Saint-Pal-de-Mons

Saint-Pal-de-Mons (Sant-Pal en occitan) est une commune française située dans le département de la Haute-Loire en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Pal, Pal et Mons.

Saint-Pal-de-Mons

La mairie, en 2010.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Yssingeaux
Intercommunalité Communauté de communes Marches du Velay-Rochebaron
Maire
Mandat
Patrick Riffard
2020-2026
Code postal 43620
Code commune 43213
Démographie
Gentilé Santpalons
Population
municipale
2 284 hab. (2018 )
Densité 84 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 14′ 50″ nord, 4° 16′ 30″ est
Altitude Min. 615 m
Max. 969 m
Superficie 27,11 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Sainte-Sigolène
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Deux Rivières et Vallées
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Pal-de-Mons
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Saint-Pal-de-Mons
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Saint-Pal-de-Mons
Liens
Site web www.mairie-saintpaldemons.fr

    Géographie

    Localisation

    La commune se situe à 22 km de Firminy (début de l’agglomération stéphanoise) et 55 km du Puy‐en‐Velay (Préfecture de Haute‐Loire)[1], à l'est du département de la Haute-Loire en Auvergne, à la frontière de la Loire et de l'Ardèche, à environ 30 minutes de Saint-Étienne et 80 minutes de Lyon.

    Géologie et relief

    La commune est située à 870 mètres d'altitude.

    Hydrographie

    La rivière la Semène et la rivière la Duniere sont les 2 cours d'eau traversant le territoire de la commune de Saint-Pal-de-Mons. [2]

    Climat

    Son climat est froid et tempéré, comme la plupart des communes du Velay[3].

    Voies de communication et transports

    Saint-Pal-de-Mons est traversé par le D500, la D44, la D45, les D451 et D452.[4]

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Pal-de-Mons est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[5],[6],[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sainte-Sigolène, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[8] et 8 240 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (49,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,6 %), prairies (41,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %), zones urbanisées (3,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,5 %)[13].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].

    Habitat et logement

    En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 142, alors qu'il était de 1 096 en 2013 et de 1 036 en 2008[I 1].

    Parmi ces logements, 80,2 % étaient des résidences principales, 10,2 % des résidences secondaires et 9,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 82,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 17,4 % des appartements[I 2].

    Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Pal-de-Mons en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (10,2 %) inférieure à celle du département (16,1 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 77,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (77,3 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 3].

    Le logement à Saint-Pal-de-Mons en 2018.
    Typologie Saint-Pal-de-Mons[I 1] Haute-Loire[I 4] France entière[I 5]
    Résidences principales (en %) 80,2 71,5 82,1
    Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 10,2 16,1 9,7
    Logements vacants (en %) 9,6 12,4 8,2

    Toponymie

    Le nom de la commune est Sant Pal de Mons en occitan et son dialecte local, le vivaro-alpin.

    Histoire

    Moyen Âge

    Depuis le XIIe siècle, Saint-Pal-de-Mons était divisé en deux mandements :

    • le mandement du château de Mons, à Villedemont, qui était taillable.
    • le mandement de Saint-Paul, prieuré, terre subsidiable, dîme prélevée par le prieur.

    Les deux mandements correspondaient à peu près aux limites de la commune actuelle.

    L'ancienne église de Saint-Pal-de-Mons était dévolue à saint Paul, d'où le nom primitif de Saint-Paul-de-Mons. Le , Pierre IV, évêque du Puy-en-Velay, la cède à Pons, abbé de la Chaise-Dieu. Cela indique que cette ancienne église existait avant 1167[15]. Dans une délibération du conseil municipal en 1871, il est dit que cette église était basse, exiguë, avec des chapelles débordant sur l'extérieur de l'édifice.

    Avec l'église, fut créé un prieuré qui était donc de l'ordre de Saint-Benoît. La charge de prieur était transmise par résignation.

    Au Suc de Mons se dressait sans doute dès le XIIe siècle, un château situé sur deux niveaux de l'éperon rocheux dominant la Dunière et dont les fouilles ont permis de dégager les soubassements. Des historiens pensent que ce château a dû être détruit à la fin du XIIIe siècle et reconstruit en partie au siècle suivant.

    Temps modernes

    Le chef du parti catholique « ligueur », le marquis de Saint-Vidal vient l'assiéger en 1574 et put s'emparer du château par « assoiffement », les assiégeants détournant les eaux qui alimentaient le château. Les occupants se rendirent et malgré les promesses de vie sauve furent tous exécutés. Le baron de Saint-Priest amena six prisonniers dans son château. Il les fit massacrer et porter leurs corps à Saint-Étienne où ils furent exposés sur une place publique[16].

