Neuchâtel-Urtière

Neuchâtel-Urtière est une commune française située dans le département du Doubs, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Pour les articles homonymes, voir Neuchâtel (homonymie).

Neuchâtel-Urtière

Représentation numérique du château des sires de Neufchâtel.
Administration
Pays France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Doubs
Arrondissement Montbéliard
Intercommunalité Pays de Montbéliard Agglomération
Maire
Mandat
Gilles Bourdois
2020-2026
Code postal 25150
Code commune 25422
Démographie
Population
municipale
187 hab. (2018 )
Densité 30 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 22′ 32″ nord, 6° 43′ 52″ est
Altitude Min. 373 m
Max. 828 m
Superficie 6,21 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Montbéliard
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Valentigney
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Neuchâtel-Urtière
Géolocalisation sur la carte : Doubs
Neuchâtel-Urtière
Géolocalisation sur la carte : France
Neuchâtel-Urtière
Géolocalisation sur la carte : France
Neuchâtel-Urtière
    Éperon rocheux surmonté des ruines de la tour Nord du château de Neuchâtel-Urtière.
    Muraille nord-est de l'ancien château de Neuchâtel-Urtière.

    Géographie

    Communes limitrophes

    Neuchâtel-Urtière est situé dans une impasse : en voiture, on ne peut y accéder que par une route adjacente à la route D 73. En modes doux, on peut y accéder par la route VC 3 arrivant à Vermondans, réservée aux vélos, piétons et riverains.

    Le village est traversé par un petit ruisseau qui rejoint la Ranceuse, ruisseau affluent du Doubs.

    Toponymie

    Le nom est attesté sous les formes latinisées Valo de Novo Castro en 1136, de Novo Castello en 1148 dans des documents rédigés en latin médiéval, puis en langue romane : Nef Castel en 1255, Nuz Chestel en 1260, Nuef Chestel en 1280, Neufchastel-les-Orcières en 1614[1],[2]. En 1237, il est fait mention de Novum castrum et Novum castellum dans une charte rédigée en latin de l'empereur Frédéric II[3]. Devient Neuchâtel-Urtière en 1961[4].

    Formation romane semblable aux différents Neuchâtel et Neufchâtel, dans le second cas, la graphie avec F marque un retour à l'étymologie, mais ne correspond(ait) plus à la prononciation locale, tous se prononçaient « Neuchâtel » (neucâtel en zone normanno-picarde). L'adjectif antéposé est le signe d'une influence syntaxique du germanique. Aussi ne rencontre-t-on ces formes qu'au nord du domaine d'oïl, plus au sud, seul prévaut le type châteauneuf.

    On peut traduire par « nouveau village fortifié »[5], « nouveau château » ou « château neuf ».

    Urbanisme

    Typologie

    Neuchâtel-Urtière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[6],[7],[8].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montbéliard, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 137 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (82,4 %), prairies (17,6 %)[11].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[12].

    Histoire

    Il semble que ce soit Amédée de Montfaucon, petit-fils de Richard Ier de Montfaucon, qui bâtit le château vers 1139[13] avec le concours de son frère Hugues, dit « de Charmoille », (Amédée pris le nom de Neuchâtel et fut la souche des grands sires de Neuchâtel-Bourgogne[14]) afin de protéger les villages de La Fermetey qui formèrent les premières possessions de la seigneurie de Neuchâtel-Bourgogne[3]. Peut-être qu'il lui a donné ce nom en guise d'hommage envers sa mère qui descendait de la maison de Neufchâtel outre-Joux ou pour signifier sa construction récente[13].

    Description du château

    Gravure des ruines du château.

    Une haute tour occupait la partie septentrionale, à l'opposé il y avait deux édifices carrés côte à côte qui étaient le manoir féodal. Sur le côté oriental se trouvait la prison, creusée dans le roc. Un mur crénelé ceinturait l'ensemble. le château occupait une surface de quarante mètres sur vingt-cinq, il sera démantelé sur les ordres de Louis XIV en 1675, les matériaux seront utilisés pour la réfection du pont de Pont-de-Roide-Vermondans et la construction d'une écluse et des forges à Bourguignon (Doubs)[3]. Au pied de l'édifice se trouvait le village composé de quelques maisons groupées. les murailles qui protégeaient le bourg étaient percées de deux portes et flanquées de six tours. Sous les habitations avaient été creusés de vastes caves et des souterrains qui conduisaient jusqu'au donjon. Sur la colline proche au bout d'un chemin partant des portes de Neuchâtel et donnant sur la vallée de Dambelin il avait été construit une maison de plaisance appelée château de la Bombance qui a été détruit dans le courant du XVe siècle. Un second chemin menait au hameau des Orcières situé au fond du vallon. Ce hameau portait à l'origine le nom d'Hortières ou Orcières qui donna Urtière et qui était aussi ancien que Neuchâtel[3].

