Potez 630

Le Potez 630 est un avion de chasse de l'avionneur français Potez, ayant principalement servi lors de la Seconde Guerre mondiale.

Potez 630

Constructeur SNCAN
Rôle Avion de chasse
Statut Retiré du service
Premier vol
Mise en service
Date de retrait
Équipage
3 personnes
Motorisation
Moteur Hispano-Suiza 14Hbs
Nombre 2
Type 14 cylindres en étoile refroidis par air
Puissance unitaire 640 ch
Dimensions
Envergure 16,00 m
Longueur 11,07 m
Hauteur 3,61 m
Masses
Maximale 3 845 kg
Performances
Vitesse maximale 460[1] km/h (à 4 000 m)
Plafond Pratique : 4 000 m
Maximum : 10 000 m
Vitesse ascensionnelle entre 3 000 et 4 000 m : 690[2] m/min
Rayon d'action 1 225 km
Rapport poids/puissance 3,00 kg/ch
Armement
Interne 2 canons 20 mm, 1 mitrailleuse MAC 34 de 7,5 mm

Le Potez 630 et les modèles dérivés était une famille d'appareils bimoteurs développés pour l'Armée de l'air à la fin des années 1930. Sa conception fut contemporaine à celle d'autres avions militaires de ce conflit tels que le Bristol Blenheim britannique ou le Messerschmitt Bf 110 allemand.

Conception et développement

Ecorché du Potez 630.

Le Potez 630 fut originellement construit selon les spécifications demandées en 1934 pour la fabrication d'un chasseur lourd (qui amenèrent également la série des Breguet 690). Le premier vol du prototype eut lieu en 1936 et démontra alors d'excellentes qualités de vol.

Le Potez 630 était un monoplan entièrement métallique à ailes basses et empennage bi-dérive. Une longue verrière abritait le pilote, un observateur ou un commandant de mission, qui était seulement là si la mission le demandait, et un mitrailleur arrière qui maniait une mitrailleuse légère simple MAC 34 de 7,5 mm.

Après quelques changements mineurs, une commande pour 80 appareils fut passée en 1937. Dans le même temps, 80 chasseurs Potez 631 C3 furent commandés, ces derniers étant équipés de moteur Gnome et Rhône 14M en étoile plutôt que les Hispano-Suiza 14AB10/11 des Potez 630. 50 Potez 631 supplémentaires furent commandés en 1938, dont 20 destinés à la Finlande, qu'ils n'atteignirent jamais.

La motorisation du Potez 630 n'était pas exceptionnelle. La totalité de la production de série française souffrait du même handicap. Avec des moteurs conçus en 1935, il avait peu d'espoir de survie dans le ciel de 1940.

Service actif

Des Potez 63.11.

Les moteurs du Potez 630 se révélèrent si fragiles que la plupart des unités furent rééquipées avec des Potez 631 avant le début de la Seconde Guerre mondiale. Ce dernier était inefficace comme intercepteur, moins rapide que certains bombardiers allemands et 130 km/h plus lent que les Bf-109E, cependant il resta en service jusqu'à l'armistice du 22 juin 1940.

Le Potez 633 connut le service opérationnel très brièvement dans l'aéronautique navale et l'Armée de l'Air quand des appareils de deux unités effectuèrent une sortie dans le secteur d'Arras le  ; deux jours plus tard les appareils furent retirés du front. Il y eut plusieurs cas de tir ami car on le confondait parfois avec le Messerschmitt Bf 110[3].

Les Potez 633 exportés en Grèce et en Roumanie virent plus d'actions, en nombre limité. Les Roumains les utilisèrent contre l'URSS et les Grecs durant la guerre italo-grecque. Un petit nombre de Potez 633 originellement destinés à la Chine furent réquisitionnés par l'administration coloniale en Indochine française et prirent part à la guerre franco-thaïlandaise au début de 1941.

Plus de 700 Potez 63.11 furent livrés avant . Parmi ceux-ci, plus de 220 furent détruits ou abandonnés, en dépit de l'ajout d'une mitrailleuse supplémentaire : les plus lourdes pertes de tous les appareils français. Le Potez 63.11 continua à être utilisé par l'armée de l'air des forces de Vichy, entre autres, un groupe de chasse de nuit en est équipé lors de l'invasion de la Zone Libre. La production reprit sous contrôle allemand et un nombre significatif d'appareils fut utilisé par les Allemands, pour la plupart comme avion de liaison ou d'entraînement.

