Rignac (Lot)

Rignac est une commune française, située dans le département du Lot en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Rignac.

Rignac

L'église.
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne
Maire
Mandat
Francis Lacayrouze
2020-2026
Code postal 46500
Code commune 46238
Démographie
Gentilé Rignacois
Population
municipale
272 hab. (2018 )
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 48′ 27″ nord, 1° 41′ 46″ est
Altitude Min. 270 m
Max. 423 m
Superficie 9,64 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Gramat
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gramat
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Rignac
Géolocalisation sur la carte : Lot
Rignac
Géolocalisation sur la carte : France
Rignac
Géolocalisation sur la carte : France
Rignac
Liens
Site web http://www.rignac.org

    Ses habitants sont appelés les Rignacois[1].

    Géographie

    Commune située dans le Quercy sur le causse de Gramat.

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Rignac[2]
    Alvignac
    Rocamadour Thégra
    Gramat

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 4,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,5 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 044 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Beaulieu S/dor. », sur la commune de Beaulieu-sur-Dordogne, mise en service en 1952[8]et qui se trouve à 22 km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13 °C et la hauteur de précipitations de 1 145,3 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et à 26 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[12], à 12,7 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[14].

    Espaces protégés

    La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[15],[16].

    La commune fait partie du parc naturel régional des Causses du Quercy, un espace protégé créé en 1999 et d'une superficie de 183 039 ha, qui s'étend sur 102 communes du département du Lot[17]. La cohérence du territoire du Parc s’est fondée sur l’unité géologique d’un même socle de massif karstique, entaillé de profondes vallées. Le périmètre repose sur une unité de paysages autour de la pierre et du bâti (souvent en pierre sèche), de l’empreinte des pelouses sèches et du pastoralisme et de l’omniprésence des patrimoines naturels et culturels[18],[19]. Ce parc a été classé Géoparc en mai 2017 sous la dénomination « géoparc des causses du Quercy », faisant dès lors partie du réseau mondial des Géoparcs, soutenu par l’UNESCO[20],[21].

    La commune fait également partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[22],[23].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[24] : les « prairies naturelles des ruisseaux de Rignac et du Paillé » (32 ha), couvrant 2 communes du département[25].

    Urbanisme

    Typologie

    Rignac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[26],[27],[28].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gramat, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 18 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[29],[30].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (61,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (44 %), forêts (21,9 %), zones agricoles hétérogènes (17,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (11,3 %), zones urbanisées (2,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,6 %)[31].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    La commune se nomme Rinhac en occitan.

    Le toponyme Rignac est basé sur l'anthroponyme gaulois Renius. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes[32].

    Histoire

    La commune de Rignac a été créée en 1892 par détachement d'une partie du territoire de Gramat[33].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs[34]
    Période Identité Étiquette Qualité
    1892 1912 Léon Escudie    
    1912 1925 Louis Vidal    
    1925 1929 Léon Bergougnoux    
    1929 1935 Louis Vidal    
    1935 1938 Gabriel Delmas    
    1938 1944 Théophile Bergougnoux    
    1944 1977 Léon Maury    
    1977 1984 Robert Delmas    
    1984 2001 Pierre Baquet    
    2001 2014 Daniel Wattier    
    2014 en cours Francis Lacayrouze    

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1896. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36]. En 2018, la commune comptait 272 habitants[Note 6], en augmentation de 1,87 % par rapport à 2013 (Lot : +0,1 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
    Évolution de la population  [modifier]
    1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946
    489447435409376385352307261
    1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010
    243226213175200229258242267
    2015 2018 - - - - - - -
    267272-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Zone artisanale

    Une zone artisanale de 8,5 ha est située au sud-est du territoire de la commune au lieu-dit les Vielles Vignes à proximité de Gramat et accueille les entreprises commerciales, tertiaires, artisanales ou semi-industrielles. Elle est connectée au réseau routier par la RD 840 qui mène à l'autoroute A20 et se trouve proche de la gare de Gramat[38].

    Elle comporte déjà de nombreuses entreprises œuvrant dans les domaines suivants : traitement des déchêts, jardinerie, électrotechnique, import et de distribution d'objet de plein-air et pour enfants, couverture et charpente, médecine du travail, travaux publics...

    Lieux et monuments

    Église Saint-Germain

    L'église Saint-Germain.

    L'église Saint-Germain au centre du village de Rignac est classée au titre des Monuments historiques par arrêté du [39]. Elle est citée au XIIe siècle, dans le cartulaire de l'abbaye d'Obazine, mais a peut-être été détruite lors de la guerre de Cent Ans. Sa construction homogène en pierres calcaires, avec son clocher barlong et son chœur gothique polygonal, font penser à une complète reconstruction dans la deuxième moitié du XVe siècle. Les visages très expressifs, sculptés sur des culots, ont pu être repris pour recevoir les arêtes des voûtes des chapelles latérales. Elle possédait un décor intérieur peint, qui a en partie disparu[40].

    Au cours du XIXe siècle, une sacristie fut ajoutée, vraisemblablement à la même période que les autels de marbre blanc et la série de vitraux, puis au début du XXe siècle, un nouvel aménagement intérieur vint achever les restaurations. Il s'agit d'abord des très simples fonts baptismaux au fond de l'église, ainsi que des stations du chemin de croix aux cadres de métal peint. La tribune a été supprimée. Au-dessus du tabernacle de l'autel de la Vierge, figure l'incrustation de Notre-Dame-de-Rocamadour telle qu'elle était vue à la fin du XIXe siècle. Un vitrail du chœur représente saint Germain d'Auxerre en vis-à-vis avec sainte Germaine de Pibrac, alors très célèbre dans la région[40].