    Maquette physique (papier/carton) de ce que devait être l'entrée du village de Neuchâtel.

    L'étendue du fief

    La seigneurie se composait de trois éléments[15] :

    Dans le courant des XIVe et XVe siècles, les Neuchâtel occupaient un des premiers rangs parmi les seigneurs de la Franche-Comté. Ils ont possédé jusqu'à 400 vassaux tant dans la région que du côté de la Suisse et de l'Alsace, dont les maisons de Cusance, Belvoir, Montmartin, Montjoie-le-Château, Uzel, Mont-Voucy, Montby, Rougemont[3]...

    Les seigneurs de Neuchâtel-Bourgogne

    Peu de traces de cette famille existent avant le XIIIe siècle, en 1139 une charte de l'empereur Conrad confirme la fondation de l'abbaye de Lucelle par Richard II de Montfaucon issu de la maison de Montfaucon, Hugues « de Charmoille » et Amédée « de Neufchâtel »[13]. À cette époque les terres de Neuchâtel étaient sous la mouvance du seigneur de Montfaucon et un cartulaire de cette maison fait mention de Gérard de Neufchâtel, connétable du comté de Bourgogne[13]. C'est à partir du XIIIe siècle que le nom de cette seigneurie sera connu. Jusqu'à cette époque la seigneurie de Neuchâtel-Urtière se composait du château, du bourg de Neuchâtel, de Pont-de-Roide-Vermondans, de Vermondans, d'Orcières, de Remondans, de Vaivre et de Dambelin. En 1298, Thiébaud de Ferrette donnait à Thiébaud III de Neuchâtel-Bourgogne le fief de Dasle dont la juridiction s'étendait sur Hérimoncourt, Beaucourt, Vandoncourt et Audincourt[17]. Grâce au mariage de Marguerite de Montfaucon avec Richard de Neuchâtel-Bourgogne ils vont recueillir la succession de Thierry III de Montbéliard qui était composée des terres de Blamont, du Châtelot, de Clémont, de Bermont et de Cusance[13].

    L'Isle et l'abbaye de Lieu-Croissant

    À la succession de Thierry III de Montbéliard vont s'ajouter en 1242 les terres que Thiébaud Ier de Neuchâtel-Bourgogne acheta à l'abbaye de Lucelle à savoir : Dès le lieu de Saint Hippolyte jusqu'aux roches d'Ounans et de Monéchroux et Liebvillers aux montagnes du Lomont[13]. En 1260/63, Thiébaud III de Neuchâtel-Bourgogne construit un château sur une île au milieu du Doubs qu'il achète à l'Abbaye de Lieu-Croissant, il obtient aussi la vicomté de Baume, la garde de l'abbaye de Lieu-Croissant et du monastère de Lanthenans de la part des comtes de Bourgogne en 1294[13].

    La vicomté de Baume

    La vicomté de Baumes a permis aux seigneurs de Neuchâtel de faire de leurs fiefs des biens héréditaires, en effet c'est le comte de Bourgogne Otte-Guillaume qui supprima les comtes inférieurs (sous la suzeraineté du roi de Bourgogne qui à cette époque était trop faible pour s'opposer à Otte-Guillaume comte supérieur des deux Bourgognes) et les remplaça par des vicomtes dont il fit ses vassaux[18]. C'est ainsi que le comté de Besançon revint à la maison de Rougemont dans le XIIe siècle, celle de Faucogney posséda le comté de Vesoul au XIe siècle, Dole et Salins aux maisons de l'Hôpital et de Monsaugeon et celle de Baume aux Neuchâtel à partir de 1308 officiellement avec Thiébaud IV de Neufchâtel-Bourgogne, bien que cette famille intervenait dès le milieu du XIIIe siècle[18]. En effet, en 1244 le comte de Bourgogne présentait Thiébaud de Neuchâtel comme homme-lige du duc de Bourgogne pour le château de Baume et en 1261 Thiébaud de Neuchâtel donnait plusieurs biens (une vigne à Launot, un meix à Villers-le-sec, des possessions à Hièvres, Esnans, Luxiol et Grosbois) à l'abbaye de Baume-les-Dames[18].

    Avec ce titre de vicomte les sires de Neuchâtel s'octroyaient le droit de gouverner et de juger sur ce territoire très étendu, différents fonctionnaires dépendaient d'eux : un maire (dirigeait la localité), un châtelain (représentait le vicomte dans la forteresse) et un prévôt (magistrat) mais et surtout il veillait au bon déroulement de l'élection de l'abbesse et avait voix délibérative à l'élection de celle-ci (Premièrement est véritey que est et doit estre viscuens de Bame et pour raison de la vycomtey doit estre appelé toutes foys que élection ou postulation d'abbesse se fait)[18].

