Renage

Renage est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Renage

Centre de Renage

Héraldique
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté de communes de Bièvre Est
Maire
Mandat
Amélie Girerd
2020-2026
Code postal 38140
Code commune 38332
Démographie
Population
municipale
3 487 hab. (2018 )
Densité 684 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 20′ 03″ nord, 5° 29′ 10″ est
Altitude Min. 229 m
Max. 464 m
Superficie 5,1 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Voiron
(banlieue)
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tullins
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Renage
Géolocalisation sur la carte : Isère
Renage
Géolocalisation sur la carte : France
Renage
Géolocalisation sur la carte : France
Renage
Liens
Site web Ville-renage.fr

    La commune, qui se situe également dans l'unité urbaine de Grenoble, ville dont elle est distante d'environ une trentaine de kilomètres, est adhérente à la communauté de communes de Bièvre Est dont le siège est fixé à Colombe.

    Ses habitants sont dénommés les Renageois[1].

    Géographie

    Carte de la commune de Renage et des communes limitrophes.

    Localisation et situation

    Située à l'est de la plaine de Bièvre et donc approximativement dans le centre du département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes, la commune de Rénage s'étend de part et d'autre de la Fure, émissaire du lac de Paladru, située plus au nord.
    Á l'écart des routes à grande circulation, le bourg de Rénage est séparé du territoire de la commune voisine de Rives par l'ancienne route nationale 85.

    Le centre-ville (mairie de Rénage) se situe (par la route) à 80 km du centre de Lyon, préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes et à 33 km de Grenoble, préfecture du département de l'Isère, ainsi qu'à 292 km de Marseille et 550 km de Paris[2].

    Géologie

    Renage est située dans la partie droite de la photo

    Le territoire communal est situé en grande partie dans la vallée de la Fure, émissaire du lac de Paladru et sous affluent de l'Isère, à peu près au milieu de son cours.

    Cette rivière a la particularité d'entailler (dans la partie méridionale du territoire) de façon assez profonde les formations quaternaires glaciaires et interglaciaires recouvertes par des formations de molasse gréso-sableuse du Vindobonien et du Burdigalien. Cette gorge, dont la pente est assez rapide est entourée de plateaux.

    Selon, Jean Sarrot-Reynauld, de la Revue de géologie alpine, la partie haute du versant occidental du plateau, surplombant cette vallée, héberge le village de Renage qui repose sur les restes de bourrelets morainiques würmien du « stade de Rives-Beaucroissant ». La colline de Parménie située à l'ouest du village (mais située sur le territoire de Beaucroissant), et qui s'élève à l'altitude de 748 mètres constitue d'ailleurs un paléorelief miocène typique [3].

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Renage
    Rives
    Beaucroissant Charnècles
    Tullins Vourey

    Climat

    La partie du territoire du département l'Isère dans laquelle se situe le village de Renage qui correspond aux limites de la plaine de Bièvre avec le pays voironnais est formée de plaines à l'ambiance tempérée, de bas plateaux entourées de quelques collines de hauteur assez modeste au climat un peu plus rude.

    Hydrographie

    La Fure traversant la Grande Fabrique.

    Le territoire de Renage est traversé par la Fure, d'une longueur de 25 kilomètres[4] et émissaire du lac de Paladru, étendue d'eau située à une dizaine de kilomètres au nord de la commune. Son débit est également de type torrentiel et peut présenter de fortes variations et des crues parfois violentes.

    La commune comprend également quelques étangs situés au nord du bourg, près du hameau du Plan.

    Voies de communication et transports

    La RD45 dans la traversée de Renage (rue de la République)

    Voies routières

    L'ancienne route nationale 85 ou « RN 85 » est une ancienne route nationale française reliant autrefois Bourgoin-Jallieu, en se détachant de la RN 6, pour se terminer à Golfe-Juan (d'où son nom de « route Napoléon » entre Grenoble et cette dernière ville). Cette route, requalifiée en RD1085, longe la partie septentrionale du territoire de Renage en limite avec la commune de Rives.

    Le bourg de Renage est traversé par la RD45 qui relie la commune de Rives (Gare) à la commune de Tullins (quartier de Fures) en empruntant les gorges de la Fure. La RD45d par détachement de cette dernière route permet de relier le centre ville de Rives.

    Transport

    La commune est desservie par plusieurs lignes de bus du réseau des transports du Pays voironnais, dont la ligne no 10 qui permet de relier le centre de Renage et ses principaux hameaux à la gare de Rives[5].

