Peyrins

Peyrins est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Peyrins

La mairie.
Administration
Pays France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Valence Romans Agglo
Maire
Mandat
Philippe Barneron
2020-2026
Code postal 26380
Code commune 26231
Démographie
Gentilé Peyrinois, Peyrinoises
Population
municipale
2 690 hab. (2018 )
Densité 107 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 05′ 38″ nord, 5° 02′ 53″ est
Altitude Min. 175 m
Max. 434 m
Superficie 25,16 km2
Unité urbaine Romans-sur-Isère
(banlieue)
Aire d'attraction Romans-sur-Isère
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Romans-sur-Isère
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Peyrins
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Peyrins
Géolocalisation sur la carte : France
Peyrins
Géolocalisation sur la carte : France
Peyrins

    Géographie

    Localisation

    Peyrins est situé à km au nord de Romans-sur-Isère (chef-lieu du canton). Valence se trouve à 25 km, Grenoble à 82 km, Lyon à 108 km.

    Relief et géologie

    Sites particuliers :

    Hydrographie

    La commune est traversée par la Savasse et par de nombreux ruisseaux. Elles possède de nombreuses sources[réf. nécessaire].

    Urbanisme

    Typologie

    Peyrins est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Romans-sur-Isère, une agglomération intra-départementale regroupant 6 communes[4] et 57 067 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Romans-sur-Isère dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (52,7 %), forêts (29,6 %), terres arables (7,9 %), zones urbanisées (5,4 %), prairies (3,5 %), cultures permanentes (1 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Quartiers, hameaux et lieux-dits

    Site Géoportail (carte IGN)[11] :

    • Balaise
    • Belle Vue
    • Bobinet
    • Bois des Ussiaux
    • Bois du Nouvel
    • Bonissol
    • Chabran et Garennes
    • Chapelle Saint-Roch
    • Charpenay
    • Château Roux
    • Combe Chatain
    • Combe de Nouvelle
    • Combe de Riel
    • Combe du Ravi
    • Combe Jacquet
    • Combe Layard
    • Combe Saint-Martin
    • Condillac
    • Cotte
    • Croix de Porte
    • Croix de Ravel
    • Fort
    • Gaste
    • Gâtelet
    • Gigors
    • Grenouillet
    • la Gèle
    • la Rivière
    • la Savasse
    • la Teipe
    • la Teppe
    • l'Aumône
    • le Bois du Cheval
    • l'Enfer
    • le Plan
    • les Babos
    • les Balmattes
    • les Blaches
    • les Combes
    • les Cordeliers
    • les Crozes
    • les Ducs
    • les Escoffiers
    • les Étangs
    • les Godards
    • les Hayons
    • les Liorettes
    • les Médrus
    • les Pies
    • les Prés de Plan
    • les Rages
    • les Sables
    • les Vieilles Vignes
    • le Val des Grillons
    • Lussel
    • Mas du Gout
    • Michalet
    • Montachar
    • Mont Grenier
    • Mont Peyroux
    • Mortevieille
    • Nivolets
    • Pied de Peyrins
    • Saint-Ange
    • Saint-Eusèbe
    • Saint-Martin
    • Sibeut
    • Torrail
    • Voirazier

    Anciens quartiers, hameaux et lieux-dits :

    • Ambésieux est un quartier attesté[12] :
    en 1464 : Ambeseuum (archives de la Drôme, E 2132).
    en 1514 : Ambesieulx (archives de la Drôme, E 1855).
    (non daté) : Dambésieux (plan cadastral).
    en 1891 : Ambésieux.

    Toponymie

    Attestations

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[13] :

    • 1050 : Payrianum (cartulaire de Romans, 146).
    • 1074 : mention du mandement : mandamentum Pariani (cartulaire de Romans, 62).
    • 1100 : mention de la paroisse Saint-Martin et Saint-Julien : parrochia Sancti Martini et Sancti Juliani de Pairiano (cartulaire de Romans, 200).
    • XIIe siècle : Payris (cartulaire des hospitaliers, 3).
    • 1164 : mention de la paroisse : capella de Paira (cartulaire de Romans, 332).
    • 1193 : Pairi (cartulaire de Léoncel, 50).
    • 1231 : castrum de Parran (Gall. christ., XVI, 197).
    • 1238 : Peyrinum (cartulaire de Romans, 382).
    • 1247 : castrum de Payrano (cartulaire de Romans, 373).
    • 1277 : Payrinum (inventaire des dauphins, 16).
    • 1339 : mention de la cour de justice des dauphins : curia Payrini domini Dalphini Viennensis (pap. de Valfanjouse).
    • XIVe siècle : mention de la paroisse : capella de Paurino (pouillé de Vienne).
    • 1375 : mention de la châtellenie : castellania Payrini (choix de documents, 187).
    • 1389 : mention du mandement : mandamentum de Peyrino (archives de la Drôme, E 3680).
    • 1391 : mention du mandement : mandamentum Perini (archives de la Drôme, E 3680, p.j. 33).
    • 1436 : Payrins (archives de la Drôme, E 3692).
    • 1444 : Peyrinum (maladr. de Voley, 1577).
    • 1471 : Peyrenum (maladr. de Voley, 6).
    • 1521 : mention de la paroisse : ecclesia Peyrini (pouillé de Vienne).
    • 1587 : Peyrins les Romans (Vie de Calignon, 464).
    • 1630 : Perins (Vie de Calignon, 408).
    • 1891 : Peyrins, commune du canton de Romans.