    Les relations que Thiébaud V de Neufchâtel-Bourgogne entretenait avec ses suzerains étaient tumultueuses. Au début du XIVe siècle, il entra en conflit avec le duc de Bourgogne Eudes IV, voyant qu'il risquait de perdre gros Thiébaud V, finalement, demandait le pardon au duc de Bourgogne et en réparation renonçait à la vicomté de Baume en 1343. Quatre ans plus tard le roi de France Philippe VI de France intervenait dans le conflit et renouvelait la garde du prieuré de Baume au Neuchâtel qui ne prendra effet qu'en 1415 pour la conduite des chemins et en 1460 pour la totalité des droits[18].

    Héricourt, Blamont et Montaigu

    En 1361, ils reçurent en donation les fief des terres de Montjoie et de Rougemont de Jeanne de Montbéliard et bénéficiaient des titres (les péages) sur la conduite des chemins depuis Pont-Charrot (près de Bavans) à Palente (près de Besançon)[13]. En novembre 1377, ils possédaient la seigneurie d'Héricourt à titre de "propre et franc-alleu"[20]. À la fin du XIVe siècle, Thiébaud VI reprit de Philippe-le-Hardi, comte de Bourgogne les deux bourgs de Blamont, les neuf villages de la châtellenie ainsi qu'une dizaine de fiefs dont celui de la vicomté de Baume, la garde de l'abbaye de Lieu-Croissant et du prieuré de Lanthenans qui avaient été retirés à son père, mais aussi le château et le bourg de L'Isle avec sa châtellenie et une quinzaine de fiefs dans les environs, le fief de Montbarrey avec la forteresse de Rang, le fief important de Dampierre, la moitié des dîmes de Villars-sous-Écot et enfin la forteresse de Montaigu avec le bourg, ses dépendances et sept villages qui en formaient le fief[3].

    La fin d'un fief

    En 1505, à la mort de Guillaume de Neufchâtel-Bourgogne (dernier de la ligne directe, fils de Thiébaud IX), la seigneurie et surtout ses dépendances furent remises à Jean III de Neuchâtel-Montaigu, petit-fils de Thiébaud VIII, à défaut de descendants survivants à ce dernier[21]. Le testament de Thiébaud IX stipulait qu'à défaut d'héritier direct tous les biens devaient être transmis à la branche de Neuchâtel-Montaigu, à défaut à la maison de Cusance et en dernier lieu aux héritiers, homme ou femme, d'Henriette de Montbéliard[21]. Contre tous usages les époux des deux filles de Claude de Neufchâtel qui étaient les comtes de Furstemberg et de Werdemberg se saisirent à main armée des seigneuries. Héricourt, Clémont, Châtelot et l'Isle-sur-le-Doubs échurent à Guillaume de Fürstenberg ; en 1525 il les vendit à Ferdinand Ier, archiduc d'Autriche qui les rétrocéda en 1527 à Gabriel de Salamanque, comte d'Ortembourg. À la suite de cela les Montbéliard réclamèrent ces seigneuries. Pour se protéger les comtes se déclarèrent de l'appui de Charles Quint qui le leur accorda le 6 août 1543[20]. En 1522 s'éteignit le nom de Neuchâtel-Bourgogne avec le décès de Ferdinand de Neufchâtel-Montaigu. Tous ses frères étaient décédés sans postérité masculine. Par mariage la seigneurie passa ensuite dans la famille de Rye. Claude-François de Rye, né en 1542, fils de Marc de Rye et de Jeanne de Longwy, avait hérité de la seigneurie de Neuchâtel-Urtière[20]. puis en 1660 le comte de Poitiers-Saint-Vallier-Vadans l'acheta[13].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 2008 mai 2020 Gérard Blanc[22] DVD Retraité
    mai 2020 En cours Gilles Bourdois [23]    
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    En 1657, il est recensé 107 habitants pour 24 ménages. On y trouve des Bailly, Beley, Billon, Couillery, Courtot, Devaure, Devillers, Donzelot, Escarrot, Grammont (le seigneur du lieu), Henryot, Huguenin, Lambelin, Lheritier, Matatoz, Mathille, Marrain, Pance, Paulmier, Payge, Petitot, Robardey, Sylvestre et Valangin[24].


