Saint-Martin-en-Coailleux

Saint-Martin-en-Coailleux est une ancienne commune française de la Loire.

Saint-Martin-en-Coailleux
Administration
Pays France
Ville Saint-Chamond
Canton Saint-Chamond
Démographie
Population 3 872 hab. (1962)
Densité 287 hab./km2
Fonctions urbaines quartier de Saint-Chamond
Géographie
Superficie 1 350 ha = 13,5 km2
Site(s) touristique(s) Notre-Dame de l'Ermitage, maison des Maristes
Transport
Gare Saint-Chamond

    Elle fait partie des quatre communes qui ont fusionné[N 1] le pour former une nouvelle entité administrative : le « grand » Saint-Chamond[1] : Izieux, Saint-Chamond, Saint-Julien-en-Jarez et Saint-Martin-en-Coailleux.

    Toponymie

    Saint-Martin-en-Coailleux a connu de multiples graphies avant de se stabiliser sur la forme actuelle[2]. Le nom remonterait au latin Sanctus Martinus Aquae loci devenu Sanctus Martinus Coailliacus, mais l'étymologie aquae locus (lieu chargé d'eau) semble incertaine si on la rapporte à l'aqueduc du Gier situé deux kilomètres plus loin et de l'autre côté de la rivière[3]. Dans le latin du XIVe siècle, on disait Sanctus Martinus Acuallieu[4].

    La toponymie française dénombre 238 communes portant le nom de Saint-Martin, l'un des saints parmi les plus vénérés en Gaule. Saint-Martin est connu pour son œuvre d'évangélisation des campagnes, notamment dans la vallée de la Loire.

    Géographie

    La paroisse de Saint-Martin-en-Coailleux, extrait carte 1850.

    Saint-Martin-en-Coailleux se situe sur l'un des versants nord du Mont Pilat, dans la partie sud de la commune de Saint-Chamond. Son altitude est de 484 m environ.

    Hydrographie

    Deux cours d'eau, coulant au nord, traversent l'aire communale et constituent une partie de ses limites latérales : la rivière du Gier, à l'ouest, qui la sépare d'Izieux ; et le ruisseau de l'Onzion[N 2], à l'est, qui la sépare de Saint-Paul-en-Jarez. On trouve aussi le ruisseau de la Combe du grand Val, le ruisseau des Sagnols, le ruisseau Bessy et quelques rus.

    Saint-Martin-en-Coailleux est concerné par la partie amont du Gier où la rivière passe de la pente montagneuse et boisée du Pilat à une pente moins forte dans les landes et les prés de fauche.

    Territoire

    Au XIXe siècle, le territoire de la commune comprend différentes parties : le Bourg, La Valette, l'habitat épars. En 1911, la répartition est plus diversifiée : le Bourg, la Renardière, Plaisance, Les Charmilles, Croix-Raisin, les hameaux de population éparse[5].

    Histoire

    Saint-Martin-en-Coailleux relève de la justice des seigneurs de Saint-Chamond. La localité fait partie, en 1173, de la maison de Lavieu. En 1280, elle passe à Godemard II, par suite d'une vente[6].

    Le 31 août 1902, à Saint-Martin-en-Coailleux, Aristide Briand, député de la Loire prononce un discours «sur la morale civique et l'esprit laïque opposés au dogmatisme religieux»[7].

    La franc-maçonnerie est présente à Saint-Martin-en-Coailleux en la personne de l'instituteur Émile Berthelon, exerçant à La Valette en 1910, d'après un répertoire antimaçonnique[8].

    Population

    En l'espace de 170 ans, la population[9] de cette commune mi-rurale mi-industrielle a été multipliée par 3.

