Moyeuvre-Grande

Moyeuvre-Grande [mwajœvʁ ɡʁɑ̃d] est une commune française située à la confluence de l’Orne et du Conroy, en Moselle.

Pour l’article homonyme, voir Moyeuvre-Petite.

Moyeuvre-Grande

Vue de Moyeuvre-Grande.

Blason
Administration
Pays France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Thionville
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Orne-Moselle
Maire
Mandat
Franck Roviero
2020-2026
Code postal 57250
Code commune 57491
Démographie
Gentilé Moyeuvriens
Population
municipale
7 662 hab. (2018 )
Densité 799 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 15′ 12″ nord, 6° 02′ 47″ est
Altitude Min. 168 m
Max. 330 m
Superficie 9,59 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Metz
(banlieue)
Aire d'attraction Luxembourg (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Hayange
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Moyeuvre-Grande
Géolocalisation sur la carte : Moselle
Moyeuvre-Grande
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Moyeuvre-Grande
Géolocalisation sur la carte : France
Moyeuvre-Grande
Liens
Site web mairie-moyeuvre-grande.fr

    Ses habitants sont appelés les Moyeuvriens ou les Modoveriens.

    Géographie

    La ville est constituée de deux entités géographiquement distinctes :

    • la ville essentiellement en fond de vallée
    • Froidcul (aussi appelé Sainte-Ségolène, ce qui est une erreur car c'est en fait le nom de l'église) sur le plateau.

    Dépassant 15 000 habitants durant les années 1960, la commune de Moyeuvre-Grande compte désormais moins de 8 000 habitants à la suite de la crise de la sidérurgie lorraine.

    Les coteaux et les plateaux environnants constituent un important un cadre naturel pour la commune sur laquelle s’étend un massif forestier important (forêt domaniale de Moyeuvre).

    Altitude : Moyeuvre-centre 175 m ; Froidcul 304 m.

    Urbanisme

    Typologie

    Moyeuvre-Grande est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3]. Elle appartient à l'unité urbaine de Metz, une agglomération intra-départementale regroupant 42 communes[4] et 285 918 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[5],[6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[7],[8].

    Occupation des sols

    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (45,6 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (37 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (44,8 %), zones urbanisées (27,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,5 %), mines, décharges et chantiers (8,7 %), terres arables (7,1 %), cultures permanentes (2,6 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Toponymie

    • Anciens noms et orthographe de Moyeuvre-Grande[11],[12] : – Modover (871) ; – Moebrium (Xe siècle) ; – Moeuvre (1251) ; - Moweurs (1277) ; – Moieuvres (1279) ; – Moyouvre (1290) ; – La Grande-Moyeuvre (1321) ; – Moeuvre-la-Grande (1329) ; – Moieuvre (1335) ; – Moieubre (1360) ; – Moiewre (1513) ; – Moyeuvre-aux-Bois (1635) ; – Moyeuvre-la-Grande (1779) ; – Grossmoyeuvre (1871) ; – Großmövern (1915) ; – Moevern et Mövern (1940) ; – Moyeuvre-Grande (1944).
    • Issu probablement de *Medio -briga, colline centrale[13].
    • Henri d'Arbois de Jubainville voit le gaulois mogos (qui veut dire grand) ce que réfute Hermann Gröhler[14], jugeant les attestations anciennes trop tardives pour remonter au gaulois.
    • Grooss-Moderen[15] et Grous-Moder en francique lorrain. Moyeuf en lorrain roman.

    Histoire

    Cimetière allemand de la guerre 1870-1871 sépulture de 46 Prussiens.
    Tombes de l'ancien « camp russe » dans la forêt de Moyeuvre.

    Village du duché de Bar cité en 871 dans une charte de l’abbaye de Gorze. De 1285 à 1560, les comtes puis ducs de Bar y possédaient des forges. L’origine des forges remonte au XIIIe siècle. Cité industrielle dès le XVIIe siècle. Propriétaires des forges : Gauvin de Germiny, Fabert en 1624, Bourdelois en 1729 et de Wendel en 1811.

