Saint-Gervais-sur-Mare
Saint-Gervais-sur-Mare est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Saint-Gervais.
Saint-Gervais-sur-Mare | |||||
Vue depuis le clocher de Neyran | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Hérault | ||||
Arrondissement | Béziers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Grand Orb | ||||
Maire Mandat |
Jean-Luc Falip 2020-2026 |
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Code postal | 34610 | ||||
Code commune | 34260 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
862 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 35 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 39′ 10″ nord, 3° 02′ 27″ est | ||||
Altitude | Min. 280 m Max. 940 m |
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Superficie | 24,29 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Bédarieux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Clermont-l'Hérault | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Hérault
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | stgervaissurmare.free.fr | ||||
Géographie
Localisation
La commune est située dans les Hauts cantons de l'Hérault, entre les communes de Castanet-le-Haut et Graissessac.
Elle est intégrée au sein du parc naturel régional du Haut-Languedoc.
Hameaux
- Mècle
- Rongas
- Castanet le Bas
- Les Nières
- Le Buis
Hydrographie
La commune est traversée par la Mare et par le ruisseau du Casselouvre qui se jette dans la Mare. En 1760, le Casselouvre en crue a détruit une des deux études de notaire du village (étude Portalon), emportant toutes les archives. Les inondations de ont provoqué de gros dégâts dans le village, la route D 922 a été emportée.
Communes limitrophes
Voies de communication et transports
La commune est accessible en arrivant de Castanet-le-Haut à l'Ouest et Saint-Étienne-Estréchoux à l'Est par la D922, et Hérépian au Sud par la D180 en passant par le col des Treize Vents. Une ligne de bus dessert la commune, en partance de Bédarieux ou de Andabre[1].
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[2].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Les Aires », sur la commune des Aires, mise en service en 1995[7]et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 128,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Millau », sur la commune de Millau, dans le département de l'Aveyron, mise en service en 1964 et à 50 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 10,9 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].
Espaces protégés
La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].
Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[16]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[17],[18].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : les « crêtes du Mont Marcou et des Monts de Mare »[20], d'une superficie de 1 481 ha, abritant quatre espèces de chauves-souris d'intérêt communautaire (Rhinolophus ferrumequinum, R. hipposideros , Miniopterus schreibersi), et plus particulièrement le Minioptère de Schreibers[21].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[22] : les « crêtes du Mont Cabane au Mont Marcou » (484 ha), couvrant 4 communes dont une dans l'Aveyron et trois dans l'Hérault[23] et la « rivière de la mare et ruisseau de Bédès » (20 ha)[24] et deux ZNIEFF de type 2[Note 5],[22] :
Urbanisme
Typologie
Saint-Gervais-sur-Mare est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[27],[28],[29].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bédarieux, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[30],[31].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (89 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (74,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (10,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (6,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,5 %), zones urbanisées (2,4 %), prairies (1,7 %)[32].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
La partie la plus ancienne du village de Saint-Gervais est construite au pied d'un château et le long d'un cours d'eau; le casselouvre. Une urbanisation cohérente s'est poursuivie sur la rive opposée mais sans atteindre les rives de la Mare, les rues y sont plus larges que la partie ancienne du village.
Logement
En 2012 le nombre total de logement dans la commune est de 720, soit 62 de plus qu'en 2009. Parmi eux 8 % sont vacants, 49,7 % sont des résidences principales, 42,4 % sont des résidences secondaires. Ces logements étaient pour 79,6 % des maisons individuelles, et pour 16,7 % des appartements[a 1]. La proportion des résidences principales appartenant à leur occupant était de 65,5%[a 2].
Histoire
La commune a été connue sous les variantes : ecclesia S Gervasii (966), de S. Gervasio (1204, 1404), Sainct Gervys (1579), etc[33]. Le nom de la communauté sous l'Ancien régime était Saint-Gervais-Ville pour la différencier de celle de Saint-Gervais-Terre (ou Saint-Gervais-Terre-Foraine) qui est devenue après redécoupage la commune de Rosis.
