Saint-Jacut-les-Pins

Saint-Jacut-les-Pins [sɛ̃ʒakylɛpɛ̃] est une commune française, située dans le département du Morbihan en région Bretagne. Elle est située dans le canton d’Allaire et fait partie de la communauté d'agglomération Redon Agglomération et du pays de Redon et Vilaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint Jacut.

Saint-Jacut-les-Pins

Entrée du bourg.
Administration
Pays France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Vannes
Intercommunalité Redon Agglomération
Maire
Mandat
Didier Guillotin
2020-2026
Code postal 56220
Code commune 56221
Démographie
Gentilé Jacutais, Jacutaise
Population
municipale
1 740 hab. (2018 )
Densité 76 hab./km2
Population
agglomération
52 758 hab.
Géographie
Coordonnées 47° 41′ 10″ nord, 2° 12′ 51″ ouest
Altitude 53 m
Min. 2 m
Max. 88 m
Superficie 22,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Redon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Guer
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Saint-Jacut-les-Pins
Géolocalisation sur la carte : Morbihan
Saint-Jacut-les-Pins
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Jacut-les-Pins
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Jacut-les-Pins
Liens
Site web Site de la commune

    Géographie

    La commune est située à l’extrême sud-est du Morbihan, entre la rivière de l’Arz au nord et l’antique voie romaine de Vannes à Rieux au sud (frontière délimité aujourd’hui par la route départementale 775 Vannes-Redon).

    Saint-Jacut-les-Pins est située à 80 km de Nantes, 70 km de Rennes, 50 km de Vannes et km de Redon.

    Le ban communal de Saint-Jacut-les-Pins est limitrophe des communes suivantes :

    Peillac Peillac Saint-Vincent-sur-Oust
    Malansac N Saint-Perreux
    O    Saint-Jacut-les-Pins    E
    S
    Caden Saint-Gorgon Allaire

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 12,8 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 840 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et mise en service en 1986 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

    Statistiques 1981-2010 et records ST-JACUT-LES-PINS (56) - alt : 52m, lat : 47°41'00"N, lon : 02°12'42"W
    Statistiques établies sur la période 1986-2010 - Records établis sur la période du 01-02-1986 au 31-12-2020
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 3,1 2,8 4,4 5,7 9,1 11,5 13,2 13,2 10,9 8,8 5,3 3,3 7,6
    Température moyenne (°C) 5,9 6,3 8,6 10,4 14 16,8 18,7 19 16,2 12,9 8,8 6,2 12
    Température maximale moyenne (°C) 8,8 9,9 12,9 15,1 19 22,2 24,3 24,7 21,6 17 12,3 9,2 16,5
    Record de froid (°C)
    date du record
    −11,6
    02.01.1997
    −14,1
    10.02.1986
    −9,7
    01.03.05
    −3
    21.04.1991
    −0,5
    14.05.1995
    2
    09.06.1989
    5,9
    10.07.04
    4,9
    31.08.1986
    2,5
    29.09.07
    −3,4
    30.10.1997
    −6,5
    16.11.07
    −8,3
    29.12.1996
    −14,1
    1986
    Record de chaleur (°C)
    date du record
    18,5
    27.01.03
    23,2
    27.02.19
    24,1
    30.03.17
    28,7
    15.04.15
    31,6
    26.05.17
    36
    19.06.17
    39,6
    23.07.19
    38,7
    09.08.03
    33
    14.09.20
    30
    02.10.11
    22
    07.11.15
    17,7
    19.12.15
    39,6
    2019
    Précipitations (mm) 112 79,3 64,8 70 63,3 46,4 48,8 40,7 71,8 97 92,6 109,8 896,5
    Source : « Fiche 56221001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/07/2021 dans l'état de la base

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Jacut-les-Pins est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[7],[8],[9].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Redon, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (27,2 %), terres arables (26,8 %), forêts (20,9 %), prairies (20,1 %), zones urbanisées (2,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,1 %)[12].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[13].

