Colombier (Haute-Saône)
Colombier est une commune française, située dans le département de la Haute-Saône en région Bourgogne-Franche-Comté.
Pour les articles homonymes, voir Colombier.
Colombier | |||||
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![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Bourgogne-Franche-Comté | ||||
Département | Haute-Saône | ||||
Arrondissement | Vesoul | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération de Vesoul | ||||
Maire Mandat |
Sébastien Galmiche 2020-2026 |
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Code postal | 70000 | ||||
Code commune | 70163 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
448 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 32 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 47° 39′ 52″ nord, 6° 12′ 40″ est | ||||
Altitude | Min. 222 m Max. 375 m |
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Superficie | 13,91 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Vesoul (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Vesoul-2 | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Géolocalisation sur la carte : Haute-Saône
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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La commune appartient à la communauté d'agglomération de Vesoul.
Géographie
Le territoire communal s'étend sur 13,91 km2, avec une altitude minimale de 222 mètres et une altitude maximale de 375 mètres.

Communes limitrophes
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Flagy | Vellefrie | La Villeneuve-Bellenoye-et-la-Maize | ![]() |
Villeparois | N | Saulx | ||
O Colombier E | ||||
S | ||||
Coulevon | Comberjon | Montcey |
Géologie
Le territoire communal repose sur le gisement de schiste bitumineux de Haute-Saône daté du Toarcien[1].
Transports
Depuis la fermeture de la gare de Colombier (sur la ligne de Paris-Est à Mulhouse-Ville), la gare SNCF de Vesoul est la plus proche du village. Le terrain aménagé pour les avions le plus proche est l'aérodrome de Vesoul - Frotey.
L'agglomération de Vesoul est desservie par son réseau de transports en commun VBus+.
Urbanisme
Typologie
Colombier est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vesoul, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5],[6].
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (35,2 %), zones agricoles hétérogènes (25 %), forêts (24,5 %), terres arables (12,8 %), zones urbanisées (2,5 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[8].
Morphologie urbaine
Colombier est situé dans l'aire urbaine de Vesoul, qui totalise en 2008, 59 288 habitants[9].
Logement
Le nombre de logements dans la commune était de 193, en 2009, dont 164 résidences principales soit 84,9 % de l'ensemble des logements, 9 résidences secondaires et logements occasionnels, soit 4,5 % et 20 logements vacants, soit 10,5 %. On dénombre 122 résidences principales qui détiennent 5 pièces ou plus[10].
La commune comptait 173 maisons et 78 appartements en 2009, alors qu'elle possédait 147 maisons et 6 appartements, en 1999[10].
Histoire
La commune, instituée lors de la Révolution française a temporairement absorbé de 1808 à 1842 celle de Comberjon[11]. Pour Montaigu-sous-Colombier, voir plus bas : château de Montaigu.
Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux
La commune fait partie de l'arrondissement de Vesoul du département de la Haute-Saône, en région Bourgogne-Franche-Comté. Pour l'élection des députés, elle dépend de la première circonscription de la Haute-Saône.
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Vesoul. Celui-ci est scindé en 1973 et la commune intègre le canton de Vesoul-Est[11]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Vesoul-2.
Intercommunalité
La commune fait partie depuis 2003 de la communauté de communes de l'agglomération de Vesoul, devenue en 2012 la communauté d'agglomération de Vesoul, appartenant elle-même au pays de Vesoul et du Val de Saône.
Conseil municipal
Conformément aux dispositions relatives à la population de la commune, le conseil municipal est composé de 11 membres[12].
Liste des maires
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[17].
En 2018, la commune comptait 448 habitants[Note 3], en augmentation de 2,05 % par rapport à 2013 (Haute-Saône : −1,23 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Mairie

La mairie se trouvait initialement à l'étage de l'école. Afin de la rendre accessible aux personnes handicapées, elle a été aménagée en 2012 dans le presbytère attenant à l’église[19].
Cultes
.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments

- Château de La Roche (ruines XIIe siècle, nouveau château XVIIIe siècle).
- Ruines du château de Montaigu (XIIe)[20], fief des Bourgogne-Comté-Chalon, dont la branche cadette de Bourgogne-Montaigu s'est fondue ensuite dans les Neuchâtel-Bourgogne-Montaigu.
