995[8] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 653,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 31 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[12] à 13,5 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Sarrant est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (97 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,1 %), zones agricoles hétérogènes (20,6 %), forêts (2,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Histoire

    De forme circulaire, le village est une bastide construite autour de son église, placée sous le patronage de saint Vincent d'Agen. Il a succédé à un habitat du haut Moyen Âge, édifié sur un site antique. Sarrant, situé sur la voie romaine Toulouse-Lectoure, longeant la rive droite du Sarrampion, figure sur les cartes de l'Empire romain, sous le nom de Sarrali (table de Peutingër). Cette origine antique a été confirmée, en 2004, par la découverte d'une tombe en bâtière, couverte de tegulae (tuiles), antérieure au IVe siècle.

    La charte des coutumes de la ville datée de 1265, avec les privilèges annexes, accordés par Philippe IV le Bel en 1307, fait de Sarrant un castrum royal dirigé par des consuls, nul seigneur ne peut y exercer son pouvoir.

    Au XVe siècle, trois châteaux existent dans la juridiction. Le château de Savailhan, appartient à la famille de Mauléon. Denis de Mauléon est un fidèle compagnon d'armes et ami d'Henri de Navarre. Le château de Reychac, aujourd'hui disparu, salle moyenâgeuse rectangulaire d'un seul étage, flanquée d'une tour ronde dominant deux vallons, appartient au baron Jean-Jacques de Reychac. Le château de Cédailh, tout proche du village, est habité par Jean de Cédailh, bourgeois et marchand de Beaumont-de-Lomagne.

    Au XVIe siècle, Sarrant est une paroisse prospère comptant presque 2 000 âmes, dont 400 environ vivent dans l'enceinte. La ville s'est développée principalement autour de la culture du blé, de la vigne et de l'élevage des brebis. L'artisanat est dominé par les métiers du tissage de la laine et du lin. Pendant les guerres de religion, la communauté subit attaques et pillages. En 1590, Sarrant est occupé, sa tour endommagée. La ville est libérée contre une importante rançon, payée en mettant en gage l'argenterie de l'église, ce qui a évité sa destruction.

    Fait remarquable, probablement unique en Gascogne, une importante confrérie de musiciens, dont beaucoup sont aveugles, s'est développée au cours du XVIe siècle. Entre 1580 et 1640, plus d'une centaine de musiciens, violons, vielles à roue, tambourins à cordes (tountoun) et flûtes, ont été recensés. Les maîtres violons de Sarrant formaient des apprentis venus de tout le pays, du Béarn, du Pays basque, ainsi que du Roussillon, alors espagnol.

    Le XVIIe siècle est marqué par la terrible épidémie de peste bubonique de 1628-1631 qui fera une centaine de morts dans la paroisse. Pendant la période de la Révolution, la communauté est victime de brigandages et incendies des gerbiers, des patrouilles armées sont mises en place. À partir de 1793, Sarrant deviendra un foyer de contrerévolution, la population se révolte contre les abus du pouvoir républicain et entre en résistance en dissimulant les prêtres réfractaires qui célèbrent des messes clandestines dans les hameaux.

    En 1813, le pont-levis est remplacé par un pont de pierre. Plus tard, une large brèche sera faite dans la muraille ouest pour donner passage à la route. Entre 1853 et 1863, dans un souci d'assainissement et de modernisation de la ville, les fossés sont comblés et des platanes sont plantés sur leur emplacement.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 Anne Salat    
    mars 2008 2014 Lucien Calestroupat[20]    
    mars 2014 En cours Alain Berthet DVG puis Agir Agriculteur

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

    En 2018, la commune comptait 365 habitants[Note 5], en diminution de 7,59 % par rapport à 2013 (Gers : +0,53 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
    9051 0701 0429831 0111 0251 0201 017912
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    952887854820785729694685632
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    635615519541542530491460440
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018
    357319312319338340392368365
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Défilé costumé en 2001.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Depuis 1999 Sarrant fait partie des plus beaux villages de France, le cœur du village constituant un ensemble de maisons et de monuments remarquable. Cette homologation est donnée par l'Association des Plus Beaux Villages de France créée en 1982. Le but de l'association est de préserver et valoriser le patrimoine des villages français pour accroitre leur notoriété et leur fréquentation et développer ainsi une activité économique liée au tourisme. Pour être membre de l'association, le village doit faire acte de candidature : il doit avoir une population de moins de 2 000 habitants ; avoir deux sites ou monuments classés Monument Historique et voter en conseil municipal l'adhésion. La demande est recevable si la commune répond à une grille de 27 critères. Le village adhère ensuite à une charte de qualité. Il peut se voir déclasser. Sarrant est donc l'un de ces 151 villages homologués comme "plus beaux villages de France".
    • La porte de ville, surmontée de sa tour carrée, du XIVe siècle est un témoin des anciennes fortifications.
    • L'église Saint-Vincent, édifiée au XIVe siècle, a été reconstruite et agrandie après les guerres de religion, au début du XVIIe siècle, et une flèche lui a été ajoutée au XIXe siècle. L'église est répertoriée depuis 2014 dans la base Mérimée[25] et à l'Inventaire général Région Midi-Pyrénées[26].
    • La chapelle Notre-Dame-de-Pitié, à l'extérieur des remparts en face de la porte-tour, a été construite au XVIIe siècle, près de la fontaine dont le soubassement date de l'époque romaine.
    • À voir aussi à droite de la porte de ville, le jardin médiéval, riche de légumes anciens et de simples.

