Saint-André-de-Double
Saint-André-de-Double est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Pour les articles homonymes, voir Saint-André.
Saint-André-de-Double | |||||
![]() L'église de Saint-André-de-Double. | |||||
Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Périgueux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Périgord Ribéracois | ||||
Maire Mandat |
Pierre Guigné 2020-2026 |
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Code postal | 24190 | ||||
Code commune | 24367 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
177 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 6,4 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 08′ 48″ nord, 0° 19′ 08″ est | ||||
Altitude | Min. 73 m Max. 144 m |
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Superficie | 27,61 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Ribérac | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | saintandrededouble.net | ||||
Géographie
Généralités
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Dans l'ouest du département de la Dordogne, au cœur de la forêt de la Double, la commune de Saint-André-de-Double s'étend sur 27,61 km2. Elle est arrosée par le Grolet qui y prend sa source et bordée au nord par la Rizonne sur environ cinq kilomètres.
L'altitude minimale, 73 mètres, se trouve à l'extrême sud, là où le Grolet quitte la commune et sert de limite entre celles de Saint-Étienne-de-Puycorbier et Saint-Michel-de-Double. L'altitude maximale avec 144 mètres est localisée à l'extrême est, au lieu-dit les Sonneries, en limite de la commune de Saint-Vincent-de-Connezac. Au niveau géologique, le sol se compose principalement de sables, argiles et graviers oligocènes et éocènes[1].
Onze kilomètres au sud de Ribérac et treize kilomètres au nord-nord-ouest de Mussidan, le bourg de Saint-André-de-Double est situé à proximité de la route départementale (RD) 13.
Le territoire communal, parsemé de plans d'eau, est également desservi par les RD 41 et 44.
Communes limitrophes

Saint-André-de-Double est limitrophe de sept autres communes, dont Échourgnac à l'ouest par un quadripoint. À l'est, son territoire est distant d'environ 130 mètres de celui de Saint-Jean-d'Ataux.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Martin Rib. », sur la commune de Saint-Martin-de-Ribérac, mise en service en 1993[8] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 914,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 35 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,1 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Saint-André-de-Double est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (67,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (71,3 %), zones agricoles hétérogènes (24,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,9 %), terres arables (1,3 %), prairies (1,1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
La première mention écrite connue du lieu est relevée dans un pouillé du XIIIe siècle[21], sous la forme latine Sanctus Andreas[22].
Le nom de la commune se réfère à l'apôtre André[23]. La seconde partie du nom, probablement ajoutéE au XVIIIe siècle, tient à sa situation en forêt de la Double[22].
En occitan, la commune porte le nom de Sent Andriu de Dobla[24].
Histoire
Du Moyen Âge aux Temps modernes
Au XIIe siècle, l'église de style roman est construite sur une butte, en pierres de grès roux (grisou) en les prenant dans une carrière située à côté de l'étang de La Jemaye. La paroisse de Saint-André-de-Double appartient à l'archiprêtré de Vanxains jusqu'à la Révolution française. Au XIVe siècle, le style gothique atteint la Double : la façade avec l'arc brisé et le clocher sont construits. Par la suite au XVIe siècle, une deuxième travée s'ajoute à la nef[25].
La Double appartenait au milieu du XIIIe siècle à la vicomté de Limoges. En 1610, la Double est érigée en vicomté. Elle passe ensuite dans le territoire du comté du Périgord[26]. Elle est ensuite rattachée à la vicomté de Légé[27].
La période contemporaine

Le bourg se situe dans une ancienne zone marécageuse assainie au XIXe siècle[22].
Le , les Allemands de la « Division Brehmer » prennent position à Ribérac et Mussidan. Ils sillonnent la forêt de la Double orientale et déclenchent des incendies pour débusquer les maquisards[28]. À Saint-André-de-Double, au village des Lameaux, ils découvrent deux véhicules utilisés par la Résistance dont un avec des armes, et y arrêtent un homme qui est fusillé le lendemain à Brantôme. Ils incendient plusieurs maisons ou bâtiments sur la commune et tuent un républicain espagnol au lieu-dit le Grand Déblai[28].
Politique et administration
Rattachements administratifs
Dès 1790, la commune de Saint-André-de-Double a été rattachée au canton de Saint Vincent qui dépendait du district de Ribérac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Neuvic dépendant de l'arrondissement de Ribérac jusqu'en 1926 puis de l'arrondissement de Périgueux[29].
Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[30]. La commune est alors rattachée au canton de Ribérac, dont le bureau centralisateur est fixé à Ribérac.
Intercommunalité
Fin 1998, Saint-André-de-Double intègre dès sa création la communauté de communes du Ribéracois. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Pays Ribéracois, renommée en 2019 communauté de communes du Périgord Ribéracois.
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[31],[32].
