Pirou

Pirou est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 1 432 habitants[Note 1].

Pirou

Le château.
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Coutances
Intercommunalité Communauté de communes Côte Ouest Centre Manche
Maire
Mandat
Noëlle Leforestier
2020-2026
Code postal 50770
Code commune 50403
Démographie
Gentilé Pirouais
Population
municipale
1 432 hab. (2018 )
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 09′ 57″ nord, 1° 34′ 08″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 40 m
Superficie 29,11 km2
Type Commune rurale et littorale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Créances
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Pirou
Géolocalisation sur la carte : Manche
Pirou
Géolocalisation sur la carte : France
Pirou
Géolocalisation sur la carte : France
Pirou
Liens
Site web www.ville-pirou.fr

    Géographie

    Couvrant 2 911 hectares, le territoire de Pirou est le plus étendu du canton de Lessay et le deuxième de l'arrondissement de Coutances, après Hambye (2 957 hectares).

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[4].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de température : 11,2 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,1 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 890 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,8 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Coutances », sur la commune de Coutances, mise en service en 1974[9] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,2 °C et la hauteur de précipitations de 1 061,2 mm pour la période 1981-2010[11]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Granville – pointe du Roc », sur la commune de Granville, mise en service en 1973 et à 36 km[12], la température moyenne annuelle évolue de 11,6 °C pour la période 1971-2000[13] à 11,9 °C pour 1981-2010[14], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Pirou est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[16],[17],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[19],[20].

    La commune, bordée par la Manche, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[21]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[22],[23].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (75,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (24,9 %), zones agricoles hétérogènes (24,6 %), terres arables (24,2 %), forêts (13,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,6 %), zones urbanisées (4,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,9 %), zones humides intérieures (0,4 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes de Piroo au XIIe siècle (B.R. Leber, Savigny 137); Pirou en 1173 (cartulaire de Coutances, copie Delisle); Pirou vers 1175 (Wace, Rou, II, 3134); Piroium vers 1200 (Delisle notes d'après Liber ben. Exaq.); Pirou en 1216; de Piroio en 1217 (Lecacheux, H.D. Coutances); Pyraou en 1404 (A.M. H 5308)[26].

    Peut-être s'agit-il d'une formation toponymique gauloise en -avo[26] (-avum[26], autrement noté « -auos, -aua, -auon »[27]) qui explique souvent la terminaison -ou bien représentée en Normandie[26], par exemple dans l'ancien nom de pays Talou (in pago quoque Talavo, acte de l'abbaye de Fontenelle, daté de 734), et notamment dans la moitié sud de la région, dont l'Avranchin, par exemple dans Andillou (dans lequel on identifie le thème andel, commun en toponymie et en hydronymie)[26]. Cependant le premier élément Pir- est obscur[26].

    Une autre hypothèse évoque un dérivé du latin petra « pierre »[28] (comprendre le gallo-roman PETRA). Pirou représenterait alors la forme vocalisée de *pirol, variante de pierol, dérivé avec le suffixe -olu. Dans un premier temps, René Lepelley qui suggère cette explication, s'était rangé du côté de la première hypothèse dans un ouvrage antérieur[29].

    Une troisième explication plus ancienne et apparemment abandonnée aujourd'hui, se base sur un emploi suffixé de l’appellatif hou fréquent dans le Cotentin et identifié comme saxon ou anglo-saxon par les auteurs et qui signifie « promontoire en forme de talon, escarpement rocheux, rivage abrupt », ou encore « légère élévation »[30]. Le premier élément Pir- représenterait alors l’anglo-saxon pirige, pyrige avec g spirantique, pirie « poirier »[30]. Ce mot se rencontre fréquemment en toponymie anglaise. Le sens global serait « rocher des poiriers ». Ce nom, également porté par un rocher au large de Pirou, provient de celui du village[30]. La non-reprise de cette suggestion est sans doute à mettre en relation avec l'absence d'attestations en -hou (voir supra), contrairement aux autres toponymes de la Manche et des Îles anglo-normandes constitués avec cet appellatif.

    Le gentilé est Pirouais.

    Histoire

    Héraldique

    Les armes de la commune de Pirou se blasonnent ainsi :
    De sinople à la bande d'argent côtoyée de deux cotices du même[31].


    Politique et administration

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1953 Léon Sohier    
    1953 1965 Emile Giard    
    1965 1971 Jacques Picard    
    1971 1995 Claude Massu    
    1995 mars 2001 Paulette Lehalle-Deret   Directrice d'école à la retraite
    mars 2001[32] 2008 Noëlle Leforestier   Enseignante
    2008[33] mars 2014 Noël Augrandjean   Ingénieur
    mars 2014[34] février 2015 Michel Challe   Retraité chef d'entreprise BTP
    février 2015[35],[Note 7] En cours Noëlle Leforestier SE Retraitée de l'enseignement
    Pour les données antérieures, dérouler la boîte ci-dessous.

    Le conseil municipal est composé de dix-neuf membres dont le maire et quatre adjoints[38].

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40].

    En 2018, la commune comptait 1 432 habitants[Note 8], en diminution de 5,91 % par rapport à 2013 (Manche : −0,79 %, France hors Mayotte : +1,78 %). Pirou a compté jusqu'à 1 945 habitants en 1821.

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5531 6141 7591 9451 7381 7601 6831 6901 668
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5751 5311 5181 4201 4361 4321 4341 4111 405
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2481 2311 1769929819729959721 037
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    1 0591 0051 0161 1051 2241 3131 5631 5981 523
    2017 2018 - - - - - - -
    1 4381 432-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie et tourisme

    La culture des huîtres et des moules fait vivre bon nombre de locaux. La pêche aux bulots est parfaitement illustrée par les bulotiers ancrés à proximité de la plage.