- Fer(di)nand de Neu(f)châtel-Montaigu, † 1522, fils de Jean II de Montaigu lui-même fils de Thiébaud VIII de Neufchâtel (ce dernier petit-fils de Thiébaud VI et Marguerite de Bourgogne-Chalon ci-dessus), est suivi par sa fille Anne de Neu(f)châtel-Montaigu, † 1530, épouse de Christophe de Longwy sire de Longepierre, Binans et Rahon, frère de Jean IV ci-dessous - cf. Neublans - puis par la fille cadette de ces derniers, Antoinette de Longwy (sœur de Jeanne ci-après), qui épouse Joachim de Rye d'où Françoise de Rye qui épouse 1° Claude-François de Rye, † 1567, son double cousin germain fils de Marc de Rye et de Jeanne de Longwy qu'on vient d'évoquer, sans postérité ; puis 2° son cousin issu de germain Léonor Chabot comte de Charny et Buzançais, petit-neveu du roi François Ier, † 1597, fils de l'amiral de Brion et de Françoise de Longwy ; fille de Jean IV de Longwy et donc cousine germaine d'Antoinette ci-dessus) : du second mariage, elle a, entre autres, deux filles qui se partagent Montaigu pour moitié :
- sa fille aînée, Marguerite Chabot, comtesse de Charny, duchesse d'Elbeuf († 1652), mère entre autres enfants du duc Charles II et d'Henri Cadet la Perle comte d'Harcourt, de Brionne et d'Armagnac, lui-même père du comte Louis de Lorraine.
- et sa dernière fille, Éléonore Chabot († 1618), femme de Christophe de Rye La Palu marquis de Varambon, comte de Varax et de La Roche-en-Montagne, fils de Philibert de Rye lui-même fils de Gérard – ce dernier étant frère de Joachim et Marc ci-dessus : trois des fils de Simon de Rye et Jeanne de La Baume-Montrevel, sœur du cardinal Pierre de La Baume évêque de Genève et archevêque de Besançon. Cette branche hérite Varambon, Varax, La Roche-en-Montagne, Villersexel, Saint-Hippolyte, du grand-oncle par alliance de Christophe : Jean de La Palu(d), mari de Claudine/Claude de Rye, la sœur de Gérard, Joachim, Marc et des évêques de Genève Louis et Philibert. Succession aux enfants d'Éléonore Chabot : François de Rye La Palu et sa sœur Marguerite x Joachim de Vienne-Listenois de Bauffremont, fils de Jean x Anne de Poupet, Jean étant fils de Claude de Bauffremont baron de Scey et Sombernon x Jeanne de Vienne-Listenois).
- Fer(di)nand de Neu(f)châtel-Montaigu, † 1522, fils de Jean II de Montaigu lui-même fils de Thiébaud VIII de Neufchâtel (ce dernier petit-fils de Thiébaud VI et Marguerite de Bourgogne-Chalon ci-dessus), est suivi par sa fille Anne de Neu(f)châtel-Montaigu, † 1530, épouse de Christophe de Longwy sire de Longepierre, Binans et Rahon, frère de Jean IV ci-dessous - cf. Neublans - puis par la fille cadette de ces derniers, Antoinette de Longwy (sœur de Jeanne ci-après), qui épouse Joachim de Rye d'où Françoise de Rye qui épouse 1° Claude-François de Rye, † 1567, son double cousin germain fils de Marc de Rye et de Jeanne de Longwy qu'on vient d'évoquer, sans postérité ; puis 2° son cousin issu de germain Léonor Chabot comte de Charny et Buzançais, petit-neveu du roi François Ier, † 1597, fils de l'amiral de Brion et de Françoise de Longwy ; fille de Jean IV de Longwy et donc cousine germaine d'Antoinette ci-dessus) : du second mariage, elle a, entre autres, deux filles qui se partagent Montaigu pour moitié :
Donc la seigneurie-baronnie de Montaigu, après Antoinette de Longwy et sa fille Françoise de Rye, passe comme on vient de le voir, pour moitié à Éléonore Chabot et son fils François de Rye La Palu marquis de Varambon ; et pour l'autre moitié à la duchesse Marguerite, tante maternelle de François de Rye. S'élèvent de surcroît vers 1589-1595 les revendications des Salamanque d'Ortenberg acquéreurs des prétentions des Fürstenberg (ces derniers étaient parmi les héritiers de la branche aînée des Neufchâtel-Bourgogne par le mariage de Bonne, fille de Claude et petite-fille de Thiébaud IX, avec Guillaume de Fürstenberg). La part des de Rye est engagée à la famille Fryard puis reprise vers 1660 par Marguerite d'Achey x Ferdinand-François de Poitiers-Saint-Vallier baron de Vadans, fils de Ferdinand-Léonor de Poitiers x Jeanne-Philippine/Philippe de Rye La Palu fille du marquis François de Rye.
