Saint-Max

Saint-Max [sɛ̃ maks] est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.

Pour les articles homonymes, voir Max.

Saint-Max

La Meurthe à Saint-Max.

Héraldique

Logo
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Métropole Métropole du Grand Nancy
Arrondissement Nancy
Maire
Mandat
Éric Pensalfini
2020-2026
Code postal 54130
Code commune 54482
Démographie
Gentilé Maxois[1]
Population
municipale
9 984 hab. (2018 )
Densité 5 397 hab./km2
Population
agglomération
286 041 hab. (2017)
Géographie
Coordonnées 48° 42′ 06″ nord, 6° 12′ 26″ est
Altitude Min. 193 m
Max. 342 m
Superficie 1,85 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Nancy
(banlieue)
Aire d'attraction Nancy
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Saint-Max
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Saint-Max
Géolocalisation sur la carte : Meurthe-et-Moselle
Saint-Max
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Max
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Max
Liens
Site web www.saint-max.fr

    Géographie

    Situation

    La ville de Saint-Max est située au nord-est de la France, dans la proche banlieue est de Nancy, au niveau du 48e parallèle nord, sur la rive droite de la Meurthe. Sa superficie est de 185 hectares. Administrativement, Saint-Max est le chef-lieu du canton éponyme, et fait partie de la deuxième circonscription de Meurthe-et-Moselle, comprenant Vandœuvre-lès-Nancy et Saint-Max. Depuis 1996, elle fait partie de la communauté urbaine du Grand Nancy aux côtés de dix-neuf autres communes.

    Communes limitrophes

    Saint-Max est limitrophe de cinq communes, toutes situées en Meurthe-et-Moselle et réparties géographiquement de la manière suivante :

    Géologie et relief

    La ville est adossée aux coteaux méridionaux du plateau de Sainte-Geneviève et du plateau de Malzéville, qui culmine à 384 mètres d'altitude, le point la plus haut de la commune se situant à 342 mètres. Le point le plus bas est situé au niveau du ruisseau du Grémillon, à 193 mètres d'altitude.

    Hydrographie

    Saint-Max est limitrophe sur sa frontière ouest de la Meurthe qui la sépare de Nancy et possède différents ruisseaux sur son territoire communal, aujourd'hui entièrement canalisés et souterrains. Le risque d’inondation existe, en cas de ruissellement trop important. Du 21 au , un orage de type système convectif de méso-échelle a provoqué des pluies diluviennes (103 mm en 3 heures à la station Nancy-Essey) qui ont submergé plusieurs rues et entrainé plusieurs millions d'euros de dégâts[2].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Max est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[3],[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nancy, une agglomération intra-départementale regroupant 28 communes[6] et 286 041 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (97,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (85,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (95,8 %), forêts (2,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Toponymie

    Mentions anciennes

    Après 1263, on trouve la mention de ce petit village dans de nombreux textes mais avec des appellations variant dans le temps :

    • au XIIIe siècle, Saint-Mard ;
    • au XVe siècle, Saint-Marc ;
    • au XVIe siècle, Sainct-May, Sainct-Marc, Sainct-Mach et Saint-Maix ;
    • au XVIIIe siècle, Saint-Mâ puis enfin Saint-Max, le nom actuel apparaissant pour la première fois en 1772 ;
    • au cours de la Révolution française, la commune porte le nom de Max-la-Montagne[13].

    Nom dialectal et prononciation

    En lorrain : Saint-Mâ[14] ou plus précisément Saint-Maâr avec la voyelle lorraine [â], longue et fortement accentuée[15]. et Mâr sont des variantes régionales de Médard. En 2020 on entend encore, mais cela devient rare, des anciens lorrains prononcer le nom de la commune avec une sorte de [r] final expiré et amuï. Dans son Dictionnaire historique des rues de Nancy, Emile Badel dénonce la corruption verbale des toponymes lorrains contenant une lettre [x][16]. Il explique que celle-ci s'est peu à peu substituée à la lettre grecque [χ] (chi) utilisée au moyen-âge pour représenter un phonème proche du [ch] allemand ou de la jota espagnole, très fréquent en Lorrain-Roman que les philologues notent le plus souvent [hh]. On le retrouve aussi en Breton orthographié [c'h]. Aujourd'hui encore, [χ] est la lettre de l'alphabet phonétique pour représenter le son qui a disparu de ces toponymes lorrains.

    Blason populaire

    Les habitants étaient[Quand ?] surnommés : les loups d'Saint-Maâ.

