Saint-Nicolas-de-Redon
Saint-Nicolas-de-Redon est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Nicolas et Redon (homonymie).
Saint-Nicolas-de-Redon | |||||
Ville de St-Nicolas-de-Redon | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Pays de la Loire | ||||
Département | Loire-Atlantique | ||||
Arrondissement | Châteaubriant-Ancenis | ||||
Intercommunalité | Redon Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Albert Guihard 2020-2026 |
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Code postal | 44460 | ||||
Code commune | 44185 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Nicolasien | ||||
Population municipale |
3 211 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 144 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 38′ 42″ nord, 2° 03′ 54″ ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 73 m |
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Superficie | 22,32 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Redon (banlieue) |
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Aire d'attraction | Redon (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Pontchâteau | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Pays de la Loire
Géolocalisation sur la carte : Loire-Atlantique
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | www.saintnicolasderedon.fr | ||||
Géographie
- Situation
Saint-Nicolas-de-Redon est situé sur la rive gauche de la Vilaine, en face de Redon (Ille-et-Vilaine), dans une agglomération à la jonction de deux régions, la Bretagne et les Pays de la Loire, et de trois départements, la Loire-Atlantique, l'Ille-et-Vilaine et le Morbihan.
Les communes limitrophes sont Avessac et Fégréac en Loire-Atlantique, Rieux, Redon et Sainte-Marie en Ille-et-Vilaine. Saint-Nicolas-de-Redon est également géographiquement proche de Saint-Jean-la-Poterie en Morbihan dont elle est séparée par un corridor constitué par la rue de Vannes appartenant à Redon.
Redon | Redon • Sainte-Marie | Sainte-Marie | ||
Redon | N | Avessac | ||
O Saint-Nicolas-de-Redon E | ||||
S | ||||
Rieux | Fégréac |
Selon les classements établis par l'Insee, Saint-Nicolas-de-Redon est une commune urbaine, une des quatre communes de banlieue de l’unité urbaine de Redon, qui fait partie de l'aire urbaine de Redon et de l’espace urbain de Nantes-Saint-Nazaire (cf. Liste des communes de la Loire-Atlantique).
Elle est traversée par le Canal de Nantes à Brest.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Jacut-les-Pins », sur la commune de Saint-Jacut-les-Pins, mise en service en 1986[7] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12 °C et la hauteur de précipitations de 896,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Nazaire-Montoir », sur la commune de Montoir-de-Bretagne, mise en service en 1957 et à 36 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,6 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Saint-Nicolas-de-Redon est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Redon, une agglomération inter-régionale regroupant 6 communes[17] et 22 641 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Redon, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (45,2 %), prairies (22,6 %), forêts (13,9 %), zones urbanisées (12,5 %), eaux continentales[Note 6] (2,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,1 %), terres arables (1,4 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Nicolaus et Sanctus Nicolaus ad Caput Calcei en 1131[24].
L'origine du nom de la ville vient de Saint Nicolas de Rotono[25].
En breton, son nom est Sant-Nikolaz-an-Hent[24].
Histoire
Le nom de la ville vient de Saint Nicolas de Rotono[25] à l'époque du démembrement de la paroisse d'Avessac. Parmi les seize frairies anciennes, quatre ont formé la commune de Saint-Nicolas-de-Redon :
- Le bourg - Saint-Nicolas et Saint-Germain ;
- La Provotaie - Saint-Joseph ;
- Rotz - Sainte-Anne ;
- Quinsignac - Saint-Côme et Saint-Damien.
En 1318 un texte relate les méfaits du Frère Jean des Voies ou de Via, prieur de Saint-Nicolas-de-Redon de l'Ordre de Saint Benoît, à l'encontre de l'évêque de Nantes[26].
Au bourg de Saint-Nicolas il existait au bord de la chaussée une chapelle dédiée à saint Germain démolie en 1762[27].
Durant la Révolution française, Saint-Nicolas-de-Redon est rebaptisé « Union-sur-Vilaine »[28].
Le nom breton de cette commune est Sant-Nikolaz-an-Hent[29].
Le , une observation d’OVNI sur le site de la Butte Rouge à Saint-Nicolas-de-Redon (entre Vilaine et Canal de Nantes à Brest, près de Fégréac) a fait les échos de la presse et fait partie des cas répertoriés par les ufologues : les deux conducteurs d’un train ont déclaré avoir vu un engin lumineux s'élever des marais et suivre leur locomotive pendant plusieurs secondes avant de disparaître[30].
Héraldique
Blasonnement :
D'or aux deux crosses adossées d'azur rangées en fasce.
