Picauville

Picauville est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 3 270 habitants[Note 1].

Picauville
De haut en bas, de gauche à droite : Le château d'Amfreville ; L'église Notre-Dame de Cretteville ; Le sanctuaire Notre-Dame de la Salette à Vindefontaine; L'église Saint-Candide de Picauville ; Le monument de la 2de guerre mondiale à Gourbesville  ; L'église Saint-Jean-Baptiste d'Houtteville.

Héraldique
Administration
Pays France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Cherbourg
Intercommunalité Communauté de communes de la Baie du Cotentin
Maire
Mandat
Marie-Hélène Perrotte
2020-2026
Code postal 50480, 50360 et 50250
Code commune 50400
Démographie
Gentilé Picauvillais
Population
municipale
3 270 hab. (2018)
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 22′ 47″ nord, 1° 25′ 03″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 41 m
Superficie 64,89 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Carentan-les-Marais
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Picauville
Géolocalisation sur la carte : Manche
Picauville
Géolocalisation sur la carte : France
Picauville
Géolocalisation sur la carte : France
Picauville

    Picauville
    commune déléguée
    Administration
    Pays France
    Maire délégué Marie-Hélène Perrotte
    Code postal 50360
    Code commune 50P20
    Démographie
    Population 1 908 hab. (2018)
    Densité 100 hab./km2
    Géographie
    Altitude Min. 2 m
    Max. 30 m
    Superficie 19,1 km2
    Historique
    Commune(s) d'intégration Picauville

      Elle est devenue le une commune nouvelle à la suite de sa fusion avec ses voisines Amfreville, Cretteville, Gourbesville, Houtteville et Vindefontaine[1]. Un an plus tard, Les Moitiers-en-Bauptois rejoignent la commune nouvelle[2],[3].

      Géographie

      Lors de la création de la commune nouvelle, la continuité territoriale avec Houtteville ne tient qu'à une bande de quelques dizaines de mètres en commun avec Cretteville

      Climat

      Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[5]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[6].

      Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[7]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

      Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[5]

      • Moyenne annuelle de température : 11,1 °C
      • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,4 j
      • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 0,7 j
      • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 11,1 °C
      • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 891 mm
      • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,9 j
      • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

      Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[9] complétée par des études régionales[10] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ste Marie du Mont », sur la commune de Sainte-Marie-du-Mont, mise en service en 1997[11] et qui se trouve à 14 km à vol d'oiseau[12],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 913,5 mm pour la période 1981-2010[13]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Cherbourg – Maupertus », sur la commune de Cherbourg-en-Cotentin, mise en service en 1935 et à 32 km[14], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[15] à 10,7 °C pour 1981-2010[16], puis à 11,1 °C pour 1991-2020[17].

      Urbanisme

      Typologie

      Picauville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[18],[19],[20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21],[22].

      Toponymie

      Le nom de la localité est attesté sous les formes Picheauvilla vers 1170, Piquauvilla vers 1210, Piqueauville vers 1269, Piquelvilla vers 1280, Picquauvilla au XIIIe siècle[23].

      Le gentilé est Picauvillais.

      Histoire

      La commune de Picauville, dont la principale agglomération est Pont-l'Abbé, fusionne avec la paroisse de L'Isle-Marie (ou du Homme) en l'an III.

      Le Bon Sauveur à Pont-l'Abbé, hameau à cheval sur les communes de Picauville et d'Étienville, fut un hospice pour pauvres créé en 1837 et dirigé par les Sœurs du Bon Sauveur ; au fil des ans s'y ajoutèrent un pensionnat, un institut de sourds et muets, un ouvroir pour jeunes filles et un orphelinat, tous de taille modeste. En 1853, l'établissement est autorisé à accueillir les aliénés. En 1903, l’asile du Bon Sauveur de Pont-l’Abbé-Picauville accueille les aliénés des deux sexes des arrondissements de Cherbourg et de Valognes et les aliénés masculins des arrondissements de Saint-Lô et de Valognes. Il reçoit aussi « une grande partie de ses pensionnaires du département de la Seine, qui chaque année déverse le trop plein de ses asiles dans les établissements de province ayant des places libres » ; l'asile accueille alors 360 hommes et 550 femmes ; parmi elles Liouba Bortniker, d'origine russe et première femme reçue à l'agrégation de mathématiques en 1885. Les archives de l'asile ont disparu lors des bombardements du [24].