Finalement, Marguerite d'Achey vend en 1683 sa part à Jean-Baptiste Racle seigneur de La Roche sur Colombier, possédé par la famille Racle depuis la fin du XVIe siècle[20], qui avait acquis (ou seulement tenté d'acquérir ?) en 1677 la moitié de Louis de Lorraine, comte d'Armagnac, de Brionne et de Charny ci-dessus. Mais en 1685/1691, Jean-Baptiste Racle puis sa veuve doivent céder à Jean de Mesmay, dont la famille possédait des biens à Colombier depuis la deuxième moitié du XVIe siècle .
- Église néogothique XIXe, comprenant des parties des XIIIe et XIVe siècle[21]. L'église des Saints-Jumeaux à Colombier est dédiée aux Saints-Jumeaux Speuysippe, Eleusippe et Meleusippe. Lors de sa reconstruction en 1853 par l’architecte Charles Dodelier, l'église a été démontée en partie puis agrandie en retournant son entrée principale d’un demi-tour, pour faire face au centre du village[22]. Le chantier est interrompu faute d'argent et reprend en 1875. Dodelier fait alors construire le clocher de l'église et achève la façade.
- Statue.
Personnalités liées à la commune
- Charles-Emmanuel-Polycarpe de Saint-Mauris, militaire et homme politique décédé à Colombier.
Héraldique
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Blason | D'azur à deux collines cousues de sinople, chacune chargée d'une grappe de raisin vrillée d'or et sommée d'une tour d'argent couverte et pommetée d'or, ajourée du champ, entre lesquelles coule une rivière d'argent ondoyant en pal sur laquelle est posé un tau d'or et au sommet duquel est perchée une colombe d'argent, becquée d'or, les ailes éployées. |
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Détails | Le blason évoque la vallée et les deux châteaux, la vigne, ainsi que saint Antoine, patron de la paroisse, par le tau, le nom de la commune est rappelé par la colombe. Création de Nicolas Vernot adoptée par la municipalité en 2013. |
Voir aussi
Articles connexes
Notes et références
Notes
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
Références
- Marcel Lanoir, Carburants rhodaniens : les schistes bitumineux, notamment dans la Haute-Saône, vol. 7, coll. « Les Études rhodaniennes », (lire en ligne), p. 328.
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vesoul », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Les grandes aires urbaines comtoises étendent leur emprise sur le territoire régional », sur le site de l'INSEE (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement », sur le site de l'INSEE (consulté le ).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance.
- « Les maires de Colombier », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
- « Candidats in extremis : À Colombier, une liste se monte dans l’urgence en vue des municipales. Le maire sortant n’est pas candidat à sa succession et personne ne s’était encore manifesté pour briguer la fonction », L'Est républicain, édition de Haute-Saône, (lire en ligne) « Gérard Dechambenoit, maire de Colombier depuis 2004, ne souhaite pas briguer un autre mandat en 2014 ».
- « En priorité, le dossier de l’école », L'Est républicain, (lire en ligne) « Sébastien Galmiche a été élu maire du village avec 10 voix sur 11 bulletins exprimés. Isabelle Virot a été élue première adjointe avec 9 voix sur 11 bulletins exprimés. Les postes de second et troisième adjoint ont été répartis comme suit : Emmanuel Marchal a été élu second adjoint avec 10 voix sur 11 bulletins exprimés et Christophe Virot, élu troisième adjoint avec 9 voix sur 11 bulletins exprimés. ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « 100 % sécurité et accessibilité », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne).
- « Montaigu, p. 601 et 617 », sur Le patrimoine fortifié du lignage de Neufchâtel-Bourgogne, XIIIe-XVIe siècles, volume 3 : les sites ; thèse de Doctorat soutenue par Vianney Muller, Université de Nancy, juin 2015.
- « Un dossier pour classer l’église en monument historique », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne).
- « Une église qui a tout d’une grande : L’office de tourisme de Vesoul a lancé sa saison du tourisme itinérant par la visite guidée du château de Colombier. 23 curieux en ont profité », L'Est républicain, édition de Vesoul - Haute-Saône, (lire en ligne).
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