    Le village est incendié par les Messins en 1345 et 1429 et détruit pendant la guerre de Trente Ans.

    En 1817, Moyeuvre, « village de l’ancienne province du Barrois au confluent de l’Orne et du Conroy » avait pour annexes le village de Moyeuvre-Petite, les trois fermes de Froidcul, les fermes de Corba et Tréhèmont et le moulin de la Frapouille. À cette époque, le village comptait 1 165 habitants répartis dans 185 maisons.

    À l'instar des autres communes de l'actuelle Moselle, Moyeuvre-Grande est annexée à l’Empire allemand de 1871 à 1918. Moyeuvre-Grande devient "Grossmoyeuvre", puis "Grossmövern". À cette époque, Moyeuvre-Grande est un bourg frontalier, à la limite de l'Allemagne et de la France, proche de Jœuf qui, restée française, est devenue meurthe-et-mosellane.

    Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, les soldats mosellans sont naturellement incorporés dans l'armée allemande. Pour éviter les désertions, de nombreux soldats sont envoyés sur le front russe. Les Mosellans accueillent avec joie la fin des hostilités et la paix retrouvée. En 1918, Grossmoyeuvre redevient Moyeuvre-Grande.

    La Seconde Guerre mondiale et le drame de l'Annexion marqueront longtemps les esprits. Le , les cantons de Moyeuvre-Grande (en allemand Großmövern) et de Mondelange (Mondelingen) de l'arrondissement de Thionville (Diedenhofen) sont rattachés à l'arrondissement de Metz-Campagne. La commune, administrativement rattachée au Gau Westmark, sera libérée dès le [16], échappant ainsi aux derniers bombardements américains.

    Une histoire de fer

    Les forges

    Depuis de nombreux siècles le travail du fer a donné de l’ouvrage aux habitants de la vallée de l’Orne. Des traces d’activité métallurgique datant des époques romaines et mérovingiennes ont été mises en évidence dans la contrée.

    En 1323, le comte Édouard Ier de Bar fait construire, près de la confluence de l’Orne et du Conroy, une forge hydraulique, la plus ancienne forge de ce type connue de la France actuelle. Au XVIIe siècle, la forge de Moyeuvre est la plus importante d’Europe. Après une très longue et tumultueuse histoire, les forges de Moyeuvre, devenues une immense installation industrielle, fermeront en 1970 (hauts-fourneaux, laminoirs, etc.). La dernière mine de fer en exploitation de France, située à Moyeuvre-Grande, sera close en 1993.

    Mine de Moyeuvre

    • 1565 : ouverture par le mineur Barbas et son équipe sur le versant sud du Tréhémont.
    • 1633 à 1660 : fermeture due à la guerre de Trente ans.
    • 1660 à 1811 : faillite des repreneurs due à de mauvaises méthodes d’exploitation.
    • 1811 : achat par François de Wendel.
    • 1883 : mort par asphyxie de 15 mineurs due aux émanations de benzol de la locomotive qui les menait au fond.
    • 1895 : fusion de Moyeuvre-Grande et Froidcul
    • 1905 : les chevaux sont remplacés par les machines.
    • 1914 : la guerre et le départ des Italiens font baisser la production.
    • 1916 : les prisonniers russes sont utilisés comme main d’œuvre.
    • 1919 à 1921 : les nombreux immigrés italiens et polonais sont embauchés.
    • 1923 : fusion de Moyeuvre-Grande et Moyeuvre-Petite et devient de Wendel
    • 1936 : nombreux licenciements dus à la crise économique.
    • 1940 : les Allemands reprennent la mine.
    • 1941 : Hermann Göring en devient propriétaire.
    • 1942 : les prisonniers russes sont utilisés comme main-d’œuvre.
    • 1944 : de Wendel récupère la mine après le départ des Allemands.
    • 1968 : devient Société Wendel-Sidélor.
    • 1968 : travaux sur le site du Pérotin.
    • 1969 : fusion de Moyeuvre et Jœuf.
    • 1969 : ouverture du carreau du Pérotin.
    • 1974 : devient Société Sacilor.
    • 1978 : devient Lormines.
    • 1993 : arrêt de l’exploitation.
    • 1995 : fermeture définitive.