      Lors de la Seconde Guerre mondiale, Picauville abrite la 91e division division d'infanterie allemande, le général Wilhelm Falley occupant avec son état-major le château de Bernaville. Le village, situé à environ 10 km à l'ouest de Sainte-Mère-Église, est libéré le par la 82e US Airborne Division du général américain Mac Kelvie.

      Le général Wilhelm Falley est le premier général allemand à être tué lors de la bataille de Normandie. Dans la nuit du 5 au 6 juin, alors qu'il se rend en voiture à Rennes où était organisé un kriegspiel, il décide de rebrousser chemin après avoir vu un nombre anormal d'avions alliés survolant le Cotentin. Sur la route du retour, près de Picauville, son véhicule est mitraillé par des parachutistes américains.

      Devant Pont-l’Abbé, le 358th US Infantry Regiment piétine devant une solide résistance des Allemands. La 90th US Infantry Division, qui manque d’expérience, subit des pertes. Le 12 juin, les Américains déclenchent un violent pilonnage de l’artillerie et de l’aviation sur Pont-l’Abbé[25], évacué par les Allemands dans la nuit du 12 au .

      les communes déléguées

      La commune est créée le par la fusion de six communes, sous le régime juridique des communes nouvelles instauré par la loi no 2010-1563 du de réforme des collectivités territoriales. L'arrêté est signé le 23 décembre 2015[26]

      Le projet a été validé par les différents conseils municipaux le 27 octobre 2015[27]. Le périmètre initial était pressenti au début sur 9 communes avec Beuzeville-la-Bastille, Étienville, Les Moitiers-en-Bauptois ; seule la commune des Moitiers-en-Bauptois a participé à la rédaction de charte mais le conseil, contre l’avis du maire, a voté contre le projet en juillet 2015. Le maire a alors remis sa démission[28].

      En 2016, la commune revient sur sa décision et rejoint la commune nouvelle[2] à compter du 1er janvier 2017.

      Liste des communes déléguées
      Nom Code
      Insee
      Intercommunalité Superficie
      (km2)
      Population
      (dernière pop. légale)
      Densité
      (hab./km2)
      Picauville
      (siège)
      50P20CC de la Baie du Cotentin19,11 908 (2018)100
      Amfreville50005CC de la Baie du Cotentin10,10287 (2018)28
      Cretteville50153CC de la Baie du Cotentin6,83204 (2018)30
      Gourbesville50212CC de la Baie du Cotentin8,18168 (2018)21
      Houtteville50250CC de la Baie du Cotentin4,5172 (2018)16
      Vindefontaine50642CC de la Baie du Cotentin8,13313 (2018)38
      Les Moitiers-en-Bauptois50333CC de la Baie du Cotentin8,04318 (2018)40

      Politique et administration

      Liste des maires
      Période Identité Étiquette Qualité
      ...1793 1794 Jacques Hébert    
      ...1795 1796... Jean Nicolas Scelles    
      1798 1806 Jacques F. Tostain    
      1807 1808 Guillaume Dorey    
      1808 1830[29] Léonor Feuillye Deriou    
      1830 1864 Henri Collas-Corderie    
      1864 1870 Paul d'Aigneaux    
      1870 1871 Henri Collas-Corderie    
      1871 1881 Frédéric Le Gruel    
      1882 1903 Ludger d'Aigneaux    
      1904 1904 Gustave Lepelletier    
      1905 1906 Louis Anne    
      1907 1909 Louis Touraine    
      1910 1929 Émile Dorey    
      1929 1965 Charles Tourainne    
      1965 1995 Guy Vigier    
      1995 mars 2001 Monique Berger    
      mars 2001[30] mai 2020 Philippe Catherine[31]   Chargé de mission
      Maire de la commune nouvelle en 2016
      mai 2020[32]   Marie-Hélène Perrotte   commerçante retraitée
      Une partie des données est issue de l'ouvrage "601 communes et lieux de vie de la Manche" [33]

      Jusqu'aux prochaines élections municipales de 2020, le conseil municipal de la commune nouvelle était constitué de tous les conseillers municipaux issus des conseils des anciennes communes. Le maire de chacune d'entre elles devient maire délégué[1].

