Sainte-Marie (Hautes-Pyrénées)

Sainte-Marie, selon la dénomination officielle, ou Sainte-Marie-de-Barousse, est une commune française située dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Sainte-Marie.

Sainte-Marie

Le pic du Gar vu de Sainte-Marie.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Bagnères-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes Neste Barousse
Maire
Mandat
André Duran
2020-2026
Code postal 65370
Code commune 65391
Démographie
Population
municipale
62 hab. (2018 )
Densité 221 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 58′ 21″ nord, 0° 37′ 15″ est
Altitude Min. 459 m
Max. 478 m
Superficie 0,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée de la Barousse
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Sainte-Marie
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Sainte-Marie
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Marie
Géolocalisation sur la carte : France
Sainte-Marie

    Géographie

    Localisation

    La commune de Sainte-Marie se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 53 km à vol d'oiseau de Tarbes[2], préfecture du département, à 40 km de Bagnères-de-Bigorre[3], sous-préfecture, et à 26 km de Lannemezan[4], bureau centralisateur du canton de la Vallée de la Barousse dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Montréjeau[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[5] : Bagiry (0,7 km), Siradan (0,8 km), Galié (2,0 km), Saléchan (2,0 km), Ore (2,4 km), Thèbe (2,6 km), Samuran (2,7 km), Mont-de-Galié (2,8 km).

    Sur le plan historique et culturel, Sainte-Marie fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège. Elle est dans le sous-ensemble du Barousse[6].

    Sainte-Marie est limitrophe de quatre autres communes, dont deux dans le département de la Haute-Garonne.

    Carte de la commune de Sainte-Marie et des proches communes.
    Communes limitrophes de Sainte-Marie[7]
    Bagiry (Haute-Garonne)
    Siradan Ore (Haute-Garonne)
    Saléchan

    Climat

    La commune jouit d'un climat montagnard caractérisé par des étés doux (température moyenne de 25 °C) et des périodes de beaux temps. Parfois des orages éclatent sous formes de fortes averses, imprévues et violentes. Quant aux hivers, ils sont frais ou froids avec des températures de 3 °C en moyenne, et souvent humides avec de fréquentes dépressions en provenance de l'Atlantique amenant de la pluie.

    Données climatiques à Sainte-Marie.
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 1 2 4 6 9 13 15 15 12 9 4 2 7,7
    Température moyenne (°C) 5,2 5,6 8,4 10,1 13,8 17,8 18,6 18,8 16,4 13,5 7,5 5,5 11,8
    Température maximale moyenne (°C) 10 11 14 15 19 22 25 25 23 19 14 11 17,3
    Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
    Précipitations (mm) 98,6 63,3 99 108,2 137 87,1 72,6 70,5 69,5 81,9 101,4 97,4 1 086
    Source : Climatologie mensuelle à la station de Lannemezan / Campistrous de 2000-2010

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9]. Dans ce cadre, la commune fait partie [10]. Un espace protégé est présent sur la commune : « la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 658,7 ha[11].

    Réseau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[13], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs (zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[14].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[15] : « la Garonne de la frontière franco-espagnole jusqu'à Montréjeau » (469 ha), couvrant 38 communes dont 28 dans la Haute-Garonne et dix dans les Hautes-Pyrénées[16] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[15] : les « Garonne amont, Pique etNeste » (1 788 ha), couvrant 112 communes dont 42 dans la Haute-Garonne et 70 dans les Hautes-Pyrénées[17].

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Marie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[18],[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (73,3 %), zones urbanisées (20,1 %), forêts (6,6 %)[23].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par la route départementale D161.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Sainte-Marie à l'est de Mauléon-Barousse.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[24] qui rapporte comme dénomination historique du village : Ste Marie, à la fin du XVIIIe siècle, sur la carte de Cassini.

    Nom occitan : Senta Maria.

    Histoire

    Jusqu'à la Révolution, il n'y a qu'une paroisse regroupant les trois villages de Bagiry, Siradan & Ste-Marie, dépendant du diocèse de Saint-Bertrand-de-Comminges. Elle est dénommée soit Bagiry, soit Siradan, soit avec les deux noms, parfois associés à Ste-Marie.