    • 1793 : 912
    • 1800 : 910
    • 1806 : 1 074
    • 1821 : 996
    • 1831 : 1 084
    • 1836 : 1 085
    • 1841 : 1 109[10]
    • 1846 : 1 227
    • 1851 : 1 178[11]
    • 1856 : 1 241
    • 1861 : 1 210[12]
    • 1866 : 1 440
    • 1872 : 1 690
    • 1876 : 2 108
    • 1881 : 2 559
    • 1886 : 2 846
    • 1891 : 2 918
    • 1896 : 2 978
    • 1901 : 3 316
    • 1906 : 3 025
    • 1911 : 3 201
    • 1921 : 3 379
    • 1926 : 3 222
    • 1931 : 3 272
    • 1936 : 3 264
    • 1946 : 3 221
    • 1954 : 3 414
    • 1962 : 3 872

    L'industrialisation

    Saint-Martin-en-Coailleux, poste de transformateur de la Cie du Centre.

    Importance du métier de cloutier[réf. nécessaire].

    Les femmes constituent une main d'œuvre nombreuse dans le textile : moulinage des soies, fabriques de tresses et lacets, tissage des soieries[réf. nécessaire].

    Les maires de Saint-Martin-en-Coailleux

    Le nom des maires de Saint-Martin-en-Coailleux figure dans les registres de délibérations du conseil municipal conservés aux archives municipales de Saint-Chamond. On en trouve également dans les Rapports adressés par M. le Préfet au Conseil général du département de la Loire.

    • Perrochia, J.-B. : 1826
    • Preynat, Jean-Benoît : 1841
    • Macabéo : 1857
    • Thouly, Jean-Antoine : 1878
    • Chirat, Louis-Josepeh : 1881
    • Humbert, François : 1897
    • Heurteloup : 1900-1904 (démissionnaire)
    • Aubert, G. : 1904[N 3], 1908
    • Moleyre : 1910, 1925
    • Verpilleux[N 4], Paul : 1931
    • Rivory, Jean-Baptiste : 1947
    • Bouchacourt, Marcel : -1964

    Religion

    Saint-Martin-en-Coailleux, ancienne église, disparue au XIXe siècle, James Condamin, Histoire de Saint-Chamond, 1890.

    XIVe siècle

    Au Moyen Âge, en janvier 1379, l'archevêque de Lyon, l'ancien doyen de la cathédrale archiépiscopal, Jean de Talaru, organise une visite pastorale qui dure des mois.

    Parmi les 400 édifices inspectés, par lui directement ou par ses délégués[N 5], figure l'église de Saint-Martin-en-Coailleux. Dans le registre qui contient le texte de cette visite, deux phrases sont réservées à cette dernière[4] : « à Saint Martin Acuallieu, en présence de maître Petro Bernardi et de nombreux paroissiens du lieu. Le curé n'est pas résident, mais (réside) à Saint Andéol »[N 6].

    C'est le seigneur de Saint-Chamond qui nomme le curé, mais ce droit appartenait à l'église du Puy au XIIIe siècle[3]. Une confrérie du scapulaire est établie dans l'église de Saint-Martin-en-Coailleux[3].

    Ancienne église

    En 1874, une commission du conseil général de la Loire constate que : « L'église actuelle de Saint-Martin-en-Coailleux est non seulement de dimensions trop restreintes pour les besoins du culte, mais construite en partie en pisé, elle est arrivée à un état de vétusté qui ne laisse pas que de présenter du danger pour les fidèles ». Un désaccord oppose le conseil municipal qui voudrait se borner à une réparation et le conseil de fabrique qui souhaite une reconstruction. Cette dernière option est finalement décidée[13].

    Nouvelle église

    La nouvelle église de Saint-Martin-en-Coailleux est construite entre 1877 et 1884. Elle est de forme gothique avec deux portes d'accès et un promenoir au faîte du clocher. Sa superficie est de 1 200 m2[14].

    Le 1er mars 1906, en vertu de la loi du 9 décembre 1905 de séparation des Églises et de l'État, il est procédé à l'inventaire des biens de la fabrique paroissiale de Saint-Martin-en-Coailleux.

    Les biens immeubles de l'église comprennent : un maître-autel en marbre, deux autels latéraux, des fonts baptismaux donnés par Thomas Dugas (1773-1857, adjoint au maire de Lyon)[15], l'autel de la porte d'entrée, une chaire en bois sculpté, une horloge donnée par madame Émile Alamagny[16], deux bénitiers en marbre, les boiseries du chœur, onze stèles données par Ivan Dugas (1846-1908)[17], sept vitraux, deux coffres-forts en fer de grande valeur, un harmonium, un ciboire en argent et de nombreux autres objets de culte[14].

