Plessis-de-Roye

Plessis-de-Roye, appelée également Plessier-de-Roye comme écrit sur le panneau d'entrée du village, est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Plessis-de-Roye

L'église Saint-Jean-Baptiste.
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité Communauté de communes du Pays des Sources
Maire
Mandat
Patrick Peyr
2020-2026
Code postal 60310
Code commune 60499
Démographie
Population
municipale
232 hab. (2018 )
Densité 37 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 34′ 44″ nord, 2° 49′ 56″ est
Altitude Min. 72 m
Max. 180 m
Superficie 6,2 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thourotte
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Plessis-de-Roye
Géolocalisation sur la carte : Oise
Plessis-de-Roye
Géolocalisation sur la carte : France
Plessis-de-Roye
Géolocalisation sur la carte : France
Plessis-de-Roye
Liens
Site web www.plessisderoye.fr

    Géographie

    Localisation

    Le village de Plessis-de-Roye est situé en France, à 21 km au sud-est de Montdidier, 18 km au nord de Compiègne et 13 km à l'ouest de Noyon. Il est accessible depuis l'autoroute A1.

    La partie sud-ouest de la commune est boisée, et le village est adossé aux coteaux qui occupent la région méridionale de l'ancien canton de Lassigny.

    Communes limitrophes

    Canny-sur-Matz Lassigny Dives
    Gury N
    O    Plessis-de-Roye    E
    S
    Mareuil-la-Motte Thiescourt
    Entrée du village: Plessier-de-Roye ou Plessis-de-Roye.

    Hameaux et écarts

    Écart : Belval, en continuité de celui de celui du Petit-Bocage, qui se trouve dans la commune de Thiescourt.

    Hydrographie

    La Divette[1] et le ruisseau des Prés de Vienne prennent leur source au Plessis-de-Roye. Après leur confluent, la Divette rejoint l'Oise, affluent de la Seine.

    Le ruisseau de Belval se jette dans la Broyette, qui conflue dans la Divette.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,6 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 722 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,4 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[8] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[9],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 38 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[12] à 10,3 °C pour 1981-2010[13], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Plessis-de-Roye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46 %), terres arables (43,1 %), zones urbanisées (6,4 %), prairies (3,9 %), zones agricoles hétérogènes (0,5 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Le village s'est appelé le Plessis-de-Roye, Plessier-de-Roye, Plessis-Belval, le Plaissier, Plaissis[22]

    Durant la Révolution, la commune porte le nom de Plessis-Belval[23].

    Histoire

    La mairie.
    Le monument aux morts.

    Première Guerre mondiale

    La commune a été fortement touchée par les combats de la Première Guerre mondiale lors desquels le château a été totalement détruit[Note 7],[24],[25].

    François Flameng, peintre officiel de l'armée a immortalisé ces durs combats dans de nombreux croquis et dessins qui furent publiés par la revue L'Illustration.

    Le , le 9e régiment de cuirassiers perd 4 915 hommes vers Plessis-de-Roye, durant la bataille du Matz, qui s'est déroulée du 5 au dans les environs de la Matz, dans le cadre plus général de la seconde bataille de la Marne.

    Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[26],[27] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [28].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la sixième circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Lassigny[23]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais intégrée au canton de Thourotte.

    Intercommunalité

    La commune est membre de la communauté de communes du Pays des Sources, créée fin 1996.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    juin 1995[29] En cours
    (au 26 janvier 2019)
    Patrick Peyr   Employé
    Vice-président de la CC du Pays des Sources (2014 → )
    Réélu pour le mandat 2014-2020[30]

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

    En 2018, la commune comptait 232 habitants[Note 8], en diminution de 1,69 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    319306355345377382382381382
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    363366378359326307299280275
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    237237281113154166156139144
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008
    119116121107147193225230234
    2013 2018 - - - - - - -
    236232-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[33].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (15,4 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). Contrairement aux répartitions nationale et départementale, la population masculine de la commune est supérieure à la population féminine (50,4 % contre 48,4 % au niveau national et 49,3 % au niveau départemental).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

    • 50,4 % d’hommes (0 à 14 ans = 24,6 %, 15 à 29 ans = 17,8 %, 30 à 44 ans = 19,5 %, 45 à 59 ans = 22,9 %, plus de 60 ans = 15,2 %) ;
    • 49,6 % de femmes (0 à 14 ans = 19 %, 15 à 29 ans = 19,8 %, 30 à 44 ans = 21,6 %, 45 à 59 ans = 24,1 %, plus de 60 ans = 15,5 %).
    Pyramide des âges à Plessis-de-Roye en 2007 en pourcentage[34]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,9 
    4,2 
    75 à 89 ans
    4,3 
    11,0 
    60 à 74 ans
    10,3 
    22,9 
    45 à 59 ans
    24,1 
    19,5 
    30 à 44 ans
    21,6 
    17,8 
    15 à 29 ans
    19,8 
    24,6 
    0 à 14 ans
    19,0 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[35]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Enseignement

    Les enfants du village sont scolarisés à Lassigny, ainsi que ceux de Crapeaumesnil, Fresnières, Gury[36].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Monuments aux libérateurs de la France, inauguré le par le maréchal Foch, le monument aux défenseurs de l’Île de France rend aussi hommage aux enfants de la commune morts au champ d'honneur[réf. nécessaire].