    Le tourisme est l'autre principale ressource de la commune. La plage, sableuse, est longue et belle et permet des bains agréables et vivifiants, et permet la pratique de nombreux sports : planche à voile et kitesurf, bodyboard, char à voile et speed sail. La pêche à pied, réglementée, fait le plaisir des amateurs de coques, palourdes, moules ou huîtres sauvages. La pêche au bar est aussi très courue.

    Depuis , Pirou forme avec Saint-Germain-sur-Ay un groupement de « communes touristiques »[43].

    À l'instar de Saint-Rémy-des-Landes, Pirou exporte du courant électrique vers Jersey (à partir du poste de transformation de Périers)[44].

    En 1990, un projet immobilier, Aquatour, qui prévoit la construction de 75 maisons, d'un restaurant, des aménagements sportifs et d'un hôtel, échoue en raison de problèmes financiers du promoteur et de permis de construire accordés sans viabilisation. Le chantier s'arrête début 1992, laissant une trentaine de maisons inachevées, provoquant la faillite de plusieurs entreprises et la ruine de particuliers. Si, d'après la maire Noëlle Leforestier, les 80 propriétaires des maisons abandonnées sont indemnisés, l'enquête sur les responsables de ce fiasco se poursuit encore en 2016[45] Ce « village fantôme », comme le nomment les habitants, abrite plus d'une trentaine de bâtiments. Le lieu est peu à peu investi par des poètes, des artistes et des cinéastes. Il apparaît dans Visages, villages, un documentaire réalisé par Agnès Varda et JR[46]. Des graffeurs repeignent les murs de couleurs vives, avec des styles variés, contribuant à la notoriété du lieu. La municipalité a racheté le terrain et un nouveau projet devrait bientôt voir le jour[47] ,[48]. Le commence la destruction des bâtiments afin de laisser la place à un nouveau projet immobilier qui reste à définir[49].

    Lieux et monuments

    Activité et manifestations

    Jumelages

    Sports

    L'Espérance sportive de Pirou fait évoluer deux équipes de football en divisions de district[53].

    Personnalités liées à la commune

    • Michel Rapilly (1740-1797?), libraire, éditeur et marchand d'estampes et auteur d'un plan de Paris, né à Pirou[54].

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2018.
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Le 5 juin 2014, le tribunal administratif annule les résultats du scrutin de mars 2014 et inverse les résultats. La liste de Noëlle Leforestier remporte le scrutin : « Les élections municipales de Pirou, Courseulles et Cabourg examinées par la justice ». Le maire fait appel le 2 juillet, ce qui rend le jugement suspensif : « Élections municipales à Pirou. Appel du jugement du tribunal »
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    2. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
    3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    9. « Station Météo-France Coutances - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    10. « Orthodromie entre Pirou et Coutances », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station Météo-France Coutances - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    12. « Orthodromie entre Pirou et Granville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    13. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Granville – pointe du Roc - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
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    23. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur www.cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    26. François de Beaurepaire (préf. Yves Nédélec), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, Paris, A. et J. Picard, , 253 p. (ISBN 2-7084-0299-4, OCLC 15314425), p 31 -176
    27. Paul marchot, Les noms de lieu gaulois en « =auos, =aua, =auon » in Revue belge de Philologie et d'Histoire, 1922 1-4 pp. 641-648 (lire en ligne sur Persée)
    28. René Lepelley, Noms de lieux de Normandie et des îles Anglo-Normandes, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-247-9), p. 17.
    29. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Caen, Presses Universitaires de Caen, (ISBN 2-905461-80-2), p. 198a
    30. Louis Guinet, Contribution à l'étude des établissements saxons en Normandie : LES ILES ANGLO-NORMANDES, 29 (Hou), n° 23 (lire en ligne)
    31. « GASO, la banque du blason - Pirou Manche » (consulté le ).
    32. « Noëlle Leforestier présente la liste « Vivre Pirou » », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    33. « Le maire ne se représente pas : « Tout est décidé par règlements » », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
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    36. Pirou M'Interesse
    37. Annuaire du département de la Manche, 33e année 1861, p 102
    38. « Pirou (50770) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    43. [PDF] « Préfecture de la Manche - Recueil des actes administratifs - février 2010 » (consulté le ) : page 5.
    44. [PDF] rte-france Voir page 4.
    45. Pauline Tissot, Normandie - Pirou-Plage : un village abandonné réinvesti par des graffeurs, Le Point, 11 février 2016
    46. Juliette Lemeunier, « Décès d'Agnès Varda : " A Pirou, nous sommes fiers d'être dans son film " », France Bleu Cotentin, Vendredi 29 mars 2019, Lire en ligne
    47. Elise Ferret, Manche: une vidéo de Pirou, "le village fantôme" fascine les medias et les internautes, 16 février 2015,
    48. Céline Doublet-Segal, Nous avons visité le «village fantôme» de Pirou, petit paradis du graffiti, Le Figaro, 4 mars 2016
    49. « Le dernier soupir du « village fantôme » de Pirou », sur Le Monde.fr (consulté le ).
    50. Norbert Girard et Maurice Lecœur, Trésors du Cotentin : Architecture civile & art religieux, Mayenne, Éditions Isoète, , 296 p. (ISBN 978-2-9139-2038-5), p. 71.
    51. « Château », notice no PA00110540, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    52. « Œuvres mobilières à Pirou », base Palissy, ministère français de la Culture.
    53. « Esp. S. Pirou », sur le site officiel de la Ligue de Basse-Normandie (consulté le ).
    54. Michel Rapilly (1740-1797?)

    Voir aussi

    Articles connexes

    Lien externe

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