Saint-Jean-de-Côle

Saint-Jean-de-Côle est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Jean.

Saint-Jean-de-Côle

Le village de Saint-Jean-de-Côle.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Périgord-Limousin
Maire
Mandat
Francis Sedan
2020-2026
Code postal 24800
Code commune 24425
Démographie
Population
municipale
365 hab. (2018 )
Densité 29 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 25′ 19″ nord, 0° 50′ 21″ est
Altitude Min. 135 m
Max. 252 m
Superficie 12,70 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Thiviers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thiviers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Jean-de-Côle
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Saint-Jean-de-Côle
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Jean-de-Côle
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Jean-de-Côle
Liens
Site web ville-saint-jean-de-cole.fr

    Elle fait partie de l'association « Les Plus Beaux Villages de France ».

    Géographie

    Généralités

    Le village de Saint-Jean-de-Côle s'est développé au carrefour des routes menant de Thiviers à Nontron (route départementale 707, ancienne RN 707) et celle venant de Brantôme (RD 78). Le site permettait de traverser facilement la Côle.

    La commune est membre de l'association « Les Plus Beaux Villages de France ».

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Jean-de-Côle et des communes avoisinantes.

    Saint-Jean-de-Côle est limitrophe de six autres communes, dont Thiviers au sud-est par un quadripoint.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,4 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 961 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Coquille », sur la commune de La Coquille, mise en service en 1982[7] et qui se trouve à 17 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 199 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 57 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 11,4 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Jean-de-Côle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Thiviers, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (49,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (53,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,4 %), zones agricoles hétérogènes (24,2 %), prairies (20,3 %), mines, décharges et chantiers (6,1 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    La commune tire son nom de saint Jean-Baptiste et de la Côle, la rivière qui l'arrose[20].

    En occitan, la commune porte le nom de Sent Joan de Còla[21].

    Histoire

    L'histoire de Saint Jean de Côle se confond avec celle du prieuré construit au XIe siècle et celle du château de la Marthonie, qui fut édifié à la suite, en 1083, par Raynaud de Thiviers, évêque de Périgueux, sur les bords de la Côle, au carrefour des voies menant de Nontron à Thiviers ou à Brantôme. Construit en premier, protégé un peu plus tard par le château de la Marthonie, le prieuré abritait initialement seize chanoines réguliers suivant la règle de saint Augustin. Il rayonna rapidement sur toute la région et moins d'un siècle après sa création, ses possessions s'étendent jusqu'à Limoges et Périgueux, tandis qu'un village prospère naît et se développe autour du prieuré.

    Au XIIIe siècle, Saint-Jean de Côle était l'une des vingt-sept paroisses dépendant de l'archiprêtré de Condat dont le siège se situait à Champagnac[22].

    En 1394, les Anglais ravagent et incendient le château, ainsi que le prieuré, dont les terres sont dévastées et les chanoines dispersés. Fortifiant le village pour se préserver des attaques, les Anglais s'installent jusqu'en 1404. En 1436, le Pape Eugène IV encourage la reconstruction du prieuré, mais un siècle plus tard, durant les guerres de religion, de nombreuses troupes de passage dévastent à nouveau le village et les protestants dispersent les biens des religieux. En 1669, l'évêque de Périgueux exige la réalisation des travaux de réparation et contraint les religieux à adopter la règle des Génovéfains.

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Saint Jean de Colle.

    À la Révolution, les chanoines disparaissent ; les bâtiments sont vendus, les livres et les manuscrits sont brûlés. Le village de Saint-Jean-de-Côle connut une nouvelle prospérité au cours du XIXe siècle, avec la construction puis la mise en service de la voie ferrée Angoulême - Brive, qui passait par Nontron, Saint-Jean-de-Côle et Thiviers. La commune compta alors jusqu'à 800 habitants.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    La commune de Saint-Jean-de-Côle est rattachée, dès 1790, au canton de Thiviers qui dépendait du district d'Excideuil. En 1800, les districts sont supprimés. Le canton est alors rattaché à l'arrondissement de Nontron[23].

    Intercommunalité

    Au , Saint-Jean-de-Côle intègre dès sa création la communauté de communes du Pays thibérien. Au , celle-ci est dissoute et ses communes  hormis Sorges et Ligueux en Périgord  rejoignent la communauté de communes des Marches du Périg'Or Limousin Thiviers-Jumilhac[24] qui, en prend le nom de communauté de communes Périgord-Limousin[25].

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[26],[27].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    décembre 1876 1880 François Cros-Desperrières    
    1880 janvier 1881 Élie Boniface   Adjoint faisant fonctions de maire
    janvier 1881  ? Jean Négrier    
    mai 1884 mai 1888 Alfred Rey    
    mai 1888 septembre 1888 Jean Prince    
    septembre 1888 mai 1892 Alfred Rey    
    mai 1892 mai 1896 Jean Négrier    
    mai 1896 avril 1902 Louis de Falvelly[Note 6]    
    juillet 1902 mai 1908 Humbert de Falvelly    
    mai 1908 avril 1915 Jean Rey[Note 7]   Conseiller général
    1915 décembre 1919 Bertrand Lapeyronnie   Adjoint faisant fonctions de maire
    décembre 1919 mai 1935 Humbert de Falvelly    
    mai 1935 (1942 ou 1943) Joseph Lassine    
    (1942 ou 1943) 1943 Aubin Rebière    
    1943 mai 1945 Pierre Meynard    
    mai 1945 mars 1971 Charles Jardry    
    mars 1971 mars 2008 Pierre de Beaumont   Exploitant agricole
    mars 2008[28]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Francis Sedan SE[29] Artisan électricien retraité

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Jean-de-Côle relève[30] :

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2020, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[31].

