Plouguin
Plouguin [pluɡɛ̃] (en breton : Plougin) est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France.
Plouguin | |
La mairie. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Bretagne |
Département | Finistère |
Arrondissement | Brest |
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays des Abers |
Maire Mandat |
Roger Talarmain 2020-2026 |
Code postal | 29830 |
Code commune | 29196 |
Démographie | |
Gentilé | Plouguinois |
Population municipale |
2 160 hab. (2018 ) |
Densité | 70 hab./km2 |
Population agglomération |
37 226 hab. |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 32′ nord, 4° 36′ ouest |
Altitude | Min. 0 m Max. 84 m |
Superficie | 31,02 km2 |
Type | Commune rurale et littorale |
Aire d'attraction | Brest (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Plabennec |
Législatives | Troisième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site de la commune |
Géographie
Située à 20 km au nord-ouest de Brest, à 7 km de la Manche, la commune est traversée du sud au nord par une rivière, le Garo, sur le cours de laquelle ont été construits de nombreux moulins.
Plouguin est bordée au nord par l'Aber Benoît, une ria comme il en existe plusieurs dans le Nord-Finistère. Il s'agit d'une commune rurale.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ploudalmezeau », sur la commune de Ploudalmézeau, mise en service en 1998[7] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 006,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Brest-Guipavas », sur la commune de Guipavas, mise en service en 1945 et à 18 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 11,5 °C pour 1981-2010[12], puis à ,7 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Plouguin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[15],[16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Brest, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].
La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[19]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,5 %), zones agricoles hétérogènes (43,6 %), prairies (3,8 %), zones urbanisées (3,3 %), forêts (2,8 %), zones humides côtières (0,1 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Ploueguen en 1172[24], Ploeken vers 1330, Ploeguin en 1371, Ploeguen en 1481, Ploueguenen 1544[25].
Plouguin vient du breton ploe (paroisse) et Gwen. « La paroisse de Gwen »[24].
Histoire
Origines
Les Bretons, originaires de Grande-Bretagne (Cornouailles, Pays de Galles, Écosse) sont arrivés en Armorique entre le Ve et le VIIIe siècle. Ils fondèrent les anciennes paroisses bretonnes dont le nom commence par Plou.
Antiquité
Bien avant cela, l'histoire du pays a vu se succéder des peuples qui ont chacun laissé quelques traces :
- Du Paléolithique et du Mésolithique persistent des sites de pierres taillées et des bifaces.
- Du Néolithique datent les menhirs ; c'est aussi l'époque des pierres polies de Plouguin.
- Puis il y eut l'âge du bronze, important dans la région, riche en étain. Les tumulus datent de cette époque.
- Les Celtes occupèrent ensuite le pays. Ils ont laissé les stèles en granit, nombreuses dans le Nord-Finistère.
- L'époque romaine ou gallo-romaine fut également très riche, de nombreuses traces d'occupation de cette époque en témoignent : enclos, meules.
Dans les musées, on peut trouver quelques objets originaires de Plouguin. Les plus intéressants se trouvent au musée de Penmarc'h qui possède une belle collection de haches en fibrolite et des percuteurs trouvés à Lannalouarn. On peut aussi y voir le poignard en cuivre trouvé par le Dr L'Hostis à Kerhuguellou. À signaler également, un magnifique bloc de fibrolite polychrome dans l'entrée du musée.
Au musée des antiquités nationales de Saint-Germain-en-Laye, sont conservés le vase de Castellourop (non exposé), quelques fragments osseux et un galet appointé (venant sans doute du tumulus de Croas Hir). Mais l'épée signalée par Du Châtelier semble avoir disparu.
Saint Fragan, sainte Gwenn, saint Guénolé, la fondation du château de Lesguen (Lesven) et la bataille de Lochrist (au IVe siècle)
Saint Fragan fut le fondateur du château de Lesguen (cours de Guen, Guen ou Gwen signifiant "Blanche" en breton, sainte Gwenn étant l'épouse de saint Fragan), dit encore Lesven, dans l'actuelle commune de Plouguin[26] :
« Fragan et Guen, se retirèrent en leur gouvernement et bâtirent, en la paroisse de Ploukin (Plouguin), diocèse de Léon, un beau château qui, du nom de la dame, fut nommé Les - Guen où ils firent leur nécessaire résidence. (...) Un jour saint Gwennolé étant par permission de saint Corentin, allé voir son père qui était pour lors en Léon, certains pirates païens, que Fragan avait chassés de Léon, du temps du feu roi Conan, revinrent en plus grand nombre, résolus de prendre terre et s'y habituer. Leur flotte ayant paru en mer, l'alarme se donna à la côte et Fragan, ayant amassé une petite armée à la hâte, encouragé par saint Guennolé, marche vers le rivage de la mer pour empêcher l'ennemi de descendre et, étant en la paroisse de Guic-Sesni (Guissény), près Lavengat[27], ils aperçurent la flotte ennemie en rade, si épaisse que les mâts de navire semblaient représenter une forêt, ce qu'étant vu par le conducteur de l'avant-garde, il s'écria Me a vel mil guern, c'est-à-dire "je vois mille mâts de navires". En mémoire de quoi, après la bataille fut dressée en ce lieu une croix qui encore à présent s'appelle Kroaz ar mil guern... Après la victoire, Guennolé exhorta son père et les chefs de l'armée d'employer le butin pris sur les ennemis pour bâtir un monastère[28] en l'honneur de la Sainte Croix au même lieu où fut donnée la bataille qui s'appelait an Izel-Vez, en la paroisse de Plounévez, ce qui fut fait et fut nommé Loc-Christ.(extrait de "La vie des saincts de la Bretaigne armorique" par Albert Le Grand, 1re édition en 1637)[29]. »
Époque moderne
En 1759, une ordonnance de Louis XV ordonne à la paroisse de Plouguin de fournir 22 hommes et de payer 144 livres pour « la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne »[30].
Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Plouguin en 1778 :
« Plouguin ; à 10 lieues et demie à l'ouest-sud-ouest de Saint-Pol-de-Léon, son évêché ; à 49 lieues de Rennes et à 4 lieues de Brest, sa subdélégation et son ressort. Cette paroisse relève du Roi, et compte 2 000 communiants[31]; la cure est présentée par l'Évêque. Ce territoire, arrosé par plusieurs bras de mer et coupé de vallons, offre à la vue des plaines et des coteaux ; les terres sont fertiles et très exactement cultivées[32]. »
Révolution française
Tanguy Jacob, né le à Mesnaot Saint-Pabu, fut le dernier prêtre guillotiné dans le Finistère (le 24 Vendémiaire an III, à Brest) pendant la Révolution française. Nommé en 1785 vicaire à Saint-Pabu, il refusa de prêter serment à la Constitution civile du clergé, devenant donc prêtre réfractaire et continua à célébrer des messes, baptêmes, etc. dans la clandestinité. Il fut arrêté sur dénonciation, en même temps que Claude Chapalain[33], vicaire à Sizun, et la sœur de ce dernier, Marie Chapalain[34], qui les hébergeait à Kernizan[35] ; tous les trois furent guillotinés à Brest le 24 vendémiaire an III ()[36]. Le , l'évêque de Quimper et de Léon célébra une messe en leur mémoire en présence d'une foule immense où figuraient 2 500 descendants de Marie Chapalain[37].
La Belle Époque
En réponse à une enquête épiscopale organisée en 1902 par Mgr Dubillard, évêque de Quimper et de Léon en raison de la politique alors menée par le gouvernement d'Émile Combes contre l'utilisation du breton par les membres du clergé, le recteur de Plouguin, l'abbé Le Sam, écrit : « Le breton est l'idiome parfaitement compris de toute la population sans exception »[38].
La Première Guerre mondiale
Le monument aux morts de Plouguin porte les noms de 95 marins et soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale ; parmi eux deux au moins (Jean Léost, François Roussel) sont des marins disparus en mer ; Joseph Le Hir est mort à Zuydcoote (Belgique) le ; la plupart des autres sont décédés sur le sol français[39].
La Seconde Guerre mondiale
Le château de Lesven, en Plouguin, abrita un poste de commandement allemand pendant la Deuxième Guerre mondiale.
Le monument aux morts de Plouguin porte les noms de 12 personnes mortes pour la France pendant la Deuxième Guerre mondiale ; parmi elles, René Conq est mort le à Auxerre pendant la Débâcle ; trois (Jean Le Gall[40], Émile Tréguer[41], Gabriel Tournellec[42]) sont des marins décédés le lors de la bataille de Mers el-Kébir ; Paul Bernicot est mort le au Viet-Nam ; Eugène Forest[43] est mort en déportation au camp de concentration de Buchenwald le [39].
Politique et administration
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[45].
En 2018, la commune comptait 2 160 habitants[Note 6], en augmentation de 2,47 % par rapport à 2013 (Finistère : +0,86 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Langue bretonne
L’adhésion à la charte Ya d’ar brezhoneg a été votée par le conseil municipal le .
Monuments
Monuments remarquables
Deux monuments historiques sont présents sur la commune de Plouguin :
- menhir de Lann al Louarn (ou Menhir de Lannoulouarn), classé au titre des monuments historiques par décret du [48] ;
- menhir de Kervignen-Bras, classé au titre des monuments historiques par arrêté du [49].
Autre monument :
- L'église Saint-Pierre.
- Le menhir de Kervignen-Bras.
Châteaux et manoirs de Plouguin
- Ancien camp gaulois près de Castellourop (Castellum Collobii)
- Ancienne motte féodale de Château Gauthier
- Ancien enclos circulaire de Kérozal « Kastel Roué César » (médiéval ?)
- Ancienne tour, ou enclos de Lesven « an tour moan », peut-être déformation de "tour mean" = tour de pierre. (résidence de Fragan ?)
- Bâtisse fortifiée de Château-Gauthier
Aveu de 1641 (vicomté de Coat-Méal) Cite : Kérozal, Lescalvar et leurs moulins
- Pen ar Van, Lesguen Bras et Lesguen Bihan
- Kerbezrec, Kerarnin, Kergue...(?)