    Le château de Roumégouse

    le nom de Roumégouse est à mettre en relation avec les pèlerins roumieux. Dominant le village de Rignac, le château de Roumégouse[41] était la propriété de la famille de Cho(u)rigny, présente depuis 1610. Au XVIIIe siècle, il fut acquis par la famille de Foulhiac de Padirac. Vers 1900, l'édifice fut transformé selon le goût romantique de l'époque. De fausses accolades de pierre furent ajoutées sur les linteaux des baies, de façon à rendre les originales plus perceptibles. Le lieu, actuellement privé, a été longtemps un hôtel de l'association hôtelière des Relais & Châteaux. Il accueillit ainsi en 1970 le général de Gaulle.

    Le château de Mordesson

    Le fief de Mordesson faisait déjà partie du patrimoine des Vallon de Thégra au XIVe siècle. Raymond de Fouilhac « Historien du Quercy » y serait né en 1622. Héritier des terres, il fit construire en 1661 le château visible actuellement. Un cartouche est orné d'un écusson sur lequel figurent les lettres G.R.B., initiales des prénoms de ses anciens propriétaires : Guillaume de Valon, Raymond et Bertrand de Fouilhac. Le château est mentionné dans la légende associée au gouffre voisin du Saut de la Pucelle. Il est situé aux abords du chemin qui relie les lieux-dits de Prangères (Gramat) au Causse nu (Alvignac)[42].

    L'ancien hôpital des sœurs maltaises

    L'IGN signale toujours ces ruines, malgré leur disparition quasi totale. Mme Marty-Bazalgues le constata aussi lorsqu'elle voulut se rendre sur le terrain[43].

    L'arbre de la liberté

    La tradition rapporte que le platane qui se dresse fièrement sur la petite place du village est un arbre de la liberté, planté pendant la période révolutionnaire. Sa circonférence témoigne de son ancienneté.

    La maison dite "aux deux tourelles"

    La base de cette demeure est contemporaine de la reconstruction de l'église, après la guerre de Cent Ans. L'édifice ne devait pas être assez spacieux, puisqu'il fut modifié et agrandi avant 1762. Il reçut alors en façade deux tourelles de section carrée, chacune sur un léger encorbellement. L'ensemble fut enfin restauré au XIXe siècle. La photographie de la souillarde, cuisine voûtée présente dans de nombreuses maisons de la région, est visible sur le site du Conseil départemental du Lot. Elle a été inscrite monument historique par arrêté du [44].

    Gouffre du Saut de la Pucelle

    Le gouffre du Saut de la Pucelle est une cavité souterraine située à la limite des communes de Rignac, Rocamadour et Gramat dans lequel se perd le ruisseau de Rignac.

    Aire de loisirs

    À l'entrée du village, près du pont qui franchit le ruisseau (intersection D 20 et D 36), Rignac dispose d'une aire de loisirs comportant[45] :

    Personnalités liées à la commune

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Lien externe

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Nom des habitants des communes françaises sur le site Habitants.fr, consulté le 8 octobre 2013.
    2. Carte IGN sous Géoportail
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Beaulieu S/dor. - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Rignac et Beaulieu-sur-Dordogne », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Beaulieu S/dor. - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Rignac et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
    16. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
    17. « Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    18. [PDF]« Le parc naturel régional des Causses du Quercy – charte 2012-2024 - le rapport », sur https://www.parc-causses-du-quercy.fr (consulté le )
    19. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    20. « le géoparc des Causses du Quercy », sur le site des Géoparks de l'Unesco (consulté le )
    21. « Géoparc des Causses du Quercy - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    22. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le )
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    24. « Liste des ZNIEFF de la commune de Rignac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    25. « ZNIEFF les « prairies naturelles des ruisseaux de Rignac et du Paillé » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    26. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    27. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    28. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    29. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    30. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    31. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    32. Gaston Bazalgues, « Les noms des communes du Parc », Les cahiers scientifiques du Parc naturel régional des Causses du Quercy, vol. 1, , p. 115 (lire en ligne)
    33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    34. « Les maires de Rignac », sur Site francegenweb, (consulté le ).
    35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    38. « Développement économique & projets : La ZA de Rignac », sur http://www.paysdepadirac.fr (consulté le ).
    39. Notice no PA00095063, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    40. « Rignac - La petite histoire », sur http://rignac.pagesperso-orange.fr (consulté le ).
    41. Catherine Didon, Châteaux, manoirs et logis. Le Lot : Roumégouse, Éditions Association Promotion Patrimoine, , p. 161.
    42. David Baquet, « Le château de Mordesson », Bulletin de l'Association RACINES, no 1, , p. 16-17 (ISSN 1277-7781).
    43. Jacqueline Marty-Bazalgues, « À la découverte d'une possession des dames maltaises : les Jourdanes à Rignac », Bulletin de l'Association Racines, Alvignac, no 5, (résumé).
    44. Notice no PA00095195, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    45. « Rignac - Actualités », (consulté le ).
    46. Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t.XIX. For-Fyo. - 1927, p. 99-100, [lire en ligne].
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