    Toponymie

    Attestée sous les formes Santus Jacutus en 1387 [14], Saint Jagu en 1424 [15].

    La commune se nomme Saent-Jigu en gallo et Sant-Yagu-ar-Bineg en breton. Trois communes bretonnes portent le nom de Jacut de Landoac, moine probablement né au Pays de Galles. Ce religieux du Ve siècle passe sa vie à évangéliser l'Armorique, comme son jeune frère Guénolé de Landévennec, né près de la Baie de Saint-Brieuc. Les frères, éduqués à la vie monacale près de l'île de Bréhat, sillonnent ensuite, séparément, routes et chemins de Bretagne tout au long de leur vie. Saint-Jacut est le fondateur de l'abbaye de Saint-Jacut à Saint-Jacut-de-la-Mer, toujours active de nos jours, dans l'actuel département des Côtes-d'Armor. Pour éviter que les reliques du fondateur (les os de ses bras) ne soient perdues lors de la mise à sac de l'abbaye par les vikings en 878, les moines les emportent de justesse et les transportent dans des peaux de bêtes cousues pendant leur fuite forcée vers l'intérieur de la Bretagne, près de Redon. Ces reliques sont alors cachées et conservées à Saint-Jacut-les-Pins, où le public peut aujourd'hui encore les découvrir dans l'église paroissiale[16]. Pour les Bretons, les terres côtières étant "d'Armor" (de la mer) et les terres de l'intérieur étant "d'Argoat" (des bois), les différentes communes portant le nom de Saint-Jacut sont différenciées par les appellations Saint-Jacut-de-la-Mer et Saint-Jacut-les-Pins (où la superficie de forêts de résineux sur le ban communal est d'ailleurs importante). Une 3ème commune, Saint-Jacut-du-Mené, porte également le nom du saint fondateur, car elle fut autrefois une possession de l'abbaye du bord de mer, à 50km en retrait de la côte. Elle est située sur les monts d'environ 300 mètres d'altitude ("Mené" ou "Menez" en langue bretonne) dominant l'Est des Côtes-d'Armor. Depuis 2011, des rencontres amicales ont lieu entre les trois Saint-Jacut.

    Histoire

    Les Vénètes, puis les Romains, occupent ce territoire le long de la grande voie Rieux-Vannes qui sépare Saint-Jacut de Saint-Gorgon.

    Au Haut Moyen Âge, les Bretons fondent plusieurs villages, Bodnaga, Bréhadou… Les terres dépendent alors de la seigneurie de Rieux et les Bretons laissent des traces de leur séjour dans les noms de la Guidemais, Bodéan, Rédillac, Brandicoet ou Calléon.

    Située en plein pays chouan, la paroisse subit les contrecoups de la Révolution [17].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1800 1808 Louis Richard - -
    1808 1811 Louis Coue - -
    1811 1825 Claude Richard - -
    1825 1845 Mathurin Marquier
    (1777-1848)
    - Laboureur
    Conseiller d'arrondissement
    1845 1846 Jean-Pierre Plormel - -
    1846 1860 Mathias Hervieux - -
    1860 1862 Joseph Provost - -
    1862 1881 Joseph Robert - -
    1881 1889 Julien Voisin - -
    1889 1904 Timothé Jourdain De Coutance - Ancien chef de cabinet du préfet
    1904 1924 Jean Danet - -
    1924 1944 Timothé Jourdain De Coutance (fils) - -
    1945 1947 Joseph Voisin - -
    1947 1959 Timothé Jourdain De Coutance (fils) - -
    1959 1989 Joseph Mabon - -
    1989 Monique Audiger - -
    mars 2001 mars 2014 Alain Hercouet - Agriculteur
    mars 2014 28 mai 2020 Christophe Royer - Chef d'entreprise
    28 mai 2020 En cours Didier Guillotin[18] - Mandataire judiciaire
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[20].