Liste des maires

Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Saint-André-de-Double relève[36] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Périgueux ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].
En 2018, la commune comptait 177 habitants[Note 5], en augmentation de 8,59 % par rapport à 2013 (Dordogne : −0,84 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Enseignement
En 2019, la commune n'a pas d'école. Saint-André-de-Double est organisée en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec les communes de Saint-Jean-d'Ataux et Saint-Vincent-de-Connezac[40] au niveau des classes de primaire.
Manifestations culturelles et festivités
Fête de l'épouvantail en juillet (4e édition en 2015)[41].
Économie
La production agricole
Au XVe siècle, l'élevage de cochon est présent dans la forêt de la Double, celui-ci se nourrissant de glands de la forêt de chênes. Au XVIIe siècle, les documents indiquent l'élevage de volailles, de cochons et de moutons. Les agriculteurs cultivent un peu de froment, mais surtout du seigle et du maïs, appelé « blé d'Espagne », car ramené par les Espagnols après l'exploration de l'Amérique. Il existe des arbres fruitiers et la culture de la vigne est pratiquée. Deux cultures sont introduites au XVIIIe siècle : la première plante va avoir du succès, il s'agit de la pomme de terre diffusée par Henri Bertin. La pomme de terre sert à l'origine à nourrir les cochons, mais remplace le blé en cas de famine, d'où son nom de « pain des pauvres ». La seconde, la sériciculture, ou culture du ver à soie, est un échec[42].
La production agricole en 1789
Les cahiers de doléances de 1789 sont une source pour étudier la situation de l'agriculture : les cochons sont nourris de pommes de terre car les glands manquent avec les coupes de chênes. La culture du seigle est la plus importante (3 600 boisseaux), le maïs (600 boisseaux), le millet (300 boisseaux), les légumes, comme la rave, la fève, la gesse et la châtaigne. Le cahier de doléances de Saint-André-de-Double ne mentionne pas la vigne (le raisin est récolté tous les cinq ans), la pomme de terre (alimentation des cochons et non des hommes) et les poissons des étangs : la carpe, le brochet et l'anguille[43]. Le cahier de doléances évoque du « bétail de médiocre valeur », on peut penser qu'il s'agit de bœufs ou de moutons, comme le montre l'inventaire du château de Légé en 1789[27].
Les intempéries au XVIIIe siècle dans la Double
Dans une société rurale et agricole, les intempéries sont une catastrophe. J.-C. Fallacher[44] recense les catastrophes naturelles de la Double au XVIIIe siècle qu'il faut mettre dans le contexte climatique du Petit Âge glaciaire :
- hiver 1790 : les vignes, les arbres fruitiers et les châtaigniers gèlent ;
- : une tornade (température chaude, vent violent, orage) ravage la Double : des arbres sont arrachés ; des cheminées sont détruites ; les vitres des maisons et les vitraux de l'église sont détérioriés ;
- : la grêle tombe à quatre heures du matin pendant trente minutes avec des grêlons « assez gros » ;
- - : de nombreuses tornades, vent, grêle, pluie intense, inondations. Les récoltes sont catastrophiques ;
- : un des hivers les plus rigoureux ;
- : des pluies continuelles tombent sur la Double. Il y a de nombreuses inondations ;
- : des orages de grêle détruisent les récoltes et celle des châtaignes est mauvaise.
La Double, pays de chasse
La chasse est avant tout un moyen de protéger les récoltes des ravages des animaux, de se procurer de la viande fraîche, de chasser les animaux nuisibles tout en étant également un loisir.
On chasse traditionnellement les loups qui s'attaquent au bétail et les sangliers qui détruisent les récoltes. Au XIXe siècle, selon un document de M. de Fayolle, on chasse le chevreuil, le sanglier, le loup, le renard, le lièvre, le putois, la fouine, le blaireau, la belette et la loutre. Le cerf est beaucoup plus rare, mais des spécimens auraient été chassés en 1580, 1670 et 1913.
Les oiseaux sont également chassés, comme la bécasse, la palombe, la caille, le canard, la perdrix rouge. Le faisan aurait été importé au début du XXe siècle et élevé par H. de Lestapi dans sa propriété de Saint-Michel-l'Écluse-et-Léparon où il avait 300 faisans en 1914[45].
En 1977, M. Balaguer explique que dans la Double, il n'y a plus de perdrix rouge ou de perdrix grise. Le lièvre et le lapin ont été décimés par les chasses et les maladies. La fédération des chasseurs a protégé le chevreuil et le cerf, alors que la bécasse et la palombe sont chassées.