    Notre-Dame de l'Hermitage

    Saint-Martin-en-Coailleux est le lieu du pèlerinage au tombeau du "vénérable" Marcellin Champagnat qui se trouve dans la chapelle de Notre-Dame de l'Hermitage. La paroisse y descend en procession le 15 août.

    La maison de cette institution est bâtie en 1824, sur l'initiative de Marcellin Champagnat. Il y meurt en 1840. Un an plus tard, l'état nominatif des habitants de Saint-Martin-en-Coailleux recense quatre prêtres, vingt-neuf frères et quarante-deux élèves à l'Hermitage[18].

    Les curés de Saint-Martin-en-Coailleux

    Saint-Martin-en-Coailleux, autel latéral dans l'église, 2014.

    Une plaque apposée « à la mémoire de nos vénérés curés », dans l'église de Saint-Martin-en-Coailleux, mentionne les noms suivants[19] :

    • B. de Beaujeu : 1309
    • J. Charles : 1500
    • E. Mazenod : 1552
    • J. Hilaire : 1561
    • S. Morellier : 1592
    • C. Gabriel : 1617
    • P. de Lestang : 1652
    • G. Terrasse : 1655
    • F. Degraix : 1704
    • C. Dugas : 1723
    • Dugas : 1741
    • L. de Ricquier : 1753
    • P. Mottin : 1773
    • T. Delavigne : 1774
    • Forest : 1788
    • Jamet : 1802
    • M. Grangeon : 1803
    • Brut : 1819
    • Durbize, J.-L. : 1823
    • Jayol : 1843
    • C. Sorlin[N 7] : 1854
    • A. Chanelière : 1894[N 8]
    • P. Ploton : 1903
    • J. Souvras : 1914
    • C. Bertail : 1919
    • J. Brunon : 1938.
    • P. Chosson : 1975

    Les instituteurs de Saint-Martin-en-Coailleux

    Règlement des écoles primaires de l'Académie de la Loire, 1852.

    Les noms des instituteurs sont extraits des recensements. En l'espace de 70 ans, le nombre d'instituteurs dans la commune est passé de un à six.

    • Pascal, Jean Laurent : 1841
    • Barrot, Louis : 1846 et 1851
    • Gagnère, Jean : 1851[N 9]
    • Charles, Pierre : 1856
    • Gelin, Jean : 1856[N 10]
    • Bur, Philibert : 1861
    • Montagne, Jean-Baptiste : 1861[N 11]
    • Vallat, Mathurin : 1891
    • Louat, Marie-Antoinette : 1891[N 12]
    • Imbert, Jean : 1891[N 13]
    • Imbert, Antoine : 1901[N 14]
    • Louat, Marie-Antoinette : 1901
    • Vallat, Mathurin : 1901
    • Vallat, Jean-François : 1906[N 15]
    • Delobre, Jeanne : 1906[N 16]
    • Maisonneuve, Louise : 1906[N 17]
    • Carton, Blanche : 1906[N 18]
    • Vallat, Mathurin : 1906[N 19]
    • Delobre, Jeanne : 1911
    • Ferrier, François : 1911[N 20]
    • Robineau, François : 1911[N 21]
    • Robineau, Blanche : 1911[N 22]
    • Charvieux, Francisque : 1911[N 23]
    • Tardy, Joseph : 1911[N 24]

    Souvenir du poète André Ronze

    André Ronze (1869-1930).

    Le poète, peintre et musicien saint-chamonais André Ronze (1869-1930) a décrit Saint-Martin-en-Coailleux : "à vingt minutes de chemin de la petite cité industrielle de Saint-Chamond ; il a comme fond les deux petites collines de Paraqueux. Sa situation topographique, son aspect pittoresque, son petit clocher blanc émergeant d'un bouquet d'arbres et les souvenirs qui se rattachent pour moi à ces simples choses ont toujours occupé une large place dans mon existence.