    En 2018, la commune comptait 1 740 habitants[Note 5], en augmentation de 0,69 % par rapport à 2013 (Morbihan : +2,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3751 4641 2131 4141 2781 2521 2501 3141 355
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3151 3791 3861 4771 5011 4681 5201 4271 437
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4571 4941 4821 4481 4281 4981 4881 5251 496
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 4551 4851 5591 5901 5701 5521 6541 7321 727
    2018 - - - - - - - -
    1 740--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Infrastructures

    Sur le plan médical, la commune dispose d’une maison médicale, d'une maison des services, d’une pharmacie et d’une maison de retraite [23] qui dispose d'un parcours d'activités santé pour les seniors.

    Sur le plan éducatif, la commune dispose d’une école maternelle et primaire : l'école Saint-Joseph[24], d’un institut médico-éducatif et d’un lycée technologique (ISSAT)[25].

    Sur le plan sportif, la commune dispose d’une salle omnisports, et du dynamisme de ses nombreuses associations sportives (cyclotourisme, randonnée, course à pied [26], basketball, football[27], tennis, motocyclisme, gymnastique, chasse, pêche…).

    Enfin, sur le plan culturel, la commune dispose d’une médiathèque [28] et de nombreuses associations (théâtre, chorale, foyer des jeunes, club de l’amitié, anciens combattants, défense du patrimoine (moulins), humanitaire, ridée[29]….

    Transport

    La commune est située à 10 minutes en voiture de la gare de Redon. L'aéroport de Nantes Atlantique et l'aéroport de Rennes se trouvent respectivement à 1 h 15 min et 1 h de voiture.

    La commune est traversée d'est en ouest par l'axe ferroviaire principal de la Bretagne Sud. Cette ligne Savenay - Landerneau est inaugurée jusqu'à Lorient en 1862, elle permet par Redon les relations entre les gares des grandes villes bretonnes du sud et Paris par Rennes. La commune a longtemps disposée d'une gare puis d'un arrêt SNCF, actuellement ces deux stations sont fermées et désaffectées[30] le quartier de la Gare rappelle cette époque. L'histoire ferroviaire de la commune va peut-être rebondir avec une activité de fret[31].

    Tourisme

    Butte des moulins.

    La forêt de résineux qui entoure la commune est sillonnée de circuits VTT et de randonnée. La commune est également connue pour son patrimoine, notamment ses chapelles et ses moulins à eau et à vent. La commune bénéficie de la présence d’un jardin exotique qui attire plus de 50 000 visiteurs par an [32].

    • Les étangs de Bodéan. Situés à proximité du camping, ce site est composé de trois étangs en cascade dans un sous-bois aux essences variées, sillonnées de nombreux chemins pédestres, où s’écoule un ruisseau affluent de l’Arz. Ses étangs font de la commune un lieu fréquenté des pêcheurs[33].
    • Le circuit de la butte des cinq moulins. Une butte ardoisière coiffée d’anciens moulins à vent au cœur des grées et des landes, dominée par endroits par les pins et par un moulin à vent qui a été restauré et redéploie ses ailes. Le sentier pédestre permet une découverte du patrimoine et de la flore du pays (bruyère, callune, ajoncs…)[34].
    • Le site de la Vallée. Le site permet la découverte d’un ancien moulin à eau avec son étang surplombé par une colline de pins avec aire de pique-nique et possibilité de pêche.
    • Le Tropical Floral Parc. Sur plus de 4 ha, s'étend un parc exotique où évoluent en toute liberté kangourous et oiseaux exotiques : grands perroquets, aras, cacatoès et autres perruches multicolores. Sur le site se mêlent les jardins indonésien, africain, mexicain, thaïlandais, la maison musicale, le jardin d’eau avec ses lotus, la roseraie[35].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine

    La commune est dominée par ses deux clochers (église paroissiale Saint-Jacut et chapelle de la maison des sœurs du Sacré-Cœur). Elle dispose de nombreux chapelles (Notre-Dame du Pont-d'Arz, la Graë, Saint-Barnabé…) et châteaux (Le Closne, Calléon, Bodéan), des manoirs (Brandicoët, Rédillac, Bois-David…), plusieurs moulins à vent (des 5 moulins, de la Prée, de la Vieille-Ville, Renaudin, de Bodéan…) ou à eau (site de la Vallée, de Guéreneuc, d'Eclopaz, de Calléon)[36], sans oublier ses multiples croix le long des chemins.

