Larbroye
Larbroye est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Larbroye | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays Noyonnais | ||||
Maire Mandat |
Didier Wattiaux 2020-2026 |
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Code postal | 60400 | ||||
Code commune | 60348 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Larbroyens, Larbroyennes | ||||
Population municipale |
514 hab. (2018 ) | ||||
Densité | 234 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 34′ 25″ nord, 2° 57′ 56″ est | ||||
Altitude | Min. 48 m Max. 150 m |
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Superficie | 2,2 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Noyon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Noyon | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Géolocalisation sur la carte : Oise
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | http://mairielarbroye.e-monsite.com | ||||
Géographie
Localisation
La commune est un village périurbain situé sur les axes Noyon-Lassigny et Noyon-Compiègne.
La commune est desservie par l'ex-route nationale 38 (actuelle RD 938), qui supporte en 2016 un trafic 5 300 véhicules journaliers[1] de et est aisément accessible par la route nationale 32.
Une voie douce, dite « voie douce du Maigremont », permet de relier le village à Noyon via le quartier Beauséjour et la zone d'activités du Mont-Renaud, évitant aux cyclistes d'emprunter la RD 938[2]
Elle est concernée par la future déviation ouest de Noyon, qui devrait supporter un trafic de 5 000 véhicules journaliers[3]
Communes limitrophes
Suzoy | Vauchelles | |||
N | Noyon | |||
O Larbroye E | ||||
S | ||||
Ville | Passel |
Hydrographie
La commune est drainée par le Ru Soyer, sous-affluent de la Seine par la Divette puis l'Oise.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[6]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[10] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[11],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 32 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[14] à 10,3 °C pour 1981-2010[15], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Larbroye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[17],[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,8 %), zones agricoles hétérogènes (22,4 %), forêts (18,7 %), zones urbanisées (13,1 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le village est citée en 1098 dans une charte du chapitre de Noyon, sous le toponyme Arbreia[24]
Histoire
Sur la Carte de Cassini (vers 1750), le nom du village est écrit l'Arbroye.
Au site du Petit-Ourscamps ont été retrouvées des poteries communes d'époque gallo-romaine[25]
Larbroye possédait des carrières de pierre de bonne qualité dont certaines servirent à la construction du beffroi de Noyon en 1328[26]
Au XVIIIe siècle, des vignes étaient cultivées sur territoire de la paroisse: une ordonnance royale du nomme un garde pour surveiller les vignobles[27]. Le village possédait un pressoir banal[28].
Sous l'Ancien Régime, la paroisse relevait de la coutume de Noyon[29]. Au début de la Révolution française, l'abbaye d'Ourscamp indiquait posséder à Larbroye « 16 set. de mauvaises terres, et 17 set. partie de 10 set. en vignes, et le surplus en Savart, où se trouve une maison reconstruite depuis deux ans, pour cause de vetusté, un pressoir, fournil et étable, laquelle maison est occupée par un concierge qui veille à la conduite des travaux nécessaires aux vignes.... que tout le vin qui en provient est consommé dans la maison d'Ourscamp[30]... »
La commune de Suzoy, instituée par la Révolution française, a été fugacement rattachée à celle de Larbroye de 1828 à 1832[26]. Elle achète une maison d'école en 1838. Un nouveau bâtiment est construit et inaugiré en 1845[31].
- Première Guerre Mondiale
Dès le début du mois de , Larbroye, comme toute la région, est occupé par l'armée allemande et restera loin du front qui se stabilisera à quelques kilomètres à sud-ouest vers Lassigny et Ribécourt-Dreslincourt jusqu'au début de 1917. Les occupants se livreront à de nombreuses exactions sur les habitations.
Le propriétaire du château, soupçonné d'espionnage fut emprisonné à Noyon. Quand il revint fin septembre son château avait été pillé et incendié par l'ennemi[32].
Pendant 30 mois les habitants vivront sous le joug des occupants qui réquisitionnent des pièces dans les habitations, le matériel, la nourriture et obligent hommes et femmes à travailler dans les champs pour nourrir les soldats du front.
En , lors du retrait des Allemands sur la ligne Hindenburg, le village est évacué par l'ennemi [33]. Le secteur passe sous contrôle allié et sera de nouveau repris par l'ennemi lors de l'offensive du printemps de . C'est au cours de cette période que les bombardements feront de nombreux dégâts à la mairie, à l'église et aux habitations. Ce n'est que début que le secteur sera définitivement repris.
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[34] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [35].
Après l'Armistice, peu à peu les habitants revinrent s'installer à Larbroye. Pour eux commença une longue période de plus de dix ans de reconstruction des habitations (maisons provisoires), des fermes, des bâtiments publics, des routes.
- L'église vant 1914.
- Etat de l'église à la fin de la guerre.
- Ruines de l'église à la fin de la guerre.
- Carte postale du village avant 1914.
- Etat du village en 1918.
- La rue de l'église en 1918.
- Ruines du château incendié en devant lequel paradent des soldats allemands.
Ruines du château du bas en 1918.
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la sixième circonscription de l'Oise.
Elle fait partie depuis 1801 du canton de Noyon[36]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 23 à 42 communes.
Intercommunalité
La commune est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, créée en 1994 sous le nom de communauté de communes de la haute vallée de l’Oise et qui succédait au district de la haute vallée de l’Oise.
Liste des maires
Démographie
- Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[43].