    Histoire

    Saint-Max semblerait remonter aux premiers temps de la conquête de la Gaule par les Romains : le Chemin stratégique s'appelait autrefois « Chemin des Romains ». Il traverse « La Gueule le Loup » et jusqu'au plateau de Malzéville. Il menait probablement à un camp entouré de fossés et de talus puisque des vestiges (murs) ont été retrouvés au-dessus de la Trinité, ainsi que les médailles, fibules et tombeaux.

    Au Moyen Âge, Saint-Max, Essey et Dommartemont sont groupés en une seigneurie, le village d'Essey étant le plus important des trois.

    Pendant plusieurs siècles, Saint-Max aura l’aspect d’un petit village dont les habitations sont groupées pour la plupart autour de l’église Saint-Médard, quelques maisons se situant un peu à l’écart, au pont d’Essey.

    Toutefois, au XVIe siècle, Saint-Max a la renommée de fournir un excellent vin gris fort apprécié à la cour de Lorraine.

    En 1866, la localité compte 430 habitants (on en recense aujourd’hui 10 000 dans la cité qui s’est urbanisée tout en prenant soin de son patrimoine).

    En 1871, la signature du traité de Francfort va tracer certaines lignes de la destinée de la localité.

    En effet, ce traité privant la France d’une partie des départements de la Moselle et de la Meurthe provoque un afflux de population vers la Lorraine restée française et notamment sur Nancy dont le considérable essor démographique rejaillit sur les villages proches qui deviennent alors des communes de banlieue.

    Château du Pont de la Meurthe.

    Un autre facteur va concourir au développement économique et démographique de la cité maxoise : l’implantation d’industries à proximité (Nordon, Fruhinsholz, Daum …) dans les bas quartiers de Nancy, le long de la voie ferrée et du canal.

    De 430 habitants en 1866, la population de Saint-Max est passée à près de 3 000 âmes en 1911. Autour de la nouvelle avenue Carnot et de la nouvelle église Saint-Livier dont la mise en chantier avait commencé en 1883 se crée un quartier qui deviendra l’actuel centre-ville.

    Cet essor se poursuit malgré la Première Guerre mondiale et durant l’entre-deux-guerres.

    De nouvelles rues et de nouveaux quartiers sont bâtis à la faveur des premières mesures prises par les gouvernements de l’époque, encourageant la construction de maisons d’habitation.

    La population atteindra 12 489 habitants en 1968.

    Ce sera le maximum, car le territoire de la commune est réduit et il est presque entièrement construit.

    Dans la soirée du , un orage de type MCS diluvien touche la partie nord-est de l'agglomération nancéienne, dont la ville de Saint-Max qui sera très durement touchée. Certaines rues sont envahies par un torrent d'eau boueuse de plus d'un mètre cinquante, plusieurs millions d'euros de dégâts sont à déplorer[17].

    Politique et administration

    Hôtel de Ville en 2018

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1944 1983 Marius Choltus
    (1902-1983)
    SE
    (ex-SFIO)
    Ingénieur commercial
    mars 1983 6 juin 2006
    (décès)
    Gérard Léonard RPR puis UMP Professeur de droit constitutionnel
    Député de la 2e circonscription de Meurthe-et-Moselle (1986-2006)
    juin 2006 mars 2008 Gérard Stoerkel UMP  
    mars 2008 En cours
    (au 10 juin 2020)
    Éric Pensalfini [18]
    Réélu pour le mandat 2020-2026
    UMP-LR Enseignant
    Conseiller départemental (depuis 2015)

    Jumelages

    Jumelage avec la ville d'Amchit Liban.[réf. nécessaire]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[20].

    En 2018, la commune comptait 9 984 habitants[Note 3], en augmentation de 2,73 % par rapport à 2013 (Meurthe-et-Moselle : +0,34 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    200195217252218289329375385
    1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    3923806419081 4271 7971 7271 9042 058
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    2 3942 9203 4273 9124 4234 9965 3806 6008 521
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2018
    12 48912 46311 65611 07510 93910 2599 7079 8729 984
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee à partir de 2006[21].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Infrastructures

    • Foyer culturel Gérard-Léonard ;
    • Centre sportif Henri-Cochet ;
    • L’église Saint-Médard ;
    • Château centre culturel.

    Enseignement

    Sport, loisirs et culture

    • Bibliothèque-médiathèque municipale ;
    • Centre sportif Henri-Cochet ;
    • Cinéma royal Saint-Max ;
    • Espace Victor-Hugo ;
    • Stade Mainvaux ;
    • Foyer culturel Gérard-Léonard.