    Personnalités liées à la commune

    • Jacques de Mauléon sieur de Labastide, a fait édifier le château de Savaillan. En 1526 il sert dans la compagnie d'Henri d'Albret roi de Navarre. L'année suivante, chef d'une compagnie d'hommes d'armes gascons, il est lieutenant dans l'armée de Monluc durant la campagne d'Italie. Il se distingue par son courage dans la prise de Forcha-di-Penne. En 1533 il épouse Perrete Guilhot de Ferrières native du diocèse de Castres qui lui donnera neuf enfants. Il décèdera au château de Savaillan durant l'hiver 1559.
    • Denys de Mauléon, son fils né à Sarrant, est capitaine dans les armées du roi Henri de Navarre. En 1576, il épouse à l'église réformée de Mauvezin, demoiselle Catherine de Monlezun. LerRoi de Navarre lui offre deux moulins en cadeau de noces. Ils auront sept enfants dont le dernier, Henri né en 1588, a pour parrain le roi de Navarre en personne. Blessé d'une arquebusade au Mas-Grenier, Denys de Mauléon meurt dans son château en 1589.
    • Guillaume de Laffont, capitoul de Toulouse en 1641 au secteur de la porte Saint-Géraud, est propriétaire de nombreux biens à Sarrant dont les métairies des Truilhés, de la Bourdette et du moulin à eau d'en Courbet sur le Sarrampion.
    • Clément Fermat et son fils Pierre, sieurs d'En Caussan, frère et neveu du mathématicien Pierre de Fermat, sont bien-tenants de Sarrant. Au début du XVIIe siècle ils possèdent les terres nobles d'En Caussan.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'argent à une pomme de pin de sinople.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. II : Arrondissement de Condom, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 469 p. (ISBN 2-9505900-7-1, notice BnF no FRBNF39919209)
    • Jean Laurent Édouard Desponts, Un village de Gascogne pendant les guerres de la Fronde, Auch, imprimerie de F. Foix, 1867
    • Claudette Gilard-Fito, "La confrérie des musiciens de Sarrant", Bulletin de la Société Archéologique et Historique du Gers, 3e trimestre 2002
    • Claudette Gilard-Fito,"Guerre, famine et peste, survie de la communauté de Sarrant", Bulletin de la Société Archéologique et Historique du Gers, 4e trimestre 2003
    • Claudette Gilard-Fito, Le testament d'après les notaires de Sarrant (16e-18e siècles) Bulletin de la Société Archéologique du Gers, 2e, 3e et 4e trimestres 2005
    • Claudette Gilard-Fito, "Demoyselles de Savailhan maistresses dudit château sis au lieu de Sarrant", Bulletin de la Société Archéologique et Historique du Gers, 3e et 4e trimestres 2007
    • Claudette et Guy Gilard, "Un foyer de contrerévolution à Sarrant 1790-1799", Bulletin de la Société Archéologique et Historique du Gers, 4e trimestre 2009 et 1er trimestre 2010
    • Claudette Gilard et al. :"Histoire de Sarrant, village médiéval gascon". Préface de Georges Passerat. Éditions Glanes d'Histoire Sarrant, 2008. Ouvrage 360 pages . Lauréat de l'Académie des Jeux Floraux 2009. Deuxième édition 2012, revue et augmentée, 479 pages.
    • Claudette Gilard, A même pot et feu, le mariage à Sarrant sous l'Ancien Régime. BSAHG, 4e trimestre 2017 et 1er trimestre 2018.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Carte IGN sous Géoportail
    2. Plan séisme
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Ste-Anne - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Sarrant et Sainte-Anne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Ste-Anne - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Sarrant et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Site de la préfecture - Fiche de Sarrant
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. « Église paroissiale Saint-Vincent », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
    26. Recherche: base de données - église paroissiale Saint-Vincent - Sarrant - Gers : patrimoines.laregion.fr
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