Saint-Gervais-sur-Mare appartenait au diocèse de Castres (sauf pour les hamaux des Nières et de Castanet qui dépendaient du diocèse de Béziers) et à la sénéchaussée de Béziers. La commune était rattachée au Tarn, district de Lacaune lors de la création des départements. En vertu de la loi du 3 brumaire an X (1801) qui échangeait les cantons d'Anglès et de Saint-Gervais, la commune a été rattachée à l'Hérault[34]..
Au cours de la Révolution française, la commune porte provisoirement le nom de Mont-Taillis[35].
La commune a pris son nom actuel par le décret du [36].
En 2014, le canton de Saint-Gervais-sur-Mare a disparu. La commune a été rattachée au canton de Clermont-l'Hérault.
Héraldique
Blason | D'or à un trident renversé d'azur, la partie supérieure du manche potencée, accompagné de trois pattes de lion de gueules celles du chef affrontées. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Administration municipale
Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 500 et 1 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 15[37].
Liste des maires
Instances judiciaires et administratives
Saint-Gervais-sur-Mare relève du tribunal d'instance de Béziers, du tribunal de grande instance de Béziers, de la cour d'appel de Montpellier, du tribunal pour enfants de Béziers, du conseil de prud'hommes de Béziers, du tribunal de commerce de Béziers, du tribunal administratif de Montpellier et de la cour administrative d'appel de Marseille[38].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].
En 2018, la commune comptait 862 habitants[Note 8], en diminution de 0,46 % par rapport à 2013 (Hérault : +6,12 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
Saint-Gervais-sur-Mare dépend de l'académie de Montpellier. Elle administre une école maternelle et une école élémentaire communales regroupant 57 élèves en 2015-2016, et un collège public[43].
Santé
La commune compte une maison de retraite ainsi qu'un parcours de santé; L'ancienne ligne de chemin de fer latour-plaisance.
Sports
Des associations proposent des activités sportives. Les abrupts proches dits "falaises d'Olques" ou " falaises d'Orques" permettent la pratique de l'escalade.
Cultes
Le territoire de la commune dépend de la paroisse catholique Notre-Dame des Lumières au sein du secteur missionnaire « Béziers -Biterrois » de l'archidiocèse de Montpellier[44].
Économie
Revenus de la population et fiscalité
La médiane du revenu disponible par unité de consommation en 2012 est de 16 105€[a 3].
Emploi
La population active ayant un emploi était de 55,6 % en 2012 contre 61,4 % en 2007. Le taux de chômage était de 11,3 % en 2012 contre 12,6 % en 2007[a 4].
Le nombre d'emplois dans la zone était de 271 en 2012 contre 214 en 2007, les actifs ayant un emploi résidant dans la zone étaient de 266 en 2012 contre 246 en 2007. En 2012 l'indicateur de concentration d'emploi était de 102,0; ce qui signifie que la zone d'emploi offre plus d'emplois qu'il n'y a d'actifs[a 5].
Les actifs travaillant dans la commune de résidence représentent 49,8 % de l'ensemble des actifs de la commune[a 6].
En 2013 l'ensemble des secteurs d'activités (sauf l'Administration publique, l'enseignement, la santé, et l'action sociale) emploient entre 1 et 9 salariés[a 7].
Entreprises et commerces
Au le nombre d'établissements actifs par secteur d'activité était de 70; 3 en agriculture, sylviculture et pêche, 3 dans l'industrie, 12 dans la construction, 38 dans le commerce, les transports, et services divers dont 12 en commerce et réparation automobile, et 14 dans l'Administration publique, l'enseignement, la santé, et l'action sociale[a 8].
En 2014 l'ensemble de créations d'établissements (activités marchandes hors agriculture) s'élève à 4; dont 1 dans la construction et 3 dans le commerce, les transports, et services divers[a 9].