    Étymologie

    Le toponyme dériverait d'un mot signifiant « pierre »[réf. nécessaire].

    Histoire

    Du Moyen Âge à la Révolution

    Le château et le mandement sont attestés en 1078, bien après les chevaliers de Pairiano[14]

    La seigneurie[13] :

    • Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) de Peyrins ne comprend pas Génissieux et Saint-Ange, mais seulement les paroisses de Mours et de Peyrins, plus une partie de la banlieue et des faubourgs de Romans, et avant 1658, une partie de la commune de Saint-Paul-lès-Romans.
    • Possession des François de Royans.
    • 1262 : la terre est hommagée aux dauphins.
    • 1302 : vendue aux dauphins qui y établissent une cour de justice pour leurs terres du Viennois-Valentinois. Elle remplace le bailliage de Saint-Marcellin.
    • 1336 : les dauphins inféodent la seigneurie aux Archinjaud.
    • Recouvrée par les dauphins.
    • 1349 : léguée à la couronne de France. La terre devient domaniale.
    • 1521 : Peyrins et Génissieux sont engagées aux La Colombière qui s'éteignent, avant 1573, chez les Morges et les Bourchenu.
    • 1593 : passent aux (du) Vache qui s'éteignent chez les Calignon.
    • 1558 (1658 ?) : la terre est partagée entre les Coste et les Lionne.
    • Les Lionne vendent leurs droits aux Chabrière. Ils se réservent la terre de Génissieux et une partie de celle de Saint-Paul-lès-Romans.
    • Les Chabrières acquièrent les droits des Coste.
    • Le tout passe (par mariage) aux Calignon.
    • 1715 : le tout passe (par héritage) aux Chabrières, derniers seigneurs.

    1114 : la commune s'engage à donner deux tiers de ses eaux à Romans, en échange d'une rétribution[réf. nécessaire].

    1130 : le comte Guigues V d'Albon s'impose avant une bataille contre la ville de Romans[réf. nécessaire].

    1302 : la famille de Royans vend au dauphin Jean II de Viennois le domaine de Peyrins. Il le léguera à son fils Humbert II de Viennois, avant de l'offrir en 1332 à Amblard de Beaumont[réf. nécessaire].

    Vers 1340, à la suite de l'expulsion de l'archevêque de Vienne, la ville de Romans prend la défense de l'archevêque tandis que le village de Peyrins s'y oppose. S'ensuit une période de troubles entre les deux communes qui se conclut par le siège du Peyrins par les troupes de Romans[réf. nécessaire].

    1450 : le roi Louis XI passe une journée au Château du Roux où il signe une exemption des droits de gabelles pour la ville de Romans qui détient de nombreux stocks de sel[réf. nécessaire].

    1580 : le château du Roux est détruit[réf. nécessaire].

    Avant 1658, le mandement de Peyrins avait la même étendue que la terre et seigneurie de ce nom, et il en était également ainsi de la châtellenie de Peyrins[13].

    XVIIIe siècle : mention d'un péage[15].

    Avant 1790, Peyrins était une communauté de l'élection et subdélégation de Romans et du bailliage de Saint-Marcellin.
    Elle formait quatre paroisses du diocèse de Vienne : Génissieux, Mours, Peyrins et Saint-Ange.
    La paroisse de Peyrins en particulier avait son église sous le vocable de Saint-Martin. Les dîmes appartenaient au chapitre de Romans qui présentait à la cure[13].

    Saint-Eusèbe

    Dictionnaire topographique du département de la Drôme[16] :

    • 1100 : ecclesia Sancti Eusebii de Parino (cartulaire de Romans, 172).
    • 1514 : ad Sanctum Eusebium sive Osobulum (archives de la Drôme, E 1855).
    • 1891 : Saint-Eusèbe, chapelle ruinée de la commune de Peyrins.

    Cette chapelle dépendait du chapitre de Romans[16].