Artisanat rural
Profitant de la présence de sable pour faire de la silice, d'argile pour la construction de fours, de bois pour le combustible, et de minerais ferrugineux près de la Rizonne, plusieurs verreries s'installèrent dans la Double, aux XVIe et XVIIe siècles, à la Cabane, la Font de Chause, Lamothe, le Maine, Perot et la Roumière sur le territoire de Saint André[46]. Au début du XVIIIe siècle, il ne reste que trois verreries[27], qui peut s'expliquer par la concurrence de Bordeaux et par l'insuffisance de salicorne que l'on trouve dans les fougères et dont on tirait de la soude pour produire du verre.
Exploitation de la forêt
La forêt de la Double est composée d'aulnes noirs, de frênes communs, de chênes pédonculés, de chênes tauzins et de pins maritimes.
Elle a été ravagée régulièrement par les incendies des charbonniers et des pasteurs, les défrichements pour l'agriculture, puis par les coupes de chênes (trois à quatre mètres de circonférence[47], soit des chênes de 200 à 300 ans) destinées à la construction navale à Bordeaux ou à La Rochelle, pour reconstituer la Marine royale à la suite de la guerre de Sept Ans, qui dura de 1756 à 1763[27].
Emploi au XXIe siècle
En 2015[48], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent soixante-sept personnes, soit 39,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (sept) a diminué par rapport à 2010 (quatorze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 10,1 %.
Établissements
Au , la commune compte vingt-neuf établissements[49], dont quatorze au niveau des commerces, transports ou services, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, quatre relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, trois dans l'industrie, et deux dans la construction[50].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église Saint-André des XIIIe et XIVe siècles, bâtie en grès roux[21], est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [51].
- Le lavoir sur l'étang.
L'église. Son portail. Le lavoir sur l'étang. Le monument aux morts.
Personnalités liées à la commune
- Arnaud Gaillardon-Duvigneau (1817-1870), officier de santé qui a assaini la Double, popularisé par le roman d'Eugène Le Roy et la série historique en quatre épisodes de Roger Kahane (1981)
Voir aussi
Bibliographie
- Manuel Balaguer, Une Oasis en Périgord. La Double de Dordogne - Pays de Conquête - Terre de Beauté (Tome 1), Edition La double du Périgord et les Amis de la Forêt, 1977, 247 p. (Tome 2 Au rythme des charrois dans la Double du Périgord en souscription n'est jamais paru).
- Jean-Claude Fallacher, Saint-André-de-Double à travers les siècles. Chronique d'un village du Périgord, Edition Culture et Loisirs à Saint-André-de-Double, 2011, 300 p.
- Eugène Le Roy, L'ennemi de la Mort, Calmann-Lévy, 1912, rééd. éditions du Sud-Ouest (roman), 2007, 352 p.
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 19.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Martin Rib. - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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- « Station Météo-France Saint-Martin Rib. - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Florence Broussaud-Le Strat, La Double Un pays en Périgord, Éditions Fanlac, 2006, (ISBN 2-86577-252-7), p. 92.
- Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 296.
- Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 273.
- Le nom occitan des communes du Périgord sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 21 mars 2014.
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- Jean-Claude Falalcher, Saint-André-de-Double, Mérignac, Édition Culture et Loisirs à Saint-André-de-Double, , 300 p. (ISBN 978-2-7466-2810-6), p. 11-14.
- Georges Livet, « La Double », Revue géographique des Pyrénées et du Sud-Ouest, , p. 170-260 (lire en ligne).
- Guy Penaud, Les crimes de la Division "Brehmer", p. 113-134, éditions la Lauze, mars 2004, (ISBN 2-912032-65-2).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
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- « Pierre Guigné réélu maire », Sud Ouest édition Dordogne, 11 juillet 2020, p. 18.
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Bernard Gillibert, « Une belle école pour les Doublautins », Sud Ouest édition Périgueux, 27 décembre 2019, p. 16d.
- Nicolad Caminel, « La 4e Fête de l'épouvantail ce week-end », Sud Ouest édition Périgueux, 16 juillet 2015, p. 20.
- Jean-Claude Fallacher, Saint-André-de-Double, Saint-André-de-Double, Edition, culture et loisirs à Saint-André-de-Double, , 300 p. (ISBN 978-2-7466-2810-6), p. 14-28.
- Jean-Claude Fallacher, Saint-André-de-Double. Chronique d'un village du Périgord, Saint-André-de-Double., Édition Culture et loisirs à Saint-André-de-Double., , 300 p. (ISBN 978-2-7466-2810-6), p. 39-43.
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- Florence Broussaud-Le Strat, La Double Un pays en Périgord, Éditions Fanlac, 2006, (ISBN 2-86577-252-7), p. 56.
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- Dossier complet - Commune de Saint-André-de-Double (24367) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 18 décembre 2018.
- « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
- Dossier complet - Commune de Saint-André-de-Double (24367) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 18 décembre 2018.
- « Église », notice no PA00082799, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 9 février 2020.
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