Boissières (Gard)
Boissières est une commune française située en Vaunage, dans le département du Gard en région Occitanie.
Pour les articles homonymes, voir Boissières.
Boissières | |||||
![]() Le château surplombant la commune. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Occitanie | ||||
Département | Gard | ||||
Arrondissement | Nîmes | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Rhôny Vistre Vidourle | ||||
Maire Mandat |
Marc Foucon 2020-2026 |
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Code postal | 30114 | ||||
Code commune | 30043 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Boissiérois | ||||
Population municipale |
575 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 173 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 46′ 31″ nord, 4° 14′ 01″ est | ||||
Altitude | Min. 28 m Max. 102 m |
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Superficie | 3,33 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Nîmes (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Calvisson | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : région Occitanie
Géolocalisation sur la carte : Gard
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Liens | |||||
Site web | [www.mairie-boissieres.com mairie-boissieres.com] | ||||
Géographie
Localisation
Les communes de Nages-et-Solorgues, Uchaud, Vestric-et-Candiac, Vergèze et Calvisson sont limitrophes de la commune de Boissières.
Le village de Boissières, d’une superficie de 330 hectares, est implanté dans la vallée de la Vaunage, sur le rebord d’une colline couverte de buis qui lui a donné son nom : villa buxarias.
Boissières est marqué par un plan architectural qui lui donne une orientation au soleil couchant. C’est la raison pour laquelle les habitants furent longtemps surnommés Li soupa san lun (ceux qui prennent leur souper sans chandelle).
Boissières reste l’un des derniers villages du Gard possédant une vue castrale inchangée depuis des siècles : en venant de Nîmes, le village est vu sous son aspect ancien, avec en arrière-plan le château.
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Vestric-et-Candiac », sur la commune de Vestric-et-Candiac, mise en service en 1966[6] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,9 °C et la hauteur de précipitations de 700,5 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Nimes-Courbessac », sur la commune de Nîmes, mise en service en 1922 et à 12 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,8 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,6 °C pour 1991-2020[12].
Urbanisme
Typologie
Boissières est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].
Boissières est l'une des 79 communes membres du Schéma de Cohérence Territoriale SCOT du Sud du Gard et fait également partie d'une des 34 communes du Pays Vidourle-Camargue.
Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (45,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (46,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,3 %), cultures permanentes (44,6 %), zones urbanisées (10,1 %)[18].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
L’origine de Boissières viendrait du latin «buxus» - bouis, buis - qui désigne à la fois l’arbuste toujours vert et sous des formes dérivées comme «buxea» - boisse, buisse - et «buxio» - buisson - des espèces végétales touffues et de petites tailles. L'occitan "bois" (prononcez "bouills" avec l'accent sur ou) "buis" (latin "buxus"). In terminium de villa Buxarias[19].
Ses habitants sont les Boissiérois et Boissiéroises.
Histoire
Antiquité
La période « gauloise »
Plusieurs restes de l’époque protohistorique (Deuxième âge du Fer) datant des Ve, IVe-IIIe, IIe et Ier siècles avant notre ère ont été repérés au cours de prospections archéologiques, sans qu’il soit possible d’interpréter ces traces, ni de déterminer à quoi correspondent précisément ces vestiges : installations agricoles? habitats de plaine?
La sépulture de Boissières
En 1875, une tombe à incinération fut découverte non loin du château de Boissières. Cette sépulture a livré de nombreuses offrandes accompagnant le défunt, essentiellement des vases en céramique mais aussi des objets en fer et en bronze : grappins, coutelas, paire de strigiles, couvercle de lanterne. Ces offrandes étaient contenues dans un coffre de pierre.
L’observation des types de céramique (œnochoés à pâte claire, plats, coupes et coupelles en « campanien C », etc.) permet de dater l’enfouissement dans les dernières années du Ier siècle avant notre ère, contemporain de la fin de l’occupation de l’oppidum voisin des Castels, à Nages.
Les progrès de la romanisation se marquent dans la culture matérielle (formes des vases en céramique), et aussi dans l’évolution des mœurs : ainsi la paire de strigiles évoque la pratique du sport et la fréquentation de thermes.
La période romaine
De fréquents témoins (tuiles, fragments de céramique, menus objets) de l’époque romaine (Ier – Ve siècles) ont été mis au jour au cours des prospections de surface. Il s’agit pour la plupart des restes de villa ou de petits établissements à vocation agricole.
En outre, plusieurs fragments de pierres gravées portant des épitaphes proviennent de Boissières dont un cippe (stèle en pierre de forme carrée ou ronde) portant une inscription avec base et couronnement. Ce cippe portait l’épitaphe suivante :
DISENIO FORTVNA TO • DISENI VS • PAPIANVS PATRONO • ET VALERIVS AVGVRIVS
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires jusqu'en 1959
1840 - 1848 Louis ASTRUC
1848 - 1848 Roger ROUX
1848 - 1849 Adrien BOISSIER
1849 - 1860 David ROGER
1860 - 1870 Jean GILLY
1870 - 1871 Adrien AUDOYER
1871 - 1876 Eugène MATHIEU
1876 - 1884 Etienne GAUD
1884 - 1888 Adrien AUDOYER
1888 - 1890 Jean ALLIER
1890 - 1896 Antoine BOISSIER-BONNAUD
1896 - 1912 Jean BOISSIER
1912 - 1919 Samuel MARGAROT
1919 - 1929 Louis ROUX
1929 - 1931 Théodore MARTIN
1931 - 1934 Camille MOTTET
1934 - 1944 Marcel MARGAROT
Nommé conseiller départemental en 1942[20]
1944 - 1959 Marcel BONFILS
Liste des maires depuis 1959
Jumelages
Boissières n'a pas de jumelage avec une autre commune.
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].
En 2018, la commune comptait 575 habitants[Note 5], en augmentation de 8,9 % par rapport à 2013 (Gard : +1,67 %, France hors Mayotte : +1,78 %).
Cultes