    Lorsque j'étais jeune, j'allais souvent errer dans la vallée de l'Onzion. L'Onzion est un ruisseau qui prend sa source au pic de Chavanol et, dans le vallon qui porte son nom, il coule tranquillement à l'ombre des chênes et des frênes. C'est là que nous allions, mes trois amis et moi, avant de nous diriger sur Saint-Martin, les pins Flachat et le Pilat"[20].

    Personnalités

    • Marcellin Champagnat, né à Marlhes et mort à Saint-Martin-en-Coailleux en 1840.
    • André Ronze, 1869-1930, poète, peintre, musicien.
    • Jean-Benoît Preynat, 1870-1909, prêtre missionnaire en Chine, servit de guide et d'interprète aux membres de la mission lyonnaise d'exploration commerciale en 1896.
    • François-Jullien Sutre, ingénieur principal aux Aciéries de la Marine, mort en 1940.
    • Julien Chomienne, 1919-2002, ouvrier sidérurgiste, résistant, déporté à Mauthausen.
    • Antoine Coron, né en 1948 à Saint-Martin-en-Coailleux, archiviste-paléographe, directeur de la Réserve des livres rares à la BnF, Bibliothèque nationale de France (1993-2014).
    Notre-Dame de l'Hermitage, entrée, octobre 2006.

    Lieux et monuments

    Photographies anciennes

    Photographies anciennes : place de la Valette

    Photographies récentes

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Jean-Antoine de la Tour-Varan et Ennemond Richard, « Fabrication des lacets », Bulletin. Notice statistique industrielle sur la ville de Saint-Étienne et son arrondissement, Saint-Étienne, Société industrielle et agricole de Saint-Étienne, 3e série, vol. XXI, t. II « 2e partie », , p. 73-75 (ISSN 1256-3129, lire en ligne [in-8°])
    • Louis-Joseph Gras, Histoire de la rubanerie et des industries de la soie à Saint-Étienne et dans la région stéphanoise : suivie d'un historique de la fabrique de lacets de Saint-Chamond ; étude sur le régime économique et la situation générale depuis les origines jusqu'à nos jours, Saint-Étienne, Société de l’imprimerie Théolier, , VIII-886 p., 25 cm (OCLC 3640516, lire en ligne)

    Articles connexes

    Notes et références

    Notes

    1. Le principe de la fusion a été préféré par les conseils municipaux à d'autres possibilités de regroupements : syndicat spécialisé, syndicat à vocation multiple, création d’un district.
    2. Affluent de la rive droite du Gier, en aval de Saint-Chamond.
    3. Aubert est membre de la Fédération départementale socialiste autonome de la Loire.
    4. Né en 1879 à Rive-de-Gier, maître de forges.
    5. Il est peu probable qu'il ait visité lui-même Saint-Martin-en-Coailleux puisqu'il consacre une semaine, du 30 décembre 1378 au 7 janvier 1379, à tout le sud du Lyonnais et au Jarez.
    6. Sanctum Martinum Acuallieu presentibus domino Petro Bernardi, vicario, et pluribus parrochianis loci. Curatus non residet, ymo apud Sanctum Andeolum.
    7. Le curé Sorlin se prénommait Catherin-Jean-Baptiste. Il a été curé de la paroisse de Saint-Martin-en-Coailleux pendant quarante ans.
    8. Né le 11 février 1846 et mort le 11 janvier 1905.
    9. Louis Barrot est âgé de 42 ans en 1851 ; Jean Gagnère, instituteur adjoint, est âgé de 20 ans.
    10. Pierre Charles est âgé de 33 ans et Jean Gelin, adjoint, est âgé de 16 ans (!)
    11. Philibert Bur, directeur, est âgé de 41 ans ; J.-B. Montagne, instituteur, frère mariste, est âgé de 31 ans.
    12. Vallat est âgé de 36 ans, est marié et a un fils de 3 ans ; Marie-Antoinette Louat, institutrice, est âgée de 44 ans.
    13. Jean Imbert est âgé de 42 ans.
    14. Antoine Imbert est âgé de 52 ans et semble être le même que celui de 1891 ; il est mentionné comme "instituteur libre"
    15. Jean-François Vallat est né en 1847, il ne peut être confondu avec son homonyme.
    16. Née en 1880, elle est institutrice privée.
    17. Née en 1896, institutrice privée.
    18. Née en 1883 à Paris, institutrice publique.
    19. Né en 1855, instituteur public, en poste dans la commune depuis au moins quinze ans. En 1911, il n'est plus mentionné comme instituteur mais comme secrétaire de mairie.
    20. Né en 1871.
    21. Né en 1882 à Firminy.
    22. Delobre, de son nom de jeune fille, elle a épousé l'instituteur Robineau.
    23. Né en 1868, il est marié et père d'un garçon et de trois filles.
    24. Né en 1874 à Rochetaillée, marié, une fille.