    De la Révolution à nos jours

    En 1790, Peyrins devient le chef-lieu d'un canton du district de Romans, comprenant les municipalités de Geyssans et de Peyrins. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une simple commune du canton de Romans[13].

    De 1841 à 1858, Charles de Sallmard, membre des dragons de la Garde impériale sous Louis XVIII et Charles X, écrit ses mémoires dans le village[réf. nécessaire].

    1873 : Génissieux forme une commune distincte[13] ([réf. nécessaire]).

    1880 : Mours forme une commune distincte[13] ([17]).

    Politique et administration

    Liste des maires

    Cette section ne cite pas suffisamment ses sources (janvier 2021). 
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    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
    1790 1793  ?    
    1793 (21-09) 1798 (21-09) (citoyen) Chaudier    
    1798 (21-09) 1807 (24-12) (citoyen) Julhuit    
    1807 (24-12) 1816 (13-12) Benoît Maisonneufre   nommé par l'État (Premier Empire
    1816 (13-12) 1830 (18-11) François Juhliet   nommé par l'État (Louis XVIII)
    1830 (18-11) 1834 (18-12) Claude Pain   nommé par l'État (Louis Philippe)
    1834 (18-12) 1844 (22-12) Victor Barruyer   nommé par l'État (Louis Philippe)
    1844 (22-12) 1848 (16-04) Jean Perriolat   nommé par l'État (Louis Philippe)
    1848 (16-04) 1852 Victor Barruyer    
    1852 1858  ?   note : un maire est chargé de la ville tous les six mois
    1858 (28-07) 1865 (24-08) Jean Ferlay   nommé par l'État (Napoléon III)
    1865 (24-08) 1870 (24-09) Victor Barruyer   nommé par l'État (Napoléon III
    1870 (24-09) 1871 Victor Brichet    
    Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
    1871 1873 (16-09) Victor Brichet   maire sortant
    1873 (16-09)
    (élection ?)
    1874 Pierre de Sallmard   vicomte
    1874 1878 Pierre de Sallmard   maire sortant
    1878 1880 (03-06) Pierre de Sallmard   maire sortant
    1880 (03-06)
    (élection ?)
    1884 Victor Rebattet    
    1884 1888 Victor Rebattet   maire sortant
    1888 1890 (27-04) Victor Rebattet   maire sortant
    1890 (27-04)
    (élection ?)
    1892 (15-05) Antoine Arthaud    
    1892 (15-05) 1896 Joseph Ogier    
    1896 1899 (30-04) Joseph Ogier   maire sortant
    1899 (30-04)
    (élection ?)
    1900 Elizée Bouzon    
    1900 1904 Elizée Bouzon   maire sortant
    1904 1908 (23-08) Elizée Bouzon   maire sortant
    1908 (23-08) 1912 Auguste Barruyer    
    1912 1919 (10-10) Auguste Barruyer   maire sortant
    1919 (10-10) 1925 (17-05) Jules Barruyer    
    1925 (17-05) 1929 Auguste Brunel    
    1929 1935 (19-05) Auguste Brunel   maire sortant
    1935 (19-05) 1943 Joseph Chabert    
    1943
    (remplacement)
    1945 (20-05) Adolphe Ruchon   premier adjoint qui remplit les fonctions de maire durant la guerre
    1945 (20-05) 1947 Pierre Rivière    
    1947 1953 (13-05) Pierre Rivière   maire sortant
    1953 (13-05) 1959 (16-04) Raymond Charra    
    1959 (16-04) 1965 Paul Grenier    
    1965 1971 (27-04) Paul Grenier   maire sortant
    1971 (27-04) 1973 (05-07) Jean-Marie Dherbet    
    1973 (05-07)
    (élection ?)
    1977 Lucien Cotte   premier adjoint de Jean-Marie Dherbet
    1977 1983 Lucien Cotte   maire sortant
    1983 1989 Lucien Cotte   maire sortant
    1989 1995 Lucien Cotte   maire sortant
    1995 2001 (16-03) Lucien Cotte   maire sortant
    2001 (16-03) 2008 Alain Paret LDIV  
    2008 2014 (30-03) Alain Paret   maire sortant
    2014 (30-03) 2020 (15-03) Bernard Picot[18] DVG retraité
    2020 (15-03) En cours
    (au 5 janvier 2021)
    Philippe Barneron[19],[20][source insuffisante] (sans étiquette)  

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[22].

    En 2018, la commune comptait 2 690 habitants[Note 3], en augmentation de 4,22 % par rapport à 2013 (Drôme : +4,05 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 5992 5502 6162 5522 7852 8323 0153 2143 156
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 9703 0413 0122 8922 0541 5401 5461 5301 437
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4041 4001 3461 2241 2001 2291 2451 2721 298
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
    1 2861 3021 6521 8822 0552 3092 4472 4152 670
    2018 - - - - - - - -
    2 690--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    • Fête : le dimanche suivant le [15].