Commentaires : Armoiries du Prieuré de Saint-Nicolas (Armorial Général de 1696). Les crosses symbolisent Saint Nicolas, patron de la paroisse. Saint Nicolas, ou Nicolas de Myre, est né en 270 à Patara en Lycie (Turquie actuelle) et est mort le . Évêque de Myre, il est le protecteur des enfants, des veuves et des gens faibles. La crosse[31] représente généralement le bâton épiscopal recourbé et fleuronné dans sa partie supérieure. On l'appelle pedum, le bâton de berger, parce qu'il symbolise la forme du bâton recourbé dont les anciens bergers se servaient pour saisir les moutons par les pieds, afin de les arrêter dans leur course vagabonde et les ramener dans le troupeau protecteur. Blason (délibération municipale du ) enregistré le . |
Politique et administration
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[35].
En 2018, la commune comptait 3 211 habitants[Note 8], en augmentation de 1,94 % par rapport à 2013 (Loire-Atlantique : +6,31 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Pyramide des âges
Les données suivantes concernent l'année 2013. La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (30,3 %) est en effet supérieur au taux national (22,6 %) et au taux départemental (22,5 %)[38],[39],[40]. À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51,6 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %)[38],[39],[40].
Lieux et monuments
- L'église Saint-Nicolas (1849), œuvre de l'architecte Faucheur et placée sous le patronage de saint Nicolas de Myra. Cette église remplace la chapelle de l'abbaye Saint-Sauveur de Redon. Édifiée à partir du sur l'emplacement de l'ancien cimetière, l'église est terminée et bénie le par Mgr Antoine-Matthias-Alexandre Jacquemet, évêque de Nantes (1803-1869).
- La chapelle Sainte-Anne-de-Rotz (XVIIe siècle – 1860), située à La Cour de Rotz. Cette chapelle, attenante au manoir de Retz, appartenait jadis aux moines de l'abbaye Saint-Sauveur de Redon. La chapelle est restaurée en 1860 et la messe y est célébrée jusqu'en 1959.
- Les vestiges de la chapelle de la Madeleine (XVIIe siècle), situées en face de l'Aumônerie, à l'emplacement d'une ancienne léproserie.
- La chapelle Saint-Joseph (1840), située à La Provotaie. Cette chapelle a été réhabilitée au milieu des années 1980.
- Les vestiges de la maison du Contrebandier (XVIIe siècle), situés près de la Grotte d'Etriel.
- Le four à pain (XVIIIe-XIXe-XXe siècle), situé à La Provotaie.
- Le four à pain situé à Quinsignac, rénové à partir de 1996 par l'association QAL[41] et est toujours en activité[42].
- Le parc du château de Cavardin du XIXe (détruit en 1944).
- Le moulin à vent d'Amassé.
Personnalités liées à la commune
- Alexandre Braud (1872-1939), prêtre eudiste, dramaturge auteur de la pièce Subercase, supérieur du Collège Sainte-Anne, en Nouvelle-Écosse, né dans la commune ;
- Yvonne Gaudeau, actrice française (1921-1991), née dans la commune ;
- André Harvec, de son vrai nom André Hervé, né le à Saint-Nicolas-de-Redon, est un dessinateur humoristique et auteur de bande dessinée français ;
- Pierre-Yvon Trémel, sénateur des Côtes-d'Armor, est décédé dans la commune le .
- Hubert Niel, né en 1941 dans la commune, cycliste professionnel ayant bouclé un Tour de France
Voir aussi.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives aux organisations :
- Ressource relative à la géographie :
- Site de la mairie
- Site du département Loire-Atlantique
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Réélu en 2008.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Pays de la Loire », sur pays-de-la-loire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Jacut-les-Pins - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Saint-Nicolas-de-Redon et Saint-Jacut-les-Pins », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Jacut-les-Pins - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Nicolas-de-Redon et Montoir-de-Bretagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Nazaire-Montoir - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Redon », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Office Public de la Langue Bretonne, « Kerofis ».
- Histoire de St Nicolas de Redon
- Historique du Prieuré de Saint-Nicolas
- Les frairies d'Avessac
- Léon Dubreuil, Annales de Bretagne : Le district de Redon. 1er juillet 1790-18 ventôse an IV, volume 21, 1905. p.522
- Origine et Blason
- Un OVNI à la Butte Rouge, sur : « ufologie.patrickgross.org » (consulté le ) ; « baseovnifrance.free.fr » (consulté le ) ; Cas exposé aussi dans, entre autres ouvrages, le livre Les O.V.N.I. en Bretagne, anatomie d’un phénomène, de Jean-François Boëdec, Editions Fernand Lanore, Paris, 1978, pp. 104-105, « lire extrait en ligne », sur books.google.fr (consulté le )
- données officielles 2006 sur le site de l'Insee
- « Présentation de la liste Ensemble, préparons demain », Ouest-France, 15 janvier 2014.
- « Dominique Chauvière élu maire », Presse-Océan, 11 janvier 2015.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Chiffres clés Évolution et structure de la population - Saint-Nicolas-de-Redon - POP T0-T3 - Population par sexe et âge en 2013 », sur insee.fr, Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de la Loire-Atlantique - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population française - POP T0-T3 - Population par grandes tranches d'âges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, Insee (consulté le ).
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