Saint-Avit-Rivière

Saint-Avit-Rivière est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pour les articles homonymes, voir Saint-Avit et Rivière (homonymie).

Saint-Avit-Rivière

Le petit bourg de Saint-Avit-Rivière.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire
Mandat
Isabelle Mucha
2020-2026
Code postal 24540
Code commune 24378
Démographie
Population
municipale
80 hab. (2018 )
Densité 5,7 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 45′ 07″ nord, 0° 52′ 59″ est
Altitude Min. 101 m
Max. 251 m
Superficie 14,00 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lalinde
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Saint-Avit-Rivière
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Saint-Avit-Rivière
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Avit-Rivière
Géolocalisation sur la carte : France
Saint-Avit-Rivière

    Géographie

    Généralités

    La vallée de la Couze à Saint-Avit-Rivière, en aval de la route départementale 2.

    Dans le quart sud-est du département de la Dordogne, la commune de Saint-Avit-Rivière est située dans la partie orientale du Bergeracois. Elle est arrosée au nord ainsi qu'au nord-est par la Couze qui sert de limite territoriale sur plus de trois kilomètres en quatre tronçons.

    L'altitude minimale, 101 mètres, se trouve localisée à l'extrême nord-ouest, là où la Couze quitte la commune et entre sur celle de Montferrand-du-Périgord. L'altitude maximale avec 251 mètres est située à l'extrême sud-est, près du lieu-dit le Moulin Vent, en limite de la commune de Saint-Pardoux-et-Vielvic. Au niveau géologique, le sol se compose principalement[1] de sables, d'argiles ou de graviers éocènes, ainsi que de calcaires crétacés en vallées de la Couze et du Saint-Avit, petit affluent de la Couze passant à côté du bourg.

    Traversé par la route départementale 2, le petit bourg de Saint-Avit-Rivière est situé 300 mètres au sud de la Couze et, en distances orthodromiques, quinze kilomètres au sud-est de Lalinde et dix-neuf kilomètres au sud du Bugue.

    Entre Montferrand-du-Périgord et Bouillac, le GR 36 traverse la commune du nord-ouest au nord-est sur deux kilomètres et demi, passant 150 mètres au nord du bourg.

    Communes limitrophes

    Carte de Saint-Avit-Rivière et des communes avoisinantes en 2015, avant la création de la commune nouvelle de Pays de Belvès.

    Saint-Avit-Rivière est limitrophe de six autres communes. Deux autres communes sont relativement proches du territoire communal : au sud, Marsalès est distante de 500 mètres et au nord-ouest Saint-Avit-Sénieur est éloignée de 700 mètres.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 902 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de Belvès, mise en service en 1988[8] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 895,6 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 33 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Saint-Avit-Rivière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (79,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (79,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (77,3 %), prairies (13,5 %), zones agricoles hétérogènes (7,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,9 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre le petit bourg de Saint-Avit-Rivière proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[21] :

    • Bois de Campagnac
    • Bois Hauts
    • Borie
    • Brouillol
    • Broumet
    • Campeymac
    • Cap du Terme
    • le Château de la Mouthe
    • le Couderc
    • Coudougnol
    • Cros de Salès
    • les Croses
    • les Daurelles
    • Font de l'Âne
    • la Font du Bousquet
    • Fontroubade
    • la Forêt
    • les Galages
    • les Garrigues
    • les Goussalandies
    • les Granges
    • le Lac de la Nauze
    • Lamartinie
    • Léone Basse
    • Léone Haute
    • Marié
    • le Moulin de Borie
    • la Mouthe
    • les Ombradoux
    • Peillou
    • le Pessou
    • les Peyrades
    • Plane
    • Queille
    • Rotonniel
    • Tage
    • Taillefer
    • Terme d'Astor
    • la Vigne de Saintou.

    Toponymie

    La première mention écrite connue du lieu date de l'an 1199 sous la forme Domus de Riparia correspondant à une maison religieuse dépendant de l'abbaye de Cadouin[22], située sur la rive (riparia) d'un cours d'eau[23].

    En 1556 apparaît le nom de Sanctus Avitus de Ripia[22],ripia est une déformation de riparia[23].

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Saint Avit de Riviere[24].

    Le nom de la commune fait référence à un ermite, Avit ou Avitus, ancien soldat des armées d'Alaric II qui, fait prisonnier, devint moine après sa libération et mourut en l'an 518[25]. La seconde partie du nom de la commune correspond à l'occitan ribièra, dérivé de riparia relatif à un cours d'eau et à sa rive[23].

    En occitan, la commune porte le nom de Sench Avit de Ribièra[26].

    Histoire

    Au XIVe siècle, la paroisse de Saint Avit dépendait de la châtellenie de Montferrand[27], ainsi que de l'archiprêtré de Capdrot rattaché à l'évêché de Sarlat[28].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    Dès 1790, la commune de Saint-Avit-Rivière a été rattachée au canton de Montferrand qui dépendait du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Cadouin dépendant de l'arrondissement de Bergerac[29]. En 1830, la commune rejoint le canton de Monpazier, dans le même arrondissement[29].

