Gury

Gury est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Pour les articles homonymes, voir Gury.

Gury

Mairie
Administration
Pays France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité Communauté de communes du Pays des Sources
Maire
Mandat
Sandrine Pillot
2020-2026
Code postal 60310
Code commune 60292
Démographie
Gentilé Gurichons, Gurichonnes
Population
municipale
240 hab. (2018 )
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 34′ 15″ nord, 2° 48′ 05″ est
Altitude Min. 83 m
Max. 183 m
Superficie 5,01 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Thourotte
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Gury
Géolocalisation sur la carte : Oise
Gury
Géolocalisation sur la carte : France
Gury
Géolocalisation sur la carte : France
Gury

    Géographie

    Localisation

    Situé à l'ouest de Noyon, le village picard du Noyonnais est situé au carrefour des routes départementales RD 27 et RD 78.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,8 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 14,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 2] : 726 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,6 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ribecourt », sur la commune de Ribécourt-Dreslincourt, mise en service en 1976[7] et qui se trouve à 11 km à vol d'oiseau[8],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 738,4 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 4], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 40 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,3 °C pour 1981-2010[12], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Gury est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[17],[18].

    Occupation des sols

    Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (57 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52 %), forêts (39 %), zones urbanisées (5,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,5 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Histoire

    Antiquité

    Une nécropole comprenant des monuments antiques a été mise au jour lors de fouilles effectuées en 1869[21],[22].

    Moyen Âge

    L'église Saint-Denis est mentionnée dans une charte de l’abbaye Saint-Corneille de Compiègne en 936[23].

    Les moines de l’Abbaye Notre-Dame d'Eaucourt à Warlencourt-Eaucourt fondent au XIIe siècle dans le village, dans lequel ils ont des propriétés, le prieuré de Notre-Dame du Valfleury[23].

    Détruit au cours des guerres du Moyen Âge, le village est alors reconstruit plus bas dans le vallon. Seul l'actuel cimetière subsiste à l'emplacement ancien du village[23].

    Première Guerre mondiale

    Au cours de la Première Guerre mondiale, la mairie-école est partiellement détruite[24],[25],[26].

    L'armée française utilise dès le début des hostilités l'église paroissiale comme poste d’observation sous le nom de poste Galiéni, car permettant de surveiller la plaine de la Somme (par temps clair, jusqu’à Roye), ainsi que Crapeaumesnil, Fresnières et Lassigny, après en avoir détruit le clocher[27], afin d'éviter qu'il ne serve de point de repère pour l'ennemi. L'édifice est dynamité par les armées allemandes en [23]. Le château est également dégradé[28], ainsi que d'autres propriétés privées[29],[30].

    Le village a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [31], et est reconstruit par les habitants à partir de 1919, avec notamment une chapelle provisoire, qui existe toujours en 2017, non loin de la mairie[24].

    Deuxième Guerre mondiale

    Au début de la Seconde Guerre mondiale, lors de la bataille de France, le village est bombardé par l'aviation allemande les et [24].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et électoraux

    La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la sixième circonscription de l'Oise.

    Elle faisait partie depuis 1901 du canton de Lassigny[32]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton de Thourotte.

    Intercommunalité

    La commune fait partie de la communauté de communes du Pays des Sources, créée en 1997.

    Liste des maires

    Liste des maires successifs[33]
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    avant 1939[34] après 1945[34] Pierre Pillot   Cultivateur
    Réélu le 17 mai 1945[34].
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 2001 2008 David Ares    
    mars 2008 En cours
    (au 5 septembre 2014)
    Jean-François Sengelin   Commerçant
    Réélu pour le mandat 2014-2020[35]

    Population et société

    Démographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].

    En 2018, la commune comptait 240 habitants[Note 7], en augmentation de 5,26 % par rapport à 2013 (Oise : +1,44 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    230214238260273285244235241
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    228221216208202195210229206
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    20418616698145141150134125
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    131134131135137172191214239
    2018 - - - - - - - -
    240--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[38].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Pyramide des âges en 2007

    La population de la commune était relativement jeune. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (16,2 %) était en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune était supérieure à la population masculine. Le taux (51,8 %) était du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

    La répartition de la population de la commune par tranches d'âge était, en 2007, la suivante :