    Évènements

    • Fêtes des moulins et traditions, organisée fin août par l'association Eau grée des Moulins. Découverte et mise en route du moulin à eau à auget ; explications sur l’histoire et le fonctionnement : mécanismes, rouages (mouture à l’ancienne à la meule de pierre) ; réalisation de farine issue de blé meunier [37].
    • Festival Mots-zik sous les pins, organisé en novembre par l'association Les débrouill'arts. Un des derniers festivals de musique de l'année où viennent se produire devant un public de tous âges et de tous horizons des artistes aussi bien locaux que reconnus dans le monde de la musique.

    Personnalités liées à la commune

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Redon », sur insee.fr (consulté le ).
    11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    13. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    14. Dans les archives du chapitre de Vannes
    15. Dans les archives du château de Castellan
    16. Hors-série Bretagne Ouest-France " Les Trésors des abbayes", Rennes, Société Ouest-France, , p. 60 à 65.
    17. « Saint-Jacut-les-Pins », sur topic-topos.fr (consulté le ).
    18. « Municipales à Saint-Jacut-les-Pins. Didier Guillotin élu nouveau maire », sur Ouest-France, (consulté le ).
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    23. Tudgual Ruellan, « Une première en France : les personnes âgées ont leur parcours de santé à Saint-Jacut-les-Pins (Morbihan) », sur Tugdual Ruellan Information, journalisme et communication, (consulté le ).
    24. « École St Joseph de Saint Jacut les Pins », sur École Saint-Joseph (consulté le ).
    25. « ISSAT », sur issat.info (consulté le ).
    26. « Les Relayeurs de St Jacut », sur Les Relayeurs de St Jacut (consulté le ).
    27. « Club sportif espor St Jacut foot et basket », sur espoir-stjacut-les-pins.fr (consulté le ).
    28. « Médiathèque Saint-Jacut-les-Pins », sur Médiathèque Saint-Jacut-les-Pins (consulté le ).
    29. « Fest-deiz de la Ridée jacutaise, dimanche - Saint-Jacut-les-Pins », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
    30. Jean-Pierre Nennig, « 519+943 - Gare de Saint-Jacut », Le chemin de fer de Bretagne sud, 2008, p. 87.
    31. Ouest-France du 25 septembre 2009, Jérôme Hervé, « Redon joue son avenir autour de la gare » : "Avec une décentralisation du trafic fret vers Saint-Jacut-les-Pins" lire en ligne (consulté le 05/11/2009).
    32. « TROPICAL PARC (4 ha) », sur parcsetjardins.fr (consulté le ).
    33. « Camping municipal les Etangs de Bodean », sur morbihan.com (consulté le ).
    34. « La Butte des 5 moulins - SAINT JACUT LES PINS », sur Tourisme Pays de Redon (consulté le ).
    35. « Bienvenue au Tropical Parc », sur Tropical Parc (consulté le ).
    36. « Les moulins communaux de Saint Jacut les Pins (Morbihan) », sur Moulins de France, (consulté le ).
    37. « La 11 e fête des moulins et traditions a lieu dimanche - Saint-Jacut-les-Pins », sur ouest-france.fr, (consulté le ).
    38. « Paroisse de Saint-Jacut-les-Pins », sur Site Internet du Doyenné d'Allaire (consulté le ).
    39. « Notre histoire », sur Sœurs du Sacré Cœur de Jésus (consulté le ).

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

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