    Population et société

    Démographie

    Les habitants de Saint-Jean-de-Côle sont appelés les Jean-Colois.

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

    En 2018, la commune comptait 365 habitants[Note 8], en augmentation de 0,27 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    825887738810894922902885970
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9329399598798948641 107824751
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    794815722613603518505479419
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    381318318343339326335351368
    2018 - - - - - - - -
    365--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[34].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Chaque année depuis 1982[35], début mai, pendant tout un week-end, de nombreuses personnes se rendent aux Floralies de Saint-Jean-de-Côle (38e édition en 2019 sur le thème des quatre éléments[36]), soit pour acquérir les plantes qui embelliront balcons, terrasses ou jardins, soit pour apprécier le village dans un cadre différent, haut en couleur.

    Économie

    Carrière d'extraction de quartz à Saint-Jean-de-Côle.

    Emploi

    En 2015[37], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 149 personnes, soit 40,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-trois) a augmenté par rapport à 2010 (quinze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 15,4 %.

    Établissements

    Au , la commune compte trente-six établissements[38], dont vingt-quatre au niveau des commerces, transports ou services, quatre dans la construction, quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, et deux dans l'industrie[39].

    Entreprises

    L'entreprise Imerys extrait du quartz d'une carrière sur le territoire de la commune.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel

    Au nord-est, en amont de l'ancienne voie de chemin de fer désaffectée, les vallées de la Côle et de son affluent la Queue d'âne forment une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 1[42],[43].

    L'ensemble du village de Saint-Jean-de-Côle est constitué de deux sites inscrits[44],[45],[46].

    Personnalités liées à la commune


    Voir aussi

    Bibliographie

    • Pierre-Henri Ribault de Laugardière, Essais topographiques, historiques et biographiques sur l'arrondissement de Nontron - Commune de Saint-Jean de-Côle, dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1878, tome 5, p. 420-432 (lire en ligne)
    • R. P. Paulin, Histoire de Saint-Jean-de-Côle (en Périgord), depuis la fondation de l'église jusqu'à nos jours, Seguin Frères imprimeurs-éditeurs, Avignon, 1881 (lire en ligne)
    • Grillon, Lavergne et Secret, Saint-Jean-de-Côle, village médiéval en Périgord Vert, 1981

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Décédé en fonctions.
    7. Décédé en fonctions ; mort pour la France.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France La Coquille - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Saint-Jean-de-Côle et La Coquille », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France La Coquille - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Saint-Jean-de-Côle et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 329-330.
    21. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 27 mars 2014.
    22. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article « Champagnac-de-Belair », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 13 décembre 2018.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. [PDF] « Arrêté no 2016/095 portant modification des statuts de la communauté de communes du Pays de Jumilhac-le-Grand », Préfecture de la Dordogne, 14 décembre 2016, p. 165-169.
    25. [PDF] « Arrêté no 24-2017-10-23-002 portant modification des statuts de la communauté de communes des Marches du PériG'or Limousin, Thiviers-Jumilhac », Préfecture de la Dordogne, octobre 2017, p. 170-172.
    26. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 11 septembre 2020.
    27. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 18 novembre 2020.
    28. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 28 août 2014.
    29. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 28.
    30. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    31. Site des villes et villages fleuris, consulté le 16 décembre 2020.
    32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    35. Pierre-Manuel Réault, « Des fleurs en folie », Sud Ouest édition Dordogne, 6 mai 2011.
    36. « Les immanquables floralies », Sud Ouest édition Dordogne, 9 mai 2019, p. 20.
    37. Dossier complet - Commune de Saint-Jean-de-Côle (24425) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 8 janvier 2019.
    38. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    39. Dossier complet - Commune de Saint-Jean-de-Côle (24425) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 8 janvier 2019.
    40. Évelyne Proust, L'église de Saint-Jean-de-Côle, pp. 293-301, dans Congrès archéologique de France. 156e session. Monuments en Périgord. 1999 - Société Française d'Archéologie - Paris - 1999
    41. Les rues sur le site de Saint-Jean-de-Côle
    42. [PDF] « DIREN Aquitaine - Réseau hydrographique du Côle en amont de Saint-Jean-de-Côle »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?). Consulté le 9 avril 2010.
    43. « Carte de la ZNIEFF 27100000 sur le site de la DIREN Aquitaine »(ArchiveWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?). Consulté le 9 avril 2010.
    44. [PDF] DIREN Aquitaine - Partie du village, bords de la Côle, et terrains. Consulté le 9 avril 2010.
    45. [PDF] DIREN Aquitaine - Quartiers. Consulté le 9 avril 2010.
    46. Carte du village de Saint-Jean-de-Côle sur le site de la DIREN Aquitaine. Consulté le 9 avril 2010.
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