    Sainte-Marie-de-Barousse vue depuis Bagiry.

    Entre 1681 et 1792, les registres paroissiaux conservés aux archives départementales de la Haute-Garonne pour la paroisse de Bagiry recensent également les baptêmes, mariages et sépultures de St-Pierre-du-Louga (ou St-Pé) de Siradan et de Ste-Marie, souvent dénommée Ste-Marie-des-Vignes, fréquemment citées comme des paroisses annexes de celle de Bagiry[25]. Ce n'est qu'à partir de 1793, début de l'état-civil républicain que des registres distincts seront tenus pour chacune des trois communes.

    Un point est effectué par le curé Sarrieu à la fin des registres de 1764[26] :

    « Je déclare que quoiqu'il y ait trois villages dans la présente paroisse, il n'y a cependant que deux églises parce que la communauté de Siradan et celle de Ste Marie ont l'église en commun et que l'église de St Pierre dont on trouvera qu'il est fait mention dans les présents registres a été l'église paroissiale des dites communautés et alors celle de Ste Marie n'était qu'une chapelle de dévotion. L'église de St-Pierre étant tout à fait champêtre, Mgr l'évêque lors de sa visite transféra les services de paroisse à la chapelle de Ste Marie qu'il érigea en église paroissiale et interdisit celle de St Pierre à dire pour les obsèques des grands corps attendu qu'il n'y avait point de place pour faire un cimetière dans celle de Ste Marie. On trouvera dans le cours des présents registres que tous les grands corps de Siradan et Ste Marie sont ensevelis dans le cimetière de St Pierre et les enfants des communautés et baptêmes sont faits à Ste Marie aussi bien que les enterrements de ceux étant morts. »

    Selon la tradition orale[27], la paroisse de Sainte-Marie aurait abrité, avant la Révolution française, un couvent et une école fondés par un certain père de Buch, dans une grande bâtisse carrée, encore visible aujourd'hui. Les moines de ce couvent ayant préféré s'exiler en Espagne plutôt que de prêter serment à la Constitution civile du clergé, ce serait par mesure de rétorsion que le village aurait été coupé en trois, la chapelle et l'ancien couvent étant rattachés à la commune de Bagiry et à la Haute-Garonne[réf. souhaitée]. Cette thèse est rendue plausible par le cadastre napoléonien de Bagiry de 1831, où les bâtiments qui correspondraient à cet ancien couvent sont indiqués en grisé comme tous les édifices ayant un caractère religieux[28].

    Sainte-Marie en 1833

    Plan de masse des cultures en 1833.

    Le cadastre napoléonien dressé en 1833 et conservé aux archives départementales des Hautes-Pyrénées indique que la commune a, dès cette époque, son découpage actuel[29]. Le procès-verbal dressé préalablement par le géomètre délimitateur Dartigalongue en 1830 indique la mention suivante : « L'enclave de Caubet ou de Mayroue contenant environ 15 hectares, dépendante de la commune de Ste-Marie, qui se trouve enclavée dans le territoire de Siradan sur la limite de Thèbe doit être réunie de préférence à la commune de Siradan à cause de sa position topographique. »[30]. Cette simple décision du géomètre a privé Sainte-Marie de plus du tiers de sa superficie.

    Ce plan cadastral apporte un certain nombre d'informations sur la commune de l'époque. Toutes les habitations sont regroupées dans le village situé à l'extrême nord-ouest, à l'exception du moulin implanté sur un canal parallèle à la Garonne. Ce moulin existe encore aujourd'hui mais n'est plus en activité.

    Pour chaque parcelle est indiqué le type de culture pratiqué. Les terrains proches des habitations sont réservés aux jardins et surtout à des vergers couvrant à peu près un quart du territoire. Les terres labourables occupent environ la moitié du territoire mais sont divisées en deux par une large bande de prés de fauche. Quelques pâtures se trouvent le long de la Garonne. Ces dernières doivent correspondre aux pâtures communales décrites dans le procès-verbal de délimitation[30].

