Saint-Sardos (Tarn-et-Garonne)
Saint-Sardos est une commune française située dans le département de Tarn-et-Garonne, en région Occitanie.
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Saint-Sardos | |||||
Le village de Saint-Sardos. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Tarn-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Montauban | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Grand Sud Tarn et Garonne | ||||
Maire Mandat |
Gérard Fénié 2020-2026 |
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Code postal | 82600 | ||||
Code commune | 82173 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Sardossiens | ||||
Population municipale |
1 150 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 43 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 54′ 03″ nord, 1° 08′ 06″ est | ||||
Altitude | 145 m Min. 99 m Max. 212 m |
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Superficie | 26,56 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Toulouse (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Verdun-sur-Garonne | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Tarn-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Ses habitants sont appelés les Saint-Sardossiens.
Géographie
Localisation
Ancienne bastide située en Lomagne près de la limite du département de la Haute-Garonne, à 16 km à l'est de Beaumont-de-Lomagne et à 12 km à l'ouest de Verdun-sur-Garonne.
Communes limitrophes
Saint-Sardos est limitrophe de neuf autres communes dont un quadripoint.
Hydrographie
La commune est arrosée par le Lambon, le Ruisseau de Tessonne et son affluent le Tort qui forme le lac de Boulet et le lac de Combe-Cave.
Géologie et relief
La superficie de la commune est de 2 656 hectares ; son altitude varie de 99 à 212 mètres[2].
Voies de communication et transports
Accès avec les routes départementales D 25 et D 55.
La ligne 849 du réseau liO relie la commune à la gare de Dieupentale, en correspondance avec des TER Occitanie vers Toulouse ou Montauban[3].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vigueron », sur la commune de Vigueron, mise en service en 1974[10]et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 722 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montauban », sur la commune de Montauban, mise en service en 1885 et à 22 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 13,6 °C pour 1981-2010[14] à 14 °C pour 1991-2020[15].
Urbanisme
Typologie
Saint-Sardos est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[17],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[19],[20].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,7 %), zones agricoles hétérogènes (12,2 %), prairies (5,3 %), forêts (4,5 %), zones urbanisées (2,1 %), eaux continentales[Note 6] (1,2 %)[21].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Saint-Sardos étant en Lomagne, pays gascon, la plupart des lieux-dits y sont explicables par le gascon (un gascon peu typé, sous influence languedocienne), par exemple la Houlerie, la Rouquau, le Casse, Pastenc, la Cassagne, Las Bourdetos, Miqueou, Sabatté...[22]
Histoire
Saint-Sardos est une cité dont l’existence remonte au XIIe siècle, en raison de la construction de l'église faite en l'honneur de Saint Sacerdos, évêque de Limoges, par les moines bénédictins de l'abbaye de Sarlat qui l'ont eu comme patron.
Ils en firent d'abord un prieuré simple et le prieur était seigneur du lieu avec des droits plus étendus que ceux qui résultaient des abbayes de Grandselve et du Mas-Grenier. C'est le fait du patronage découlant du titre de la fondation en date du entériné par l'archevêque de Toulouse.
La communauté de Saint-Sardos n'avait, fin du XVIIIe siècle, qu'un seigneur, l'abbé de Grand-Selve, selon des mentions trouvées en 1770 et 1789.
L'église de Saint-Sardos
L'église romane primitive était bâtie en briques épaisses du type cistercien et comprenait les trois travées de la nef actuelle; elle fut prolongée au XIVe siècle par la construction du chœur et le contemporain est sûrement un chapelain mort en 1333 selon une inscription en lettres onciales sur la façade qui évoque son souvenir; quant au clocher, il a été construit au XIIIe siècle et classé en 1921 au titre des monuments historiques.
Après les Guerres de Religion qui la ruinèrent en 1561, une restauration intervint mais c'est surtout en 1901 que l'église a été reconstruite sur les bases anciennes avec surélévation des murs pour recevoir une voûte gothique.
Seul est resté dans son aspect primitif le clocher du XIIIe siècle (classé); s'agissant d'un clocher-mur fortifié dont la base se termine par une galerie en encorbellement, il comporte cinq baies tandis que le pignon s'encadre de deux tourelles coiffées en poivrière.
Le mobilier ancien comprend un buste reliquaire de Saint Sardos en bois doré et une statue d'évêque en terre cuite.
La maison Renaissance
Non loin de l'église et de la place centrale très spacieuse ou se tenaient, avant 1950, des foires importantes, se remarque, dans le village, une maison seigneuriale de la première moitié du XVIIe siècle avec, à l'intérieur, un escalier de bois à double révolution et un trumeau du début du XIXe siècle. Cette maison appartenait à la famille Lasserre jusqu'à la révolution et se distingue par sa couleur de brique rouge.
