Porquéricourt

Porquéricourt est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Porquéricourt

Silhouette de l'église et son arrière-plan de verdure.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays Noyonnais
Maire
Mandat
Fabien Barège
2020-2026
Code postal 60400
Code commune 60511
Démographie
Gentilé Porquéricourtois, Porquéricourtoises
Population
municipale
396 hab. (2018 )
Densité 106 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 35′ 39″ nord, 2° 57′ 39″ est
Altitude Min. 46 m
Max. 154 m
Superficie 3,75 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Noyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Noyon
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Porquéricourt
Géolocalisation sur la carte : Oise
Porquéricourt
Géolocalisation sur la carte : France
Porquéricourt
Géolocalisation sur la carte : France
Porquéricourt

    Géographie

    Description

    Porquéricourt est un village périurbain picard du Noyonnais qui jouxte Noyon, situé à une cinquantaine de kilomètres à l'ouest de Laon, à 22 km au nord de Compiègne et à une quarantaine de kilomètres au sud-ouest de Saint-Quentin.

    Le territoire communal s'élève à l'ouest sur les coteaux séparant la vallée de la Divette de celle de la Verse. Le village est au pied du coteau et l'ouest de la commune est constitué par une forêt.

    Le village compte un hameau, Calendes

    Communes limitrophes

    Communes limitrophes de Porquéricourt
    Lagny Sermaize Beaurains-lès-Noyon
    Noyon
    Suzoy Vauchelles

    Hydrographie

    Deux ruisseaux qui se jettent dans la Verse, un sous-affluent de la Seine par l'Oise, drainent le territoire communale.

    Le Canal du Nord tangeante la limite est de la commune.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 723 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,2 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 30 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Porquéricourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (43,4 %), forêts (36,2 %), zones urbanisées (14 %), zones agricoles hétérogènes (5,6 %), prairies (0,9 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le lieu a été désigné comme Porguericourt ou Porqueribort en 1171, Porpellicourt en 1596 (Porquerivum curtis)[21].

    Du latin porcus avec le suffixe cortem.

    Histoire

    Une abbaye est signalée au XVe siècle[22],[21].

    Avant la Révolution française, le territoire de l'ancienne paroisse de Porquéricourt comprenait sept fiefs relevant de l´évêché de Noyon[23].

    En 1820 la municipalité projette l'acquisition de la moitié de l´ancien presbytère pour en faire une école. En 1846, les terrains sont acquis pour construire l´école,conçue par l´architecte Marouy. et les travaux sont achevés en 1849[23].

    Au milieu du XIXe siècle, le village disposait d’un moulin, d’un presbytère, d'une féculerie exploitée par Jean-Baptiste Victor Prévost, autorisée en 1846 et installée au lieu-dit Le Château de M. Michaux, à laquelle aurait été ajouté en 1855 un moulin à blé doté d'une machine à vapeur. La féculerie, qui aurait employé 8 à 15 ouvriers en 1851, ne semble plus exploitée dès 1856[23],[22].

    L'ancienne église, vétuste,, dont les parties les plus anciennes dataient du XVe siècle est détruite en 1867. Un nouvel édifice est édifié au même emplacement sur les plans de l'architecte de la manufacture impériale de Beauvais et de l'arrondissement de Clermont, M. Weil, et par MM. Cardon et Quetier, entrepreneurs à Guiscard. La bénédiction et la pose des cloches ont lieu en 1871 et la réception des travaux, en 1872[24].

    Première Guerre mondiale

    Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[25] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [26].

    La reconstruction

    La mairie et une nouvelle école sont reconstruits dans l'entre-deux-guerres sur des terrains acquis en 1921[23]. La reconstruction de l'église en 1921 se fait en réutilisant la base des murs de l'édifice précédent[24].

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Porquéricourt est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1994 sous le nom de communauté de communes de la haute vallée de l’Oise et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1995   Claude Labarre    
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 février 2003 Jean Beauvois    
    mars 2003 mars 2008 Patrick Pelourdeau    
    2008 2014 Claude Vedie    
    2014 En cours
    (au 20 janvier 2021)
    Fabien Barège PS[27] Contrôleur principal des douanes
    Vice-président du CC du Pays Noyonnais (2016 → 2020)
    Réélu pour le mandat 2020-2026[28]

    Politique de développement durable

    La réfection de l'éclairage public du village est réalisé en deux tranches en 2019 et 2020, permettant une importante baisse de la consommation grace au remplacement d'ampoules au mercure par des lampes à LED. Cette initiative succède au remplacement des installations de chauffage de la salle des fêtes, de l'école et de la mairie, opéré en 2016[29].

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

    En 2018, la commune comptait 396 habitants[Note 7], en augmentation de 4,49 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    335348388341388403342350315
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    311306284279259260253240225
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    240227227198207211193177202
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    217206243313331362350356379
    2018 - - - - - - - -
    396--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Porquéricourt était une des communes les plus peuplées de l'ancien canton. La population, qui s'élevait à 335 habitants en 1793, a atteint son maximum (403 habitants) en 1836 et son seuil le plus bas (177 habitants) en 1946[23].