    Le château fut rasé vers 1594 à la suite d'un accord conclus entre les partisans du duc de Nemours, fidèles au roi, et les seigneurs catholiques « ligueurs du Puy. Des fouilles menées par une équipes de jeunes archéologues dans les années 1970 ont permis de mettre au jour des vestiges qui donnent des idées sur l'aspect qu'avait dû avoir ce double château : le « château bas » et le « château haut ».

    Selon certains historiens, un château plus modeste aurait existé à Chanteloube. Ce château fut détruit. Jean-Marie Chausse signale dans un opuscule édité en 1862, des souterrains très curieux sur son emplacement à Chanteloube.

    La guerre de Cent Ans vit beaucoup de massacres, notamment du fait du passage de troupes de « routiers », anciens mercenaires devenus pillards : ainsi en 1381, le village de La Vialatte fut complètement détruit et ses habitants tués.

    Révolution et Empire

    Pendant la Révolution, le curé de Saint-Pal-de-Mons, M. Granghon, (tout comme celui de Sainte-Sigolène) jura fidélité à la Constitution et continua d'exercer au moins jusqu'en 1794 [17]. Deux prêtres de la famille Convers de Flaminges qui exerçaient dans le Rhône à Solaise, trouvèrent refuge dans leur famille. Leur tentative d'arrestation en 1796 donna lieu à un affrontement entre les gendarmes et les voisins et amis de la puissante famille Convers de Flaminges[18].

    Époque contemporaine

    Au XIXe siècle, la population augmentant, l'église était si exiguë que les fidèles ne pouvaient pas tous y entrer. Seuls subsistent de cette ancienne église quatre chapiteaux, exposés à la Médiathèque, ainsi que le meuble de la sacristie. En 1871, le Conseil municipal décida de construire une nouvelle église, conçue par l'architecte Favrot, alors que M. Morizon était curé. Elle a été inaugurée en 1877.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[19]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1947 1956 Théodore Cornillon    
    1947 1956 Marcel Guillaumond    
    1965 1971 Charles Robin   notaire
    1971 1995 Jean Convers   cultivateur
    mars 1995 mars 2001 Marie Moullier    
    mars 2001 mars 2008 Daniel Roux    
    mars 2008 En cours
    (au 31 mars 2021)
    Patrick Riffard DVD  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    La population est estimée à 2 277 habitants en 2016. Les résidents sont appelés Santpalons (prononcé sanpalous en auvergnat). L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

    En 2018, la commune comptait 2 284 habitants[Note 2], en augmentation de 2,65 % par rapport à 2013 (Haute-Loire : +0,6 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4601 2901 5201 6931 7801 8291 8812 1002 080
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 9601 8982 1422 0442 0542 3352 3272 3222 376
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 5092 5272 5482 5052 5192 1591 9821 6821 493
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    1 5211 4161 3651 4231 5421 7481 9601 9912 022
    2013 2018 - - - - - - -
    2 2252 284-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    École primaire publique de Lichemialle.

    La commune héberge l'école primaire publique intercommunale Marcel Aymé de Lichemialle qui compte 108 élèves à la rentrée scolaire 2019[25],[26].

    L'école privée Saint-Joseph.

    L'école privée Saint-Joseph fait également partie de l'offre éducative locale avec ses 7 classes pour l'année scolaire 2019-2020[27].

    Santé

    {Espace de Santé San Palou - 4 Place de l'Église, 43620 Saint-Pal-de-Mons}

    Économie

    Saint-Pal-de-Mons est une commune rurale où l’agriculture et l’élevage formaient l’essentiel de l’activité à la fin du XIXe siècle. Aujourd'hui, l'économie agricole est marquée par la présence de nombreux élevages bovins à vocation laitière. Au XIXe siècle, la passementerie a connu un fort développement local.

    L'exode rural après la Première Guerre mondiale et jusque dans les années soixante entraîna une diminution importante du nombre d’exploitations agricoles. 200 fermes environ en activité avant guerre contre une quinzaine seulement en 2019. Pendant la même période, la passementerie a, elle aussi, décliné fortement. Le développement très rapide de la plasturgie par extrusion (films plastiques) a permis le redémarrage économique de la zone Saint-Pal-de-Mons et Sainte-Sigolène[28].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    L'église de Saint-Pal-de-Mons, placée sous le patronage de saint Pierre, inaugurée en 1877, est un édifice de style néo-roman, à trois nefs et un grand déambulatoire dans le chœur. Les trois autels sont en marbre blanc. La monumentale est riche[pas clair] et la barrière en fer forgé qui entourait le chœur a été enlevée. Les confessionnaux et les boiseries du chœur en chêne massif sont finement sculptés.