Tous les appareils de cette famille (à l'exception peut-être du Potez 63.11) possédaient des caractéristiques de vol agréables. Ils étaient conçus pour une maintenance facile et les derniers modèles avaient même un armement lourd pour l'époque (jusqu'à 12 mitrailleuses légères pour le Potez 63.11). Bien que de conception légère, ils démontrèrent qu'ils étaient capables d'absorber des dommages considérables. Malheureusement, les Potez 63, comme beaucoup d'appareils français de cette époque, n'avaient tout simplement pas des moteurs assez puissants pour leur assurer des performances convenables. En condition de combat réel, ils se révélèrent des proies faciles pour les Messerschmitt, tout comme leurs contemporains britanniques, le Fairey Battle et le Bristol Blenheim. Leur ressemblance avec les Bf 110 (bimoteur, empennage bi-dérive, long cockpit vitré) entraîna apparemment des pertes par des tirs amis.

Variantes

Contrairement à la plupart des appareils français contemporains, la production des Potez fut raisonnablement rapide et les premières livraisons effectuées avant la fin de 1938. Le Potez 63 était conçu pour faciliter la production de masse et il en résulta qu'un Potez 630 était plus rapide et moins cher à construire qu'un Morane-Saulnier M.S.406. Tandis que le rythme de production augmentait, un certain nombre de modèles expérimentaux et de dérivés furent développés.

Versions de chasse

Une caractéristique typique des modèles 630 et 631 était leur armement frontal, qui consistait à la base en deux canons de 20 mm Hispano-Suiza HS-404 montés sous le fuselage, bien que parfois un des canons était remplacé par une mitrailleuse MAC 1934. Plus tard, les Potez 631 reçurent quatre mitrailleuses légères sous les ailes extérieures, il était même théoriquement possible d'en mettre six.

Tandis que le projet de chasseur de nuit Potez 635 CN2 était annulé et que le Potez 63.12 C3 équipé de moteurs en étoile Pratt & Whitney Twin Wasp Junior restait à l'état de prototype, le premier lot de chasseurs lourds Potez 671 (dérivés du prototype Potez 670-01) était sur les chaines de montage quand les Allemands capturèrent l'usine SNCAN de Méaulte près d'Albert.

Prototypes

Les Potez 63.01 et 630.01 furent les deux premiers prototypes, ainsi que le Potez 630 CN.2 No.01, prototype de chasseur de nuit, et le premier modèle équipé en moteurs Gnome et Rhone: le Potez 631.01.

Versions d'entraînement

Un avion d'entraînement en double commande dérivé du Potez 630 fut proposé sous la dénomination Potez 634, mais l'Armée de l'air choisit à la place de mettre en ordre avec une conversion en moteur Gnome et Rhône, qui fut appelé Potez 631 Ins (pour instruction). Le Potez 63.16 T3 était un dérivé du 63.11 pour l'entrainement des équipages avec une largeur d'aile augmentée. Un seul prototype fut construit.

Versions de bombardement

Le Potez 633 B2 fut conçu pour répondre à la demande d'un bombardier léger biplace. Le Potez 633 conservait le fuselage, les ailes et les moteurs du 631 mais la position de l'observateur et les gondoles de canon furent supprimées tandis qu'une petite soute à bombes était ajoutée entre le pilote et le mitrailleur arrière. L'armement frontal consistait en une seule mitrailleuse légère dans le nez. La soute à bombes pouvait accueillir huit bombes de 50 kg ou deux de 200 kg. Il n'y avait pas d'officier de bombardement, le mitrailleur arrière dirigeait le bombardement grâce à un viseur de bombardement périscopique en avant de lui, une fonction qui se révéla irréalisable sur le terrain. Le premier bombardier biplace Potez 633.01 vola pour la première fois fin 1937. L'Armée de l'air commanda 133 Potez 633 en 1938, mais décida deux mois plus tard que tous les bombardiers légers devaient être triplaces, comme les Douglas DB-7 et Bloch MB.175. La commande pour les 633 fut donc transformée en plus de 631. Le 633 fut cependant proposé à l'exportation et obtint des commandes de la Roumanie, la Chine et la Grèce.