Des vestiges disparus par le temps
- Un étang était situé devant l'école qui est devenu la place du monument aux morts (place Marius Granié). Il n'existait pas de clôture entre la cour de l'école et la pièce d'eau. Les enfants étaient en récréation et ne cherchaient pas à s'approcher de l'eau; des laveuses lavaient leur linge.
- La halle située sur la place centrale était un édifice à trois travées dont la toiture à quatre pans. Elle était soutenue par des piliers en brique. Elle a cédé sa place dans les années 1950 au foyer rural (lieu de manifestations du village).
- Un porche à arcades subsistait encore jusqu'au milieu du XXe siècle contre le clocher-mur de l'église. Celui-ci en béton armé qui n'était pas en harmonie avec la façade du clocher a été démoli.
- Les anciens moulins, bien placés sur la hauteur en direction de Bouillac. Ils révélaient une certaine activité agricole : la culture de céréales. Tous deux menacés par le temps ont aujourd'hui disparu.
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de quinze[23],[24].
Rattachements administratifs et électoraux
La commune fait partie de la deuxième circonscription de Tarn-et-Garonne de la communauté de communes Grand Sud Tarn-et-Garonne et du canton de Verdun-sur-Garonne. Avant le elle faisait partie de la communauté de communes Garonne et Gascogne.
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].
En 2018, la commune comptait 1 150 habitants[Note 7], en augmentation de 19,42 % par rapport à 2013 (Tarn-et-Garonne : +3,51 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Économie
Enseignement
Saint-Sardos fait partie de l'académie de Toulouse.
La commune possède un groupe scolaire.
Culture et événements
- La fête locale (les premiers week-ends de mai) : bal disco, concours de pêche, concours de pétanque, retraite aux flambeaux, grand feu d'artifice, bal musette et attractions pour petits et grands.
- La fête du vin et du terroir (les premiers week-ends d'août) : visite de la cave coopérative, dégustation-vente, animations pour les enfants, marchés gourmands, vide-grenier, espace art artisanat, olympiades du bouchon et concours de pétanque.
- Tout le long de l'année, de nombreux lotos ainsi que des vides greniers y sont organisés à la salle des fêtes.
Activités sportives
- Les Francs-Tireurs, le club de football du village, qui ont vu le jour en 1912.
- La Saint-Sardossienne, le club de pétanque, qui rassemble tous les jours un grand nombre de joueurs sous les platanes du boulodrome à proximité de l'église.
- L'académie de billard, le Gréki, fondée en 2010.
- Des circuits de randonnées, le PR11 : Le chemin des lacs et le PR12 : Entre vins et vignobles.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-Sardos de Saint-Sardos. Le clocher (à l'exclusion du porche moderne adossé à la façade du 14e siècle) a été classé au titre des monuments historiques en 1921[29]. Saint Sacerdos (ou Sardos) était évêque de Limoges au VIIIe siècle[30].
- La maison Lasserre (maison Renaissance privée) inscrite à l'inventaire des monuments historiques.
- L'ancien moulin à proximité du groupe scolaire.
- La maison Anglade et son jardin de Sylvie qui regroupe une multitude de rosiers.
- Le château de Mandeville, situé à l'entrée du village, en arrivant de Bouillac et de Comberouger. Un corps central est encadré par deux tours carrées à étage dont le dernier, sans ouverture, se termine par des créneaux.
- La fontaine de Coymès, en direction de Montaïn, nichée au pied d'un bois, au bord d'un chemin communal, cette jolie fontaine avait la réputation d'offrir une eau aux vertus magiques pour les douleurs.
- Les lacs de Combe-Cave et Boulet ainsi que la Base de loisirs de Saint-Sardos.
- La cave coopérative de Saint-Sardos créée en 1956 et qui bénéficie aujourd'hui du titre : AOC Saint-Sardos.
- L'église de Saint-Sardos.
- Le vieux moulin.
- La base de loisirs.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
- « Lignes régulières dans le Tarn-et-Garonne », sur liO : Service Public Occitanie Transports (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Vigueron - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Sardos et Vigueron », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Vigueron - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Sardos et Montauban », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Montauban - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulouse », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Lòcs / Lieux-dits gascons de Saint-Sardos / Sent Sardòs - Gasconha.com », sur www.gasconha.com (consulté le ).
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Notice no PA00095887, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Saint Sacerdos », sur nominis.cef.fr (consulté le )
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