      Liste des maires délégués depuis 2016
      Période Identité Étiquette Qualité
      janvier 2016 mai 2020 Philippe Catherine   Maire de la commune nouvelle
      mai 2020   Marie-Hélène Perrotte   Maire de la commune nouvelle
      Les données manquantes sont à compléter.

      Circonscriptions électorales

      À la suite du décret du , la commune est entièrement rattachée au canton de Carentan-les-Marais[34].

      Démographie

                 Évolution de la population de la commune déléguée de Picauville  [modifier]
      1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
      1 7931 8102 1242 1822 1372 2012 1762 2842 332
      1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
      2 2662 5152 5072 5552 6612 6872 5802 5352 503
      1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
      2 4502 2192 0921 8992 0302 0542 0981 9531 963
      1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
      1 9832 6682 6992 5872 2071 9861 9951 9111 913
      2018 - - - - - - - -
      1 908--------
      De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
      (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
      Histogramme de l'évolution démographique de la commune déléguée de Picauville

      L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

      En 2018, la commune comptait 3 270 habitants[Note 7].

      Évolution de la population de la commune nouvelle  [modifier]
      2015 2016 2017 2018
      3 3343 3013 2783 270
      (Sources : Insee à partir de 2015[37].)

      Culture locale et patrimoine

      Patrimoine religieux

      • Église Saint-Candide (XIIIe siècle), (monument historique), comprend une nef très vaste et sobre. Derrière une colonne, on peut voir un bénitier orné de personnages priants.
      • Prieuré (XVIe siècle), la chapelle, située entre deux corps de bâtiments a été malheureusement détruite, c'est un bel ensemble médiéval et de la Renaissance.
      • Église Saint-Martin d'Amfreville avec sa nef (XIIIe), son chœur (XIIIe - XVIe) et son clocher-tour (XIIIe remanié XVIIe). Elle abrite de nombreuses œuvres classées à titre d'objets aux Monuments historiques[38].
      • Église Saint-Ferréol de Cauquigny (XIIe siècle, restaurée).
      • Église Notre-Dame des Moitiers-en-Bauptois.
      • Oratoire Saint-Martin (1962).
      • Église Notre-Dame de Cretteville (13e/15e/17e) : gothique flamboyant
      • Oratoire Notre-Dame des Marais
      • Église Saint-Ermeland de Gourbesville
      • Église Saint-Jean-Baptiste d'Houtteville XIIe siècle, abritant une statue de sainte Marie-Madeleine du XVe siècle classée à titre d'objet aux Monuments historiques[39].
      • Église paroissiale Saint-Martin de Vindefontaine, avec une statue en calcaire polychrome de la Vierge à l'Enfant classée à titre d'objet aux Monuments historiques depuis le 14 décembre 1914[40].
      • Notre-Dame de la Salette : sanctuaire fondé 1864 par l'abbé Godefroy, curé de la paroisse, pour célébrer l'apparition de la Vierge à deux jeunes bergers, Mélanie et Maximin, le 19 septembre 1846 au village de la Salette, à Corps-en-Isère.
      • Chapelle du Bon-Sauveur de Picauville/Étienville, qui fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le [41], due à René Levavasseur.

      Patrimoine civil

      • Château de l'Isle-Marie (appelée jadis Holm, îlot en norrois), inscrit au titre des monuments historiques. Il a servi de cadre au roman de Jules Barbey d'Aurevilly, Ce qui ne meurt pas, Barbey d'Aurevilly y a d'ailleurs séjourné. Cette très ancienne forteresse a occupé une situation stratégique primordiale durant des siècles. Bien que profondément modifié, le château de L'Isle-Marie, anciennement Le Homme, reste emblématique des forteresses riveraines des marais. Il contrôlait, au confluent de l'Ouve et du Merderet, des voies fluviales et terrestres éminemment stratégiques[42]. Vers 1026, Richard III concède en douaire à sa fiancée la duchesse Adèle plusieurs propriétés dont la forteresse du Homme[43]. Il fut la possession de Bernardin Gigault de Bellefonds[44].
      • Château de Bernaville, château entouré d'un beau parc : château massif avec dans le parc une serre du XIXe siècle[45].
      • Manoir de la Haule : manoir du XVIe siècle[46], restauré à la fin du XXe siècle.
      • Manoir le Foirage, curieuse demeure à l'allure de château inachevé.
      • Manoir de Vains : manoir du XVIe siècle[47] dont le logis est flanqué d'une grosse tour. Malgré des remaniements, il subsiste à l'intérieur des éléments anciens, cheminées, arcs en accolade, meurtrières. Les grandes fenêtres sont du XVIIIe siècle.
      • Ferme de Caponnet (XVIe siècle) — On trouve sur l'une de ses dépendances (édifiées entre 1700 et 1810), l'alliance de la bauge et du moellon de calcaire[42].
      • Presbytère (XVIIe siècle) construit en plusieurs étapes, comprenant un corbeau sur le bâtiment de gauche ainsi qu'un petit escalier. Au milieu de la cour, il reste un vieux pressoir qui abrite des parterres de fleurs. Au centre de celui-ci se tient une statue d'ange en terre cuite, qui a perdu ses ailes. À l'entrée gauche, Jésus sur sa croix.