Lieux et monuments
- Plusieurs mégalithes attestent de la présence d'hommes préhistoriques sur la commune, comme le menhir de la Pierre Plantée à côté du col éponyme. Il est gravé de croix et de cupules, comme plusieurs autres. On trouve aussi des pédiformes....
- Église paroissiale Saint-Gervais-et-Saint-Protais
- Chapelle des Pénitents Blancs (retable du XVIIe siècle)
- Chapelle Notre-Dame-de-Lorette
- Chapelle Saint-Barthélemy
- Site de Neyran (XIe-XXe siècles)
- Ancienne fonderie de cloches Granier sur le hameau de Castanet-le-Bas, aujourd'hui transférée à Hérépian.
- Église paroissiale Saint-Gervais-et-Saint-Protais. On aperçoit le clocher de Neyran au loin.
- Faubourg de Castres : carte postale (1910).
Personnalités liées à la commune
- Jacques Roergas de Serviez (1679-1727), historien
- Emmanuel de Serviez (1755-1804), général et homme politique
Voir aussi
Bibliographie
- Gérard Alzieu, « Les paroisses de la haute vallée de la Mare sous l'Ancien régime », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 22, , p. 37-43
- Albert Cayssac, « Saint-Gervais-Sur-Mare », Revue historique du diocèse de Montpellier, 1909-191, p. 291-295
- André Favard, « La dernière demeure de Tristan Guilhem II à Saint-Gervais », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 31, , p. 73-78
- Audrey Lafourcade, Neyran : un site médiéval à Saint-Gervais-sur-Mare (Hérault), S.l., s.n., , 105 p.
- Marie Pintre, « Embellissements des chœurs d'églises du Languedoc du XVIIIe au début du XIXe siècle : cas de la cathédrale de Béziers et de l'église de Saint-Gervais-sur-Mare », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 37, , p. 139-146
- Claudine Sabatier, « La population de la commune de Saint-Gervais-sur-Mare de l'an V à nos jours », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 6, , p. 121-132
- Michel Scanzi et André Favard, « Les particularités des stèles discoïdales de la vallée de la Mare (Hérault) », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 35, , p. 79-92
- André Signoles, « Le décor lombard de l'ancienne église Saint-Pierre-de-Neyran à Saint-Gervais-sur-Mare », Bulletin de la Société archéologique et historique des hauts cantons de l'Hérault, no 6, , p. 70-83
Fonds d'archives
- Fonds : Archives communales de Saint-Gervais-sur-Mare (1629-1837) [1,2 ml]. Cote : 260 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Article connexe
Liens externes
- Site officiel de la commune
- Saint-Gervais-sur-Mare sur le site de l'Institut géographique national
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Notes
Références
- LOG T2 - Catégories et types de logements.
- LOG T7 - Résidences principales selon le statut d'occupation.
- REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2012.
- EMP T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
- EMP T5 - Emploi et activité.
- ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
- CEN T2 - Postes salariés par secteur d'activité au 31 décembre 2013.
- CEN T1 - Établissements actifs par secteur d'activité au 31 décembre 2013.
- DEN T4 - Créations d'établissements par secteur d'activité en 2014.
- Portail des communes de France
- Portail de l’Hérault
- http://www.herault-transport.fr/fiche_horaire/486.pdf.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
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- « ZNIEFF les « crêtes du Mont Marcou et des Monts de mare » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol, Les noms de lieux du département de l'Hérault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 327
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- J.O. 1958 no 240,p. 9328
- art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
- « Liste des juridictions compétentes pour une commune », sur le site du ministère de la Justice et ds libertés (consulté le ).
- « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures », sur le site du ministère des Affaires étrangères (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Hérault (34) > Saint-Gervais-sur-Mare > École », sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- « Paroisse Notre-Dame des lumières », sur le site de l'archidiocèse de Montpellier (consulté le )