Saint-Sever-de-Rustan

Saint-Sever-de-Rustan est une commune française située dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Sever (homonymie).

Saint-Sever-de-Rustan

Mairie (pavillon des Hôtes de l'abbaye).

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté de communes Adour Madiran
Maire
Mandat
Jean-Pierre Curdi
2020-2026
Code postal 65140
Code commune 65397
Démographie
Gentilé Rustanais
Population
municipale
169 hab. (2018 )
Densité 18 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 21′ 09″ nord, 0° 13′ 30″ est
Altitude Min. 179 m
Max. 385 m
Superficie 9,52 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tarbes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Val d'Adour-Rustan-Madiranais
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Saint-Sever-de-Rustan
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Saint-Sever-de-Rustan
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Sever-de-Rustan
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Sever-de-Rustan

    Ses habitants sont appelés les Rustanais.

    Géographie

    Vue en hiver.

    Localisation

    La commune de Saint-Sever-de-Rustan se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[1].

    Elle se situe à 18 km à vol d'oiseau de Tarbes[2], préfecture du département, et à 20 km de Maubourguet[3], bureau centralisateur du canton du Val d'Adour-Rustan-Madiranais dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Vic-en-Bigorre[1].

    Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Moumoulous (1,7 km), Laméac (2,1 km), Mansan (2,9 km), Montégut-Arros (3,0 km), Fréchède (3,2 km), Sénac (3,4 km), Peyrun (3,6 km), Jacque (3,6 km).

    Sur le plan historique et culturel, Saint-Sever-de-Rustan fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[5].

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Hydrographie

    Pont sur l'Arros.

    La rivière de l'Arros (affluent droit de l'Adour) traverse la commune du sud au nord au centre du bourg.
    Le ruisseau de Lanénos traverse la commune du sud au nord et forme une partie de la limite ouest avec les communes de Peyrun, Sénac et Mansan.
    Le ruisseau de Lurus, affluent droit de l'Arros, traverse la commune du sud au nord.
    Le ruisseau de Savaric, affluent droit du Lurus, traverse la commune d’est en ouest et forme une partie de la limite sud-est avec la commune de Bouilh-Devant.
    Le ruisseau du Busquet traverse la commune d’est en ouest et forme une partie de la limite nord avec le département du Gers.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[8].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[9]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[7]

    • Moyenne annuelle de température : 13 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 979 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Castelvieilh », sur la commune de Castelvieilh, mise en service en 1988[12]et qui se trouve à km à vol d'oiseau[13],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,6 °C et la hauteur de précipitations de 931,6 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 28 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[16], à 12,6 °C pour 1981-2010[17], puis à 12,9 °C pour 1991-2020[18].

    Milieux naturels et biodiversité

    Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Deux ZNIEFF de type 2[Note 4] sont recensées sur la commune[19] :

    • les « coteaux de Capvern à Betplan » (10 246 ha), couvrant 46 communes dont huit dans le Gers et 38 dans les Hautes-Pyrénées[20] ;
    • le « cours de l'Arros » (1 675 ha), couvrant 41 communes dont 20 dans le Gers et 21 dans les Hautes-Pyrénées[21].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Sever-de-Rustan est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 153 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[25],[26].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,7 %), forêts (27,1 %), zones agricoles hétérogènes (24,7 %), prairies (5,5 %)[27].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Logement

    En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 91[28].
    Parmi ces logements, 72,0 % sont des résidences principales, 15,7 % des résidences secondaires et 12,3 % des logements vacants.

    Voies de communication et transports

    Cette commune est desservie par les routes départementales D6, D14 et D27.

    Toponymie

    Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Saint-Sever-de-Rustan.

    On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[29] qui rapporte les dénominations historiques du village :

    Dénominations historiques :

    • S. Seueri Russitanensis, latin (1022, Marca, Histoire de Béarn) ;
    • Monasterium sancti Severi confessoris, in valle Rostanensi, in loco Abiciaco situm, in episcopatu Tarbensi, in comitatu Bigorritano, latin (1087, Cartulaire Saint-Victor Marseille) ;
    • Abbate de Sancto Severo de Rosta, latin et gasc. (entre 1153 et 1190, cartulaire Berdoues) ;
    • Forto de Sent Scever, latin et gascon (ibid.) ;
    • Apud Sanctum Severum, monachi Sancti Severi, latin (1235, cartulaire Berdoues) ;
    • Sencever (1285, montre Bigorre) ;
    • de Sancto Severio de Rostano, latin (1300, enquête Bigorre) ;
    • De Sancto Severo, latin (1342, pouillé Tarbes) ;
    • De Sancto Severio, latin (1379, procuration Tarbes) ;
    • Sent Seuer (1429, censier Bigorre) ;
    • Saint-Sever, 1737, 1738, 1740-1743 ; Saint-Sever de Rostain, 1739 ; Saint-Sever de Rustan, 1744-1789 (registres paroissiaux) ;
    • Saint-Sever-de-Rustan (1790, Département 1 et 2 ; 1806, Laboulinière) ;
    • St Sever de Rustan (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).

    Étymologie : du gascon Sent Sever, du latin Sanctus Severus (= austère).