    Par décret du , le nombre de cantons du département est divisé par deux, avec mise en application aux élections départementales de . Le canton de Monpazier est supprimé à cette occasion. Ses treize communes sont alors rattachées au canton de Lalinde[30], dépendant également de l'arrondissement de Bergerac.

    Pour les élections législatives, la commune vote depuis 1988 pour la deuxième circonscription de la Dordogne.

    Intercommunalité

    Fin 1994, Saint-Avit-Rivière intègre dès sa création la communauté de communes du Monpaziérois. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune étant inférieure à 100 habitants au recensement de 2017, sept conseillers municipaux ont été élus en 2020[31],[32].

    Liste des maires

    La mairie en 2020.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    1978 mars 2014 Fernand Barriat SE[33] Retraité
    mars 2014 mai 2020 Gabriel Marty MoDem Retraité
    mai 2020 En cours Isabelle Mucha    

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Saint-Avit-Rivière relève[34] :

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

    En 2018, la commune comptait 80 habitants[Note 5], en augmentation de 5,26 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    442418420412497450437532467
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    480418413378365371362338340
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    295278244200196195168152121
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    11710269717873857877
    2018 - - - - - - - -
    80--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[38], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent trente-cinq personnes, soit 45,5 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (neuf) a augmenté par rapport à 2010 (six) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 25,7 %.

    Établissements

    Au , la commune compte quatorze établissements[39], dont six au niveau des commerces, transports ou services, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, un dans la construction, et un relatif au secteur administratif[40].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Patrimoine naturel

    Le GR 36 au nord-est du bourg.

    Partagée avec les communes de Bouillac et Le Buisson-de-Cadouin, la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II de la « forêt de la Bessède » s'étend sur plus de 7 500 hectares[44],[45], dont une infime partie de moins de trois hectares concerne le territoire de Saint-Avit-Rivière, au nord du lieu-dit Terme d'Astor.

    Cette ZNIEFF héberge onze espèces d'oiseaux protégées sur le territoire national[44],[46] : le Busard cendré (Circus pygargus), le Busard Saint-Martin (Circus cyaneus), la Bondrée apivore (Pernis apivorus), la Buse variable (Buteo buteo), la Chouette effraie (Tyto alba), la Chouette hulotte (Strix aluco), l'Engoulevent d'Europe (Caprimulgus europaeus), le Faucon hobereau (Falco subbuteo), la Fauvette pitchou (Sylvia undata), la Linotte mélodieuse (Carduelis cannabina) et la Locustelle tachetée (Locustella naevia).

    Au niveau de sa flore, deux espèces de plantes sont également protégées au niveau national : la Droséra à feuilles rondes (Drosera rotundifolia) et la Laîche fausse (Carex pseudobrizoides), cette dernière étant considérée comme espèce déterminante[44].

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Élisée Cérou, La commune de Saint-Avit-Rivière (canton de Monpazier), dans Les Cahiers du Groupe archéologique de Monpazier, no 7, 1994 (lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 19.
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Belves - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Saint-Avit-Rivière et Pays de Belvès », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Belves - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Saint-Avit-Rivière et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. « Saint-Avit-Rivière » sur Géoportail (consulté le 14 septembre 2020)..
    22. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (L-Z), article « SAINT-AVIT-RIVIÈRE », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 15 septembre 2020.
    23. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 304-305.
    24. « St Avit de Riviere » sur Géoportail (consulté le 14 septembre 2020)..
    25. Saint Avit - Soldat dans les armées d'Alaric (✝ 518), Nominis, consulté le 15 septembre 2020.
    26. Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 14 septembre 2020.
    27. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (L-Z), article « MONTFERRAND », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 15 septembre 2020.
    28. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article « CAPDROT », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 15 septembre 2020.
    29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    30. Décret no 2014-218 du portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne, consulté le 14 septembre 2020.
    31. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 9 septembre 2020.
    32. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 11 novembre 2020.
    33. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 14.
    34. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. Dossier complet - Commune de Saint-Avit-Rivière (24378) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 20 décembre 2018.
    39. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
    40. Dossier complet - Commune de Saint-Avit-Rivière (24378) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 20 décembre 2018.
    41. Jean-Pierre Verdon - Les églises romanes du Monpaziérois - p. 44-46 - Groupe archéologique de Monpazier - (ISSN 0767-9475).
    42. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 189.
    43. « Église Saint-Avit », notice no PA00082808, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 14 septembre 2020.
    44. [PDF] Forêt de la Bessède, INPN, p. 2 et 18, consulté le 16 septembre 2020.
    45. Carte de localisation de la ZNIEFF 720000930, INPN, consulté le 16 septembre 2020. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux limites communales, cliquer à droite sur « Fonds de cartes », déplacer le curseur « Fond Cartographique » complètement sur la droite et barrer le curseur « Orthophotos ».
    46. Arrêté du fixant la liste des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire et les modalités de leur protection, consulté le 16 septembre 2020.
    • Portail de la Dordogne
    • Portail des communes de France
    Cet article est issu de Wikipedia. Le texte est sous licence Creative Commons - Attribution - Partage dans les Mêmes. Des conditions supplémentaires peuvent s'appliquer aux fichiers multimédias.