    La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Rives, desservie par des trains TER Auvergne-Rhône-Alpes.

    Toponymie

    La paroisse se dénommait Renatico au XIe siècle, puis Renagii au XVe siècle.

    Selon André Planck, auteur du livre L'origine du nom des communes du département de l'Isère, le nom de Renage pourrait correspondre à une altération du mot gaulois « Renos » qui signifie « rivière »[6]. Le bourg ancien domine effectivement la Fure, un torrent, à l'origine de gorges encaissées en aval du village.

    Urbanisme

    Typologie

    Renage est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Voiron, une agglomération intra-départementale regroupant 15 communes[10] et 61 748 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[11],[12].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (40,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (29,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (35,8 %), zones urbanisées (28,3 %), forêts (23 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3 %), prairies (0,7 %)[15].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[16].

    Hameaux, lieux-dits et écarts

    Voici, ci-dessous, la liste la plus complète possible des divers hameaux, quartiers et lieux-dits résidentiels urbains comme ruraux qui composent le territoire de la commune de Renage, présentés selon les références toponymiques fournies par le site géoportail de l'Institut géographique national[17].

    • le Plan
    • les Prairies
    • Château Allivet
    • la Croze
    • le Verdon
    • le Garin
    • le Fay
    • la Rua
    • Criel
    • la Charrière
    • Clos Raphaël
    • les Bruyères
    • le Marais Fleury
    • la Guillonière
    • le Dupas
    • le Bandoz
    • les Quatre Chemins
    • le Bois
    • le Bonnat
    • la Bergère
    • les Arronds

    Risques sismiques

    L'ensemble du territoire de la commune de Renage est situé en zone de sismicité no 3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique, mais non loin de la zone no 4 qui s'étend plus à l'est[18].

    Terminologie des zones sismiques[19]
    Type de zoneNiveauDéfinitions (bâtiment à risque normal)
    Zone 3Sismicité modéréeaccélération = 1,1 m/s2

    Histoire

    Pour un article plus général, voir Histoire de l'Isère.

    Préhistoire et Antiquité

    Durant l'Antiquité, la région de Rives est peuplée par les Allobroges, un peuple gaulois dont le territoire était situé entre l'Isère, le Rhône et les Alpes du Nord. À partir de -121, ce territoire, nommé Allobrogie, est intégré dans la province romaine du Viennois avec pour capitale la cité de Vienne qui était aussi le siège de l’ancien diocèse romain de Vienne. Ainsi, et jusqu'au Haut Moyen Âge, le territoire communal fait partie du Viennois.

    Moyen Âge et Temps modernes

    Longtemps, simple hameau de Beaucroissant avec les quartiers actuels de la Croze et de Maubec, Renage est intimement liée à la Fure, cette rivière exploitée dès le XIVe siècle pour ses chutes d'eau successives, entraînant des martinets de forge puis de papeterie, puis les roues des usines de soierie.

    Alivet et le vallon du Furon au XIXe siècle, par Victor Cassien (1808 - 1893).

    Époque contemporaine

    Un expansion industrielle se met en place au milieu du XIXe siècle.

    En 1835, J.D. Court, élève de Canson, fonde une papeterie dans la vallée de la Fure, produisant environ 500 kg. par jour. En 1876, la Société Anonyme de la Papeterie de Renage acquiert l'usine, gérée par M. Bruel Père jusqu'en 1900, puis ses trois fils. Elle compte 300 ouvriers en 1887. Ne se sentant pas en mesure de conserver l'aura commerciale des productions de qualité de la papeterie, les Bruel cèdent la Papeterie en 1913 à Denis-Auguste Dumarest, docteur en médecine (entré dans le capital dès 1878) et à son gendre Henri Thouvard. Se dégageant de contrats commerciaux désastreux, notamment grâce à la guerre (loi Falliot), la nouvelle direction s'adjuge le marché des cartes du service géographique de l'Armée de 1914 à 1918 (2,442 tonnes). L'usine prospère.

    En 1930, elle ouvre une centrale hydroélectrique à Petite-Hurtière puis en 1949 à Grand-Hurtière. La papeterie fabriquera le papier de billets de banque de la France et du Maroc après 1945. L'affaire traverse les crises cycliques de cette industrie tant que les propriétaires auront eu la capacité d'épargner pour traverser les périodes difficiles. La présidence V. Giscard entraînera la disparition en à peine plus d'un septennat de presque toutes les affaires familiales multi-séculaires françaises, du seul fait de la pression fiscale qui pour la première fois depuis deux siècles, avait empêché la constitution de leur indispensable épargne[réf. nécessaire].