L'ancienne église d'origine romane, restaurée à la fin du XVIIe siècle, affectée au culte protestant sous le Concordat, fut démolie pour vétusté en 1966. De fait, Boissières ne possède ni temple ni église. L'histoire du bâtiment s'étale sur presque 10 siècles. En 1803, le bâtiment est affecté au culte protestant jusqu'en 1954, où il sera déclaré désaffecté, car en très mauvais état. Sa démolition fut décidée par le conseil municipal en 1966.
Le culte protestant a été aussi célébré dans 2 autres lieux du village. Le temple est détruit par ordre royal en 1685, à la suite de la révocation de l’Édit de Nantes.
Économie
Culture locale et patrimoine
Édifices civils

- Château de Boissières
La seigneurie de Boissières est citée depuis le XIVe siècle.
Quelques repères dans son histoire : En 1379 : Jean de Vissec est seigneur de Boissières. Vers 1460 Isabelle de Vissec apporte cette seigneurie par son mariage avec Dragonnet de Montgros dans la famille de celui-ci. Le 25 octobre 1556, suivant un document découvert dans les archives communales, Nicolas de Montgros vend la seigneurie à Jacques de Bozène, baron de Boucoiran, qui la revend immédiatement à Nicolas de Calvière en 1557.
La famille de Calvière joue un rôle très important dans l’histoire du village : elle réside d’abord dans une maison rue basse (actuellement n° 49). Jusqu’en 1565, il n’y a pas trace de château dans les différents actes de vente de la seigneurie. Le premier écrit faisant état du château date de 1595 et situe sa construction vers 1565. Il y est noté que « le Sieur de Calvière commença à bâtir il y a 20 ou 30 ans une grande maison en forme de château, et à ces fins démolit plusieurs murailles, arbres fruitiers et enclos. »
Ce château, qui fut un haut lieu de la Vaunage huguenote, est une maison forte d’un seul bloc, construite dans un style militaire, étrange parce que très tardif pour l’époque, avec trois tours d’angle rondes et une carrée. Au XIXe, reconverti en demeure d’agrément, il compte 14 pièces principales. Dans la vaste salle d’apparat voûtée d’ogives se trouve une grande cheminée, dite du Décalogue, surmontée des Tables de la Loi en vieux français.
Le château a été modifié à plusieurs reprises. Les créneaux sont d’époque moderne, une restauration dans le goût médiéval.
- Beffroi communal surmonté d'un campanile pyramidal abritant une cloche.
La tour de l’horloge a été construite en 1817. A l’origine, elle devait être bâtie contre le lieu de culte de la place du Temple. Les villageois ont financé l’achat des pierres de construction.
La cloche porte la date de 1652 et ne semble donc pas être celle de l’église, comme le prétend la légende. Les initiales MFDCBDSCEB sont celles de Monseigneur François De Calvière Baron De Saint Côme Et Boissières.

Le mécanisme date de 1895. Il est toujours en état de fonctionnement.
La première horloge du village fut probablement achetée au début du XVIIIe siècle par Jean-François de Calvière, seigneur et Baron de Boissières, fils de Gaspard de Calvière. Elle était alors située sur une tour du château, et les habitants, qui en bénéficiaient, donnaient 6 livres au seigneur chaque année en guise de participation aux frais d’entretien.
- Demeure de style renaissance étagée sur 4 niveaux. Elle possédait encore, au début du XXe siècle, une toiture en pavillon à 4 pans.
- Vieux village dans son ensemble et rues tortueuses pittoresques.
Personnalités liées à la commune
- Gaspard de Calvières, baron de Saint-Côme et de Boissières
Héraldique
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Les armes de Boissières se blasonnent ainsi : De sable aux trois fasces échiquetées d'or et de sable de trois tires, les fasces de sable chargées de six besants d'argent, trois sur la première, deux sur la deuxième, un sur la troisième, au chef de gueules chargé d'un sanglier cousu aussi de sable, allumé et défendu aussi d'argent[25]. |
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Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative aux organisations :
- Site officiel
- « Boissières sur le site de l'Institut géographique national », sur wikiwix.com (consulté le )
- « Insee - Chiffres clés : Boissières », sur www.insee.fr (consulté le )
- « Encyclopédie vivante des Garrigues : Boissières », sur www.wikigarrigue.info, Collectif des Garrigues (consulté le )
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Vestric-et-Candiac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Boissières et Vestric-et-Candiac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Vestric-et-Candiac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Boissières et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Nimes-Courbessac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nimes-Courbessac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Nimes-Courbessac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Cartulaire de Notre-Dame de Nîmes, chapitre 149, 895
- https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9771781m/f5.item.r=canton.zoom
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Blason de la commune », sur www.labanquedublason2.com (consulté le ).
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