      Patrimoine dans les communes déléguées :

      Patrimoine naturel

      • Hameau Port Beurey et Montessy (les marais y sont pittoresques).
      • Hameau Port Filiolet et lieu-dit les Ais, les marais y blanchissent en hiver (se remplissent intégralement d'eau).
      • Rue de Prusse (route traversant le marais entre Chef-du-Pont et Picauville et inondée deux à trois fois par an lorsque les marais blanchissent).
      • Caponnet (village pittoresque avec nombre de maisons en pierre et en terre).
      • Rives du Merderet.
      • Rives de la Douve

      Activité et manifestations

      L'Étoile sportive de Plain qui regroupe les communes de Sainte-Mère-Église, Chef-du-Pont et Picauville, fait évoluer une équipe de football en Ligue de Normandie et trois autres dans les différentes divisions de district ainsi qu'une équipe féminine à 11[48].

      Personnalités liées à la commune

      • Pierre Guéroult (1890-1962), écrivain d'expression normande.
      • Wilhelm Falley (1897-1944), général allemand commandant la 91e division d'infanterie stationnée dans le secteur. Il fut tué par des parachutistes américains dans la nuit du 5 au 6 juin 1944.

      Héraldique

      Les armes de la commune de Picauville se blasonnent ainsi :
      D'or à la couronne d'épines de sable accostée et soutenue de trois maillets de sinople, au chef de gueules chargé d'un léopard d'or[49].

      Voir aussi

      Bibliographie

      • Dr Viel, « Établissement du Bon-Sauveur de Pont-l'Abbé-Picauville », Cherbourg et le Cotentin, Le Maout, 1905

      Articles connexes

      Liens externes

      Notes et références

      Notes

      1. Population municipale 2018, légale en 2021.
      2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
      3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[8].
      4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
      5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
      6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
      7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

      Références

      1. « Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Manche », .
      2. « Journal officiel de la République française » (consulté le ).
      3. « Recueil des Actes Administratifs de la Manche de Juillet 2016 » (consulté le ).
      4. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
      5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
      6. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      7. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
      8. Glossaire – Précipitation, Météo-France
      9. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
      10. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Normandie », sur normandie.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
      11. « Station Météo-France Ste Marie du Mont - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
      12. « Orthodromie entre Picauville et Sainte-Marie-du-Mont », sur fr.distance.to (consulté le ).
      13. « Station Météo-France Ste Marie du Mont - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      14. « Orthodromie entre Picauville et Cherbourg-en-Cotentin », sur fr.distance.to (consulté le ).
      15. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      16. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      17. « Station météorologique de Cherbourg – Maupertus - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
      18. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      20. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      21. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
      22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
      23. Ernest Nègre - 1996 - Toponymie générale de la France - Volume 2 - Page 1311 - (ISBN 2600001336).
      24. http://smf4.emath.fr/Publications/Gazette/2011/129/smf_gazette_129_51-68.pdf
      25. http://www.normandie44lamemoire.com/fichesvilles/pontlabbe.htm
      26. Arrêté portant création de la commune nouvelle de PICAUVILLE
      27. Conseil de Picauville. Les élus disent oui à la commune nouvelle
      28. Démission du maire des Moitiers-en-Bauptois
      29. décédé en exercice le 9 juillet 1830
      30. « Philippe Catherine, maire sortant, candidat », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
      31. Réélection 2014 : « Picauville (50360) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
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