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

    En 2018, la commune comptait 187 habitants[Note 3], en augmentation de 8,09 % par rapport à 2013 (Doubs : +1,53 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    135135135147123141140130140
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    10414888886961878694
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    657960546659795964
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2015
    83736683129149152163185
    2018 - - - - - - - -
    187--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Lieux et monuments

    • La chapelle Saint-Ursin.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz 1998. p. 1462.
    2. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud 1979. p. 493.
    3. recherches historiques et statistiques sur l'ancienne seigneurie de Neufchâtel
    4. Jean Courtieu, Dictionnaire des communes du département du Doubs, t. 5, Besançon, Cêtre, 1986(.
    5. Ernest Nègre, Op. cité
    6. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    8. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    12. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    13. Essai sur l'histoire de la franche-Comté
    14. Recherches historiques sur les acquisitions des sires de Montfaucon
    15. Le pouvoir des comtés de bourgogne au XIIIe siècle.
    16. Bourgs et villages du Doubs
    17. Annuaire départemental du Doubs
    18. Mémoire historique sur l'abbaye de baume-les-Dames
    19. Mémoires historiques sur la ville et seigneurie de Poligny
    20. Mémoire et documents
    21. Procès-verbaux
    22. Site officiel de la préfecture du Doubs - liste des maires (doc pdf)
    23. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
    24. La population de la Franche-Comté
    25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Ancienne chevalerie de lorraine, ou, Armorial historique et généalogique des maisons qui ont formé ce corps souverain, eu droit de sièger aux assises, Jean Cayon, 1850, p. 146.
    • Annuaire départemental du doubs, A.Laurens, Doubs, 1844, p. 119.
    • Bourgs et villages du Doubs, Eric Coulon, Marc Paygnard, Éditions Cabedita, 2005, p. 104.
    • Dépêches des ambassadeurs milanais sur les campagnes de Charles-le-hardi duc de Bourgogne de 1474 à 1477, Frédéric de Gingins-la-Sarra (baron), 1858, p. 164.
    • Essai sur l'histoire de la Franche-Comté, volume 2, Edouard Clerc, 1846, p. 72, 74, 75.
    • Histoire généalogique des sires de salins au comté de Bourgogne, volume 1, Jean Baptiste Guillaume, 1757, p. 42, 43, 45, 121, 122, 126, 162, 164, 184.
    • La Population de la Franche-Comté, tome 2, ouvrage collectif, Presses univ. Franche-Comté, p. 56, 57.
    • Le Pouvoir des comtés de Bourgogne au XIIIe siècle, Marie-Thérèse Allemand-Gay, Presses Univ. Franche-comté, 1988, p. 125.
    • Mémoires et documents inédits pour servir à l'histoire de la Franche-Comté, volume 1, Jacquin, 1838, p. 187, 188.
    • Mémoires historique sur l'abbaye de baume-les-Dames, Louis François Nicolas Besson, 1845, p. 49 à 60.
    • Mémoires historiques sur la ville et seigneurie de Poligny, avec des recherches relatives à l'histoire de comté de Bourgogne, François-Félix Chevalier, 1767, p. 414.
    • Mémoires pour servir à l'histoire du comté de Bourgogne, contenans l'idée générale de la noblesse et le nobiliaire du dit comté, François-Ignace Dunod de Charnage, 1740, p. 48.
    • Procès-verbaux et mémoires, P.Jacquin, Académie des sciences, belles lettres et arts de Besançon, 1838, p. 99, 100.
    • Recherches historiques et statistiques sur l'ancienne seigneurie de neuchâtel, au comté de bourgogne, Jean François N.Richard, 1840. Google livres
      • à noter que cet ouvrage est tiré du cartulaire de Neuchâtel, écrit en lettres gothiques et sur parchemin, achevé en 1423, il est divisé en trois parties. La première présente la nomenclature des villages dépendants de la seigneurie ainsi que celle des redevances des vassaux et des sujets de cette maison. La seconde présente les lettres de franchise accordées à ces villages ou à des particuliers ainsi que les traités conclus par les seigneurs de Neuchâtel avec leurs voisins. La dernière contient les reprises de fiefs et les dénombrements de terres donnés à leurs suzerains par les vassaux de Neuchâtel aussi bien en Franche-Comté qu'en Haute-Alsace ou à Porrentruy. Il réunit les chartes des XIIe, XIIIe, XIVe et début du XVe siècle.
    • Recherches historiques sur les acquisitions des sires de Montfaucon et de la maison de Chalons dans le Pays de Vaud, Frédéric Jean Charles de Gingins-la-Sarra, 1857, p. 6.
    • Recherches sur les sires de Cossonay et sur ceux de Prangins volume 5, parties 1 à 2, Louis de Charrière, 1845, p. 116.
    • Toponymie générale de la France, volume 1, Ernest Nègre, 1990.

    Articles connexes

    Liens externes

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