Saint-Père-en-Retz
Saint-Père-en-Retz est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Père.
Saint-Père-en-Retz | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | Saint-Nazaire | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Sud Estuaire | ||||
Maire Mandat |
Jean-Pierre Audelin 2020-2026 |
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Code postal | 44320 | ||||
Code commune | 44187 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pereziens | ||||
Population municipale |
4 570 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 73 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 12′ 28″ nord, 2° 02′ 37″ ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 62 m |
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Superficie | 62,72 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Saint-Père-en-Retz (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Saint-Père-en-Retz (commune-centre) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Saint-Brevin-les-Pins | ||||
Législatives | Neuvième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://www.saintpereenretz.fr/ | ||||
En 2018, l'Insee recense 4 570 Pereziens.
Géographie
La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz et dans le pays historique du Pays nantais.
Saint-Père-en-Retz est située en plein bocage du pays de Retz, à 45 km à l'ouest de Nantes et 25 km au sud-ouest de Saint-Nazaire, à une dizaine de kilomètres de la Loire, au nord, et de l'Océan Atlantique à l'ouest. La commune est traversée par le Boivre.
Selon le classement établi par l’Insee en 1999, Saint-Père-en-Retz est une commune rurale non polarisée (cf. Liste des communes de la Loire-Atlantique).
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Paimbœuf, Corsept, Saint-Brevin-les-Pins, Saint-Michel-Chef-Chef, Pornic, Chauvé, Chaumes-en-Retz et Saint-Viaud.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pornic », sur la commune de Pornic, mise en service en 1919[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 738,1 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne, mise en service en 1957 et à 16 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,6 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saint-Père-en-Retz est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Père-en-Retz, une unité urbaine monocommunale[17] de 4 564 habitants en 2017, constituant une ville isolée[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Père-en-Retz, dont elle est la commune-centre[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 1 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (96,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (47,1 %), terres arables (25,9 %), prairies (19,2 %), zones urbanisées (4 %), forêts (2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %), zones humides intérieures (0,7 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,1 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom de Saint-Père-en-Retz est attesté sous les formes latine Sanctus Petrus de Radesio en 1060[24], Sanctus Petrus en 1123[25].
Du nom latin Petrus bretonnisé (car Per n'est pas le nom d'un saint fondateur (église celtique), mais celui du premier pape (église romaine).
Durant la Révolution, la commune porte le nom de Fraternité[26].
Son nom traduit en breton est Sant-Pêr-Raez[24].
Histoire
La paroisse fut confiée aux moines de l'Abbaye de Marmoutier située en Touraine[réf. nécessaire].
Devenu par la suite possession de Jean de Montfort, le territoire paroissial va changer de mains. En effet, après la mort du duc Jean III de Bretagne en avril 1341, un conflit successoral oppose Jean de Montfort à Charles de Blois pour la succession de Bretagne. Le roi de France Phillipe VI arbitre en faveur de son neveu, Charles de Blois. Saint-Père-en-Retz devint alors possession du royaume[réf. nécessaire].
À Saint-Père-en-Retz, sous l'Ancien Régime, existaient deux paroisses sur la commune actuelle, celle de Saint-Père et celle de Sainte-Opportune qui devint une commune mais fut rapidement supprimée (1793) et rattachée à Saint-Père[26].
La Seconde Guerre mondiale se prolongea, à Saint-Père-en-Retz et dans les localités voisines de l'estuaire, 9 mois de plus que dans le reste de la France : c'est l'épisode de la « Poche de Saint-Nazaire » qui dura du au . Durant cette période, un événement dramatique connu sous le nom de « catastrophe du Boivre » survint le : quinze habitants, réquisitionnés par les Allemands furent tués par l'explosion en chaîne de plus de 200 mines anti-char[27],[28]. Plusieurs odonymes locaux rappellent cette tragédie (« Rue du 17-Mars-1945 » et « Allée du 17-Mars-1945 »).
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Nazaire du département de Loire-Atlantique. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1986 de la neuvième circonscription de la Loire-Atlantique.
Elle était depuis 1801 le chef-lieu du canton de Saint-Père-en-Retz[26]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est désormais intégrée au canton de Saint-Brevin-les-Pins.
Intercommunalité
La commune fait partie de la communauté de communes du Sud-Estuaire (CCSE), créée en 1996.
Liste des maires
Démocratie participative
La commune s'est dotée depuis 2008 d'un conseil municipal d'enfants[33].
Démographie
- Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].
En 2018, la commune comptait 4 570 habitants[Note 7], en augmentation de 6,95 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +6,31 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
- Pyramide des âges ;
Les données suivantes concernent l'année 2013 :
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (22,2 %) est en effet inférieur au taux national (22,6 %) et au taux départemental (22,5 %)[37],[38],[39]. À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (50,9 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %)[37],[38],[39].
Économie
Un site de production de la biscuiterie Saint-Michel est implanté dans la commune[40].