Un exemplaire du prototype de bombardier en piqué Potez 632 Bp.2 fut commencé, puis converti en Potez 633 équipé de moteur Hispano-Suiza. Il fut vendu à la Suisse pour évaluation. De la même manière, le seul prototype de bombardier biplace Potez 639 AB2 fut converti en Potez 633 standard.

Versions de reconnaissance

Des Potez 63.11 capturés durant la campagne de Syrie en 1941.
Potez 63.11 du Groupe Autonome d'Observation (GAO) 510.

Insatisfaite par ses avions de reconnaissance stratégique, tel que le Bloch MB.131, l'Armée de l'air commanda le développement d'un dérivé du Potez 631 pour accomplir cette mission. L'observateur fut logé dans une gondole sous le fuselage. Particulièrement inconfortable, cette option résulta dans le Potez 637 qui conservait les qualités du 631. 60 exemplaires furent commandés en et livrés.

Dans le même temps, l'Armée de l'air désespérait de rééquiper ses unités de liaison, dont l'équipement était particulièrement ancien. Depuis le développement du 637, l'Armée de l'air changea complètement d'avis sur la position de l'observateur. Il fut demandé à Potez de développer une variante qui, conservant les ailes, les moteurs et la queue du 631, abritait l'observateur dans une verrière plus conventionnelle.

Comme le pilote devait être assis au-dessus de l'observateur, le fuselage du Potez 63.11' était plus haut, ce qui entraînait une vitesse maximale et une maniabilité moindres. Le 63.11 se montra de ce fait très vulnérable, bien qu'il fût équipé de blindage et d'une couche auto obturante basique autour des réservoirs de carburant. Comme des capacités de bombardier léger secondaire étaient aussi demandées (qui furent rarement, voire jamais, exploitées), le fuselage possédait une petite soute à bombes, pouvant ainsi embarquer jusqu'à huit bombes de 10 kg. Cette soute fut remplacée par un réservoir supplémentaire sur les derniers modèles. Deux bombes de 50 kg pouvaient être embarquées en plus sur des points d'ancrage sous les parties intérieures des ailes. L'armement frontal était à la base composé d'une, puis de trois MAC 1934 sous le nez, et plusieurs 63.11 reçurent les mêmes mitrailleuses additionnelles en gondoles dans les ailes que les 631.

Les prototypes Potez 63.11 No.1 et No.2 volèrent pour la première fois en , et 1 365 exemplaires furent commandés en , dont 730 furent livrés, faisant du 63.11 de loin le modèle le plus répandu de la famille.

Utilisation

 France
 État français
 Reich allemand
 Royaume de Grèce
Pologne (Armée polonaise de l'Ouest)
  • Forces aériennes polonaises en exil en France
  • Le dépôt d'Instruction de l'Aviation Polonaise à Lyon-Bron utilisa deux Potez 63.11.
Roumanie
Royaume de Yougoslavie
  • Force aérienne yougoslave royale (en)

Reconstitution

Il n'existe au XXIe siècle aucun exemplaire d'origine survivant de cet appareil. Un Potez 63-11 en état de vol a été reconstruit dans les années 2010 par Jean-Marie Garric, un français établi au Texas qui à passé huit ans sur ce projet et construit de nombreuses pièces. L'avion, qui a effectué son premier vol en 2012[4], est motorisé par des Pratt & Whitney R-985 Wasp Junior (en) provenant d'un Beechcraft Model 18.[5]

Notes et références

Bibliographie

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  • Pierre Léglise et J. Gaudefroy, « Le bimoteur triplace de chasse Potez 63 », L'Aéronautique, no 223, , p. 306-309 (lire en ligne).
  • Pierre Léglise et J. Gaudefroy, « Le bimoteur triplace de chasse Potez 63 », L'Aéronautique, no 265, , p. 265-268 (lire en ligne).
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  • Armée de l'air 1940a : Armée de l'air. Notice de caractéristiques et de performances de l'avion Potez 63-11 à moteurs Gnome et Rhône 14 M 04 et 14 M 05 : Approuvée par D.M. n° 111 RS 2/MAM 8, du , 47 p.
  • Armée de l'air 1940b : Armée de l'air. Notice d'entretien et de réparation de l'avion Potez 63-11 A 3 à moteurs Gnome et Rhône 14 M . Approuvée par D.M. n° 1263 2/M.A.M. 8 du , 138 p., fig.
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