    Nom occitan : Sent Sever d'Arrostanh.

    Histoire

    Le site est peuplé dès le Néolithique.
    À l'époque gallo-romaine, le domaine s'appelait Albiciacum (du nom d'un romain nommé Albius).
    Severus (Saint Sever) († vers 502), grand propriétaire issu de famille noble, prêtre d'une paroisse de Bigorre dont Grégoire de Tours louait le soin porté à faire l'aumône et la charité, est sanctifié[30]. Ses reliques sont apportées dans l'église de Rustan qui changea de nom à la suite de cette déposition de reliques. Son tombeau attirait de nombreux pèlerins et des moines bénédictins y édifient l'abbaye en 800.
    En 1022, on note que le village est nommé S. Seueri Russitanensis[31].
    La bastide est fondée à proximité de l'abbaye en 1297[32]. Avec son marché et sa justice, elle prétend au titre de ville ce qui lui fait valoir le sobriquet de Bourgès (bourgeois).
    C'est l'apogée du développement de la ville.
    Mais les guerres de Religion mettent un terme à la prospérité de la cité. En 1573, l'abbaye ainsi que la bastide sont ravagées par le capitaine protestant Lysier, fils d'un charcutier de Montauban, qui pille tout ce qui est précieux et détruit le reste.
    Au XVIIIe siècle, l'abbaye prend son aspect et sa taille actuels.
    Pendant la Révolution, la ville s'appelle Rostaing.

    Cadastre napoléonien de Saint-Sever-de-Rustan

    Le plan cadastral napoléonien de Saint-Sever-de-Rustan est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[33].

    Politique et administration

    La mairie en 2019.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    mars 1995 mars 2001 Robert Laurent    
    mars 2001 en cours Jean-Pierre Curdi    

    Rattachements administratifs et électoraux

    La Poste en 2019.

    Historique administratif

    Sénéchaussée de Toulouse, élection d'Astarac, chef-lieu de canton en 1790, Rabastens (depuis 1801)[34].

    Intercommunalité

    Saint-Sever-de-Rustan appartient à la communauté de communes Adour Madiran créée en qui a la particularité de réunir 72 communes de Bigorre et Béarn.

    Services publics

    La commune de Saint-Sever-de-Rustan dispose d'une agence postale.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37]. En 2018, la commune comptait 169 habitants[Note 7], en augmentation de 3,05 % par rapport à 2013 (Hautes-Pyrénées : +0,14 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    510455441519561569529517523
    1856 1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    517510450516530530412408303
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    304288243220217205209195194
    1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015 2018
    159142119140137150157173169
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Population et société

    Enseignement

    La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école en 2017[40].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'abbaye et monument aux morts.

    L’abbaye bénédictine de Saint-Sever, fondée vers l'an 800 et rattachée à Cluny au IXe siècle est aujourd'hui un lieu d'expositions et de concerts. Elle a été classée à l'inventaire de monuments historiques en 1914. Elle se caractérise par une architecture monumentale qui tient plus du palais que de l'abbaye. Le cloître de l'abbaye a été acheté par la ville de Tarbes au XIXe siècle et se trouve actuellement dans le jardin Massey.
    Les maisons à colombages associent le bois, la brique crue, la brique cuite et les galets bruns de l'Arros.

    Héraldique

    Blasonnement :
    D'azur à 3 fleurs de lys mal ordonnées d'or.
    Commentaires : Confirmation de la mairie : blason attribué à la bastide de St Sever par Philippe le Bel en 1297 à condition que les fleurs de lys soient mal ordonnées.

    Voir aussi

    Le monument aux morts municipal.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. « Métadonnées de la commune de Saint-Sever-de-Rustan », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Sever-de-Rustan et Tarbes », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Sever-de-Rustan et Maubourguet », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. « Communes les plus proches de Saint-Sever-de-Rustan », sur www.villorama.com (consulté le ).
    5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
    6. Carte IGN sous Géoportail
    7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    9. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    12. « Station Météo-France Castelvieilh - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    13. « Orthodromie entre Saint-Sever-de-Rustan et Castelvieilh », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station Météo-France Castelvieilh - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    15. « Orthodromie entre Saint-Sever-de-Rustan et Ossun », sur fr.distance.to (consulté le ).
    16. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    18. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    19. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Sever-de-Rustan », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « ZNIEFF les « coteaux de Capvern à Betplan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    21. « ZNIEFF le « cours de l'Arros » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    24. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tarbes », sur insee.fr (consulté le ).
    26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    28. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Saint-Sever-de-Rustan
    29. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, notice BnF no FRBNF37213307)..
    30. « Saint Sever », sur cef.fr (consulté le ).
    31. Marca, Histoire de Béarn
    32. http://www.archivesenligne65.fr/saint-sever-de-rustan/
    33. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Saint-Sever-de-Rustan
    34. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
    35. « Liste des juridictions compétentes pour Saint-Sever-de-Rustan », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    40. « Annuaire : Résultats de recherche », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
    • Portail des communes de France
    • Portail des Pyrénées
    • Portail des Hautes-Pyrénées
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.