En 2018, la commune comptait 514 habitants[Note 7], en augmentation de 4,05 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
- Pyramide des âges en 2007
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (16,8 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (51,5 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
- 51,5 % d’hommes (0 à 14 ans = 25,2 %, 15 à 29 ans = 12,4 %, 30 à 44 ans = 22,3 %, 45 à 59 ans = 24,8 %, plus de 60 ans = 15,3 %) ;
- 48,5 % de femmes (0 à 14 ans = 21,1 %, 15 à 29 ans = 16,7 %, 30 à 44 ans = 20,6 %, 45 à 59 ans = 23,2 %, plus de 60 ans = 18,4 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La mairie-école actuelle est reconstruite après la Deuxième Guerre mondiale[31].
- Église Saint Pierre-ès-Liens de Larbroye. Détruite pendant la Première Guerre mondiale, l'église est reconstruite sur les plans de l'architecte J.M. Warin, en conservant une partie du chœur de l'église du XIXe siècle[47].
- Maisons de la Reconstruction, 52 et 60 rue de Noyon[48], et 247 rue de Montdidier[49].
- Château de Larbroye, propriété des Marcotte devenue par héritage, propriété de Marie Marcotte d'Argenteuil, épouse de Alexandre Legentil, bombardé par les Allemands, démoli et pillé en [50].
Personnalités liées à la commune
- Philippe Marcotte, seigneur de Pyn (1742-1791), receveur des fermes à Noyon et Doullens[réf. nécessaire].
- Alexandre Legentil[pourquoi ?] (1821-1889), initiateur du projet de la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre.
Héraldique
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Les armes de Larbroye se blasonnent ainsi : |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Larbroye sur le site de l'Institut géographique national
- Les dossiers de l'Inventaire général du patrimoine culturel sur la commune de Larbroye
- « Dossier complet : Commune de Larbroye (60348) », Recensement général de la population de 2016, INSEE, (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.
Notes et références
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- « Déblocage sur l’axe Noyon-Lassigny : Larbroye va renoncer à la pose de neuf ralentisseurs pour un projet anti-vitesse plus doux, à cette sortie où passent 5 300 véhicules chaque jour. Le point sur le dossier », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- « Noyon ouvre une voie douce », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- « Ils craignent le bruit de la future déviation ouest de Noyon : Les habitants de la sortie de la ville, à Larbroye, réclament des mesures limitant l’impact sonore de la route prévue pour 2021. Le Département mise sur la pose d’un revêtement spécial », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Larbroye et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Larbroye et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Noyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Isabelle Barbedor, Michel Hérold, Alain Nafilyan, « Le canton de Noyon : le territoire de la commune de Larbroye », Région Hauts-de-France - Inventaire général (consulté le ).
- Emmanuel Woillez, Répertoire archéologique du département de l'Oise, Paris, Imprimerie impériale, coll. « rédigé sous les auspices de la Société académique d'archéologie, sciences et arts de ce département », , 213 p. (lire en ligne), p. 144, lire en ligne sur Gallica.
- Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, Imprimerie A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 259-260, lire en ligne sur Gallica.
- Alphone Ponthieux, « La justice du chapitre cathédral de Noyon : Fragments de registres d'audiences extraordinaires Août 1702-20 octobre 1706 ; 19 mai 1708, 4 janvier 1715. », Comité archéologique et historique de Noyon - Comptes rendus et mémoires lus en sénace, t. XVII, , p. 201 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
- Alphone Ponthieux, « La justice du chapitre cathédral de Noyon : Plaids du 5 juin 1646 au 30 octobre de la même année », Comité archéologique et historique de Noyon - Comptes rendus et mémoires lus en sénace, t. XVII, , p. 159 (lire en ligne, consulté le ), lire en ligne sur Gallica.
- Gaëtan Legrand, La Région soumise à la coutume du Vermandois, , 21 p. (lire en ligne), p. 16, lire en ligne sur Gallica.
- A. Ponthieux, « Les derniers religieux des Abbayes et Couvents de Noyon en 1790 : L'abbaye d'Ourscamp », Comptes rendus et mémoires lus aux séances - Comité archéologique et historique de Noyon, vol. 2, t. XXIV, , p. 182-190 (lire en ligne, consulté le ) lire en ligne sur Gallica.
- Michel Hérold, Alain Nafilyan, « Mairie et école primaire de Larbroye », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
- Baron A de Maricourt, L'Oise dévastée, Paris, Librairie Félix Alcan, coll. « La France dévastée », , 142 p. (lire en ligne), p. 109, lire en ligne sur Gallica.
- « 16 mars 1917 », Cartographie 1914 - 1918 Le front ouest de la première guerre mondiale (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 18 février 1921, p. 2098.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Les maires de Larbroye », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- « Le carnet », Courrier d'État, no 17, , p. 4 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- « Le carnet », Courrier d'État, no 18, , p. 4 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
- « LARBROYE Didier Wattiaux en pôle », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Didier Wattiaux, retraité, conseiller municipal sortant et adjoint au maire de 2008 à 2012, conduit l’unique liste pour les municipales ».
- « Larbroye », Cartes de France (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Évolution et structure de la population à Larbroye en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Michel Hérold, Alain Nafilyan, « Église paroissiale Saint Pierre-ès-Liens de Larbroye », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
- Michel Hérold, Alain Nafilyan, « Ensemble de deux maisons à Larbroye », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
- Michel Hérold, Alain Nafilyan, « Maison à Labroye », Région Hauts-de-France - Inventaire général, (consulté le ).
- Jacques Benoist, Le Sacré-Cœur de Montmartre, vol. 3, éditions de l'Atelier, coll. « Patrimoine » (no 1), , 1174 p. (ISBN 2-7082-2978-8, lire en ligne), p. 1062.
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