L'éditeur de jeu Lui-même (Les Loups-garous de Thiercelieux) y est également implanté.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Pierre datant du XIXe siècle, dont l'architecte Émile Perrin, n'était autre que le frère du curé de l'époque. Elle possède la plus haute nef du pays de Retz ; l'église contient une relique de la Vraie croix[41] ;
- Butte de Sainte Opportune, où autrefois était édifiée l'église de Sainte Opportune ;
- Lavoir et musée du Lavoir ;
- Conservatoire du pays de Retz, qui présente des collections d'outils du XIXe siècle, environ 2 000 pièces, comprenant notamment la donation Ecomard-Courtois, qui représente une collection de plus de 400 instruments, objets, œuvres d'art, et une voiture à pédales, en bois de citronnier, de 1906 ;
- Menhir de la Riveraie : menhir inscrit au titre des monuments historiques en 1984[42].
- Stade du grand Fay où évolue un grand club de foot.
- Château de la Pinelais
Personnalités liées à la commune
- Louis Pommeraye (1806-1850), promoteur du célèbre passage Pommeraye à Nantes, né et mort à Saint-Père-en-Retz.
- Georges Marion de Procé, armateur et maire de la commune, qui bâtit le manoir et reconstitua le parc de Procé de Nantes.
- Francis Aupiais (1877-1945), prêtre de la société des Missions africaines, député du Togo-Dahomey.
- René Leduc, aviateur, concepteur et constructeur amateur, détenteur de sept records du monde et d'altitude[43].
- Joseph Bichon, créateur du musée du lavoir, et du conservatoire du pays de Retz.
- Jacques Foucher, constructeur amateur d'avion, membre de l'EAA (Experimental Aircraft Association) américaine et membre de la FAI (Fédération Aéronautique Internationale).
Héraldique
Blasonnement :
D'or à la croix de sable, cantonnée au premier de deux clefs du même passées en sautoir, les pannetons en haut, et au quatrième à la croix de gueules des chevaliers du Temple.
Commentaires : Ce blason évoque le blasonnement du pays de Retz : d'or à la croix de sable, rappelant l'appartenance de Saint-Père-en-Retz au pays de Retz ; la croix du Temple rappelle la commanderie des Biais ; les clés sont celles de Saint Pierre. Blason conçu par M. Ferrand (délibération municipale du ). Saint Pierre, le « prince des apôtres », possède deux clés : l'une en or, céleste, l'autre en argent, terrestre. Il a ainsi la capacité d'ouvrir et de fermer les portes du Paradis. Un homologue païen romain est le dieu Janus, porteur de clés lui aussi, mais qui sont celles du passé et de l'avenir. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Réélue en 1995.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Pornic - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Père-en-Retz et Pornic », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Pornic - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Père-en-Retz et Montoir-de-Bretagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Saint-Père-en-Retz », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
- Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 32.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Catastrophe du Boivre », sur Recherches de Michel Gautier (consulté le ).
- H. Menou, « La catastrophe du Boivre (1/2) », sur Traezh ha tevenn, (consulté le ).
- Jean-Claude Murgalé, « Peu de fauteuils de maire pour les femmes : Si la règle de la parité a fait entrer beaucoup de femmes dans les conseils municipaux, le fauteuil de maire leur reste encore assez inaccessible. C'est l'une des constantes des assemblées locales. Dans les 136 communes qui ont élu leur exécutif au cours du dernier week-end, il n'y a que 15 femmes à occuper le fauteuil de maire. », Ouest France - élections municipales 2001, (lire en ligne) « La palme de la féminité pourrait revenir à Saint-Père-en-Retz. La commune, jusqu'ici dirigée par Suzanne Veyrac, s'est choisie une autre femme comme maire, Michelle Bruneaud-Leroux ».
- Hervé Pinson, « Joseph Guilloux, maire de Saint-Père-en-Retz, est décédé : Il était maire de la commune depuis 2008. Joseph Guilloux est décédé, foudroyé par une maladie, jeudi 12 janvier 2017. Le village est en deuil », Le Courrier du Pays de Retz, (lire en ligne) « Sous son mandat, on pourra retenir la réalisation du groupe scolaire Jacques-Brel, la médiathèque, l’espace culturel Saint-Roch ou encore la fin des travaux de la déviation du bourg ».
- « Joseph Guilloux « heureux » : À Saint-Père en Retz, la liste du maire sortant, Joseph Guilloux, l'emporte largement. Réactions », Le Courrier du Pays de Betz, (lire en ligne).
- https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/saint-pere-en-retz-44320/jean-pierre-audelin-nouveau-maire-de-saint-pere-en-retz-4765583
- « Conseil municipal d'enfants », La mairie, sur http://www.saintpereenretz.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Saint-Père-en-Retz - POP T0-T3 - Population par sexe et âge en 2013 », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population française - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
- « Saint-Michel-Chef-Chef », sur www.stmichel.fr, Morina Baie Biscuits, (consulté le ).
- L'église de Saint-Père-en-Retz
- « Menhir du Quarteron de la Riveraie », notice no PA00108818, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « René Leduc, l'enfant du pays, l'aviateur des records : Dimanche, Saint-Père Histoire commémore le 25e anniversaire de la disparition de René Leduc, dimanche. Dans les années 60, son RL 21 aura battu sept records », Ouest-France.fr, (lire en ligne, consulté le ).
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