    Sidérurgie

    L’existence des forges de Moyeuvre remonte à des temps anciens. C’est en 1811 que François de Wendel les rachète. Sept hauts-fourneaux sont successivement mis à feu à l’usine de Moyeuvre à la fin du XIXe siècle, puis un huitième en 1901 et le 8 bis en 1921. Il n’est fait que très rarement mention du haut-fourneau no 4 dont la durée de vie a été très courte (1879-1893/94). En 1927, huit hauts-fourneaux sont en activité. Le HF2, arrêté pour reconstruction en , ne sera pas reconstruit. Le HF6 est arrêté en 1944. En 1956, les six hauts-fourneaux en activité produisent 425 000 tonnes de fonte. Ces hauts-fourneaux vont connaître des réfections successives que les archives nous permettent de bien cerner. Le HF5 est arrêté en , puis le HF8 en . Les années 1968-1969 marquent l’arrêt des derniers hauts-fourneaux.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Gare de Moyeuvre.
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1945 1947 Anna Schell PCF Aide comptable
    Députée de la Moselle (1947 → 1951)
    octobre 1947 mars 1959 Georges Eugène Dahlem    
    mars 1959 mars 1983 César Depietri PCF Ajusteur
    Député de la 3e circonscription de la Moselle (1967 → 1968 puis 1973 → 1981)
    Conseiller général du canton de Moyeuvre-Grande (1964 → 1982)
    mars 1983 mai 2020 René Drouin PS Professeur
    Député de la 3e circonscription de la Moselle (1981 → 1993)
    mai 2020 janvier 2021 Franck Roviero DVG  
    Les données manquantes sont à compléter.

    Jumelages

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[18].

    En 2018, la commune comptait 7 662 habitants[Note 3], en diminution de 3,1 % par rapport à 2013 (Moselle : −0,32 %, France hors Mayotte : +1,78 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
    9641 0031 0271 5961 3981 5782 5363 1953 084
    1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
    3 4093 7235 0135 4416 3228 7929 4259 5559 199
    1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
    10 39712 27611 06710 16310 70715 14614 56812 52310 287
    1990 1999 2005 2010 2015 2018 - - -
    9 2038 9948 3257 9397 7667 662---
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Édifices civils

    • Château de Moyeuvre, des seigneurs de Bettainvillers, bâti en 1598 par Louis Pierron de Bettainvillers, achevé en 1616 comme l’indique le frontispice du portail, restauré XIXe siècle ; croisées Renaissance, cheminées XVIIe siècle, chapelle castrale.
    • tour des anciennes fortifications rue Foch, cachée par les habitations.
    • moulin de Frapouille.
    • loup sculpté en saillie d’une façade de la rue de la Taye, à l’endroit où le dernier a été tué en 1627.
    • croix de chemin du XVIIe au XVIIIe siècles.
    • cités ouvrières, XIXe-XXe siècles.
    • logement ouvrier à Froidcul : de la cité minière du début du XXe siècle « Castors » et « plans-courants » des années 1950, les HLM des années 1960 partiellement détruites.
    • hôpital Saint-Maurice.
    • Cimetière israélite, route de Jœuf construit en 1912.
    • Ancien cimetière protestant, rue Clemenceau détruit pour faire place à une école.

    Édifices religieux

    • Église néogothique Saint-Gorgon ; la première pierre fut posée le , inauguration le  : son christ de pitié du XVIe siècle.
    • Temple protestant réformé, rue Clemenceau la première pierre fut posée le , inauguration le .
    • Ancienne église de 1752, construite sur l’ancienne en bois, actuellement école du centre rue Foch.
    • Chapelle de Sainte-Ségolène de Froidcul, inauguration le .
    • Chapelle Marie-Reine-de-l'Univers du Tréhémont.
    • Ancienne chapelle des Italiens rue Fabert.
    • Chapelle de cimetière.