    Références

    1. Saint-Chamond, histoire d'un territoire, archives municipales de Saint-Chamond, 2007.
    2. Selon le Dictionnaire topographique du département de la Loire de J.-E. Dufour (1946, p. 275), les deux premiers termes Sancto Martino peuvent être suivis de : Coilliaco, a Coailleu, Acuallieu, Acoalhieu, a Cuelhio, Acoalio, Couallieu, Conallieu, Conallieu, A collieu, Acoallieu, Accoailleu. On trouve aussi : Sainct Martin a Coualieu, Saint-Martin a Couaüllieux ou Accouallieu, ou en Coalieu. Et enfin, Saint-Martin-en-Coailleux.
    3. 'Les paroisses du diocèse de Lyon. Archives et antiquités, par l'abbé Ad. Vachet, 1899.
    4. Visite pastorale du diocèse de Lyon (1378-1379) par Jean de Talaru, archevêque de Lyon (mort en 1393), publiée par l'abbé Merle, Bulletin de la Diana, année 1937, tome XXVI, no 3, publié en 1938, p. 278.
    5. Dénombrement de 1911, liste nominative des habitants de la commune.
    6. La France par cantons et par communes. Département de la Loire, Théodore Ogier, 1856.
    7. La Lanterne, journal politique quotidien, mercredi 3 septembre 1902.
    8. Les francs-maçons dans l'enseignement : 4.000 noms tirés du "Répertoire maçonnique" et des archives de l'Association antimaçonnique de France, Bureaux de l'Association antimaçonnique de France, 1911, p. 65.
    9. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Martin-en-Coailleux », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    10. L'état nominatif des habitants produit par le recensement de 1841, fournit le chiffre de 1 216 personnes ; cf. document numérisé, archives départementales. La différence tient sans doute au fait que le premier chiffre ne tient pas compte des élèves du couvent Saint-Joseph (11 filles) ni des élèves et pensionnaires de l'Hermitage (82).
    11. L'état nominatif des habitants produit par le recensement de 1841, fournit le chiffre de 1 063 personnes ; cf. document numérisé, archives départementales.
    12. L'état nominatif des habitants produit par le recensement de 1841, fournit le chiffre de 1 169 personnes ; cf. document numérisé, archives départementales.
    13. 'Rapport présenté au Conseil général par le baron de Cardon de Sandrans, préfet de la Loire, session du 19 octobre 1874, p. 250 et 291.
    14. Inventaire des biens dépendant de la fabrique paroissiale de Saint-Martin-en-Coailleux, archives départementales de la Loire.
    15. Généalogie de Thomas Dugas.
    16. "Émile Alamagny, industriel".
    17. Généalogie d'Ivan Dugas.
    18. Les quatre prêtres étaient : Gabriel Rivat, directeur, Besson, Matricon et Girard ; recensement de 1841, document numérisé.
    19. Le nom de l'abbé Brunon (1938) a été ajouté à cette liste. Voir aussi Les paroisses du diocèse de Lyon. Archives et antiquités, par l'abbé Adolphe Vachet, 1899.
    20. Œuvres du poète saint-chamonais André Ronze, Saint-Étienne, impr. J. Verdier, 1931, p. 92
    21. cf. pilatinsolite.com
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