    L'église St-Jean-Baptiste

    Personnalités liées à la commune

    • Louis Ier de Bourbon-Condé (1530-1569), prince de Condé, duc d'Enghien, prince du sang de la Maison de Bourbon, chef protestant, mort assassiné à la bataille de Jarnac. Il épousa à Plessis-de-Roye le , Éléonore de Roye (1535-1564), protestante, fille de Charles de Roye, comte de Roucy, et ils eurent sept enfants.
    • Antoine-Marie-Julien-Charles-Ghislain de Héricourt (1777-1843), comte de Héricourt, maire du Plessis-de-Roye, né à Amiens et décédé à Schwalbach, Allemagne[réf. nécessaire].
    • Alain-Anne-Marie-Léonce du Pontavice du Vaugarny (1903-1983), maire du Plessis-de-Roye[Quand ?], né à Boussay (Indre-et-Loire) et décédé à Plesis-de-Roye[réf. nécessaire].

    Héraldique

    Les armes de Plessis-de-Roye se blasonnent ainsi :
    D'azur à trois fleurs de lis d'or, au bâton de gueules péri en bande.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Comte Jules Delaborde, Eléonore de Roye, princesse de Condé (1535-1564), 1876.
    • Henri d'Orléans, Histoire des Princes de Condé pendant les XVIe et XVIIe siècles, 1863-64.
    • Henry Bordeaux, Un coin de France pendant la guerre. Le Plessis-de-Roye (-), 1920.

    Articles connexes

    Liens externes

    • Carte spéciale des régions dévastées : 22 SO, Laon [Sud-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Il en existe des photos prise par l'armée, dont l'une intitulée "Plessis-de-Roye, Oise, aile du château en ruines, 22 aout 1918, opérateur Jacques Ridel - SPA 62 w 2526.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Retour au naturel pour la Divette dans le Noyonnais : Le lit de la rivière va être retracé pour retrouver son lit d’origine, dès la fin de l’année. L’un des principaux objectifs : réduire les risques d’inondations l’hiver pour les habitants », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    5. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    8. « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Plessis-de-Roye et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Plessis-de-Roye et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod, « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    22. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Lassigny, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 111 p. (lire en ligne), p. 67-68.
    23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    24. Résultat de la requête sur le site de ecpad : 2 photos de 1918 et un film .
    25. Section photographique de l'armée, « Photo : Plessier-de-Roye. L'église : contrefort de la façade ouest et tableau des soldats tombés dans le secteur », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 20, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    26. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
    27. Section photographique de l'armée, « Photo : Plessier-de-Roye. Le parc après notre préparation d'artillerie », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 20, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, début avril 1918 (consulté le ).
    28. Journal officiel du , p. 2098.
    29. « Le maire Patrick Peyr vise un quatrième mandat », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ) « Parmi les gros travaux réalisés sous sa mandature, la commune a effectué l'aménagement d'une grande salle à l'étage de la mairie. À terme, elle deviendra la salle du conseil : l'actuelle pouvant être dévolue à d'autres activités ».
    30. « Plessis-de-Roye », Cartes de France (consulté le ).
    31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    34. « Évolution et structure de la population à Plessis-de-Roye en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    35. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    36. « La nouvelle cantine espérée cette année à Lassigny », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    37. Dominique Vermand, « Plessis-de-Roye, église Saint-Jean-Baptiste », Diocèse de Noyon, sur Églises de l'Oise - Art roman et gothique (consulté le ).
    38. Section photographique de l’Armée, « Photo : Plessier-de-Roye. L'église », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - volume n°20, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    39. « L’église, le gros chantier de Patrick Peyr », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    40. Section photographique de l'armée, « Photo : Plessier-de-Roye. Le château : abris dans les fossés », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 20, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    41. « A Plessis-de-Roye, les ruines du château se dévoilent samedi », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
    42. Section photographique de l'armée, « Photo : Plessier-de-Roye. Le château : les fossés », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 20, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
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