    • 48,2 % d’hommes (0 à 14 ans = 25 %, 15 à 29 ans = 14,1 %, 30 à 44 ans = 30,4 %, 45 à 59 ans = 16,3 %, plus de 60 ans = 14,1 %) ;
    • 51,8 % de femmes (0 à 14 ans = 26,3 %, 15 à 29 ans = 15,2 %, 30 à 44 ans = 26,3 %, 45 à 59 ans = 14,1 %, plus de 60 ans = 18,2 %).
    Pyramide des âges à Gury en 2007 en pourcentage[39]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,0 
    90  ans ou +
    0,0 
    4,3 
    75 à 89 ans
    9,1 
    9,8 
    60 à 74 ans
    9,1 
    16,3 
    45 à 59 ans
    14,1 
    30,4 
    30 à 44 ans
    26,3 
    14,1 
    15 à 29 ans
    15,2 
    25,0 
    0 à 14 ans
    26,3 
    Pyramide des âges du département de l'Oise en 2007 en pourcentage[40]
    HommesClasse d’âgeFemmes
    0,2 
    90  ans ou +
    0,8 
    4,5 
    75 à 89 ans
    7,1 
    11,0 
    60 à 74 ans
    11,5 
    21,1 
    45 à 59 ans
    20,7 
    22,0 
    30 à 44 ans
    21,6 
    20,0 
    15 à 29 ans
    18,5 
    21,3 
    0 à 14 ans
    19,9 

    Enseignement

    Depuis les années 1970, il n'y a plus d'école à Gruny. Les enfants d'âge scolaire se rendent à Lassigny, village voisin[24].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Saint-Denis
    • Église Saint-Denis en brique et pierre, reconstruite après les destructions de la Première Guerre mondiale. Cette nouvelle église, implantée au centre du village à la suite de la décision du conseil municipal « de ne plus mettre l’église sur le promontoire du cimetière, avec l’espoir de mettre ainsi le village à l’abri lors d’une nouvelle guerre » et inaugurée le [23].
    Elle possède un clocheton surmonté d'une croix en pierre et est couverte en tuile.
    • Mairie-école avec clocheton, touchée par les deux guerres mondiales[24].
    • Parc du château[41]

    Personnalités liées à la commune

    Jean-Louis Sourbieu (1903-1957), ouvrier agricole, français libre lors de la Seconde Guerre mondiale, sous-officier du Régiment de marche du Tchad, Compagnon de la Libération, est né à Gury[42].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
    7. « Station Météo-France Ribecourt - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Gury et Ribécourt-Dreslincourt », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Ribecourt - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Gury et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. A. de Roucy, Notice sur les fouilles effectuées à Gury en 1869, « Bulletin de la société historique de Compiègne », 1869, p. 223-231.
    22. Michel Roblin, Fontaines sacrées et nécropoles antiques..., 1976, vol. 62, numéro 168, p. 235-251, numéro thématique : La christianisation des pays entre Loire et Rhin (IVe – VIIe siècles)
    23. « Gury Lieux chargés d’histoire : sur les traces de l’église disparue : Suite et fin de notre série estivale, avec l’histoire rocambolesque de l’ancien édifice religieux de Gury. En 1919, la municipalité en avait fait construire un autre, ailleurs », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
    24. Le Courrier picard, « La mairie rescapée des deux guerres », 20 août 2017, p. 17.
    25. Section photographique de l'armée, « Gury. La mairie et le cimetière militaire », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 19, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    26. Section photographique de l'armée, « Gury. L'école », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 19, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    27. Cliché Jean Humbert, Section photographique de l'armée, « Photo : Gury. L'église », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 15, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    28. Section photographique de l'armée, « Gury. Le château », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 19, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    29. Cliché Jean Humbert, Section photographique de l'armée, « Photo : Gury. Ruines », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 19, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    30. Cliché Jean Humbert, Section photographique de l'armée, « Photo : Gury. Ruines », Fonds des Albums Valois - Département de l'Oise - Volume 19, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
    31. Journal officiel du 18 février 1921, p. 2098.
    32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    33. « Les maires de Gury », sur http://www.francegenweb.org.
    34. Gury 1939-1945, document mentionné en liens externes.
    35. « Gury », Cartes de France (consulté le ).
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    39. « Évolution et structure de la population à Gury en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    40. « Résultats du recensement de la population de l'Oise en 2007 », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    41. « Jardin d'agrément du manoir de Gury », notice no IA60001421, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    42. « Jean-Louis Sourbieu », Tous les Compagnons, Musée de l'Ordre de la Libération (consulté le ).
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