    Histoire du château

    Vers 1560, la famille Pierron de Bettainvillers s’était rendue acquéreur de l’une des deux seigneuries de Moyeuvre, celle de la Grande Cour détenue par l’abbaye Saint-Symphorien de Metz, en même temps qu’elle devenait amodiatrice de la forge ducale de Moyeuvre fondée au début du XIVe siècle par Édouard Ier de Bar.

    C’est sans doute à partir de 1598 que Jean Pierron de Bettainvillers fit construire le château, pour servir de siège à la seigneurie, avec son fils Louis qui s’y installa dès 1599, au moment de son mariage avec Marguerite François, fille de Simon François, seigneur d’Auboué et de Saulcy. Mais le château ne fut vraisemblablement terminé qu’en 1616, selon la date inscrite sur le fronton de la porte. À la mort de Louis de Bettainvillers en 1644, le château passa à son fils Jean, puis en 1685 à son petit-fils Gury-Dieudonné.

    La fille de ce dernier, Anne-Dorothée de Bettainvillers de Mensberg, qui avait épousé en 1711 Claude-Alexandre de Pons, marquis de Rennepont, séjourna au château jusque vers 1730, puis la famille quitta Moyeuvre pour Roches-sur-Rognon (Haute-Marne) aujourd’hui Roches-Bettaincourt, héritage paternel du marquis de Rennepont.

    Le château fut alors loué de 1733 à 1805 et dès 1740 c’est la famille Cochard de Moyeuvre qui en devenait fermier. En 1805, les frères Cochard s’en rendirent acquéreurs et le possédèrent jusqu’en 1873, date à laquelle la partie Ouest du château fut vendue à la société de Wendel qui y installa en 1884 une infirmerie, avant de pouvoir racheter en 1904 la totalité du bâtiment pour le transformer en 1907 en hôpital de ses forges et mines de Moyeuvre.

    Personnalités nées dans la commune

    André Ima (1913-1969) « Compagnon de la Libération «  n’y est pas né, mais y a travaillé et y est décédé[21].

    Héraldique

    Blason
    Écartelé en sautoir au 1 d'or à la rose de gueules surmontée d'une clef de même, aux 2 et 3 d'azur à un bar d'or, celui de senestre contourné, au 4 d'or au mont de sable enflammé de gueules naissant d'une rivière ondée d'azur.
    Détails
    Création : Commission Héraldique de la Moselle. Adopté le 27 octobre 1949.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Recherches historiques sur Moyeuvre-Grande

    E. Jacquemin

    Ancien Curé-Archiprêtre de Moyeuvre

    1953

    Coopérative d'édition et d'impression de Metz- 30 Rue Mazelle

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.

    Références

    1. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Metz », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    7. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Luxembourg (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle-rédigé en 1868.
    12. http://territorial.de/lothring/diedenhf/grossmoe.htm
    13. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, Errance, , 440 p. (ISBN 2-87772-237-6), p. 432.
    14. (de) Hermann Gröhler, « « Über Ursprung und Bedeutung der französischen Ortsnamen" (sur la naissance et la signification des noms de localité français) Section: Gallische Namen. 188 (noms gaulloisà », sur https://archive.org/stream/berursprungund01gruoft/berursprungund01gruoft_djvu.txt, (consulté le ).
    15. Marcel Konne et Albert-Louis Piernet, « Dierfer vun äiser Hemecht », Hemechtsland a Sprooch, no 1, (ISSN 0762-7440).
    16. 1944-1945, Les années Liberté, Le Républicain Lorrain, Metz, 1994 (p. 14)
    17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
    21. « André IMA », sur Musée de l'Ordre de la Libération (consulté le ).
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