    La chapelle de Saint-Julien-la-Tourette est un édifice religieux de style roman datant de la fin du XIe siècle. Elle était entourée d'un prieuré « rural » dépendant de l'abbaye de La Chaise-Dieu. Cette chapelle rudimentaire est un lieu de pèlerinage depuis le XIXe siècle, essentiellement à l'occasion de la fête de Pentecôte. L'édifice fut inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques en 1996. La chapelle est édifiée sur un promontoire au-dessus de la rivière Dunière, sur le site de Laval à environ 20 minutes de marche du village de Villedemont. La commune vient de procéder à des travaux, réfection du toit, de l'intérieur. Les statues anciennes qui ornaient cette chapelle sont remisées dans la sacristie de l'église paroissiale. Le pèlerinage annuel de Pentecôte attire toujours de nombreux fidèles.

    Personnalités liées à la commune

    Chant du San Palou : La Sanpaloune

    1er couplet
    Que l'on vienne du Puy
    Ou bien de St-Étienne,
    La route vous amène
    En charmant pays. Perché sur un piton,
    Dominant la Dunière
    Il abrite en ses pierres
    De joyeux compagnons
    Qui tirent de leur métier
    La joie de vivre et d'espérer

    Refrain
    C'est à Saint Pal-de-Mons
    Où claquent les navettes
    Leur bruyante chanson
    Lui donne un air de fête
    En avant les battants,
    Déroulez-vous canettes,
    Et sortez le ruban
    C'est le refrain (bis) du tisserand

    Héraldique

    Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

    D’or au chef-pal de gueules chargé en chef d’un cœur du champ.

    Les ornements extérieurs sont une couronne murale de trois tours, crénelées sur une cartouche, entouré de branches de chêne et de laurier.

    Voir aussi

    Bibliographie

    {Histoire de Saint-Pal de Mons - essai d'histoire locale - Jean Vigouroux, Paul Fournel - Éditeur : imp. Guyot - 1972}

    {1914, quand Saint-Pal-de-Mons entrait dans la guerre : transformations communales, premiers traumatismes - Daniel Durand - Publication : Aubagne : Groupe CCEE - 110 p. 2018 - - (ISBN 978-2-35682-381-6) }

    {1918, Saint-Pal-de-Mons : la fin du cauchemar : la vie pendant la guerre, tous les Sanpalous tués, le redémarrage de la commune - Daniel Durand - Publication : Aubagne : Groupe CCEE, 238 p - 2014 - (ISBN 978-2-35682-765-4) EUR}

    {Moulins, moulinages et scies au fil des eaux sanpalounes : des traces d'aujourd'hui aux évocations d'hier - Daniel Durand - Publication : Aubagne : Groupe CCEE - 126 p - 2016 - (ISBN 978-2-35682-512-4) EUR}

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Site de l'Insee

    Autres sources

    1. « Révision du PLU n°4 » (consulté le ).
    2. https://www.annuaire-mairie.fr/ville-saint-pal-de-mons.html
    3. « Climat Auvergne: Température Auvergne, diagramme climatique pour Auvergne - Climate-Data.org », sur fr.climate-data.org (consulté le ).
    4. https://www.geoportail.gouv.fr/plan/43213/saint-pal-de-mons
    5. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    7. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Unité urbaine 2020 de Sainte-Sigolène », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    9. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    10. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    14. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    15. TABLETTES HISTORIQUES DU VELAY - QUATRIÈME ANNÉE - 1873 - 1874 - LE PUY.
    16. Arnaud, Histoire du Velay, t. 1, p. 368.
    17. voir registre des délibérations municipales aux AD43
    18. Paul Ronin, D'azur au lion d'argent, , tome III.
    19. "Les premiers maires de Saint-pal-de-Mons - Daniel Durand - La Bedoueiëre - Cahiers de la société d'histoire du canton de Sainte-Sigolène - 2010
    20. Registre des délibérations municipales - AD43-E dépôt 676-art 1
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. « L'école sur le site du ministère de l'Éducation nationale » (consulté le ).
    26. « L'école publique sur le site de la commune, rubrique écoles » (consulté le ).
    27. « Le site de l'école Saint-Joseph ».
    28. « Mairie de St Pal de Mons - Haute-Loire », sur www.mairie-saintpaldemons.fr (consulté le ).
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