Nages-et-Solorgues

Nages-et-Solorgues est une commune française située dans le département du Gard en région Occitanie.

Pour les articles homonymes, voir Nages (homonymie).

Pour l’article ayant un titre homophone, voir Nage.

Nages-et-Solorgues

Le village.

Blason
Administration
Pays France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté de communes Rhôny Vistre Vidourle
Maire
Mandat
Michel Chambelland
2020-2026
Code postal 30114
Code commune 30186
Démographie
Gentilé Nageois
Population
municipale
1 818 hab. (2018 )
Densité 294 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 47′ 30″ nord, 4° 13′ 51″ est
Altitude Min. 31 m
Max. 174 m
Superficie 6,18 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Langlade
(ville-centre)
Aire d'attraction Nîmes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Calvisson
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Nages-et-Solorgues
Géolocalisation sur la carte : Gard
Nages-et-Solorgues
Géolocalisation sur la carte : France
Nages-et-Solorgues
Géolocalisation sur la carte : France
Nages-et-Solorgues
Liens
Site web www.nagesetsolorgues.fr

    Géographie

    Localisation

    Les communes de Calvisson, Boissières, Uchaud, Langlade et Saint-Dionisy sont limitrophes de la commune de Nages-et-Solorgues.

    Climat

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

    • Moyenne annuelle de température : 14,1 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,3 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 17,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 17,3 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 725 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,8 j

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vestric-et-Candiac », sur la commune de Vestric-et-Candiac, mise en service en 1966[6] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,9 °C et la hauteur de précipitations de 700,5 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nîmes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 12 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].

    Urbanisme

    Typologie

    Nages-et-Solorgues est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Langlade, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[16] et 4 965 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[17],[18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[19],[20].

    Nages-et-Solorgues est l'une des 79 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale du Sud du Gard et fait également partie des 34 communes du Pays Vidourle-Camargue.

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (42,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (44,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (34,8 %), forêts (30,3 %), zones urbanisées (20,6 %), zones agricoles hétérogènes (7,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,7 %)[21].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Attestation du nom

    Nages
    AnnéeNomDocument
    895Villa AnagiaCartulaire du chapitre cathédral de Notre-Dame de Nîmes[22]
    1024Villa AnagiaHistoire de Languedoc[23]
    1077Villa AnagiaCartulaire du chapitre cathédral de Notre-Dame de Nîmes
    1156Ecclesia de AnagiaCartulaire du chapitre cathédral de Notre-Dame de Nîmes
    1265Villa de AnagiaChartes du chapitre de Nîmes, archives départementales
    1384Villa de AnagiaDénombrement de la sénéchaussée
    1386Ecclesia de AnagiaRépartition du subside de Charles VI
    1396Ecclesia de AnagiaChartes du chapitre de Nîmes, archives départementales
    1435AnagesRépartition du subside de Charles VII
    1482Locus de AnagüsLéon Ménard, notes manuscrites IV
    1539Villa de Nagüs ; Sanctus-Saturninus de NagüsLéon Ménard, notes manuscrites IV
    1554NaigesUrsy, notaires de Nîmes, XVIe et XVIIe siècles
    1582Nages de SerorguesClaude Combes, Tariffe universelle du diocèse de Nimes
    1650Nages et SolorguesGaillard Guirau, Style ou formulaire des lettres qui se dépêchent ez cours de Nismes
    1659Le prieuré Sainct-Saturnin de NagesInsinuations ecclésiastiques du diocèse de Nîmes
    1706Le prieuré Sainct-Saturnin de NagesArchives départementales, G. 20611
    Source : Dictionnaire topographique du département du Gard[24]
    Solorgues
    AnnéeNomDocument
    960Villa quæ vocatur Saravonicos, in suburbio NemausensiCartulaire du chapitre cathédral de Notre-Dame de Nîmes[22]
    1031Mansus de SaravonicosCartulaire du chapitre cathédral de Notre-Dame de Nîmes
    1112Villa de SaraoneguesCartulaire du chapitre cathédral de Notre-Dame de Nîmes
    1169Mansus de SaraonicisChartes du chapitre de Nîmes, archives départementales
    1396SereonicæChartes du chapitre de Nîmes, archives départementales
    1435SerorguesRépartition du subside de Charles VII
    1555SolorguesUrsy, notaires de Nîmes, XVIe et XVIIe siècles
    1582SororguesClaude Combes, Tariffe universelle du diocèse de Nîmes
    1696SérorguesInsinuations ecclésiastiques du diocèse de Nîmes
    Source : Dictionnaire topographique du département du Gard[24]

    Étymologie

    • Provençal Nage, du roman Anages, du latin Anagia, Andunum[25].
    • Provençal Soulorgues, du roman Solorgues, Serorgues, Saraonegues, du bas latin Saraonicis, Saravonicos, Serconicæ[25].
    • Provençal Vau-Nage, du bas latin Valnagia, du latin Vallis Anagia[25].

    Les habitants s'appellent les Nageois et Nageoises.

    Histoire

    Antiquité

    L'oppidum de Nages est celui qui a livré les plus importants vestiges archéologiques des 7 oppidums connus à ce jour en Vaunage.