    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (18,3 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) tout en étant toutefois inférieur au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est égale à la population féminine.

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 50 % d’hommes (0 à 14 ans = 18,3 %, 15 à 29 ans = 17,7 %, 30 à 44 ans = 24 %, 45 à 59 ans = 21,1 %, plus de 60 ans = 18,9 %) ;
    • 50 % de femmes (0 à 14 ans = 25,1 %, 15 à 29 ans = 13,7 %, 30 à 44 ans = 21,7 %, 45 à 59 ans = 21,7 %, plus de 60 ans = 17,7 %).
    Pyramide des âges à Porquéricourt en 2007 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,6 
    90  ans ou +
    0,0 
    6,3 
    75 à 89 ans
    8,0 
    12,0 
    60 à 74 ans
    9,7 
    21,1 
    45 à 59 ans
    21,7 
    24,0 
    30 à 44 ans
    21,7 
    17,7 
    15 à 29 ans
    13,7 
    18,3 
    0 à 14 ans
    25,1 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Enseignement

    Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal qui compte en 2019 deux classes à Porquéricourt, deux autres à Larbroye et une cinquième à Vauchelles[28].

    Manifestations culturelles et festivités

    Le Comité d’animation de Porquéricourt (CAP) organise la Nuit des concerts dont la cinquième édition s'est tenue le , qui attire plusieurs milliers de spectateurs[36].

    Économie

    En 2021, le village est dépourvu de commerces de proximité, mais un distributeur automatique de pain a été implanté avec l'aide de la municipalité en devant la mairie[37],[27].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Notre Dame de l’Assomption de la Vierge, reconstruits durant le Second Empire en Style néogothique en brique et pierre sur les plans de sur les plans de M. Weil.
      Le clocher-porche en façade a été reconstruit en 1921 après les destructions de la Première Guerre mondiale[38],[21],[24],[39].
    • Monument aux morts, exécuté par le marbrier Joseph André à Noyon en 1925 et sur lequel sont inscrits 14 noms[40],[41]
    • La Pierre Quinpierre, mégalithe calcaire de 6 à m, qui s'est scindé en plusieurs pierres par l'action de la végétation[21],[42].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    • « Porquéricourt », Ma commune, Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales (consulté le ).
    • Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Porquéricourt et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Porquéricourt et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Noyon, arrondissement de Compiègne (Oise), 1851, 232 p. (lire en ligne), p. 141-143, sur Google Books.
    22. Cécile Wachez, « Un livre-enquête sur les secrets du village de Porquéricourt : Passionné d’histoire, Raymond Grzesiak publie un ouvrage de 101 pages consacré au passé de la commune, du XIIe siècle aux années 1960. Dans le but d’éclairer le présent », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    23. Isabelle Barbedor, Michel Hérold, Alain Nafilyan, « Le canton de Noyon : le territoire de la commune de Porquéricourt : Dossier IA60000335 », égion Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
    24. Michel Hérold, Alain Nafilyan, « Eglise paroissiale et cimetière de l'Assomption-de la-Vierge de Porquéricourt : Dossier IA00049576 », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
    25. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    26. Journal officiel du 18 février 2021, p. 2098.
    27. Pascal Mureau, « Comment le PS espère renverser la table aux départementales dans l’Oise : Le Parti socialiste a choisi un maire rural, Fabien Barège, à Porquéricourt, pour organiser sa campagne des prochaines départementales. Dans sa ligne de mire : réussir une union de la gauche. », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Maire de Porquéricourt depuis 2014, Fabien Barège s’attache à réveiller cette commune de 380 habitants, à deux pas du canal du Nord ».
    28. « Porquéricourt. Le maire sortant Fabien Barège se déclare candidat », Oise Hebdo, (lire en ligne, consulté le ) « Élu dans la commune depuis 2008, Fabien Barège a d’abord été le premier adjoint de Claude Védie jusqu’en 2014. Cette année-là, il est élu maire de Porquéricourt ».
    29. « À Porquéricourt, l’éclairage économique arrive », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. « Évolution et structure de la population à Porquéricourt en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    35. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    36. « Une Nuit des concerts puissance cinq le 29 juin à Porquéricourt », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    37. « À Porquéricourt, le distributeur de pain tourne déjà à plein régime », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    38. Dominique Vermand, « Porquéricourt, église de l’Assomption Notre-Dame », Diocèse : Noyon, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique, (consulté le ).
    39. Bertrand Fournier, Michel Hérold, Martine Plouvier, « Le mobilier de l'église paroissiale de l'Assomption-de-la-Vierge : Dossier IM60000854 inclus dans Eglise paroissiale et cimetière de l'Assomption-de la-Vierge de Porquéricour », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
    40. Relevé des noms des soldats tués sur MemorialGenWeb
    41. « Monument aux morts de Porquéricourt : Dossier IA00049579 inclus dans Eglise paroissiale et cimetière de l'Assomption-de la-Vierge de Porquéricourt », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
    42. « France - Pierre de Quinpierre [STQUIN] », Mégalithes du monde, (consulté le ).
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