    Politique et administration

    Entrée du site de la mairie

    Administration municipale

    D'une population communale fixée entre 3500 et 5 000 habitants, en 2014, le conseil municipal de Renage est composé de vingt sept membres, dont une maire, sept adjoints au maire et dix neuf conseillers municipaux [20].

    Liste des maires

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[23].

    En 2018, la commune comptait 3 487 habitants[Note 3], en diminution de 3,3 % par rapport à 2013 (Isère : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0491 1221 1461 0941 2041 3631 4941 5901 630
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 6051 7001 8701 8301 8602 1732 3262 3302 277
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 3052 5072 5112 3932 6512 4682 1482 0042 314
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    2 7083 0373 0933 1543 3183 3323 6013 6413 647
    2017 2018 - - - - - - -
    3 5073 487-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Rattachée à l'académie de Grenoble, la commune compte un établissement scolaire publique, l'école maternelle François Dolto et l'école élémentaire Aimé Brochier, située dans le centre du bourg[26].

    Équipements culturel et sportif

    Au niveau culturel, la ville gère la médiathèque municipale Paul Eluard [27].

    Sécurité

    Renage héberge sur son territoire une brigade de gendarmerie nationale comprenant, en 2017, un effectif de 42 militaires et ayant dix-sept villes du secteur totalisant 45 000 habitants sous sa juridiction [28].

    Cultes

    Église Saint-Pierre de Renage

    La communauté catholique et l'église Saint-Pierre de Renage (propriété de la commune) dépendent de la paroisse de La Sainte-Croix qui comprend quatre autres clochers. Cette paroisse est elle-même rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[29].

    Médias

    Le quotidien régional Le Dauphiné libéré, dans son édition locale Chartreuse et Sud-Grésivaudan, ainsi que l’hebdomadaire Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné, relatent les informations locales.

    La commune est en outre dans le bassin d’émission des chaînes de télévision France 3 Alpes (France 3 Grenoble) et de téléGrenoble Isère, ainsi que de la radio locale France Bleu Isère.

    Économie

    Parmi les anciens sites industriels de Renage, trois sont encore en activité :

    • le Gua et son importante usine de papiers fins et spéciaux (ArjoBex) ;
    • Alivet et son entreprise tournée vers le matériel de restauration collective (Socamel);
    • le site des Forges (taillanderie et piquets de clôture).

    Cette activité traditionnelle se complète par une importante zone d'activités très diversifiée et une petite rue commerçante située dans le bourg.

    Renage est une des communes d'un secteur de vignobles pouvant revendiquer le label IGP « Coteaux-du-grésivaudan », comme la plupart des communes de la moyenne vallée de l'Isère (Grésivaudan et cluse de Voreppe).

    Culture et patrimoine

    La Grande Fabrique

    La Chapelle-pont, site de la Grande Fabrique, labellisée Patrimoine en Isère[30]. Les façades et toitures de la chapelle sont inscrites au titre des monuments historiques par l'arrêté du [31].

    Le 11 septembre 1914, une puis deux ambulances militaires furent installées (une à l'usine, l'autre de 21 lits à l'école des Frères expulsés de Renage), accueillant 854 hommes (plus de 700 blessés et de 200 malades), sous la responsabilité du Docteur Denis-Auguste Dumarest (°1848+1929). Aucun décès n'est à déplorer. Aucune récompense n'est délivrée[32]. On expérimente des injections sous-cutanées d'oxygène gazeux[33].

    Le château d'Alivet

    Construit en 1848, en lieu et place d'une ancienne maison forte disparue, le château d'Alivet est situé au nord-est du territoire, près de la Fure[34], présente un décor intérieur remarquable ; son parc du XVIIIe siècle a été réaménagé au XIXe siècle. Il est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 25 septembre 1995[35].

    Les autres bâtiments et sites

    • L'église du XIXe siècle[34].
    • Le monument aux morts.
    • Des demeures anciennes qui datent de XVIIe au XIXe siècle[34].