    Vie associative

    La commune possède de nombreuses associations[25] :

    • D'Gens ! T' de Peyrins (Association Théâtrale).
    • A Livres Ouverts (Bibliothèque).
    • A.C.C.A. de Peyrins (Développement durable en milieu rural, chasse et biodiversité).
    • ABC Gym (Initiation à la gymnastique et compétitions inter-clubs).
    • ADMR de Peyrins- Génissieux- Haute Herbasse (Aide à domicile , service de proximité).
    • Bouge tes notes (Aide au développement de la musique : Musique, Chorales, Groupes musicaux).
    • CLS de Peyrins (Organisation de loisirs à objectifs multiples, comité des fêtes).
    • Club des sans soucis (Club de loisirs).
    • Comité Génération·s Drôme des Collines (Comité local du parti politique GÉNÉRATION·S LE MOUVEMENT)
    • Décawowo solidarité togo (Aide pédagogique et financière aux projets scolaires).
    • École municipale de musique (Musique, Chorales, groupes musicaux).
    • Evolus'on (Musique, Chorales, groupes musicaux).
    • FNACA.
    • Générations Futures (Discussion débats sur le futur et l'environnement).
    • Graine de Cocagne (Insertion sociale et professionnelle et réinsertion professionnelle : entreprises d’insertion, associations intermédiaire).
    • Graine de Présent (méditation).
    • GYM Form (Club de gymnastique).
    • Judo Peyrinois (club d'arts martiaux et sports de combats).
    • Kevin's (Chorales, groupes musicaux).
    • L'Art et la matière en Drôme des collines (Promotion des œuvres contemporaines et des lieux d'histoire).
    • La Ruche, Familles rurales[26](Accueil de Loisirs Sans Hébergement Jeunesse 3/12 ans).
    • Le Foyer des Hirondelles (Accueil de personnes en situation de Handicap).
    • Petit Orchestre de Génissieux POG (jazz, musique, chorales, groupes musicaux).
    • Peyrins Volley Ball (Club de Volley et Beach Volley).
    • Société des œuvres laïques (Association périscolaire et de parents d'élèves).
    • Tennis Club Peyrinois (club de tennis).
    • Union sportive peyrinoise Foot (club de football).

    Manifestations sportives

    • Tournoi de Beach Volley : le 1er week-end de juillet[réf. nécessaire].
    • Course à pied Peyrinissime : 1er dimanche d'octobre[réf. nécessaire].

    Économie

    Agriculture

    En 1992 : céréales, fruits, ovins, caprins[15].

    • Coopérative d'élevage[15].
    • Foire : le deuxième jeudi d'avril[15].

    Commerce

    • Foire des artisans et des commerçants : fin avril[réf. nécessaire].
    • Marché de Noël des écoles : fin novembre - début décembre[réf. nécessaire].

    Industrie

    La commune possède une carrière[15].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Châteauroux : vestiges du château médiéval dominant le village[réf. nécessaire].
    • Chapelle romane Saint-Ange (XIIe siècle) : chevet pentagonal[15], sur la colline du hameau de Saint-Ange, classée aux Monuments Historiques[réf. nécessaire].
    • Château du Gâtelet : ancienne maison forte[15] (XVIIe siècle), à la sortie du village en direction de Margès (propriété privée)[réf. nécessaire].
    • Château de Sallemard : offert à Soffrey de Calignon par Henri IV en 1606 pour sa participation à l'élaboration de l'Édit de Nantes en 1598 (propriété privée)[réf. nécessaire].
    • La Mèche : maison forte du XVIIe siècle[réf. nécessaire].
    • Chapelle du cimetière[15].
    • Chapelle Saint-Roch sur la route de Margès[réf. nécessaire].
    • Oratoire[15].
    • Église (XIXe siècle)[15].

    Patrimoine naturel

    • Bois de Lusset[15].
    • Nombreuses grottes[11].

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique, logotype et devise

    Peyrins possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

    Annexes

    Bibliographie

    • Élisabeth Sirot, Noble et forte maison : L'habitat seigneurial dans les campagnes médiévales du milieu du XIIe siècle au début du XVIe siècle, Paris, Editions Picard, , 207 p. (ISBN 978-2-7084-0770-1).
    • Jacques-François Lanier, Les Scissions d'une commune drômoise au XIXe siècle : création des communes de Génissieux et de Mours par éclatement de la commune de Peyrins[réf. nécessaire].

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

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