- Lez, Kergonoy
- Lieu noble du Rest
- Kernoa en Plouguin ?
- Lieu noble de Traonmilin
- Château Houloup
- Kerouledic
- Maison d'Antoine Perron
1674 Cité par Éliès
- Treffmenguy (bourg): 4 maisons nobles
- Manoir de Plouguin
- Manoir du seigneur de la Porte Neuve Le Verger
- Manoir de Pen ar Van
- La maison de la Barre
- Lescalvar
- Kérozal, Lezguenn, Keroulidig, Kerbezrec, Lannalouarn, Lanrivanan
- Lescoat, Kastellourop, Kermorvan
- Lieu et chapellerie de Locmajan
Ces manoirs étaient parfois assez riches pour posséder un pigeonnier.
- (Lezcalvar, Lescoat, Pen ar Van, Kérozal)
Parfois il y avait une chapelle.
- (Pen ar Van, Lezcalvar-Saint-Julien, Kérozal, Larivanan[51], Lesven)
Ou un moulin.
- (Lesven, Kerbérec, Kérozal, Lescalvar)
Kérozal a été détruit il y a quelques dizaines d'années. Le manoir du bourg également (du côté de Ty Coz). Il reste Kerbérec, Keroulidic, Lescalvar, Kermorvan, Pen ar van, Lesven. Au nord de Lannalouarn, il y avait une ancienne maison : Kermanar'h ou Kermanner.
La clochette de la chapelle Saint-Julien a été retrouvée par le propriétaire. Les bénitiers de la chapelle Saint-Rivanon et une pierre de faîtage du pignon ont également été retrouvés.
Au XVIe siècle, Plouguin faisait partie de la sénéchaussée de Brest et Saint-Renan [52].
Personnalités
- Jean-Hyacinthe-Adolphe Collas de La Motte, militaire et homme politique, né à Plouguin ;
- L'abbé Augustin Conq, poète.
- Jos Le Bras écrivain et activiste breton
Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
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- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Hervé Abalain, Noms de lieux bretons, Paris, Editions Jean-paul Gisserot, coll. « Universels Gisserot » (no 22), , 126 p. (ISBN 978-2-87747-482-5, OCLC 44926369, lire en ligne).
- infobretagne.com, « Étymologie et Histoire de Plouguin » (consulté le ).
- Infobretagne
- Lieu-dit actuel de la commune de Guissény
- Il s'agit en fait du prieuré de Lochrist-an-Izelvet (ou Izelvez) en Plounévez-Lochrist, voir http://www.infobretagne.com/plounevez-prieure-lochrist.htm
- Albert Le Grand, La vie, gestes, mort et miracles des Saints de la Bretagne Armorique, ensemble un catalogue des évêques des neuf eveschés d'icelle, 1659, disponible sur Google Livres
- >"Ordonnance... portant imposition pour la dépense annuelle de la garde-côte de Bretagne", 1759, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k97412315/f8.image.r=Plovan
- Personnes en âge de communier
- Jean-Baptiste Ogée, "Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne", tome 3 , 1778, consultable https://archive.org/details/dictionnairehist03og
- Claude Chapalain, né le à Bourg-Blanc
- Marie Chapalain, née le à Bourg-Blanc
- « Marie Chapalain immortalisée sur CD », Le Télégramme, (lire en ligne, consulté le ).
- « Prêtres et laïcs victimes de la Révolution française - Diocèse de Quimper », sur Quimper.fr (consulté le ).
- Jean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours ? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", éditions Dialogues, Brest, 2012, (ISBN 978-2-918135-37-1).
- Fanch Broudic, L'interdiction du breton en 1902, Coop Breizh, (ISBN 2-909924-78-5).
- « Plouguin », sur MémorialGenWeb (consulté le ).
- Jean Le Gall, né le à Plouguin, second-maître électricien à bord du contre-torpilleur Mogador
- Émile Tréguer, né le à Plouguin, quartier-maître canonnier à bord du contre-torpilleur Mogador également
- Gabriel Tournellec, né le à Plouguin, quartier-maître canonnier à bord du cuirassé Bretagne
- Eugène Forest, né le à Plouguin, résistant arrêté le par la Gestapo, voir http://memoiredeguerre.pagesperso-orange.fr/deportation/29/p6-list-def.htm
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Notice no PA00090251, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00090250, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Histoire de l'église de Plouguin » (consulté le ).
- Ce toponyme dénonce un composé de « Lann », ermitage, monastère du haut Moyen Âge, et de l'hagionyme Riwanon. Michel Priziac et Michel Mohrt, Bretagne des saints et des croyances, Kidour, , p. 486.
- Jean Kerhervé, Anne-Françoise Pérès, Bernard Tanguy, Les biens de la Couronne dans la sénéchaussée de Brest et Saint-Renan, d'après le rentier de 1544, Institut culturel de Bretagne, 1984.
Voir aussi
Bibliographie
- Plouguin cité royale, Chanoine Éliès
- Dictionnaire des noms de communes du Finistère, Bernard Tanguy
- Mémoire de maîtrise, Matthieu Créach
Liens externes
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