    Personnalités liées à la commune

    • Henry Baboin, député de l'Isère en 1869, soyeux, propriétaire du château d'Alivet à Renage.
    • Henri Thouvard (1874+1957). Industriel. Natif de Barraux (Isère). Commandeur de Saint Grégoire le Grand. Il parvient à prendre progressivement le contrôle complet de la papeterie de Renage. Ardent catholique, il défend l'Église lors des attaques antichrétiennes du début du XXe siècle, organisant avec Louis Bonnet-Eymard des manifestations de plusieurs dizaines de milliers de personnes, mettant en émoi la préfecture et ses commettants. Il défend ardemment les Chartreux, qui ont imprudemment refusé l'accommodement affairiste du gendre du ministre républicain (sur le brevet de la liqueur). C'est un adversaire permanent de Léon Perrier, franc-maçon président inamovible du Conseil Général de l'Isère. Dirigeant du syndicat des papetiers du Sud-Ouest, il intervient à ce titre dans le sauvetage en 1926 de l'École Française du Papier en lui faisant adopter un statut de SA. Son usine a notamment produit le papier des billets de banque du royaume chérifien. Patron social, imposant le repos dominical, il est combattu à ce titre. Auteur de mémoires restés à l'état de manuscrit. Il dirige le syndicat professionnel de l'industrie papetière du Sud-Est (75 usines, 10,000 salariés, 130,000 tonnes). Il s'oppose au transfert de l'École de Papeterie de Grenoble à Paris. Il refuse par deux fois la Légion d'Honneur. Il prête son concours à toutes les opérations immobilières de l'évêché de Grenoble (maisons de retraite pour employés, employées, prêtres âgés, foyers pour étudiantes, écoles libres, économats, presse quotidienne conservatrice et catholique)[36],[37]. Époux de Denise Dumarest, fille d'un médecin originaire d'Hauteville-Lompnès (Ain).

    Héraldique

    Blason
    De gueules à la croix d'argent chargée de trois molettes d'éperon de sable en pal, au chef cousu d'azur chargé d'un livre ouvert adextré de deux martinets de forge passées en sautoir et senestré de deux navettes de tisserand passées en sautoir, le tout aussi d'argent[38].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Article connexe

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Site habitants.fr, page sur le nom des habitants des communes de l'Isère, consulté le 16 juillet 2019
    2. Site annuaire mairie, page des distances entre Colombe et les plus grandes villes françaises, consulté le 17 juillet 2019
    3. Jean Sarrot-Reynauld, « Deux exemples du régime hydrogéologique dans les collines du bas-Dauphiné », sur http://geologie-alpine.ujf-grenoble.fr, (consulté le ).
    4. Sandre, « Fiche cours d'eau - la Fure (W3120500) » (consulté le ).
    5. Site officiel du pays voironnais, fiche horaire de la ligne No 10, consulté le 17 juillet 2019
    6. Livre "L'origine du nom des communes du département de l'Isère" par André Planck, (ISBN 2-84424-043-7) édition L'atelier, 2006, page 161
    7. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    9. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    10. « Unité urbaine 2020 de Voiron », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    11. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    16. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    17. Site géoportail, page des cartes IGN
    18. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
    19. Site de la commune de renage, page sur le conseil municipal, consulté le 17 juillet 2019
    20. Décédé en cours de mandat.
    21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    25. Site education.gouv.fr, page sur l'école Aimé Brochier, consulté le 17 juillet 2019
    26. site de la ville de Renage, page sur la médiathèque, consulté le 17 juillet 2019
    27. Bulletin de la ville de Renage, page sur la gendarmerie de Renage, consulté le 17 juillet 2019
    28. Site du diocèse de Grenoble, fiche de présentation de la paroisse de la Sainte-Croix, consulté le 14 juillet 2019
    29. « Les labels patrimoine en Isère », sur isere-patrimoine.fr, Conseil Général de l'Isère (consulté le ).
    30. « Ancienne grande fabrique », notice no PA38000037, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. Denis-Auguste Dumarest, « Mémorial de famille, p. 149. », édition familiale, noël 2017.
    32. Denis-Auguste Dumarest, « Gelures de pieds. », Journal de Médecine et de Chirurgie de Lucas-Championnière, 1915 et 1916.
    33. Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 419-421.
    34. « Château d'Alivet », notice no PA00135644, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    35. Henri Thouvard, « Mémoires, p. 7 à 20, 173 à 379 (Noël 2017) ; Notes préparatoires à la poursuite de ses mémoires, pp. 358 (Noël 2018) ; id. environ 750 pages (2020 et 2021) », édition familiale, 75 ex., 2017 à 2021.
    36. Site andrenavarre-industrielpapetier.fr, page sur André Navarre, consulté le 17 juillet 2019
    37. Photo des armoiries de Renage. File:Renage.jpg
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