    Transports en commun

    Saint-Max est reliée au Grand Nancy grâce aux lignes du réseau de transport de l'agglomération nancéienne appelé Réseau Stan :

    • Tram 1 : Essey Mouzimpré - Vandœuvre CHU Brabois
    • Ligne 13 : Dommartemont - Maxéville St-Jacques
    • Ligne 22 : Essey Porte Verte - St Max Gérard Barrois
    • Ligne 32 : Essey La Fallée - Maxéville Jean Lamour
    • Ligne 54 (scolaire) : Dommartemont Collège R. Nicklès - Malzéville Collège Verlaine
    • Ligne 58 (scolaire) : Dommartemont Collège R. Nicklès - Tomblaine Groupe Scolaire

    Économie

    Entreprises

    Culture et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Le Château Centre Culturel est une grande demeure de style Napoléon III dont la construction fut achevée en 1874. On peut y admirer, entre autres, un bel escalier en pierre avec une rampe en fer forgé et une cheminée en bois sculpté. En 1955, le château devient la propriété de la ville et y accueille successivement le CREPS, un collège d'enseignement général, un centre de rééducation physique scolaire ; en 1976, la bibliothèque municipale s'y installe puis en 1990, l'école de musique.

    Le Château a entièrement été rénové en 2013. Les étages 1, 2 et 3 sont occupés par la bibliothèque-médiathèque et des salles associatives. Au rez-de-jardin, côté du parc du Château donnant sur la Meurthe, se situe une salle de réception, avec un accès sur une grande terrasse. Au rez-de-chaussée, accessible depuis l'avenue Carnot, se trouve l'entrée principale permettant d'accéder directement au hall d'exposition et aux salons d'honneur. Le Château Centre Culturel a également bénéficié d'un traitement acoustique dans son ensemble.

    • Le sentier arboré du bois de Libremont inauguré en 2019[22] avec un totem illustrant la légende de la «Gueule de Loup»[23].

    Édifices religieux

    • Église Saint-Livier XIXe siècle néo-gothique : chapiteaux sculptés ; orgue 28 jeux Blési 1883 - restauré Koenig 1995
    • Église Saint-Médard : tour romane, chapiteaux XIIe siècle.
    • Église Saint-Michel, moderne. À moitié sur le territoire de Malzéville.
    • Chapelle de la « Gueule du Loup » oratoire à la limite Saint-Max et Malzéville juste sous le plateau[24].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Saint-Max ; Histoire d’un village sans histoire, Michel Barbier, Saint-Max : Ville de Saint-Max, 1983.- 497 p. : Ill. ; 27 cm.
    • Saint-Max, Michelle Breton-Gerber et Claude Seyer, Joué-lès-Tours : A. Sutton, 1998.- 127 p. : Ill. ; 24 cm.- (Mémoire en images).
    • Trois aspects géographiques de Saint-Max (Meurthe-et-Moselle) en 1906, d’après le recensement quinquénal : Emploi, habitat, démographie : Mémoire de diplôme d’Études Approfondies (D.E.A), Claude-Marc Gauthier, Nancy : Université de Nancy II, 1995.- 72 p. : Ill. ; 30 cm.
    • La Gueule du loup, p. 26-27 ; ill. in : Revue Lorraine Populaire. - Nancy (93, Grand’rue Ville-Vieille 54000 Nancy) : J.-M. Cuny. - 30 cm. (no 85 du 01/12/1988).
    • Histoire de Saint-Max, tome 1, Les Temps anciens /Danièle Verdenal, Nancy : Imprimerie Apache Colors, 2011.- 227 p. : Ill. en coul. ; 27 cm.
    • Histoire de Saint-Max, tome 2, Les Temps modernes/Danièle Verdenal, Nancy : Imprimerie Apache Colors, 2011.- 205 p. : Ill. en coul. ; 27 cm.

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
    2. Pascale Braun, « Inondations - La communauté urbaine du Grand Nancy à l'heure de comptes », La Gazette, vol. 22, no 2128, , p. 12 (ISSN 0769-3508).
    3. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    5. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Unité urbaine 2020 de Nancy », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    7. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. E. Grosse, Dictionnaire statistique du département de la Meurthe, 1836
    15. Lucien Adam, Les patois lorrains, Paris, Maisonneuve et Cie, , 459 p., p. 5.
    16. Émile Badel, dictionnaire historique des rues de Nancy, tome premier, Nancy, Louis Kreis, , 518 p. (lire en ligne), p. 317.
    17. Source : http://meteolorraine.wifeo.com/episode-diluvien-nancy-210512.php
    18. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    22. « Sentier du bois de Libremont ».
    23. « La légende de la Gueule du Loup ».
    24. « La légende du loup de Malzéville ».
    25. ou le selon Le dictionnaire des parlementaires.
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