    Époque moderne

    Le village a été le théâtre de trois batailles pendant la Guerre des Cévennes :

    • La première le  : Le colonel de Firmacon, commandant la garnison royale de Calvisson forte de 350 hommes, attaque le chef camisard Cavalier à Nages. Cavalier avec 800 hommes et 200 chevaux parvient à le repousser.
    • La seconde le  : Les Camisards entrent dans Nages et triomphent de l’infanterie royale et des dragons de la garnison.
    • La troisième le  : Le maréchal de Montrevel et Grandval infligent une sévère défaite à Cavalier en ayant fait venir de nombreux renforts. Partie des hauteurs de Caveirac, la bataille s'étend jusqu'à Clarensac, Montpezat et Nages et réunit des forces importantes dans les deux camps. A Caveirac, Grandval tue un très grand nombre de rebelles, ce qui provoque leur fuite vers Clarensac mais ces derniers tombent entre les mains de Montrevel qui venait d'investir le village. A Nages, l'infanterie camisarde est décimée par le régiment de Charolais et les fuyards sont massacrés par la cavalerie de M. de Menon. Une trentaine de Camisards sont faits prisonniers. Cavalier compte 400 morts dans ses rangs (600 selon Bâville, 800 à 900 dont 3 prophétesses selon L'Ouvreleul) et parvient à s'enfuir vers Vézénobres avec 140 de ses "dragons".

    Fin juillet, le villague de Solorgues est pillé par Grandval pour avoir fourni des vivres aux rebelles camisards.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    2001 2008 Jean-Claude Lafont SE Maire honoraire
    Vice-président de la communauté de communes
    2008 En cours Jean-Baptiste Estève DVD Retraité Fonction publique
    Président de la communauté de communes
    Vice-président du Pays Vidourle-Camargue
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

    En 2018, la commune comptait 1 818 habitants[Note 5], en augmentation de 16,39 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    400422476490485480492481485
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    523502496458370323361396400
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    425403370347333305285267278
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2008 2013
    3274517151 0881 2951 4621 4861 5101 562
    2018 - - - - - - - -
    1 818--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    Édifices religieux

    • Ancienne Église de style roman devenue temple protestant au début du XIXe siècle ; un clocher surmonté d'un campanile en fer forgé comportant une cloche lui est accolée (horloge).
    • Actuelle église Saint-Saturnin de Nages-et-Solorgues : petit édifice néo-gothique édifié vers 1840 au sud de la place d'armes récemment restaurée.

    Patrimoine culturel

    • Musée archéologique : Situé au premier étage de la mairie, le musée archéologique est ouvert en 1958 sur l'initiative de Maurice Aliger. Il regroupe divers objets évoquant la vie quotidienne des habitants du lieu : activités vivrières (agriculture, élevage, chasse), artisanales (travail des métaux, fabrication de la céramique, tissage), armes, ustensiles de toilette et objets funéraires.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean Tarrou, dont une des rues du village porte le nom, fut maire de Nages.
    • Maurice Aliger (1913-1993) : historien de la Vaunage et archéologue amateur de l'oppidum des Castels depuis les années 1950. Cet employé du PLM puis de la SNCF fut l'auteur de nombreux ouvrages consacrés à la Vaunage et au-delà. Ses travaux régionaux l'amenèrent à être président de l'Académie de Nîmes. Depuis 1994, sous l'impulsion de son ami Jean Marc Roger, l'association Maurice-Aliger poursuit l’œuvre qu'il avait commencée à travers de multiples publications, expositions, conférences, visites sur le terrain, etc.

    Héraldique

    Blason
    D’or, à une rivière de sinople, dans laquelle nage un dauphin d’argent[24].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
    4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
    6. « Station Météo-France Vestric-et-Candiac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    7. « Orthodromie entre Nages-et-Solorgues et Vestric-et-Candiac », sur fr.distance.to (consulté le ).
    8. « Station Météo-France Vestric-et-Candiac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    9. « Orthodromie entre Nages-et-Solorgues et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    11. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Nîmes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Unité urbaine 2020 de Langlade », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    17. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    18. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    22. Eugène Germer-Durand (Editeur scientifique), Cartulaire du chapitre de l'église cathédrale Notre-Dame de Nîmes, Nimes, A. Catélan, , CLXII-403 p., In-8° (notice BnF no FRBNF34124838)
    23. (fr + la) Claude Devic et Joseph Vaissette, Histoire générale de Languedoc, Toulouse, J.-B. Paya, 1840-1846, 10 vol. ; in-8 (notice BnF no FRBNF36384293)
    24. Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (notice BnF no FRBNF30500934), p. 149 et 238-239
    25. (oc + fr) Frédéric Mistral et Jules Ronjat, Lou Trésor dou Félibrige ou Dictionnaire provençal-français : embrassant les divers dialectes de la langue d'oc moderne..., Raphèle-lès-Arles, M. Petit, , 1179 p., 2 vol. ; 25 cm (ISBN 84-499-0563-X, notice BnF no FRBNF37258238), p. 393 et 914 t. 2 - p. 1089, t. 2 (Vaunage)
    26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    28. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    30. Notice no PA00103088, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    31. Notice no PA00103089, base Mérimée, ministère français de la Culture.
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