    On ne trouve pas de vignes sur le territoire de la commune, celles-ci étant alors situées au-dessus du village sur la commune de Bagiry[28].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs depuis 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1959 Jean-Marie Dutrey    
    1959 1967 Urbain Larrieu    
    juillet 1967 mars 2014 André Espagno PS Artisan
    mars 2014 En cours André Duran   Syndicaliste, retraité de Pechiney

    Intercommunalité

    Sainte-Marie fait partie de la communauté de communes Vallée de la Barousse, créée en , qui réunit vingt-cinq communes.

    À partir du , elle rejoint la nouvelle communauté de communes Neste Barousse[31].

    Services publics

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[34].

    En 2018, la commune comptait 62 habitants[Note 6], en augmentation de 55 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    8598857810494957688
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    756760615865696938
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    372828202119202012
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    201228373127373145
    2018 - - - - - - - -
    62--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[37] 1975[37] 1982[37] 1990[37] 1999[37] 2006[38] 2009[39] 2013[40]
    Rang de la commune dans le département 474 438 381 398 418 424 450 427
    Nombre de communes du département 479 473 473 474 474 474 474 474

    La population a atteint un maximum en 1831 avec 104 habitants, puis a baissé périodiquement pour atteindre 12 habitants en 1954 et 1968. Elle a ensuite connu une hausse jusqu'en 2014, avec 45 habitants.

    L'augmentation notable dans les chiffres de 2017 s'explique par le rattachement d'une vingtaine de résidents de la maison de retraite Ste-Marie. Cet Ehpad dont les bâtiments sont principalement situés sur la commune de Siradan s'est doté d'une extension sur Sainte-Marie vers 2010[41]. Cette régularisation administrative a été effectuée avec quelques années de retard.

    Population et société

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[42].

    Culture locale et patrimoine

    La pic Saillant vu depuis Sainte-Marie.

    Lieux et monuments

    Il n'existe ni église ni cimetière sur le territoire communal.

    La chapelle Notre-Dame-des-Vignes située dans le village de Sainte-Marie n'est pas implantée sur la commune de Sainte-Marie, mais sur celle de Bagiry, dans le département voisin de la Haute-Garonne.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Sainte-Marie », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Sainte-Marie et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Sainte-Marie et Bagnères-de-Bigorre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Sainte-Marie et Lannemezan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Sainte-Marie », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
    7. Carte IGN sous Géoportail
    8. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    9. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    10. « Parc national des Pyrénées - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    11. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    12. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
    13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Sainte-Marie », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    14. « site Natura 2000 FR7301822 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    15. « Liste des ZNIEFF de la commune de Sainte-Marie », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    16. « ZNIEFF « la Garonne de la frontière franco-espagnole jusqu'à Montréjeau » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    17. « ZNIEFF les « Garonne amont, Pique et Neste » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    24. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, notice BnF no FRBNF37213307)..
    25. Conseil Départemental de la Haute-Garonne, « Archives départementales de la Haute-Garonne - État civil en ligne », sur archives.haute-garonne.fr (consulté le ).
    26. Conseil Départemental de la Haute-Garonne, « Archives départementales de la Haute-Garonne - copie du greffe : AD31 Bagiry BMS 1751-1790 vue 32/350 », sur archives.haute-garonne.fr (consulté le ).
    27. Rapporté par la doyenne du village (M.E.S.), en 2015.
    28. Bosc, « Cadastre de Bagiry », sur archivesenligne.haute-garonne.fr, (consulté le ).
    29. Duclos et Lartigue, « Cadastre de Sainte-Marie », sur www.archivesenligne65.fr, (consulté le ).
    30. Dartigalongue, géomètre délimitateur, « Procès-verbal de délimitation de la commune de Sainte-Marie », sur archivesenligne65.fr, Archives Départementales des Hautes-Pyrénées, (consulté le ).
    31. Fiche BANATIC
    32. « Liste des juridictions compétentes pour Sainte-Marie (Hautes-Pyrénées) », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    37. INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
    38. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    39. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    40. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
    41. « Photos aériennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
    42. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
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